T'es pas jalouse au moins ?? :o)Là je désespère sur mon écriture. Plus je fais attention, plus j'en fais. Oui donne moi mes des cours du soir Provis, avant que je ne commence à régresser dans l'illettrisme.
Fais gaffe, ça risque d'être des cours du soir tard ! ;)
Là je désespère sur mon écriture. Plus je fais attention, plus j'en fais.
Même chose pour moi, plus je pense à ne pas faire de fautes, plus j'en fais. Le mieux est d'écrire spontanément et ensuite, de se relire plusieurs fois. C'est ce que je fais pour mes textes. La relecture encore et encore, c'est ce qui fonctionne le mieux dans mon cas.
Tout dépend aussi des périodes. Quand je suis préoccupée, j'ai plus de difficulté à me concentrer donc plus d'erreurs. Ou bien quand j'écris tard le soir, je peux être certaine que les fautes seront plus nombreuses mais je crois que c'est normal d'en faire, c'est humain.
T'es pas jalouse au moins ?? :o)Là je désespère sur mon écriture. Plus je fais attention, plus j'en fais. Oui donne moi mes des cours du soir Provis, avant que je ne commence à régresser dans l'illettrisme.
Fais gaffe, ça risque d'être des cours du soir tard ! ;)
Ben non, je n'ai plus lieu de l'être.
Tu m'as fait comprendre clairement il y a quelques mois que j'étais indigne de ton intérêt. Faut jamais me dire les choses deux fois, je comprends plus vite qu'il n'y paraît.
Et puis, je suis vraiment vieille et très défraîchie. Le soir tard, je suis chez moi. Ou au Club du 4ème âge de mon arrondissement.
Je n'ai jamais dit ça, Aria, et je suis désolé que tu le prennes de cette façon.Ben non, je n'ai plus lieu de l'être.T'es pas jalouse au moins ?? :o)Là je désespère sur mon écriture. Plus je fais attention, plus j'en fais. Oui donne moi mes des cours du soir Provis, avant que je ne commence à régresser dans l'illettrisme.Fais gaffe, ça risque d'être des cours du soir tard ! ;)
Tu m'as fait comprendre clairement il y a quelques mois que j'étais indigne de ton intérêt. Faut jamais me dire les choses deux fois, je comprends plus vite qu'il n'y paraît.
Tu dis sur un autre fil que tu pars en vacances, alors bonnes vacances à toi.
Et moi je vais me coucher, il est tard..
Il y a près de vingt ans (mince déjà) j'ai lu "comme un roman" de Pennac. J'étais en train de découvrir la littérature et je faisais ma culture tout seul dans les bibliothèques en prenant des classiques ou des textes au hasard. Pennac ancien cancre comme moi (j’ai moins bien redressé la barre que lui) évoque dans ce livre un certain nombre de titres et d'auteurs importants dans sa résurrection. Ce livre fut une mine pour moi, et au dos... les dix commandements du lecteur. Je ne me souviens que d'un seul : Le droit pour tout lecteur de ne pas finir un livre. J'ai suivi le commandement de mon ainé et je ne le regrette pas.
Un livre peut être bon ou mauvais, mais un livre bon n'est pas forcement pour Elfebretonne, Saule, Antinea ou Dirlandaise. Personnellement je dis qu’un livre me parle ou ne me parle pas. S’il ne me parle pas j’éprouve aussi un moment de culpabilité ou plus exactement de frustration. Mais la quantité de livres à découvrir ne nous laisse pas vraiment le choix.
Pennac avait un problème avec Stendhal, moi avec Proust, Joyce…On peut aussi admettre que ce n’est pas le bon moment et de réessayer dans quelques temps.
Grand merci de m'avoir fait découvrir cet essai. Je le trouve très pertinent. Et, comme d'habitude, Pennac fait preuve d'humour. J'aurai bien l'aimer l'avoir comme prof. J'aurai peut-être arrêter de culpabiliser depuis longtemps. Je vais m'entraîner à lacher les livres nuls.
Je suis heureux d'avoir pu t'aider Elfbretonne.
Franchement, si vous trouvez des fautes, plutôt que de les étaler sur la place publique, vous pouvez éventuellement envoyer un message à la personne incriminée en lui expliquant courtoisement la règle orthographique qu'elle ne connaîtrait pas. Je trouve particulièrement malsain de stigmatiser les gens ainsi. Je suis persuadé que beaucoup ici n'osent pas écrire, se retiennent, craignant de faire des fautes, et ce n'est sûrement pas ainsi qu'on les y encouragera.
....Merci,Pal.....
Nous en revenons à un débat lointain qui m'avait déjà tellement hérissée par son côté élitiste que j'avais quitté,à regret,CL...............
Je pense que la tolérance est LA qualité ESSENTIELLE....si l'on veut rester en mode "dialogue",même virtuel sur le net,non??????????
Intéressante question que celle de notre Elfe bretonne inaugurant la discussion. J'y reviens.
Lacrimosa mérite de susciter cette question de la persévérance à vouloir lire jusqu'au bout un livre, même nul.
J'ai cette même opiniâtreté.
Et je crois qu'il en va d'un peu de sadisme de ma part: ne pas finir un livre mauvais, ne pas "l'achever" en quelque sorte, c'est lui laisser sa chance: laisser l'inlu rayonner d'une hypothétique qualité que n'a pas le lu (Ah !... Si j'étais allé jusqu'au bout...).
Un peu de pudeur ou d'indulgence devrait me le faire silencieusement lâcher, ce mauvais livre. Mais non, je m'obstine. Et quand c'est fini, je me régale d'avance du bon livre dont je sais entamer la lecture tout de suite après, pour me guérir (donc, oui, il y avait aussi du masochisme dans l'obstination) de toute cette médiocrité écrite qui fait florès, de tous ces éditeurs dénués de la moindre exigence littéraire et qui nous publie les Angot, les Darrieussecq, les Pancol, les Besson (Philippe), les Jauffret, les Beigbeder... j'arrête là, la liste serait trop longue de cette clique de guignols de l'écriture !
Lacrimosa mérite de susciter cette question de la persévérance à vouloir lire jusqu'au bout un livre, même nul.
J'ai cette même opiniâtreté.
Et je crois qu'il en va d'un peu de sadisme de ma part: ne pas finir un livre mauvais, ne pas "l'achever" en quelque sorte, c'est lui laisser sa chance: laisser l'inlu rayonner d'une hypothétique qualité que n'a pas le lu (Ah !... Si j'étais allé jusqu'au bout...).
Un peu de pudeur ou d'indulgence devrait me le faire silencieusement lâcher, ce mauvais livre. Mais non, je m'obstine. Et quand c'est fini, je me régale d'avance du bon livre dont je sais entamer la lecture tout de suite après, pour me guérir (donc, oui, il y avait aussi du masochisme dans l'obstination) de toute cette médiocrité écrite qui fait florès, de tous ces éditeurs dénués de la moindre exigence littéraire et qui nous publie les Angot, les Darrieussecq, les Pancol, les Besson (Philippe), les Jauffret, les Beigbeder... j'arrête là, la liste serait trop longue de cette clique de guignols de l'écriture !
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