Chroniques de San Francisco, tome 1 de Armistead Maupin
( Tales of the city)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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Une saga hilarante de la fin des seventies
La sortie en livre de poche des Chroniques de San Francisco nous permet de découvrir ou de re-découvrir cette saga pittoresque et hilarante.
Avec Mary Ann Singelton, fraîchement arrivée de son Cleveland natal, nous nous installons au 28 Barbary Lane, petit immeuble caractéristique de San Francisco et rempli de locataires célibataires et typiques de la fin des seventies. Leur logeuse, Madame Madrigal, originale et sympathique matriarche, va permettre à cette petite famille réunie presque par hasard de trouver un havre, sinon de paix, au moins de solidarité. À travers ses chroniques, Armistead Maupin nous croque le San Francisco de la libération sexuelle avec un humour et une légèreté parfaitement maîtrisés. Le rythme est trépidant, les aventures s'enchaînent, l'amitié est toujours présente. À recommander absolument.
Les éditions
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Chroniques de San Francisco [Texte imprimé] par Armistead Maupin trad. de l'américain par Olivier Weber et Tristan Duverne
de Maupin, Armistead Weber, Olivier (Traducteur) Duverne, Tristan (Traducteur)
10-18 / Domaine étranger
ISBN : 9782264029959 ; 8,10 € ; 03/03/2000 ; 381 p. ; Poche -
Chroniques de San Francisco [Texte imprimé] Armistead Maupin trad. de l'américain par Olivier Weber...
de Maupin, Armistead Weber, Olivier (Traducteur)
Passage du Marais
ISBN : 9782840750154 ; 4,03 € ; 19/05/1998 ; 311 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (31)
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Une lecture sympathique
Critique de Sundernono (Nice, Inscrit le 21 février 2011, 41 ans) - 7 janvier 2021
On parcourt ce roman comme l’on suivrait une série télévisée, une sorte de Friends mais à la sauce San Francisco, soit une communauté gay assez prégnante apportant une touche édulcorée qui sort des trames amoureuses habituelles.
J’ai aimé l’atmosphère vivante et légèrement décalée. Il se dégage une bonne humeur, même si quelques faits viendront ternir quelque peu l’histoire générale, bref on ressent cette insouciance propre à cette période du début des années 80 et cela fait du bien.
Un premier tome agréable et distractif
La tribu enchantée
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 1 août 2016
L'auteur a choisi une structure de courts passages qui sautent d'un personnage à l'autre avec une logique très particulière.
Pour le second tome je noterai le nom des protagonistes pour m'aider à m'y retrouver.
Des passages bourrés d'humour truffent agréablement la vie du 28 Barbary Lane, le repaire de la tribu enchantée.
Avez-vous eu un pétard sur la porte?
Critique de Lilule (baalon, Inscrite le 24 février 2006, 51 ans) - 15 mai 2016
Que sont mes amis devenus
Critique de Débézed (Besançon, Inscrit le 10 février 2008, 77 ans) - 12 janvier 2015
L’histoire commence en 1976 quand Mary Ann, jeune femme de vingt-cinq ans, arrive à San Francisco en provenance de Cleveland pour trouver un job de secrétaire et mettre une certaine distance entre elle et sa famille un peu trop possessive. Elle découvre un monde à l’opposé ce celui qu’elle a quitté, un monde factice où tout semble facile mais ne l’est pas, un monde où les apparences sont primordiales pour exister et faire fortune car il est bien difficile d’exister à San Francisco sans une certaine fortune. Elle s’installe au 28 de Barbary Lane, là où vit une communauté qui n’a pas fait fortune et essaie de trouver une certaine raison d’exister.
A travers les aventures des personnages de cette petite communauté et les avatars de la richissime famille Halcyon dont les membres croisent souvent les moins bien lotis de Barbary Lane, Maupin, comme une de ces pipelettes qui font et défont les réputations à Los Angeles, raconte malicieusement la vie artificielle de San Francisco après la déferlante hippie quand le sexe était devenu une activité banale et n’était même plus un réel plaisir, quand la drogue était le refuge pour fuir toutes les angoisses, tuer l’ennui et vaincre la solitude, la drogue qui réunit aussi bien les riches que les pauvres dans l’artificialité de la vie éphémère qu’elle génère. Seul le soleil brillait pour tous sans jamais apporter de vraies solutions aux états d’âmes de cette population à la recherche comme Mona d’un « endroit pour se repositionner ? … Un peu de thérapie féministe, de bioénergétique, d’herbologie et de volley-ball transcendantal… » N’importe quel artifice inventé par les faiseurs d’argent pour satisfaire cette population désœuvrée et désenchantée.
L’auteur a construit son texte uniquement sur des dialogues, souvent percutants, où les répliques ironiques, pleines de dérision, fusent comme des balles de golf pour décrire la Californie qui nous faisait encore rêver sur les mélodies des chansons de Joan Baez et de bien d’autres dans un joyeux mélange que nous en savions, à cette époque là, pas bien démêler. Cette population que nous croyions heureuse et frivole était en fait fragile et, malgré une grande liberté sexuelle, elle avait des états d’âmes de midinettes fleur bleue « la recherche d’une solution zen à ses problèmes existentiels, ou bien de nouveau à la dérive dans les tourbillons décadents de la vie citadine ». Le sexe et la drogue faisaient partie du quotidien comme les peines de cœur et d‘argent. « Mais personne n’est heureux. Et puis qu’est-ce qu’être heureux ? Puisque le bonheur s’arrête dès qu’on rallume la lumière ».
Quelle déception...
Critique de Araknyl (Fontenay sous Bois, Inscrit le 5 mai 2006, 54 ans) - 13 février 2013
"Ca va à toute vitesse, avec la profondeur d'un roman d'analyse et la légèreté d'un sitcom" commente Madame Figaro au dos du bouquin...
Je proposerais plutôt "C'est d'une lenteur irritante, avec la superficialité d'un roman à l'eau de rose et la finesse d'une émission de télé-réalité".
La platitude des dialogues (ça fume, ça drague, ça fume, ça baise, ça gobe, ça sniffe, ça baise, ça fume...), les lourdeurs de style (à chaque personnage nouveau on a le droit à la nature et la couleur de son jean, et sa chemise et de ses chaussures...), la superficialité des personnages (peut-être Madrigal mise à part) en font un roman que j'ai trouvé assez pénible à lire, même si j'ai tenu jusqu'au bout histoire de ne pas passer à travers une éventuelle bonne surprise finale (qui n'est pas arrivée...).
C'est creux et ennuyant... Je m'arrêterai donc à cette saison 1 bien décevante.
Bonne surprise
Critique de Soso685 (, Inscrite le 30 juin 2012, 32 ans) - 11 août 2012
Attends de lire la suite :)
Une impression de sitcom ratée qui m’a laissé un goût de rien du tout …
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 31 mai 2012
En plus, le fait que ça se passe à San Francisco ajoutait encore à mon intérêt et au final je me suis profondément ennuyée ...
J'ai trouvé que l'ensemble manquait de clarté, je me perdais avec tous ces personnages qui ne m'étaient pas très sympathiques, sans réelle profondeur et sans relief. J’ai regretté mon achat et ça ne m'a pas donné envie de retenter l'expérience avec les autres tomes.
Seventies
Critique de Kabuto (Craponne, Inscrit le 10 août 2010, 64 ans) - 24 mars 2012
28 Barbary Lane SAN FRANCISCO !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 14 septembre 2011
Celui de nous lier à des personnages attachants dans un San Francisco des années 1970 .
Mary Ann Singleton s'émancipe et quitte son Cleveland natal pour " Vivre à San Francisco " .
Elle atterrira au " 28 Barbary Lane " , pension tenue par Anna Madrigal .
Mona Ramsey ,sa voisine du 1er étage , rédactrice publicitaire chez Halcyon Communications , vit en colocation avec Michael ( Mouse ) Tolliver , son ami-homo .
Brian Hawkins, son voisin de palier , serveur chez Perry , chasse les femmes .
Norman Neal Williams , " l'homme sous le toit " , qui se présente comme vendeur de vitamines mais qui s'avérera être un minable pornographe pédophile , enquêtant sur sa logeuse.
Et toute une série d'autres personnages plus ou moins liés les uns aux autres.
On assiste à une véritable pièce de théâtre , un vaudeville à la Feydeau avec des portes qui claquent , des gens qui se connaissent sans le savoir. Pas le temps de respirer , l'auteur nous bouscule à grande vitesse .
San Francisco y est peinte comme une "ville qui décoince les gens. Où tout le monde se fait passer pour quelqu'un d'autre. Où l'on assume sa sexualité " .
" Le monde est petit " se plaisent à dire les personnages .
Une ville de célibataires où Noël est vécu comme une conspiration pour bien faire sentir aux âmes seules qu'elles sont seules....
Du Kitsch , des bars à rencontres homo , Happy Dust et autres substances planantes , des liaisons qui se font et se défont le même soir... Bienvenue à San Francisco !
Contrairement à certaines critiques , je ne trouve pas ce roman si léger que ça . Les relations humaines y sont peintes avec humour mais l'auteur n'occulte pas la fragilité des personnages et leurs faces sombres.
Qui est véritablement Anna Madrigal ?
Très sympa, en effet
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 7 octobre 2010
Un livre plutôt sympa à lire
Critique de Buck (Rennes, Inscrit le 20 juin 2010, 36 ans) - 6 octobre 2010
Go to Barbary Lane
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 5 septembre 2010
On y découvre le San Francisco des années 70 et on s'attache à ces personnages certes parfois caricaturaux, aux aventures tellement rocambolesques, mais avec lesquels on évolue au fil des pages, au gré du poids des années....
C'est frais, hilarant et plaisant, quoi de mieux pour terminer l'été !
de la fraicheur !!!
Critique de Nairod (, Inscrit le 9 août 2010, 41 ans) - 10 août 2010
Le royaume du vide
Critique de Manumanu55 (Bruxelles, Inscrit le 17 février 2005, 45 ans) - 17 novembre 2009
Que je me suis ennuyé. Au moins, je sais maintenant les 6 autres tomes, je dois éviter de me les procurer !
on s'y perd mais on se retrouve quand même!
Critique de Mariebel (Paris, Inscrite le 1 novembre 2008, 37 ans) - 15 novembre 2008
J'étais, au début de ma lecture, assez sceptique, mais au fil de l'intrigue, Maupin arrive à nous surprendre. J'ai même fini par apprécier, ce livre qui au début, m'a semblé bien ennuyant!
lecture détente
Critique de Nino (, Inscrite le 9 août 2008, 53 ans) - 17 août 2008
C'est une période que j'aime bien (fin des années 70) dans l'histoire de la Californie, la culture gay, la vie un peu à la marge ...
Je les ai lues plusieurs fois, souvent pendant l'été. C'est juste agréable.
déçue
Critique de Elfe191 (, Inscrite le 9 novembre 2006, 68 ans) - 16 août 2008
très superficiel des gays des gays des gays un peu lassant non? les petites histoires de coucheries à répétitions lassent vite en effet cela doit faire un excellent feuilleton pour les amateurs du genre il en faut pour tout les goûts et ce n'est pas les miens bref désolée pour les amateurs mais ce n'est pas de la littérature
Soap opera
Critique de Stavroguine (Paris, Inscrit le 4 avril 2008, 40 ans) - 14 avril 2008
J'étais tombé amoureux de San Francisco lors de ma première visite dans cette ville magique et si particulière et devant bientôt y retourner, je me suis dit qu'il FALLAIT que je lise ces fameuses Chroniques de San Francisco. J'aurais dû m'abstenir.
Et pourtant le lieu et l'époque auraient pu donner lieu à des merveilles. Mais non. On a droit à des personnages creux et à une action qui aurait pu se passer à peu près n'importe où - à commencer par Dallas ou Santa Barbara... D'ailleurs, pourquoi San Francisco? Parce que ces Chroniques impliquent quelques gays et qu'on y fume quelques joints? Bonjour les stéréotypes... (oups, certains pensent quand même que ça suffit à nous replonger parfaitement dans l'ambiance de San Francisco à la fin des 70s...).
Et puis, ça s'arrête pas là en matière de stéréotypes et de caricatures. Les personnages en sont, les situations en sont (c'est fou quand même comme le boss de Mary Ann - la petite pimbêche débarquée de sa campagne de l'Ohio, sainte n'y touche qui fricote avec des hommes mariés (tiens ! encore un stéréotype) et qui tient lieu d'héroïne - tombe accidentellement sur sa logeuse et son voisin de pallier sur sa copine de lycée. Dingues, ces coïncidences...)... Il n'y a que Mrs. Madrigal qui suscite un peu d'intérêt - mais pas assez pour rendre cette histoire passionnante, loin s'en faut.
Les gens sortent ensembles, parlent de cul, baisent un coup, ce qui crée des conflits d'intérêts, parlent de cul, fument un joint, parlent de cul, démissionnent, roulent en Porsche et parlent de cul (pas nécessairement dans cet ordre)... Bref, c'est du feuilleton télé, du soap opéra, Feus de l'amour et compagnie. D'ailleurs c'est construit exactement de la même façon: trois pages sur un personnage - écran noir - on passe à une autre histoire - écran noir - on revient sur la suite de l'histoire du personnage qu'on avait laissé - and so on... Et ça n'en finit pas (d'ailleurs, y en a eu combien des Chroniques publiées jusqu'ici?).
Bref, c'est con, c'est creux et, surtout, c'est chiant. Très chiant... Comme les feuilletons de mémé...
C'est une maison bleue…
Critique de Heyrike (Eure, Inscrit le 19 septembre 2002, 57 ans) - 6 novembre 2006
Le style adopté par l'auteur rend la lecture très agréable, peut être même un peu trop parfois, tant c'est léger. N'allez surtout pas penser que j'ai détesté les chroniques, au contraire. Je peu comprendre – du moins j'ose le croire - l'engouement qu'ont pu susciter les aventures de Mary Ann, Brian, Michael et sans oublier la sublime Mme Madrigal, mais de là à en consommer six volumes…
Le meilleur roman feuilleton...
Critique de Valeriane (Seraing, Inscrite le 16 novembre 2005, 45 ans) - 14 août 2006
C'est grâce à cette décision que Mary Ann va s'installer au 28 Barbary Lane, et rencontrer une foule de personnages aussi différents les uns des autres : Mona, sa voisine de palier, qui va lui dégotter un boulot dans son agence; Mickael, colocataire homo et très bon ami de Mona; Brian, hétéro-macho en chasse; madame Madrigal, logeuse un peu spéciale, mais très gentille et qui se présente somme une mère pour tous ses locataires; et enfin Norman, locataire mystérieux qui va séduire Mary Ann.
Mais il y a aussi : Edgar, Beauchamp, Dede, Frannie, Jon, Dorothea..... tout ces gens, sans avoir aucun « lien » entre eux, vont se croiser et finalement, un lien secret va s'établir entre eux, sans pour autant qu'ils en soient tous au courant!
Ce roman a d'abord été écrit comme roman-feuilleton, ce qui explique les rebondissements à chaque chapitre et le suspense qui nous pousse toujours à aller plus loin... C'est pour cette raison que je vais me laisser tenter par le tome 2...
If you're going to San Francisco, be sure to wear some flower in your hair
Critique de Nelle (Bonne, Inscrite le 9 janvier 2001, 49 ans) - 29 octobre 2005
Et un regret, d'y être allé avant d'avoir lu ces livres.
Avis très partagé
Critique de Norway (Entre le Rhin, la Méditerranée et les Alpes !, Inscrite le 7 septembre 2004, 49 ans) - 29 octobre 2005
Sinon j'ai eu un peu la nausée en lisant ce livre. Ce livre manque pour moi de poésie, mais ce sont mes goûts littéraires qui n'ont pas été comblés par ce livre.
une saga drôle et émouvante
Critique de Rachel (grenoble, Inscrite le 31 octobre 2004, 46 ans) - 1 janvier 2005
On entre dans une véritable sitcom (sans le côté péjoratif) : des personnages attachants (bien que -il est vrai- frôlant la caricature), des aventures romanesques qui peuvent être aussi bien complétement folles et farfelues mais aussi très proches de notre quotidien.
A lire donc pour passer un bon moment.
A lire !!
Critique de Clementine (, Inscrite le 3 décembre 2004, 56 ans) - 19 décembre 2004
tout tourne autour de Mme Madrigal, logeuse, veillant sur ses jeunes locataires comme une mère, cachant aussi son secret et ses blessures.
Vous rirez, vous vibrerez au fil des pages, chaque personnage est attachant, on en redemande!!
Tout en couleur
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 3 septembre 2004
La première chose que l'on remarque en s'attaquant aux Chroniques est la facilité de lecture. Le texte est construit presque entièrement de dialogues.
Ensuite, on s'attache immédiatement à ces personnages pleins de vie. Maupin réussit avec très peu d'artifices à nous faire vivre dans l'ambiance et la folie du San Francisco des années 70. La séduction fonctionne et on passe un moment très plaisant.
Drôle et touchant
Critique de Nutella (Rhode-Saint-Genèse, Inscrite le 31 décembre 2000, 44 ans) - 11 janvier 2004
hilarant et reposant
Critique de Féline (Binche, Inscrite le 27 juin 2002, 46 ans) - 23 juillet 2002
Avis partagés
Critique de Marco (Seraing, Inscrit le 19 février 2001, 50 ans) - 6 novembre 2001
ou les mots en roman photo
Critique de Fantômette (Bruxelles, Inscrite le 6 décembre 2000, 59 ans) - 23 mai 2001
Au lieu de cela, on assiste à une série d'événements donnant la vedette à tel ou tel personnage au gré du caprice de l'écrivain. Bref, cela m'a fait penser un roman photo fleuve sans consistance un peu à la mode des sitcoms actuels, au point qu'après le premier tome j'ai déclaré forfait. Cependant pour les fanas d'Ally Mac Beal et consorts, je comprends aisément combien cela peut être plaisant !
Bienvenue dans les années '70
Critique de Ella (Watermael-Boitsfort, Inscrite le 15 novembre 2000, 50 ans) - 28 avril 2001
San Francisco et sa réputation de ville libérée gravite autour de 5 personnages aussi comiques qu'attachants. Dans une ambiance de chasse à l'homme... de sa vie, de quête du véritable soi, le temps passe avec ses rencontres et ses ruptures, ses joies et ses déceptions.
Un livre facile et agréable.... d'excellente compagnie.
Un petit délice
Critique de Lela (Bruxelles, Inscrit(e) le 3 mars 2001, 53 ans) - 3 mars 2001
Forums: Chroniques de San Francisco, tome 1
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