Tout est bien qui finit bien une nouvelle fois

Encore une fois, ils échappent de peu à la catastrophe. Les menaces deviennent de plus en plus monstrueuses et pourtant... La Sigma Force est toujours là pour sauver les USA.

Rollins a du talent pour trois choses : créer des psychopathes ayant toujours à un moment des instants d'humanité. Ils sont persuadés de faire le bien et c'est bien là le problème.

L'autre aspect, c'est de mêler adroitement la science et la science...fiction. Tout existe déjà, tout est déjà à l'étude depuis de longues années.

Et si on est hermétique à tout ce charabia scientifique, le bougre sait toujours écrire des scènes d'action dignes d'Hollywood.

J'aurai même pu rajouter un quatrième point, ce sont les personnages. Même s'il cède à la facilité en en envoyant certains à l'autre bout du monde à chaque fois pour ne pas avoir à parler d'eux (là, c'est Seichan qui brille par son absence mais sinon en général c'est souvent Cummings), le jeune informaticien Jason prend la relève et il a du potentiel le gamin.

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  La sixième extinction [Texte imprimé] James Rollins traduit de l'anglais (États-Unis) par Leslie Boitelle-Tessier

  de Rollins, James Boitelle-Tessier, Leslie (Traducteur)
  Pocket / Presses pocket (Paris)
  ISBN : 9782266293020 ; 9,50 € ; 13/06/2019 ; 624 p. ; Poche

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