Le Tailleur de pierre de Camilla Läckberg
( Stenhuggaren)
Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone , Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes : (basée sur 20 avis)
Cote pondérée : (4 358ème position).
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Sordides secrets de famille
Patrik Hedström a retrouvé son boulot avec une certaine joie, après la naissance de sa petite Maja, qui épuise toute la famille par ses pleurs et son trop-plein d'énergie. Erika reste à la maison pour s'occuper du bébé tandis que son mari se trouve confronté à la mort d'une fillette. Sarah n'avait que sept ans, on l'a retrouvé noyée et rapidement, le médecin légiste informe les enquêteurs que la noyage n'était pas accidentelle. De l'eau savonneuse, provenant d'une baignoire, a été retrouvée dans les poumons de l'enfant, ainsi que de la cendre. Une affaire délicate, toute la famille est soupçonnée, ce qui pose pas mal de soucis à Hedström dans la mesure où Charlotte, la mère de Sarah, est une amie proche d'Erika.
Parallèlement à ce récit contemporain s'esquisse une autre histoire, celle d'un tailleur de pierre, dans le début du XXe siècle, à Fjällbacka. Amant de la riche fille du patron, il voit les ennuis s'accumuler au-dessus de sa tête le jour où Agnès tombe enceinte. Une longue vie misérable commence.
Vient également prendre place au coeur de tout ceci une sombre histoire de querelles de voisinage et de maltraitance d'enfant.
Un récit extrêmement bien mené par Camilla Läckberg dont le talent ne faiblit pas.
On a beau dire que ses ouvrages mettent en scène Erika Hedström, c'est surtout son mari qui est placé au devant de la scène, l'occupant de bien habile manière. Il se montre humain, particulièrement face à des sujets aussi sensibles que ceux abordés dans cet ouvrage. Il confirme aussi qu'il est un meneur d'enquête hors pair, apte à diriger une équipe avec doigté et fermeté.
Un des bons éléments de ce livre est cette alternance entre destins, histoires et époques. Cela apporte régulièrement un souffle nouveau au récit et contribue à créer une construction magistralement ficelée du début à la fin.
De la première à la dernière page, je suis restée suspendue à ce récit, à l'évolution de ces personnages au fil des ans (pour la partie ancienne de l'histoire) ou à la confrontation entre des vérités sordides (pour la partie contemporaine).
L'auteur utilise avec parcimonie des détails qui font mouche, crée des atmosphères oppressantes et mène plusieurs fois le lecteur vers les bonnes pistes tout en l'égarant, avec un judicieux plaisir, à travers des contrées peu explorées. De quoi être tenu en haleine et apprécier une fin qui, si elle n'est pas totalement surprenante (on devine au fur et à mesure de l'avancement du roman), n'en demeure pas moins terrible à encaisser.
J'apprécie d'ailleurs sur ce point que Camilla Läckberg épargne à son lecteur les happy-end inutiles ou les résolutions trop simples; une grande place est ici accordée à la suggestion et la réflexion.
Merci à l'auteur pour cette lecture-plaisir !
Les éditions
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Le tailleur de pierre [Texte imprimé], roman Camilla Läckberg traduit du suédois par Lena Grumbach et Catherine Marcus
de Läckberg, Camilla Grumbach, Lena (Traducteur) Marcus, Catherine (Traducteur)
Actes Sud / Actes noirs
ISBN : 9782742786626 ; 23,40 € ; 03/10/2009 ; 477 p. ; Broché -
Le tailleur de pierre
de Läckberg, Camilla Grumbach, Lena (Traducteur) Marcus, Catherine (Traducteur)
Actes Sud
ISBN : 9782742798223 ; 17/10/2011 ; 474 p. ; Format Kindle -
Le tailleur de pierre [Texte imprimé], roman Camilla Läckberg traduit du suédois par Lena Grumbach et Catherine Marcus
de Läckberg, Camilla Grumbach, Lena (Traducteur) Marcus, Catherine (Traducteur)
Actes Sud / Babel Noir
ISBN : 9782330021580 ; 10,00 € ; 28/09/2013 ; 592 p. ; Poche -
Le tailleur de pierre
de Pâris, Christine (Acteur) Läckberg, Camilla Grumbach, Lena (Traducteur) Marcus, Catherine (Traducteur)
Audiolib
ISBN : 9782356412201 ; 24,40 € ; 17/03/2010 ; 2 p. ; MP3 CD
Les livres liés
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Ce qui couve sous la cendre
Critique de Incertitudes (, Inscrit le 4 décembre 2008, 40 ans) - 22 juin 2018
Une fillette retrouvée morte noyée dans la mer sauf qu'au lieu de trouver de l'eau salée dans ses poumons, les légistes détectent de l'eau douce et une bonne quantité de cendre.
C'est plutôt troublant d'autant qu'en parallèle Läckberg s'intéresse à la vie d'une jeune bourgeoise, Agnès, pendant les années 20.
Je m'arrête là sur le portrait qu'elle fait de cette femme sur cinquante ans dont la psychologie complexe m'a mis mal à l'aise. Mal à l'aise dans le sens où j'ai eu envie de la plaindre malgré le dégoût qu'elle a pu m'inspirer. Égoïste, froide, ne pensant qu'à son propre plaisir, ce sont des qualificatifs qui lui vont bien quoi qu'il en soit. Son manque d'humanité en fait une méchante assez mémorable.
Étudier le passé pour comprendre le présent est fondamental. Quand on voit l'éducation entre guillemets qu'elle aura donnée à son enfant adoptif, on découvre assez vite qui est le meurtrier. Ce sont ses motivations qui resteront obscures jusqu'au bout et quand on les connaît, je me suis dit qu'il y avait vraiment quelque chose de pourri dans cette famille.
Comme si ça ne suffisait pas, la pauvre Erica subit les joies de la maternité. Camilla Läckberg, mère de quatre enfants de trois pères différents dans sa vie privée, a dû largement mettre de son propre vécu car les anecdotes sont criantes de vérité.
Un crime sordide qui prend ses racines bien des années auparavant. Un peu de pédophilie pour corser le tout. Heureusement qu'il y a Mellberg qui s'y prend comme un manche avec son fils pour alléger l'enquête et lui donner une petite touche d'humour.
C'est ça que j'apprécie tant chez cette auteure. Au delà des meurtres, des vieux secrets de famille remontant à la surface, c'est la sympathie des flics de ce petit commissariat rural (Annika, Martin, Patrik) qui rend les romans accrocheurs. J'ai constamment envie de dévorer la suite pour voir comment leur vie amoureuse et familiale évolue.
Désolant
Critique de Falgo (Lentilly, Inscrit le 30 mai 2008, 85 ans) - 15 décembre 2017
De mère en fille
Critique de Elko (Niort, Inscrit le 23 mars 2010, 48 ans) - 29 mars 2017
Passées ces invraisemblances et si l'on accepte les nombreuses digressions sur les rapports mère-nourrisson - on n'est guère étonné d'apprendre dans les remerciements que Camilla a eu un bébé lors de l'écriture du roman - ce polar se lit très bien. Même s'il n'évite pas le deus ex machina qui donne un sacré coup de pouce à la fin de l'enquête. Le thème de la filiation est omniprésent mais à la manière d'un catalogue, sans réflexion sous-jacente. Plutôt un constat, souvent d'échec, aux implications ici désastreuses.
Camilla Läckberg a créé son univers littéraire avec une quasi permanence du lieu et des personnages principaux. C'est confortable mais ne risque t-on pas de tourner en rond à la longue?
Connaître le passé pour résoudre les horreurs du présent.
Critique de Lilule (baalon, Inscrite le 24 février 2006, 51 ans) - 13 octobre 2015
Découverte
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 24 juillet 2015
Bilan ? Très très positif, tellement que je vais en lire d'autres, des romans de Camilla Läckberg. Et d'autres auteurs scandinaves aussi. L'intrigue est très noire, déjà que ça démarre par un meurtre d'enfant (une gamine de 7 ans), mais ça plonge ensuite dans des méandres encore plus sinistres, pédophilie, secrets bien cachés et inavouables, etc... On soupçonne pas mal de monde, et neuf fois sur dix, on a tort. 475 pages vraiment remarquables.
Mon premier Läckberg
Critique de Ardeo (Flémalle, Inscrit le 29 juin 2012, 77 ans) - 10 février 2014
L’histoire est traditionnelle : dans une petite ville, une fillette est retrouvée noyée et il s’agit d’un crime ! Les policiers du petit commissariat local vont se mettre à la recherche de ce meurtrier. Le procédé utilisé par la romancière est couramment utilisé : tout au long des quelques 600 pages, 2 histoires vont se superposer et s’intercaler : celle de l’enquête avec ses nombreux protagonistes et une autre histoire qu’on peut qualifier d’ « ancienne » puisqu’elle débute en 1923 et qui raconte la vie du fameux « Tailleur de pierres » et de sa famille. Ces « coupures » ne nuisent absolument pas à la compréhension du roman car Camilla Läckberg a pris soin de ne pas encombrer les évènements du passé avec de trop nombreux personnages et on suit avec aisance l’avancement des évènements. Par contre, dans le fil tendu autour de l’enquête criminelle, elle multiplie les personnages pour avoir plus de possibilités d’aborder des thèmes qui l’intéressent en tant que femme suédoise moderne : la Société de son pays, l’impact de l’Internet, la pédophilie, la place de la femme dans le cercle familial, l’aspect physique de la femme … et bien entendu, l’Amour et la Haine. Un bon roman, donc, que je recommande également pour son suspense, son efficacité et le plaisir que j’ai ressenti à sa lecture.
Un peu artificiel mais bon moment passé quand même
Critique de Fa (La Louvière, Inscrit le 9 décembre 2004, 49 ans) - 11 janvier 2014
Au rayon des ingrédients, on retrouvera la technique courue des changements de point de vue, de l'alternance passé - présent, les difficultés de l'enquêteur chef d'enquête dans sa nouvelle carrière de jeune papa, l'incompétence qui gangrène certains de ses collègues, de sombres histoires de familles et un taux de décès par mort violente dans un bled perdu qui ne manquera pas d'attirer l'attention des experts les plus pointus de l'Institut suédois de criminalistique.
Mais bon, malgré tout, cela reste amusant, parfois un peu tiré par les cheveux, mais certainement pas ennuyeux, si vous l'avez sous la main, prenez le en vacances, au bord de la piscine, on y passera un bon moment !
Suède
Critique de Free_s4 (Dans le Sud-Ouest, Inscrit le 18 février 2008, 50 ans) - 7 décembre 2013
Pas révolutionnaire, mais bien écrit, se lit facilement.
Histoires de famille
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 24 août 2012
Nous retrouvons Patrick, enquêteur attachant et consciencieux, papa d'une petite Maja qui épuise sa mère depuis ses deux mois de vie.
Et le fait d'être papa va rendre cette nouvelle enquête encore plus douloureuse pur lui.
Le cadavre d'une petite fille est remonté par un pêcheur dans le port de la petite ville. Mais l'autopsie révèle qu'elle a avalé de la cendre, et qu'elle a été noyée dans de l'eau douce.
Peu de pistes sérieuses s'offrent au départ.
Mais quand un autre bébé, se retrouve avec de la cendre dans la bouche dans son landau, puis Maja, la propre fille de Patrick, le rythme s'accélère.
La petite Sara était l'ainée d'un couple ami d'Erica. Niclas et Charlotte. Niclas est médecin dans un dispensaire, Charlotte est mère au foyer auprès de son petit garçon Albin. Ils vivent chez Lilian et Stig, la mère de Charlotte, femme acariâtre et médisante, dévouée à son conjoint mourant.
C'est elle qui met les enquêteurs sur la piste de ses voisins avec qui elle entretient d'exécrables rapports. Kaj est un homme irascible et entêté marié à Monica femme soumise, parents d'une jeune homme, atteint du syndrome d'Asperger, vivant dans une cabane auprès de ses ordinateurs . Des suspects par excellence... mais pas forcément pour les raisons auxquelles on s'attendait.
Les parents de Niclas se retrouvent aussi impliqués dans l'enquête: Arne et sa soumise Asta. Arne est un intégriste religieux n'ayant pas pu être pasteur et que la violence et la bêtise ont isolé de sa propre famille.
Comme à son habitude, Camilla Läckberg multiplie les protagonistes, mène une deuxième histoire qui se déroule à Strömstadt et qui commence en 1923. Difficile de savoir avant les dernières pages qui est concerné par cette ancienne histoire.
L'auteure reste donc fidèle à son écriture et sa construction mais, est-ce parce que la lecture de celui-ci suivait de près le « Prédicateur », elle m'a parue plus facile, plus intéressante, et si quelques déductions semblent assez faciles, il faudra bien attendre la fin pour découvrir l'horreur de ce meurtre.
Les blessures de l'enfance
Critique de Laurent63 (AMBERT, Inscrit le 15 avril 2005, 50 ans) - 19 décembre 2011
Encore une fois l'auteure nous démontre son talent pour nous plonger dans une histoire riche en émotions. Pleine de rebondissements, un suspense qui tient le lecteur jusqu'au dernier chapitre, voilà les ingrédients de sa réussite. Elle sait nous captiver et nous pousser dans les moindre recoin de notre conscience. Elle nous parle de ces blessures de l'enfance que certain peuvent porter en eux, et qui les amène à commettre des fautes impardonnables. Bref un très bon roman policier...
A fuir !!
Critique de Valadon (Paris, Inscrite le 6 août 2010, 43 ans) - 19 novembre 2010
Et ce n'est pas tout : je ne tiens pas à dévoiler l'intrigue pour ceux qui malgré tout se laisseraient tenter, mais c'est complètement "too much", tellement que ça en devient comique et ridicule. Voyez plutôt : adultères, infanticides, pédophilie, rapt d'enfant, suicide, empoisonnements, dépressions, violences conjugales, actes de barbarie, accidents mortels, pyromanie... Oui oui tout ça dans le même bouquin. Juste comme ça, sans raisons.
J'ai encore la nausée de tout ce mauvais goût. Je vais plutôt lire le dernier Mankell.
moui
Critique de Nuciole (, Inscrite le 7 juillet 2010, 34 ans) - 9 juillet 2010
Un peu trop polar classique à mon goût.
Un 3ème tome agréable à lire mais sans originalité
Critique de Marsup (, Inscrit le 22 octobre 2009, 48 ans) - 2 avril 2010
Les personnages principaux sont toujours aussi attachants (Patrick, Annika et Morgan) et attachants (Mellberg et Ernst en particuliers). L'atmosphère et l'ambiance oppressantes à souhait. La plume de l'auteur fluide et rigoureuse.
Quant à l'enquête, elle manque d'originalité. Les indices sont nombreux, il suffit d'être attentif pour démasquer le coupable. C'est cela qui rend la lecture à la fois intéressante (car j'ai eu l'impression de mener l'enquête au côté de Patrick et de sa bande) et "décourageante" (pas ou peu de surprises).
J'attends néanmoins le quatrième tome qui va paraître le mois prochain puisque le roman se termine sur un coup de théâtre (et oui il y en a un!) qui donne envie de poursuivre ;-)
fjällbacka for ever!
Critique de Jfp (La Selle en Hermoy (Loiret), Inscrit le 21 juin 2009, 76 ans) - 21 mars 2010
Peu crédible et un peu brouillon
Critique de Bororo (, Inscrite le 22 septembre 2009, 49 ans) - 2 mars 2010
Ce que je n'ai pas apprécié, c'est le grand nombre de victimes, une grande cruauté liée à des personnages psychopathes, la double figure criminelle de la mère et de la fille qui est peu crédible, la présence d'une affaire de pédophilie qui n'apporte strictement rien à l'intrigue principale.
De plus, si Patrick et Erika sont sympathiques, ils n'en sont pas moins insipides. Le rôle d'Erika dans le roman ? Elle allaite sa fille. Quant à Patrick, il est bien fade pour un enquêteur ; il n'a pas assez de charisme. Ses déductions sont passées sous silence et n'oublions pas que s'il découvre le coupable, c'est avant tout grâce à un documentaire policier à la télévision...
On pourrait aussi parler de Ernst, le mauvais policier, vraiment très mauvais au point d'être trop mauvais en tant que personnage. Et un Mellberg est-il envisageable à ce poste dans cette institution ?
La fin ouverte sur le destin d'Anna attise la curiosité, mais pourquoi cette place accordée au quotidien et à la famille d'Erika dans la mesure où elle reste en marge de l'enquête ? L'auteur semble hésiter entre les sagas familiales et le polar, et le polar y perd.
Voisins inquiétants
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 20 janvier 2010
Suspense assuré avec le tailleur de pierre...
Critique de Sunsi (, Inscrite le 30 juillet 2009, 48 ans) - 10 janvier 2010
Pendant que cette dernière découvre les joies et les difficultés de la maternité, lui se lance à la recherche du coupable, dans une enquête difficile qui plus d’une fois l’égare sur de mauvaises pistes. Camilla Läckberg reste fidèle à ses deux premiers ouvrages, en multipliant les suspects et en maintenant le lecteur en haleine jusqu’au bout, dans un récit scandé par des rebondissements forts. Par ailleurs, le fait de voyager dans le temps en relatant des évènements passés nous laisse sur notre faim tout du long car ce n’est seulement qu’à la fin que les pièces du puzzle finissent par s’assembler. C’est d’ailleurs dans cette dernière partie que l’intensité du récit est à son comble.
Je conseille ce livre à ceux qui se réjouissent à l’idée d’un bon roman policier, à l’atmosphère lourde et mystérieuse. Il se lit en quelques jours ou d’une traite car la magie Läckberg opère comme d’habitude. Nous sommes happés par l’intrigue et déboussolés à plusieurs reprises. Elle s’attache également à décrire la psychologie de ses personnages en décortiquant leurs ressorts intérieurs, ce qui donne une profondeur supplémentaire au récit.
Je regrette qu’il y ait quelques longueurs et digressions, qui n’apportent pas grand chose ; je n’ai pas ressenti le même enthousiasme que lorsque j’ai découvert « la princesse des glaces « et je crains de me lasser si d’aventure elle donnait une suite à cette trilogie. « Le tailleur de pierre » vous laisse un arrière-goût de « déjà lu » !
Recettes éprouvées...
Critique de Tanneguy (Paris, Inscrit le 21 septembre 2006, 85 ans) - 7 décembre 2009
C'est la noirceur extrême et généralisée des personnages qui m'a le plus dérouté ! La Suède contemporaine ressemble-t-elle vraiment à cela ?
Heureusement nous avons Mankell...
La série continue...
Critique de Rouchka1344 (, Inscrite le 31 août 2009, 34 ans) - 5 novembre 2009
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