Les responsables du site auront accès aux fichiers sources pour voir les modifications de chaque fiche avec les dates.Pas sûr...
Je pense que le comportement de cette personne (en tout cas de celle qui utilise le pseudo LALIE 01 sur lecteurs.com) est encore plus inquiétant. Comme je l'ai noté dans mon post initial , la critique copiée collée de la mienne était antidatée sur ce site. Ainsi elle pourrait retourner les accusations de plagiat . Je ne sais pas comment cette manipulation est possible. Je suppose qu'on peut créer une fiche à l'avance , la compléter à minima et ensuite aller pêcher ailleurs une critique adéquate et l'insérer dans la fiche initiale.Sur lecteurs.com https://www.lecteurs.com/faq
Il faudrait vérifier si cette manipulation de dates est répétée dans d'autres exemples
"Vous pouvez donner votre avis sur un livre depuis sa fiche. Vous pouvez écrire ce que vous avez ressenti et noter le livre (système d’étoiles), le recommander (en cochant la case « C’est un coup de cœur ») ou le déconseiller (case « cœur barré »). Ces champs sont rendus publics à l’ensemble de la communauté, mais sont modifiables à tout moment par vous, depuis les fiches livres ou votre bibliothèque."
Un exemple de critique que Lalie.01 m'a entièrement "pompée" .!! Celle de BELLISSIMA de Simonette Georggio, que l'on retrouve sur Babelio et sur Lecteurs. com : Seules les 2 premières lignes et dernière sont de Lalie.01/Mélanya .
ALMA
Un roman à la première personne tiré d'une histoire vraie, celle de l'enfance et l'adolescence de son auteur Simonetta Greggio, des années 60 à 80, au sein d'une famille aimante et aimée qui a vécu auparavant les années de guerre et de fascisme, et qui va ensuite connaître d'autres périodes de violence politique : celles des Brigades rouges , des années de plomb, la corruption, l'intimidation, les assassinats dont celui d'Aldo Moro .
Le coeur de ce roman c'est la figure récurrente de « l'homme sans visage », d'un homme, un prédateur, qui a poursuivi l'auteure en 1969 alors qu'elle n'avait que 8 ans et auquel elle a réussi à échapper . Ce souvenir qui revient régulièrement la hanter, qui a jeté une « ombre infinie » sur sa vie depuis son enfance semble préfigurer les violences physiques dont elle sera plus tard la victime, de la part d'un père nourri de fascisme quand il était enfant et dont le comportement domestique reproduit l'idéologie et le mode d'action, lorsqu'il il se rend compte qu'à l'adolescence sa fille commence à échapper à son emprise et s'émanciper. Un monstre qui la roue de coups devant une mère et des frères impuissants à la secourir .
La seule issue pour elle, à vingt ans, sera de s'enfuir pour lui échapper, de quitter l'Italie pour vivre en France .
J'ai lu le roman d'un trait, en un après-midi, comme en apnée, happée par cette narration à la première personne, comme directement sortie des entrailles de la narratrice, et par l'écriture, tout en phrases-cris, brutes, courtes, sèches, simplement juxtaposées et qui claquent comme des coups de fouet.
C'est un roman à la structure éclatée,fait de multiples chapitre courts, qui se succèdent sans continuité chronologique, revenant sur ce qu'ont connu ses parents, ses grands parents, sans continuité thématique, les chapitres d'histoire politique venant s'intercaler entre ceux de l'histoire familiale . S'y mêlent aussi de nombreuses allusions à des artistes italiens, qui se sont élevés contre les politiques mises en place, tels que Pasolini, Moravia, Ornella Fallaci , Fellini .
Au final, un roman tourbillon, très riche, sous tendu par la colère mais aussi par l'amour pour un pays et pour un père qui, l'un comme l'autre n'ont pas su dompter leurs démons. Je m'y suis sentie parfois un peu perdue, sonnée, mais ce qui me reste c'est le souvenir d'un roman humainement et politiquement riche et surtout qui sonne juste, qui sonne vrai .
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Lalie.01 / MELANYA
L'écrivaine Simonetta Greggio est italienne. D'elle j'ai lu quelques livres et aujourd'hui, il est question de «Bellissima », un livre dur
" La violence, c'est le fascisme, le fascisme, c'est le père ".
Un roman à la première personne tiré d'une histoire vraie, celle de l'enfance et l'adolescence de son auteur Simonetta Greggio, des années 1960 à 1980, au sein d'une famille aimante et aimée qui a vécu auparavant les années de guerre et de fascisme, et qui va ensuite connaître d'autres périodes de violence politique : celles des Brigades rouges, des années de plomb, la corruption, l'intimidation, les assassinats dont celui d'Aldo Moro.
Le coeur de ce roman c'est la figure récurrente de « l'homme sans visage », d'un homme, un prédateur, qui a poursuivi l'auteure en 1969 alors qu'elle n'avait que 8 ans et auquel elle a réussi à échapper. Réussi ? Vraiment ?
Ce souvenir qui revient régulièrement la hanter, qui a jeté une « ombre infinie » sur sa vie depuis son enfance semble préfigurer les violences physiques dont elle sera plus tard la victime, de la part d'un père nourri de fascisme quand il était enfant et dont le comportement domestique reproduit l'idéologie et le mode d'action, lorsqu'il il se rend compte qu'à l'adolescence sa fille commence à échapper à son emprise et s'émanciper. Un monstre qui la roue de coups devant une mère et des frères impuissants à la secourir.
La seule issue pour elle, à vingt ans, sera de s'enfuir pour lui échapper, de quitter l'Italie pour vivre en France.
Cette lecture se fait comme en apnée, happée par cette narration à la première personne, comme directement sortie des entrailles de la narratrice, et par l'écriture, tout en phrases cris, brutes, courtes, sèches, simplement juxtaposées et qui claquent comme des coups de fouet.
C'est un roman à la structure éclatée, fait de multiples chapitres courts, qui se succèdent sans continuité chronologique, revenant sur ce qu'ont connu ses parents, ses grands-parents, sans continuité thématique, les chapitres d'histoire politique venant s'intercaler entre ceux de l'histoire familiale.
S'y mêlent aussi de nombreuses allusions à des artistes italiens, qui se sont élevés contre les politiques mises en place, tels que Pasolini, Moravia, Ornella Fallaci, Fellini.
Au final, un roman tourbillon, très riche - sous tendu par la colère mais aussi par l'amour pour un pays et pour un père qui, l'un comme l'autre n'ont pas su dompter leurs démons.
Je m'y suis sentie parfois un peu perdue, sonnée, mais ce qui me reste c'est le souvenir d'un roman humainement et politiquement riche et surtout qui sonne juste, qui sonne vrai dans sa douleur.
Un roman adapté lui aussi au cinéma.
ALMA
Un roman à la première personne tiré d'une histoire vraie, celle de l'enfance et l'adolescence de son auteur Simonetta Greggio, des années 60 à 80, au sein d'une famille aimante et aimée qui a vécu auparavant les années de guerre et de fascisme, et qui va ensuite connaître d'autres périodes de violence politique : celles des Brigades rouges , des années de plomb, la corruption, l'intimidation, les assassinats dont celui d'Aldo Moro .
Le coeur de ce roman c'est la figure récurrente de « l'homme sans visage », d'un homme, un prédateur, qui a poursuivi l'auteure en 1969 alors qu'elle n'avait que 8 ans et auquel elle a réussi à échapper . Ce souvenir qui revient régulièrement la hanter, qui a jeté une « ombre infinie » sur sa vie depuis son enfance semble préfigurer les violences physiques dont elle sera plus tard la victime, de la part d'un père nourri de fascisme quand il était enfant et dont le comportement domestique reproduit l'idéologie et le mode d'action, lorsqu'il il se rend compte qu'à l'adolescence sa fille commence à échapper à son emprise et s'émanciper. Un monstre qui la roue de coups devant une mère et des frères impuissants à la secourir .
La seule issue pour elle, à vingt ans, sera de s'enfuir pour lui échapper, de quitter l'Italie pour vivre en France .
J'ai lu le roman d'un trait, en un après-midi, comme en apnée, happée par cette narration à la première personne, comme directement sortie des entrailles de la narratrice, et par l'écriture, tout en phrases-cris, brutes, courtes, sèches, simplement juxtaposées et qui claquent comme des coups de fouet.
C'est un roman à la structure éclatée,fait de multiples chapitre courts, qui se succèdent sans continuité chronologique, revenant sur ce qu'ont connu ses parents, ses grands parents, sans continuité thématique, les chapitres d'histoire politique venant s'intercaler entre ceux de l'histoire familiale . S'y mêlent aussi de nombreuses allusions à des artistes italiens, qui se sont élevés contre les politiques mises en place, tels que Pasolini, Moravia, Ornella Fallaci , Fellini .
Au final, un roman tourbillon, très riche, sous tendu par la colère mais aussi par l'amour pour un pays et pour un père qui, l'un comme l'autre n'ont pas su dompter leurs démons. Je m'y suis sentie parfois un peu perdue, sonnée, mais ce qui me reste c'est le souvenir d'un roman humainement et politiquement riche et surtout qui sonne juste, qui sonne vrai .
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Lalie.01 / MELANYA
L'écrivaine Simonetta Greggio est italienne. D'elle j'ai lu quelques livres et aujourd'hui, il est question de «Bellissima », un livre dur
" La violence, c'est le fascisme, le fascisme, c'est le père ".
Un roman à la première personne tiré d'une histoire vraie, celle de l'enfance et l'adolescence de son auteur Simonetta Greggio, des années 1960 à 1980, au sein d'une famille aimante et aimée qui a vécu auparavant les années de guerre et de fascisme, et qui va ensuite connaître d'autres périodes de violence politique : celles des Brigades rouges, des années de plomb, la corruption, l'intimidation, les assassinats dont celui d'Aldo Moro.
Le coeur de ce roman c'est la figure récurrente de « l'homme sans visage », d'un homme, un prédateur, qui a poursuivi l'auteure en 1969 alors qu'elle n'avait que 8 ans et auquel elle a réussi à échapper. Réussi ? Vraiment ?
Ce souvenir qui revient régulièrement la hanter, qui a jeté une « ombre infinie » sur sa vie depuis son enfance semble préfigurer les violences physiques dont elle sera plus tard la victime, de la part d'un père nourri de fascisme quand il était enfant et dont le comportement domestique reproduit l'idéologie et le mode d'action, lorsqu'il il se rend compte qu'à l'adolescence sa fille commence à échapper à son emprise et s'émanciper. Un monstre qui la roue de coups devant une mère et des frères impuissants à la secourir.
La seule issue pour elle, à vingt ans, sera de s'enfuir pour lui échapper, de quitter l'Italie pour vivre en France.
Cette lecture se fait comme en apnée, happée par cette narration à la première personne, comme directement sortie des entrailles de la narratrice, et par l'écriture, tout en phrases cris, brutes, courtes, sèches, simplement juxtaposées et qui claquent comme des coups de fouet.
C'est un roman à la structure éclatée, fait de multiples chapitres courts, qui se succèdent sans continuité chronologique, revenant sur ce qu'ont connu ses parents, ses grands-parents, sans continuité thématique, les chapitres d'histoire politique venant s'intercaler entre ceux de l'histoire familiale.
S'y mêlent aussi de nombreuses allusions à des artistes italiens, qui se sont élevés contre les politiques mises en place, tels que Pasolini, Moravia, Ornella Fallaci, Fellini.
Au final, un roman tourbillon, très riche - sous tendu par la colère mais aussi par l'amour pour un pays et pour un père qui, l'un comme l'autre n'ont pas su dompter leurs démons.
Je m'y suis sentie parfois un peu perdue, sonnée, mais ce qui me reste c'est le souvenir d'un roman humainement et politiquement riche et surtout qui sonne juste, qui sonne vrai dans sa douleur.
Un roman adapté lui aussi au cinéma.
Alma, sur Babelio, les critiques litigieuses de Bellissima et La treizième heure ont été supprimées.
Je n'ai encore rien demandé (pas eu le temps ...) à lecteurs.com
Je n'ai encore rien demandé (pas eu le temps ...) à lecteurs.com
LALIE.01 a disparu de lecteurs.com
Ludmilla, Babelio a aussi supprimé les 2 autres critiques litigieuses , celle de CONNEMARA et celle de LES CAVALIERS
Alma
Alma
Un exemple de critique que Lalie.01 m'a entièrement "pompée" .!! Celle de BELLISSIMA de Simonette Georggio, que l'on retrouve sur Babelio et sur Lecteurs. com : Seules les 2 premières lignes et dernière sont de Lalie.01/Mélanya .
ALMA
S'y mêlent aussi de nombreuses allusions à des artistes italiens, qui se sont élevés contre les politiques mises en place, tels que Pasolini, Moravia, Ornella Fallaci , Fellini .
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Lalie.01 / MELANYA
S'y mêlent aussi de nombreuses allusions à des artistes italiens, qui se sont élevés contre les politiques mises en place, tels que Pasolini, Moravia, Ornella Fallaci, Fellini.
C'est tellement "pompé", qu'elle a même recopié la petite faute qui s'était glissée dans la critique originale d'ALMA!
C'est ça le risque, quand on "pompe" !!
C'est ça le risque, quand on "pompe" !!
Euh... Oui! ;~DD))))
Ludmilla,
J'ai encore trouvé cela :
"L'homme est un grand faisan sur terre" d'Herta MÜLLER
Critiqué par Septularisen, le 3 novembre 2009
et la même par copié/collé quasiment intégral de ma critique par
MELANYA le 19 octobre 2022.
Et a cela tu peux encore rajouter (certaines des critiques ont peut-être déjà été signalées?..) :
Rites d'automne de Dan O'Brien ( The rites of autumn)
Critiqué par Heyrike, le 30 octobre 2008
Et la même par MELANYA critique du 26/10/2022.
Paradis de Abdulrazak Gurnah (Paradise)
Critiqué par Saint Jean-Baptiste, le 7 janvier 2022
Et la même par MELANYA critique du 09/10/2022
A l'ouest rien de nouveau de Erich Maria Remarque
(Im Westen nichts Neues)
Critiqué par Jules, le 22 novembre 2001
Et la même par MELANYA le 26/09/2022
La mort à Venise de Thomas Mann
( Der Tod in Venedig)
Critiqué par Monito, le 2 juillet 2004
Et la même par MELANYA le 25/09/2022
Batouala de René Maran
Critiqué par Bookivore, le 8 août 2021
Et la même par MELANYA le 24/09/2022
Je m'en vais de Jean Echenoz
Critiqué par Jules, le 10 janvier 2001
Et la même par MELANYA le 10/09/2022
Il y en a sans doute beaucoup, beaucoup d'autres...
Celles que j'ai signalées dans les 2 premières requêtes ont été supprimées mais ce n'est pas le cas de la 3ème (j'avais joint un tableau, c'est peut-être l'explication
Et donc la critique de Zouleikha est encore là :-5
Il y a une nouvelle critique de "Les furtifs" mais ce n'est pas un clone de celle de nav33
Bon ben je vais faire une longue nouvelle requête :-((
Et donc la critique de Zouleikha est encore là :-5
Il y a une nouvelle critique de "Les furtifs" mais ce n'est pas un clone de celle de nav33
Bon ben je vais faire une longue nouvelle requête :-((
Cela n'aura été hélas qu'un bref retrait tactique;-(
Je n'ai fait qu'un bref passage juste pour me rendre compte que par exemple "Les cavaliers" de Kessel sont réapparus aussi. Est-ce Babelio ou elle ? ( 4 critiques de plus depuis la disparition éphémère de sa bibliothèque probablement parmi celles qui avaient été effacées )
Je crois qu'il faut inciter Babelio à plus de réactivité vis à vis de cette personne;
On ne peut à ce stade baisser les bras.
Elle est même réapparue dans les meilleurs auteurs de critiques. Un comble !
Je n'ai fait qu'un bref passage juste pour me rendre compte que par exemple "Les cavaliers" de Kessel sont réapparus aussi. Est-ce Babelio ou elle ? ( 4 critiques de plus depuis la disparition éphémère de sa bibliothèque probablement parmi celles qui avaient été effacées )
Je crois qu'il faut inciter Babelio à plus de réactivité vis à vis de cette personne;
On ne peut à ce stade baisser les bras.
Elle est même réapparue dans les meilleurs auteurs de critiques. Un comble !
"Bellissima" et "La dernière frontière" aussi !!!
Myrco, j'avais joint ma 3ème liste en fichier joint
Visiblement il faut tout mettre dans le corps du mail pour babelio
Je vais reprendre la liste en vérifiant tout
J'en ai pour quelques heures :-(
Visiblement il faut tout mettre dans le corps du mail pour babelio
Je vais reprendre la liste en vérifiant tout
J'en ai pour quelques heures :-(
@Myrco
Elle est même réapparue dans les meilleurs auteurs de critiques. Un comble !
Pas étonnant si elle vient pomper ses critiques sur CL. ;-))
En ce qui concerne les 4 critiques qu'elle m'avait "pompées", toutes sont réapparues sur Babélio, après avoir été supprimées vendredi !!!
Elle est comme le sparadrap du capitaine Haddock, Impossible de s'en débarrasser !....
Alma
Elle est comme le sparadrap du capitaine Haddock, Impossible de s'en débarrasser !....
Alma
"Elle est comme le sparadrap du capitaine Haddock, Impossible de s'en débarrasser !...."
Merci pour cette allusion hergéenne !!!
Merci pour cette allusion hergéenne !!!
Quand même...il existe des sites où un copieur, faussaire ou autre truand se fair bannir sur le champ, dès que la supercherie a été signalée. La dite MELANYA doit bien pouvoir être "scrutée" informatiquement, via un hacker disponible, non ?
Quand même...il existe des sites où un copieur, faussaire ou autre truand se fair bannir sur le champ, dès que la supercherie a été signalée. La dite MELANYA doit bien pouvoir être "scrutée" informatiquement, via un hacker disponible, non ?Tu as un hacker sous la main, Radetsky?
Quand même...il existe des sites où un copieur, faussaire ou autre truand se fair bannir sur le champ, dès que la supercherie a été signalée. La dite MELANYA doit bien pouvoir être "scrutée" informatiquement, via un hacker disponible, non ?
Tu as un hacker sous la main, Radetsky?
Il y en a peut-être deux...que je connais et toi aussi ! Mais j'admets que c'est risqué ;-)
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