morte de rire, une grosse correction s'impose,sinon Isembart risque de passer pour une hyper égocentrique: bien entendu, c'est moi qui ai posté précédemment, mais du pc d'isembart sans changer de compte, oups!!Salut Clamence.
Je me disais aussi, Isembart qui souhaite la bienvenue à Isembart, comme c'est bizarre! Après tout, on n'est jamais si bien servi que par soi-même.
L'explication étant donnée… Bienvenue Isembart. Mais alors, j'ai un doute: est-ce qu'Isembart est réellement nouvelle membre ou est-ce une coquinerie de Clamence?
Bienvenue alors Ysembart, si Clamence répond de toi et nous dit que tu n'es pas un troll, ça vaut toutes les garanties.
promis Lincoln, je ne fais pas ma coquine! Isembart est ma meilleure amie(oui, des fois c'est un troll, mais chutttt!!!!;---))))pas ceux qu'on connaît)
Tu es bien sûre que c'est isembart de chez isambart et non pas jules de chez Smith ?
( ni gaston ?)
Dans ce cas, bienvenue à isembart !
( ni gaston ?)
Dans ce cas, bienvenue à isembart !
Coucou à tous.
Comme je viens de poster un texte et avant qu'on ne me dise que je fais ma mijaurée, je vous promets que je critiquerais prochainement et (férocement) les textes parus dernièrement.
Comme je viens de poster un texte et avant qu'on ne me dise que je fais ma mijaurée, je vous promets que je critiquerais prochainement et (férocement) les textes parus dernièrement.
Aujourd’hui est un bien grand jour
Arundhati est de retour
Gageons qu’avec nous au labour
Il ne fera pas qu’un p’tit tour.
Arundhati est de retour
Gageons qu’avec nous au labour
Il ne fera pas qu’un p’tit tour.
Bonsoir CL. Il n'y a personne aujourd'hui? Bon :o(
A demain alors
A demain alors
Hop, j'arrive un peu tard, j'ai raté le dernier métro du Rat. Me v'la bien, sûr le quai. Ça sent encore le caoutchouc chaud des pneus du métropolitain. Sur ma joue je sens le souffle tiède qui s’engouffre dans le tunnel. Le sol jonché de papiers me rappelle les poubelles condamnées suite à l’attentat de saint Michel en 95. Nous sommes au moins… un. Et curieusement ce n’est pas triste, c’est le moment où la station peut enfin se reposer des agitations de la journée. Je regarde les affiches géantes, je regarde la nuit étoilée. La nuit en pleine campagne ou la nuit dans une station de métro, la voûte. Jonkind a emprunté la rame précédente… pas pu le voir.
Bonne nuit CL. Félix, si tu passes par là, veille sur nous.
Bonne nuit CL. Félix, si tu passes par là, veille sur nous.
Bonsoir CL. Il n'y a personne aujourd'hui? Bon :o(
A demain alors
Mais si mais si j'y suis, mais y a vait la queue au supermarché !
J'ai entendu le début d'une histoire, pendant que je patientais, qu'une mère lisait à son enfant dans le livre qu'elle avait acheté :
" Il y avait une fois une princesse qui vivait dans une tour où elle était enfermée. En réalité, elle n'était pas enfermée. Elle aurait pu sortir. Il y avait un code à l'entrée, il suffisait de prononcer trois mots magiques, et la porte s'ouvrait.
Le code était clairement indiqué, gravé sur le linteau, et la Princesse savait lire, car elle avait bénéficié de la meilleure instruction qui fût, en son royaume et en son temps. Ce qui était tout à fait naturel, en son royaume et en son temps, pour une princesse. Mais les enfants "du peuple", comme on disait, n'avaient pas cette chance. Ils n'apprenaient pas à lire et à écrire. D'un autre côté, on ne les enfermait pas dans des tours, à la place, on les envoyait très jeunes travailler aux champs ou dans des ateliers : et ça, c'était une sorte de tour aussi, dont ils ne pouvaient sortir que les dimanches et les jours fériés. Heureusement, il y avait beaucoup de jours fériés. Mais pas pour la princesse "
C'était chouette ce début d'histoire, j'ai trouvé. .
Heureusement, il y avait beaucoup de jours fériés. Mais pas pour la princesse "En effet, depuis longtemps le royaume était dirigé par des âmes de bien piètre moralité. Suite à une sombre affaire d'enquête sur des ministres, le roi lui-même et sa famille s’en trouvèrent marris. Pour repopulariser l’image royale, la princesse dut alors conduire les rames de métro. République.
Aujourd'hui j'ai flâné dans le quartier africain de Bruxelles, que les habitués appellent "Matongue". Il y avait du soleil, des senteurs exotiques, des étals de fruits tropicaux, les gens s'interpellaient joyeusement, certains étaient vêtus de costumes africains traditionnels. C'était une fête des sens, la chaleur sur la peau, les odeurs, les couleurs chatoyantes, les musiques africaines dans les boutiques, tout invitait au rêve et au voyage. Dans un salon de coiffure, des beautés africaines se faisaient défriser les cheveux, et entre deux soins capillaires, une femme, jeune, jolie et élancée dansait au son des tamtams.
En regardant chacun d'entre eux, j'ai pensé qu'il était mon frère, même si nos couleurs de peau diffèrent. Ils me souriaient et je les regardais avec amitié.
Je me suis senti heureux.
Le bonheur est fait de joies si simples...
En regardant chacun d'entre eux, j'ai pensé qu'il était mon frère, même si nos couleurs de peau diffèrent. Ils me souriaient et je les regardais avec amitié.
Je me suis senti heureux.
Le bonheur est fait de joies si simples...
Ca fait plus d’une demi-heure que j’attends, assis sur un banc orange, entre un distributeur de boissons et un jeune homme qui a l’air d’avoir abusé d’une quelconque substance assommante.
Il y a en a eu deux pourtant qui sont passés, mais ils ont filé si vite sous nos nez que je commence à me demander si je n’ai pas rêvé. D’autant plus que dans le premier j’ai cru apercevoir une drôle de bestiole à une fenêtre, comme une grosse souris, avec un air un peu perdu, qui regardait étonnée autour d’elle. Et dans le deuxième, dans le dernier wagon, un type avec une tête qui me rappelait vaguement un président des Etats-Unis. Je dois avoir respiré les émanations toxiques des substances avalées par mon compagnon de gauche.
Shut ! Une annonce par les haut-parleurs : « Avis aux voyageurs : veuillez nous excuser pour l’attente. Nous essayons de contacter Son Altesse Royale pour lui expliquer qu’il faut arrêter le métro aux stations traversées. Nous espérons pouvoir bientôt la ramener à la raison. » Ding dang dong.
Il y a en a eu deux pourtant qui sont passés, mais ils ont filé si vite sous nos nez que je commence à me demander si je n’ai pas rêvé. D’autant plus que dans le premier j’ai cru apercevoir une drôle de bestiole à une fenêtre, comme une grosse souris, avec un air un peu perdu, qui regardait étonnée autour d’elle. Et dans le deuxième, dans le dernier wagon, un type avec une tête qui me rappelait vaguement un président des Etats-Unis. Je dois avoir respiré les émanations toxiques des substances avalées par mon compagnon de gauche.
Shut ! Une annonce par les haut-parleurs : « Avis aux voyageurs : veuillez nous excuser pour l’attente. Nous essayons de contacter Son Altesse Royale pour lui expliquer qu’il faut arrêter le métro aux stations traversées. Nous espérons pouvoir bientôt la ramener à la raison. » Ding dang dong.
Nous essayons de contacter Son Altesse Royale pour lui expliquer qu’il faut arrêter le métro aux stations traversées. Nous espérons pouvoir bientôt la ramener à la raison. » Ding dang dong.
Nous l'avons retouvée : elle s'est arrêtée à "Palais Royal" et n'a plus voulu poursuivre le trajet ! Nous l'emmenons directement faire un stage de remise à niveau à la station "arts et métiers".
Le stage de remise à niveau ayant échoué, la princesse est envoyée au chômage. Naturellement, les employés de l'office de l'emploi trouvent que le SMIC pour une personne de sa qualité est insuffisant, et les caisses sont vidées pour lui permettre de réintégrer son château.
mais entre-temps, le chateau, pris d'assaut par les anti CPE (confort pour les princesses éduquées-mal réveillée, esprit moyen;-))) avait été ravagé, pillé, et démonté pierre par poutre pour servir le peuple libre, la princesse n'eut d'autre choix que demander gite et couvert aux paysans qu'elle méprisait...
bonjour CL!
bonjour CL!
Ils lui servirent des petits pois en lui disant que, si elle ne les mangeait pas, ils seraient obligés de les mettre sous son matelas et que ça les embêtait parce que ce n'était pas très hygiénique.
Elle ne comprit rien à leur histoire et se demanda si c'était bien de l'herbe à chats qu'ils faisaient pousser sur le rebord de leur fenêtre.
Bonjour ;-))
Elle ne comprit rien à leur histoire et se demanda si c'était bien de l'herbe à chats qu'ils faisaient pousser sur le rebord de leur fenêtre.
Bonjour ;-))
Hello Clamence et Syb. Bonne journée.
Bonjour ;-))
Elle était partagée entre la faim qui la tenaillait et la curiosité qu’elle éprouvait quant à cette histoire de petits pois. Incapable de conduire une rame de métro mais non dénuée de jugeote, elle proposa de manger la moitié de son écuelle en échange de l’explication des petits pois sous le matelas.
Bonjour à tous.
Bonjour à tous.
L'explication lui est offerte par Anne Quevrin (désolé, seuls les Belges comprendront) : les petits pois ne sont pas produits dans les magasins de luxe, mais dans de la terre. Pouh, que c'est sale et vulgaire. Fi ma chère.
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