Murena, tome 4 : Ceux qui vont mourir... de Jean Dufaux (Scénario), Philippe Delaby (Dessin)
Catégorie(s) : Bande dessinée => Aventures, policiers et thrillers
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Fin du premier cycle
Nous sommes dans le dernier acte, la dernière scène du combat à distance entre la mère et le fils, c'est-à-dire entre Agrippine et Néron. Ces deux semblent prêt à tout pour être aux commandes de l'empire (on parlerait aujourd'hui de terreur ou de harcèlement moral !). Telle une partie d'échec, chacun avance ses pions. Les deux rivalisent d'ingéniosité. L'idée qui nous plaît à nous lecteur, est ce combat de gladiateurs qui sert de pièce maîtresse dans l'échiquier. Vers qui penchera la balance ?
Cet album est un régal, les chemins de plusieurs personnages que nous commençons à bien connaître se croisent, donnant lieu à de beaux moments de suspens. Nous clôturons ainsi de belle manière ce premier cycle dit "Agrippina". Avant sa fin, elle passera le "témoin" à la belle Poppea Sabina, pour un nouveau cycle que nous espérons aussi fort.
Les éditions
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Ceux qui vont mourir [Texte imprimé] Dufaux [dessins de] Delaby...
de Delaby, Philippe (Illustrateur) Dufaux, Jean (Scénariste)
Dargaud
ISBN : 9782871294573 ; 12,00 € ; 14/09/2002 ; 48 p. ; Cartonné
Les livres liés
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Sang pour sang péplum
Critique de Blue Boy (Saint-Denis, Inscrit le 28 janvier 2008, - ans) - 5 octobre 2013
J’ai été enchanté par cette saga antique au scénario efficace et au dessin plaisant, où l’Histoire se mêle subtilement à la fiction. Il faut insister sur le sérieux du projet, qui a bénéficié des conseils des spécialistes de la Rome antique. Cet épisode est même préfacé par un chercheur au King’s college, Michael Green, qui n’est pas avare d’éloges : « Oui, j’admire Murena, en tant qu’historien, car la série fera connaître l’Antiquité romaine, plus vite et sans doute mieux que tous les livres d’histoire – y compris ceux que j’ai commis. Murena va clore le bec à tous ces écrivains stipendiés de Rome, qui n’avaient pas leur pareil pour salir la mémoire de ceux dont ils traçaient la biographie… en oubliant de préciser que le commanditaire du texte était souvent l’assassin qui avait pris illégitimement la place de son prédécesseur. » A méditer…
Fin d'un cycle.
Critique de Hexagone (, Inscrit le 22 juillet 2006, 53 ans) - 8 décembre 2010
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