Les fiches les plus visitées ce mois ci
Ce classement est basé sur un compteur de visite remis à zéro le premier du mois en cours.
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Parce que je t'aime de Guillaume Musso
critiqué par Babsid - (La Varenne St Hilaire - 35 ans)

Cette fois-ci, ça ne prend pas
L'histoire et le résumé de la 4ème de couverture sont attrayants.
Un couple qui a tout pour être heureux, se voit brutalement arracher sa petite fille de 5 ans. Layla a disparu.
Brisés, ils se séparent.
Cinq ans plus tard, elle est retrouvée vivante à l'endroit exacte de sa disparition.
Les interrogations succèdent à la joie des retrouvailles.
Où était-elle ?
Avec qui ?
Pourquoi est-elle revenue... 
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Zadig, ou, La destinée de Voltaire
critiqué par Tistou - (66 ans)

Contes philosophiques.
Candide, Zadig, même combat. Quand on ne peut s'exprimer explicitement sous peine d'être saisi, emprisonné, ou plus si affinités, on fait comme Voltaire. Zadig, en plus, c'est commode. C'est loin, l'Orient. C'est exotique. Candide devait être plus risqué dans le genre.
Alors que lui arrive-t-il à ce pauvre Zadig? Bien des misères quand même puisque quoiqu'il entreprenne, ou quelques décisions... 
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Le libraire de Gérard Bessette
critiqué par Libris québécis - (Montréal - 81 ans)

Le Québec de la grande noirceur
Sans tomber dans le réquisitoire pour dénoncer les pouvoirs occultes dont les Québécois étaient victimes, surtout au plan sexuel et culturel, l'auteur a su y arriver à travers un personnage pour qui il était impossible de pactiser avec les gardiens de la rectitude, regroupés souvent en associations secrètes, qui se posaient en ardent défenseur d'un peuple francophone et catholique en... 
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Les armoires vides de Annie Ernaux
critiqué par Réaliste-romantique - (- ans)

Le récit d'une jeunesse dans la honte
Alors qu'elle doit subir un avortement, la narratrice, Denise Lesur, revient sur son passé. Elle le revisite pour revivre le chemin qui l'a menée où elle est. L'avortement n'est que l'excuse de cette récapitulation du passé, c'est la jeunesse de la narratrice, dans un café-épicerie un peu minable d'une petite ville, qui est le coeur du livre. Denise Lesur vient... 
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Les malheurs de Sophie de Sophie de Ségur
critiqué par Croquette - (Bruxelles - 53 ans)

Que de bêtises!
On oublie parfois cette bonne vieille comtesse de Ségur (Sophie Rostopchine) et ses romans indémodables. Tout enfant digne de son nom se doit de lire la comtesse de Ségur. Ses histoires sont les classiques de l'enfance, au même titre que les grands auteurs constituent la littérature dite classique des adultes.
Tous ses romans sont issus d’histoires vraies, arrivées à elle-même ou... 
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Une femme de Annie Ernaux
critiqué par Clarabel - (46 ans)

Au plus juste dans son portrait
Après avoir écrit sur la mort de son père dans "La place", Annie Ernaux récidive avec la perte de sa mère - "Une femme". Parler de la femme de son imaginaire, mais aussi la femme réelle, celle qui a existé en dehors d'elle, mettre en mots le portrait d'une femme, comme pour "mettre au monde sa mère". Dessiner le parcours... 
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Le 7e fléau de James Rollins
critiqué par Incertitudes - (38 ans)

Du méchant mégalo à l'ancienne
Dans cette nouvelle aventure de la Sigma Force, on retrouve à nouveaux nos agents favoris (Gray, Seichan, Kowalski, Kat et même le chef Painter Crowe qui redescend dans l'arène) dispatchés aux quatre coins du monde pour le sauver d'une nouvelle menace bactériologique.
On retrouve un méchant milliardaire aux ressources illimitées digne d'un James Bond. Persuadé de faire le bien mais... 
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La Peau de chagrin de Honoré de Balzac, André Pieyre de Mandiargues (Préface)
critiqué par Oxymore - (Nantes - 51 ans)

Pactiser avec le diable
"Si tu me possèdes, tu posséderas tout. Mais ta vie m'appartiendra. Dieu l'a voulu ainsi. Désire, et tes désirs seront accomplis. Mais règle tes souhaits sur ta vie. Elle est là. A chaque vouloir je décroitrai comme tes jours. Me veux-tu ?"
Voilà l'étrange parchemin sur lequel Raphaël va tomber chez un vieil antiquaire de Paris. La vie de Raphaël est... 
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Rosa Luxemburg - L'immortelle de Lucile Chastre
critiqué par CHALOT - (75 ans)

Un roman biographique accessible
Rosa Luxemburg
l'immortelle
roman
98 pages
Oskar éditeur
février 2022
Oui , Rosa Luxemburg est « immortelle »!
Assassinée sous les ordres de la direction du parti socialiste allemand au « pouvoir » en janvier 1919, Rosa Luxemburg est restée une grande révolutionnaire, théoricienne et actrice du combat pour la révolution socialiste mondiale.
L'auteure qui raconte la vie de Rosa a monté un « scénario » original ; une émission de radio fictive dans le... 
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Où naissent les mères de Virginia Helbling
critiqué par JPGP - (76 ans)

Virginia Helbling : mythe et réalité
Ce roman sur la maternité casse les idées reçues. Il s'inspire sans doute de l'existence même de l'auteur jusque là journaliste et qui rentre ipar ce livre dans le domaine de la fiction.
La maternité se concentre ici sur la recherche de nouvelles perspectives narratives et existentielles. L'auteure la revisite devenant à sa manière une chamane contemporaine pour créer un... 
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Sacrés Italiens ! de Alberto Toscano
critiqué par Veneziano - (Paris - 45 ans)

Mieux comprendre les Italiens - éléments de civilisation
Ce journaliste italien italien installé en France veut combler le fossé culturel avec ses compatriotes en faisant découvrir l'histoire et la sociologie de son pays. Dans cet ouvrage, il nous apprend les éléments fondamentaux d'histoire contemporaine, de vie politique, de la faculté de l'économie nationale à rebondir, sa résilience, malgré les difficultés chroniques, les chansons et les pâtes, la mafia,son... 
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Vendredi ou la vie sauvage de Michel Tournier
critiqué par Lolita - (Bormes les mimosas - 37 ans)

Si leeeeeeeeeennt!!!!
L'histoire de Robinson, tout le monde la connaît plus ou moins, c'est pourquoi je vais me contenter d'en faire juste un bref résumé! L'aventure de Robinson et de Vendredi se déroule au XVIII ème siècle. Robinson est à bord du bateau la Virginie mais son bateau échoue et il se retrouve sur une île déserte. Il se met alors à... 
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Histoires et avenirs de l'éducation de Jacques Attali
critiqué par Veneziano - (Paris - 45 ans)

Histoire et perspectives de l'éducation
L'éducation de surcroit pour les masses, a constituée une lente et durable conquête dans le temps, comme le montre le long historique retraçant l'évolution de l'instruction publique dans le monde, au sein de cet ouvrage. L'apparition de l'imprimerie, le détachement progressif de l'église, le développement des outils numériques offrent des perspectives d'évolution de la manière d'enseigner. L'auteur finit par conclure... 
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Mémoires intimes d'un pauvre vieux essayant de survivre dans un monde hostile de Vincent Ravalec
critiqué par Catinus - (Liège - 71 ans)

Humour et autodérision
Alors qu’il a à peine soixante ans, le narrateur est terrorisé par ce qui l’attend : la vieillesse. Il met tous ses efforts pour se démarquer c’est assez dire freiner des quatre fers. Il lui vient des idées bizarres : voler dans les librairies de nombreux exemplaires de son dernier livre paru afin de le faire monter dans les premières... 
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La femme rompue de Simone de Beauvoir
critiqué par Pendragon - (Liernu - 52 ans)

Profondeur Tragique...
Ce « roman » de Simone de Beauvoir se présente en fait en trois nouvelles courtes racontées à la première personne du singulier par trois femmes. Ces trois femmes nous décrivent, nous font part de leurs angoisses face à une séparation douloureuse.
La première nouvelle présente une femme d’un certain âge qui ne peut supporter que son fils ne choisisse pas... 
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Mort à crédit de Louis-Ferdinand Céline
critiqué par Jules - (Bruxelles - 78 ans)

Le récit d’une jeunesse pour le moins particulière
J'ai beau me dire que je suis bien inconscient de m'attaquer à une telle figure des lettres françaises, rien n’y fait. Je n'arrive pas à réfréner mon envie !
" Mort à Crédit ", c'est l'histoire d’un petit garçon dont la mère est mercière et le père petit employé dans une grosse compagnie d'assurances. Son aire de jeu est une galerie... 
137.
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La petite fille de Monsieur Linh de Philippe Claudel
critiqué par Clarabel - (46 ans)

L'oubli des mauvaises choses
Monsieur Linh a quitté un pays en guerre, un village en ruine et ravagé pour un ailleurs autrement plus étrange. Une ville, immense, bondée de gens qui vont et viennent, où l'on parle une langue différente de la sienne. Qu'importe pour ce vieil homme, il a auprès de lui sa petite fille, Sang Diû. Un bébé de quelques semaines qu'il... 
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Germinal de Émile Zola
critiqué par Pétoman - (Tournai - 47 ans)

Dans le fond...
Zola a vécu dans le temps des exploitations minières et dans le temps de la création de nouvelles pensées politiques: socialisme, internationale communiste, anarchisme...
En décrivant la rencontre d'Etienne Lantier avec les Maheu, Zola ne nous raconte pas que l'histoire d'une grève... il nous raconte bien plus...
D'une part, il trace un portrait psychosociologique de la famille minière de cette époque, à... 
137.
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Portrait de femme de Henry James, Claude Bonnafont (Traduction)
critiqué par Clare Bear - (Lyon - 39 ans)

Histoire de femme(s)
Publié en 1881 par Henry James, Portrait de Femme retrace la vie d´Isabel Archer, une jeune Américaine qui débarque en Angleterre grâce à sa tante Lydia Archer.
Isabel est belle, intelligente, vive d´esprit et aspire aux voyages et à la découverte. Elle rêve d´aller en Europe et d´en découvrir chaque recoin. Sa tante lui permettra de s´accomplir dans ce sens.
Isabel a... 
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Économie pour le XXIe siècle de Eloi Laurent
critiqué par Falgo - (Lentilly - 83 ans)

Révision capitale de la science économique
Durant mes études j'ai étudié l'économie et ce livre me conduit à réviser nombre des principes fondamentaux sur lesquels reposait l'enseignement que j'ai reçu. Ce que devraient faire aujourd'hui tous les économistes et gouvernements du monde.
Laurent fonde sa réflexion sur un certain nombre de constats qui conduisent à faire "de l'économie du XX° siècle une discipline insoutenable" (p.15). Le constat... 
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Le Convoi de l'eau de Akira Yoshimura
critiqué par Tistou - (66 ans)

Crépusculaire et glacé
Crépusculaire et glacé, ce sont les impressions que me laisse ce magnifique roman japonais sa lecture achevée et digérée. L’action n’est pas tant « de nuit » ou en hiver, mais … glacé et crépusculaire. Oui.
Il y a quand même une spécificité de romans asiatiques. Je ne puis m’empêcher de comparer « le convoi de l’eau » à deux autres... 
141.
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Le meilleur des mondes de Aldous Huxley
critiqué par Titi - (Bruxelles - 48 ans)

Vision éclairée d'un futur proche
Qui aurait cru dans les années 1930 que le monde décrit dans ce bouquin existerait un jour ?
Cette société aseptisée où ce qui n'est pas " beau à voir " est caché, où un produit chimique provoque " l'évasion " et le " bien-être " du corps, où les êtres sont " fabriqués " pour entrer dans le moule d'une... 
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Acide sulfurique de Amélie Nothomb
critiqué par Alys - (Toulouse - 34 ans)

Pas si sulfureux
Un nouveau concept de télé-réalité : "Concentration". L'émission consistant à enlever des gens au hasard (ou presque) et à les enfermer dans un camps de concentration dans des conditions de (sur)vie équivalentes à celles des camps de la guerre de 39-45 sous la surveillance de kapos recrutés parmi, semble-il, les plus ignares et les plus ineptes de la société humaine.... 
145.
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Ce qui ne peut être volé: Charte du Verstohlen de Antoine Fenoglio, Cynthia Fleury
critiqué par Colen8 - (81 ans)

Valeurs à défendre
Etant donné la fragilité du milieu ayant accueilli la vie il y a un impératif à le maintenir vivable. La Charte ici présentée s’inscrit dans une façon d’agir pour le bien-être partagé entre personnes et collectivités, entre domaine privé et public, entre humains et non-humains. En définissant la notion de furtivité(1) une telle charte est centrée sur des aspects qualitatifs... 
145.
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Noces de Albert Camus
critiqué par Jules - (Bruxelles - 78 ans)

À la gloire du monde, de la vie et de la pensée
Camus, c’est le penseur de « l’ Etranger », « la Peste », « le Mythe de Sisyphe » et « l’ Homme révolté », mais c'est aussi un formidable amoureux de la vie !
Cette facette de sa personnalité est plus méconnue du grand public. Pour beaucoup, Camus est d'abord une sorte de mythe, confiné au rôle d’un des grands... 
147.
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Avant Blake et Mortimer - Tome 2 - La Flèche ardente de Jean Van Hamme (Scénario), Christian Cailleaux (Dessin), Etienne Schréder (Dessin)
critiqué par Hervé28 - (Chartres - 53 ans)

Un album vintage
Après avoir relu" le "Rayon U", dans la nouvelle édition avec les couleurs de Bruno Tatti, mais aussi dans l'édition bibliophile (superbe au demeurant), je me suis lancé dans cette suite, signée Jean Van Hamme, et illustrée par Cailleaux et Etienne Schréder.
Je dois dire que le résultat est assez mitigé. L'histoire m'a semblé bien naïve , mais c'est sans doute... 
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Bel Ami de Guy de Maupassant
critiqué par Lolita - (Bormes les mimosas - 37 ans)

L'ascension professionnelle et sentimentale d'un parisien...
Georges Duroy, fils d'aubergistes normands vit depuis quelque temps à Paris où il vit misérablement, calculant le moindre sou pour vivre. Par un heureux hasard, il retrouve son ami d'armée Forestier. Ce dernier est un grand journaliste dans "La vie française". Mis au courant de la situation de son ami, il lui propose bien vite de travailler avec lui au... 
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Amabilia - Tome 4 de E. T. Raven
critiqué par Hervé28 - (Chartres - 53 ans)

un final magistral
Clap de fin avec ce 4ème volume d'une série qui restera pour moi une des meilleures séries érotiques que j'ai lues. Je dis bien érotique et non pornographique car, malgré des scènes très crues voire explicites, je ne vois aucune vulgarité mais plutôt un érotisme torride et raffiné.
Après un 3ème opus assez sombre et désabusé, les auteurs nous offrent là... 
149.
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Dix petits nègres / Ils étaient dix de Agatha Christie
critiqué par Tophiv - (Reignier (Fr) - 47 ans)

Le meilleur Agatha Christie
Dix personnes sont invitées sur l'île du Nègre. Arrivés sur place, aucune trace de leur mystérieux hôte. Coincés sur l'île, ils vont un par un être assassinés. Chacun soupçonne l'autre d'être le tueur, et les possibilités se réduisent au fur et à mesure des meurtres.
Le grand classique d'Agatha Christie, adapté plusieurs fois au cinéma. Dans ce livre, on ne retrouve... 
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Raison et sentiments de Jane Austen
critiqué par Bluewitch - (Charleroi - 43 ans)

Une analyse subtile de la bourgeoisie anglaise du XVIIIe siècle
Elinor et Marianne Dashwood sont les deux aînées d’une modeste famille anglaise. Elles vivent avec leur mère et leur jeune sœur Margaret.
Elinor est une jeune femme sensée, sensible, responsable, peu encline aux débordements émotionnels et le parfait symbole du flegme anglais. Marianne est tout son contraire. Passionnée et impulsive, elle ne peut imaginer l’amour avec quelqu’un qui ne partagerait pas... 
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