La nuit de l'oracle de Paul Auster
( Oracle night)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Moyenne des notes : (basée sur 31 avis)
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L'imagination et la réalité
Un nouveau livre de Paul Auster ne se met pas sous une pile d’ouvrages qui attendent d’être lus. En faire un résumé ne suppose pas trop de difficultés dans la mesure où l’on se limite à l’essentiel.
Sidney Orr est un jeune écrivain d’une bonne trentaine d’années. Il sort d’un choc physique qui l’a laissé entre la vie et la mort pendant des mois. Enfin il quitte l’hôpital et retrouve sa femme, Grace, dont il est éperdument amoureux. S’il est guéri, il n’en est pas moins très faible. Un matin, une de ses promenades dans le quartier le fait passer devant la vitrine d’une papeterie. N’ayant pas écrit une seule ligne depuis des mois, il entre et achète ce qu’il lui faut pour tenter d’écrire à nouveau. Il tombe sur un carnet portugais qui l’attire terriblement. Celui-ci a un format qui lui plaît et sa couleur bleue l’attire. Il l’achète donc après avoir fait une causette avec le propriétaire du magasin, un chinois répondant au nom de Chang.
Rentré chez lui, il prend sa plume et, sans beaucoup d’espoir, entame la première page du cahier. Elle court sur le papier et il ne s’arrêtera que plusieurs heures plus tard, ne s’étant même pas rendu compte que sa femme était déjà rentrée du bureau depuis un bon moment. L’inspiration est là et ce qu’il a écrit lui semble bon…
Bien plus tard, il va se poser de très nombreuses questions quant à ce carnet bleu !
Ce livre nous réserve de très nombreuses surprises et rien ne permet de nous rendre compte où Auster va mener Sidney et Grace ainsi que leur ami John Trauser, grand écrivain américain nettement plus âgé qu’eux.
Par contre, le travail d’écriture que Sydney a réalisé dans son carnet bleu portugais nous instruit très fort quant à la manière dont une histoire peut se construire. Elle est si passionnante que l’on voudrait à tout prix en connaître la suite.
Mais la grande question n’est pas là ! L’essentiel réside dans le fait de savoir si le travail de l’écrivain n’est pas une anticipation de la réalité, un futur qui arrivera, plutôt que la simple construction d’une fiction. Et Auster fait dire à John Trauser : « Les pensées sont réelles, disait-il. Les mots sont réels. Tout ce qui est humain est réel et parfois nous savons certaines choses avant qu’elles ne se produisent, même si nous n’en avons pas conscience. Nous vivons dans le présent, mais l’avenir est en nous à tout moment. Peut-être est-ce pour cela qu’on écrit, Sid. Pas pour rapporter les événements du passé, mais pour en provoquer dans l’avenir. »
Un petit reproche quand-même : aux environs des deux tiers du livre, j’ai eu le sentiment qu’Auster se perdait un peu dans des digressions qui affaiblissaient le roman. Cela m’a d’autant plus étonné que jusque là tout était si dense et si compact. Et voilà que je commençais à craindre pour la suite… Heureusement, cela ne dure pas et l’on retrouve vite la densité des pages précédentes.
Ne vous laissez pas décourager par les nombreux textes situés en bas de pages. Ils sont intéressants et nécessaires au développement du récit.
Donc, un nouveau bon livre de cet auteur si particulier qu’est Paul Auster.
Les éditions
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La nuit de l'oracle [Texte imprimé], roman Paul Auster trad. de l'américain par Christine Le Boeuf
de Auster, Paul Le Bœuf, Christine (Traducteur)
Actes Sud / Lettres anglo-américaines (Arles)
ISBN : 9782742747955 ; 10,95 € ; 01/04/2004 ; 220 p. ; Broché -
La nuit de l'oracle [Texte imprimé], roman Paul Auster traduit de l'américain par Christine Le Boeuf
de Auster, Paul Le Bœuf, Christine (Traducteur)
Actes Sud / Babel (Arles)
ISBN : 9782742758333 ; EUR 7,50 ; 30/12/2005 ; 236 p. ; Poche -
La nuit de l'oracle [Texte imprimé], roman Paul Auster traduit de l'américain par Christine Le Boeuf
de Auster, Paul Le Bœuf, Christine (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253111238 ; 1,77 € ; 17/10/2007 ; 281 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (30)
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Rationnel et irrationnel , rigueur et fantaisie
Critique de Nav33 (, Inscrit le 17 octobre 2009, 76 ans) - 7 juin 2024
La nuit de l'oracle est un travail d’orfèvre. Cependant , j'ai eu plus de plaisir à mes deux précédentes lectures de Paul Auster , « Mr Vertigo » et surtout « La musique du hasard »
1947
Critique de Ardeo (Flémalle, Inscrit le 29 juin 2012, 77 ans) - 9 avril 2018
Dernier point pour celles et ceux qui zappent les notes de bas de pages : attention, ces notes font avancer l’action et vous risquez de vous perdre en chemin !
Paul Auster est né en 1947, moi aussi ! Aucune importance.
Entre fantastique et (dure) réalité
Critique de Romur (Viroflay, Inscrit le 9 février 2008, 51 ans) - 6 novembre 2017
Son petit roman raconte les aventures d'un éditeur qui vient de recevoir un nouveau roman à publier (La nuit de l'oracle) quand il décide de tout plaquer et de changer de vie... Je m'attendais à ce que Paul Auster joue autour de cette mise en abîme du roman dans le roman dans le roman.
Mais les soucis financiers, conjugaux et la violence du New York des années 80 prennent le dessus et Sidney doit faire face aux coups qui menacent son amitié et son couple, comme si, mi-prophétie, mi-malédiction, les écrits du cahier bleu contaminaient son existence.
Soit. Mais le changement d'axe m'a un peu perturbé, puis on ne sait plus trop où Paul Auster veut aller. Trop de portes ouvertes et non refermées (sauf celle qui coince Nick). Il a évoqué avec plus de force le bitume new-yorkais et navigué avec plus de maîtrise entre imaginaire et réalité dans Brooklyn Follies ou La cité de Cristal.
Quand même
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 19 août 2014
Un livre poignant.
Brillant
Critique de Skinny (, Inscrite le 13 mai 2014, 39 ans) - 14 mai 2014
Attention roman captivant !
Critique de Le_squasheur (Paris, Inscrit le 16 décembre 2011, 49 ans) - 15 juin 2013
Enervant ? Oui et non. Car le thème du roman c’est justement d’analyser d’où vient l’inspiration, et quelle interaction il existe entre l’imaginaire de l’écrivain et sa vie réelle. Tout l’influence : il y a de multiples histoires dans l’histoire, des personnages qui surgissent de partout (mention spéciale au chinois Cheng et à la vénéneuse Martine), plein de fausses pistes, mais pourtant on s’y retrouve car c’est construit, et écrit, de main de maître. C’est bien simple, j’avais l’impression d’être dans la peau et la tête de l’écrivain en train de chercher l’inspiration mais en train de vivre aussi. Comment il attrape une idée, comment il la développe, comment il la perd ou se retrouve dans une impasse et même comment les idées qu’il brasse peuvent influencer sa vie réelle : tout est montré dans ce bouquin.
Mention spéciale à cette idée géniale des notes de bas de page qui te font sortir du récit et créent une distanciation, un effet de recul, qui donne une dimension supplémentaire au récit. Il y a l’histoire, les histoires dans l’histoire et le commentaire sur l’histoire ! Trop fort.
3,5 étoiles!
Critique de Js75 (, Inscrit le 14 septembre 2009, 41 ans) - 20 septembre 2010
Pas vraiment captivant
Critique de Laurent63 (AMBERT, Inscrit le 15 avril 2005, 50 ans) - 27 décembre 2009
troublant
Critique de Madame Charlotte (Argelès sur mer, Inscrite le 30 octobre 2008, 48 ans) - 19 janvier 2009
Moyen
Critique de Anonyme7 (, Inscrite le 14 avril 2004, 39 ans) - 11 septembre 2008
L'oracle a vu juste : un génie est à l'oeuvre.
Critique de Module (, Inscrit le 5 janvier 2008, 51 ans) - 6 septembre 2008
Ah ! pour ce qui est de l'histoire... je vous renvoie à Jules, son intervention est comme à l'accoutumée, fort à propos et suffisamment explicite pour que je ne m'entiche pas d'y ajouter la moindre note inutile.
Encore un grand texte!!!!!!!!
La petite musique
Critique de Hereith (, Inscrit le 1 février 2008, 42 ans) - 8 juillet 2008
Premier défaut : le récit principal avec ses personnages inintéressants. Au début ça louche du côté du roman à l'eau de rose et à la fin du côté du mélo (fin bâclée d'ailleurs, comme dans La Musique du hasard).
Deuxième défaut : l'artificialité des récits secondaires. Le remake de La Machine à remonter le temps est franchement ridicule. Quand on voit en plus comment est traité le livre original et HG Wells on a du mal à ne pas s'énerver Paul Auster ou pas.
Troisième défaut : le resuçée d'éléments déjà présents dans ses autres livres (Paper Palace cf Moon Palace,le jeu sur les couleurs cf Revenants, l'histoire glauque de came cf Smoke ou Brooklyn Boogie, les carnets cf Le Carnet Rouge...). Etre autoréférentiel ça peut-être intéressant mais trop c'est trop.
Il y a pourtant de bonnes idées dans ce livre (Ed Victory notamment), des moments sympathiques (la découverte de la papeterie), on reconnait la petite musique...mais justement il n'y a que la petite musique et la petite musique ça n'a jamais fait un grand livre.
Préférer : La Trilogie New-Yorkaise, Moon Palace, Le Livre des Illusions.
merveilleux
Critique de Titom (, Inscrit le 8 juillet 2008, 55 ans) - 8 juillet 2008
Le seul livre que je me propose de relire.
Miroirs sur miroirs
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 21 juin 2006
L’histoire est celle d’un écrivain qui ressort d’un accident et qui tente vainement de se remettre à écrire, mais l’inspiration lui fait défaut. Un jour, il entre dans une petite boutique et achète un petit carnet bleu, il se met à écrire et… l’inspiration lui revient. Oui mais, qu’écrit-il ? Le passé, le présent, le futur ? Réalité ou fiction ? Si Sidney se pose ce genre de question, c’est qu’il y a d’étranges événements qui se coupent et se recoupent par rapport à l’histoire qu’il crée de ses propres mains. Il se décide à en parler à un de ses amis / mentors, John Trause, et… cela se complique car il reçoit alors une confirmation plus ou moins claire de l’aspect « étrange » du carnet bleu dans le sens où son ami est passé par les mêmes carnets !
Nous assistons alors à l’influence grandissante de trois histoires en parallèle, les unes sur les autres, représentées par le passé – l’histoire vraie, le présent – l’écriture dans le carnet et le futur – la réalisation ou l’influence du présent écrit sur l’histoire vraie ! Cercle parfait, Auster / Stanley peut rester ad vitam aeternam dans cette spirale ! Oui mais ! Oui mais, la magie a toujours un prix et c’est par ce prix que le cercle sera brisé et que Stanley retrouvera une vie « normale ».
Grand fan d’Auster devant l’éternel, je ne peux évidemment le comparer qu’à lui-même puisque aucun n’écrit aussi bien que lui ! Et donc, par rapport à ses autres romans, je placerais celui-ci dans la moyenne supérieure de ses œuvres de par l’ambiance créée et de par la limite, ma foi fort peu tangible, entre le réel et le « surréel ».
Totalement captivant
Critique de Alphabétix (, Inscrit(e) le 16 mars 2006, - ans) - 25 avril 2006
entre fiction et réalité
Critique de Nana31 (toulouse, Inscrite le 29 janvier 2006, 55 ans) - 9 mars 2006
le récit est captivant, pour moi c'est un très bon roman de l'auteur pourvu d'imagination créative.
On ne sait pas toujours où il va
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 31 janvier 2006
2ème déception lorsque je n'ai pas compris le sens de ce carnet ; un sens un peu prémonitoire mais j'ai vraiment trouvé ça " trop " disons too much ...Lorsqu'il redige le "soap amoureux de sa femme on se demande si c'est la réalité ou son imagination ...Je n'ai pas compris où Paul auster a voulu nous mener , je ne trouve rien dans cette histoire , je ne vois pas de distinction entre le début et la fin ...J'espère que les autres seront mieux ....
Moyen
Critique de Zondine (, Inscrite le 24 septembre 2005, 56 ans) - 25 janvier 2006
Mine d'Orr pour carnet bleu
Critique de Nothingman (Marche-en- Famenne, Inscrit le 21 août 2002, 44 ans) - 7 janvier 2006
Auster propose un vrai jeu de pistes, labyrinthique, dans lequel le lecteur échafaude des hypothèses et fait des liens entre tous les personnages. Bref un roman qui demande un peu d'implication. Seul petit reproche, j'ai senti un peu vite le dénouement final mais ça ne reste que personnel. Un des meilleurs romans de Paul Auster en tous les cas !
Perdu
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 4 juin 2005
Mésaventures d'un écrivain à New York
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 30 mai 2005
Un très bon Paul Auster que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire. Les personnages sont très attachants, surtout le narrateur et bien que l'histoire soit un peu échevelée, c'est agréable et divertissant. L'écriture est claire et me rappelle un peu l'écriture de Nancy Huston. C'est le même style direct et envoutant qui vous fait entrer dans le récit comme si vous en étiez un des personnages. Par contre, les notes de bas de page très longues m'ont un peu agacée et l'histoire de l'éditeur enfermé dans la pièce souterraine, j'aurais aimé qu'il la finisse. J'étais impatiente de connaître le moyen d'évasion qu'il aurait employé mais bon... ce n'est pas très grave finalement.
Décidément, un très bon écrivain que ce Paul Auster.
Fondu enchaîné
Critique de Saint-Germain-des-Prés (Liernu, Inscrite le 1 avril 2001, 56 ans) - 24 janvier 2005
Paul Auster, en bon funambule, sait comment garder son public en haleine. Lorsque les couleurs (ici, le bleu) sont des guides comme les petits cailloux d’Hansel et Gretel, lorsque réel et fiction sont mêlés malicieusement, lorsque l’objet devient sujet, lorsque la trame de la vie se fond et se confond dans les méandres de la création littéraire, nous sommes en face du Paul Auster de toujours, celui qui nous fait rêver les yeux bien ouverts, celui qui nous en met plein la vue, qui nous éblouit, qui nous fait vaciller.
Après tout cela, comment pourrais-je lui reprocher les minuscules maladresses de ce dernier livre ?
Décorticage
Critique de Saint Jean-Baptiste (Ottignies, Inscrit le 23 juillet 2003, 88 ans) - 18 novembre 2004
Sa "Nuit de l'Oracle" raconte une histoire très curieuse où l'on voit des personnages réels qui racontent l'histoire de personnages fictifs qui écrivent des romans où sont créés d'autres personnages et ces histoires s'entremêlent assez curieusement. C'est très spécial. Le lecteur est tour à tour intrigué, bercé, séduit par ce récit comme par une petite musique à la fois allègre et nostalgique, parfois irréelle et parfois très réaliste.
J'ai beaucoup aimé la manière dont l'auteur nous raconte sa hantise d'écrivain devant la feuille blanche et sa fascination devant le surgissement du passé dans le présent et du présent dans le futur Et puis la puissance des mots : "Les mots peuvent altérer la réalité et par conséquent ils sont trop dangereux pour être confiés à un homme qui les aime par-dessus tout".
Dans tout son récit, l'auteur fait preuve d'une très fine psychologie, de beaucoup d'humanité et sa description du New York au quotidien est très attrayante, mais je reste un peu sur ma faim quand-même ; oserais-je le dire, selon moi, ce n'est pas un "grand" livre. C'est un récit bien écrit, finement raconté, mais, après lecture des critiques et critiques éclairs, je dois dire que je m'attendais à mieux quand-même.
Et croyez le bien, je ne dis pas ça, parce que moi, je ne l'ai pas vu !
Labyrinthe de verre
Critique de Bluewitch (Charleroi, Inscrite le 20 février 2001, 45 ans) - 12 novembre 2004
Une perception déroutée, où les repères ne se créent qu'au compte-gouttes, où les limites de la réalité sont tremblantes et fines, tout en gardant un pied ancré dans ce qui fait de cette réalité un palpable quotidien.
Délectable.
Jeux de miroirs
Critique de Saule (Bruxelles, Inscrit le 13 avril 2001, 59 ans) - 2 juillet 2004
J'ai bien aimé ce livre : il y a du rythme, des surprises, j'apprécie l'imagination débordante de l'auteur, par exemple quand il invente un scénario sur le thème de la machine a voyager dans le temps c'est vraiment brillant. L'histoire de l'homme qui décide de changer de vie sur un coup de tête peut paraître éculée mais ce n'est qu'une des facettes de ce roman. En fait ce roman touche a beaucoup de choses, a tel point qu'en le fermant on ne sait plus trop de quoi il s'agissait.
En ce qui concerne les rapports entre la réalité et la fiction, c'est une question intéressante mais peut-être Auster la pose-t-il à l'envers. Le futur n'est-il pas souvent pressenti de manière non consciente, ce qui peut s'exprimer dans les rêves ou dans l'écriture ? Je pense aussi à Don delillo qui avait écrit un livre sur un attentat terroriste sur les tours du WTC bien avant le 11 septembre fatidique.
Mouaif
Critique de Zz (, Inscrit le 19 mai 2004, 47 ans) - 3 juin 2004
Par contre, l'ambiance dégagée est digne d'un Mr Vertigo ou autre Paul Auster. On navigue entre réel et irréel ... J'adore.
En bref, je reste assez mitigé mais je préfère quand même à Tombouctou (que je n'avais pas du tout aimé).
Zz
l'amour de l'écriture
Critique de Candy2004 (, Inscrite le 22 février 2004, 45 ans) - 10 mai 2004
« Petites » contrariétés.
Critique de Ocenebres (Liège, Inscrit le 12 avril 2004, 67 ans) - 25 avril 2004
la liberté du romancier
Critique de Sottovoce (Bruxelles, Inscrit(e) le 19 février 2004, - ans) - 20 avril 2004
Vivement le prochain!
une leçon d'écriture
Critique de Hambraine (Fosses La Ville, Inscrit le 18 mars 2004, 73 ans) - 8 avril 2004
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