La Colonie du diable de James Rollins
La Colonie du diable de James Rollins
(The devil colony)
(The devil colony)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Critiqué par Albator76, le 17 août 2014
(Inscrit le 4 août 2012, 47 ans)
Critiqué par Albator76, le 17 août 2014
(Inscrit le 4 août 2012, 47 ans)
La note :
Moyenne des notes : (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : (56 024ème position).
Visites : 3 352
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Confus
J'ai trouvé cette histoire au départ intéressante mais confuse au fur et à mesure que l'on avance
J'étais pressé d'arriver à la fin afin d'en finir au plus vite
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Les éditions
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La colonie du diable [Texte imprimé] James Rollins traduit de l'anglais (États-Unis) par Leslie Boitelle
de Rollins, James Boitelle-Tessier, Leslie (Traducteur)
Pocket / Thrillers (Paris. 1998)
ISBN : 9782266246378 ; 8,70 € ; 10/04/2014 ; 641 p. ; Poche
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Critique de Incertitudes (, Inscrit le 4 décembre 2008, 40 ans) - 13 novembre 2022
La recette habituelle chez James Rollins : beaucoup d'explications scientifiques. L'auteur s'en explique dans sa conclusion en nous livrant ses lectures pour préparer son roman. Il distrait mais amène ses lecteurs à se poser des questions, à faire le même boulot de documentation que lui.
Et puis du grand spectacle en veux-tu en voilà digne du cinoche d'action américain. Un méchant très méchant. Et français de surcroit. Ce qui ne me choque pas. Dans les aventures précédentes de la Sigma Force, on avait du russe, de l'allemand. A notre tour. Des séquences de destruction massive. Des fusillades à la pelle. Je me surprends à imaginer ce que ça donnerait sur un écran. Il devrait écrire pour le cinéma ce James Rollins.
Et puis du grand spectacle en veux-tu en voilà digne du cinoche d'action américain. Un méchant très méchant. Et français de surcroit. Ce qui ne me choque pas. Dans les aventures précédentes de la Sigma Force, on avait du russe, de l'allemand. A notre tour. Des séquences de destruction massive. Des fusillades à la pelle. Je me surprends à imaginer ce que ça donnerait sur un écran. Il devrait écrire pour le cinéma ce James Rollins.
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