Ça aurait pu être la finale

« - Mon rêve, c’est que toi et moi protégions cette planète pour que chacun y vive heureux.
- C’est le mien aussi. »

Hélios se sacrifie pour aider ses amis. Aussi, Manoru et Bunny sont rongés de l’intérieur par les forces du mal. Les justicières s’unissent pour trouver le cristal d’or pour sauver Élusion, la terre sacrée au centre de la Terre, et affronter leur ennemi dans un combat final.

J’ai aimé en apprendre plus sur la vie antérieur de Bunny et aussi l’histoire de Nérénia (elle aurait les mêmes origines que la mère de Bunny, reine Sérénité, Nérénia se voit aussi comme reine de la Lune, mais maléfique). C’est mon tome favori du quatrième cycle, la finale, mais ça s’essouffle. On pourrait très bien conclure la série sur celui-ci, mais il reste un dernier cycle (3 livres)... Aussi, pour une série adressée aux enfants, aux adolescentes, je n’ai pas aimé l’utilisation des mots comme « garce » et « salope », j’ai trouvé ça déplacé. À la fin du livre, comment souvent, on retrouve une petite historiette comique mettant en vedette Mini Bunny qui a une carie.

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  La reine Nérénia [Texte imprimé] Naoko Takeuchi [trad. par Anne Mallevay]

  de Takeuchi, Naoko (Scénariste) Mallevay, Anne (Traducteur)
  Glénat / Collection Manga (Grenoble).
  ISBN : 9782723423021 ; 28,28 € ; 26/11/1997 ; 190 p. ; Broché

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