Bonne Année à toutes et tous.
C'est très gentil Saule ce que tu as dit.
Que si ma saynete était publiée tu l'achèterais.
ça m'a fait chaud au coeur tu sais !
En effet cette année j'ai écrit deux ou trois petites choses que l'on m'a demandé pour des occasions (festival de théâtre de fin d'été, printemps des poètes, le tout de mon patelin)
J'ai déjà écrit des sketches pour le stand-up. Cela fait un bail.
Mais hélas, les plus beaux "textes" que j'aie écrits l'ont été lors d'improvisations. Donc lorsque je dis "écrits" je me remue un peu le couteau dans la plaie.
ça, c'est quand je faisais du Café-Théâtre.
Et je me suis trop éclatée de voir se marrer mon auditoire alors qu'en deux minutes chrono je leur torchais un truc d'enfer accessoires improvisés aussi à l'appui. Mais j'ai arrêté très vite ces conneries.
J'ai un peu travaillé avec "Claire" qui m'a coachée au cours d'un stage.
En fait je me lance dans des tas de trucs et je ne termine rien.
Les années passent. Je me dis : j'ai le temps. La danse était plus mon "destin"
"Ce n'est pas parce que c'est difficile que l'on n'essaie pas. C'est parce que l'on n'essaie pas que c'est difficile". - Sénèque.
Cette phrase, la première fois que je l'aie entendue, c'est Noëlle Perna, alias Mado la niçoise qui l'a prononcée au cours d'un spectacle.
Soso l'avait fort bien pressenti en me disant que je me "dispersais".
Ma prof de théâtre au Conservatoire aussi me le disait. Mais je sentais qu'elle était un peu jalouse de moi je crois.
Elle pouvait passer trois plombes sur un élève. Moi ? Nada. No comment. Je passais quatre heure dans mon fauteuil à l'orchestre à regarder et écouter les autres. Quand c'était à mon tour, je disais ma scène, ou mon exercice et basta.
Jamais un commentaire spécial. Jamais un encouragement.
Niet ! Je crois même me souvenir qu'un jour elle a fait allusion aux "cabots" dans la profession théâtrale. Elle avait dit "il y en a ici, je ne les nommerai pas".
En fait, ce sont ceux qui ont "tout" la facilité par nature, mais qui ne travaillent pas. Je crois que c'est un peu ça.
Mais j'aurais aimé qu'elle me fasse travailler. Elle n'a rien fait.
Donc, ça crevait les yeux qu'elle était un peu jalouse.
Bref, pas grave. J'ai pardonné.
Un membre du jury de Paris était venu audionner. J'avais eu un fabuleux compliment. De la part des "gagne-petits de la Côte" je m'étais faite fracasser. Le moral en a pris un coup.
Du coup le théâtre aussi j'ai arrêté. Deux ans de conservatoire et stop.
Le "milieu" ne me convenait pas.
Je me sens toujours décalée par rapport à mes passions-passades.
Comme si tout venait facilement, trop facilement, et que rien ne vaille la peine d'être abouti.
Il me fallait du recul. De la distance sur ma propre misérable création.
J'ai testé mes "interlocuteurs". Ceux qui m'ont lue.
Pfff... paroles dans le vent. Ecrits sur le sable.../...
No comment.
Ici j'ai eu quelques avis.
Je vois que le Chat n'aime pas que l'on commente le temps qu'il fait sur conv.et bad.
Dès qu'il tombe des chavanes, le chat serait-il chafouin ?
Pour l'instant l'écriture demeure pour moi une thérapie plus qu'un morceau de steack.
Si le prix à payer pour sa "recherche", mon cher Saint-Jean, fut la maladie qui le consumait, je n'envie pas ce pauvre Marcel.
D'ailleurs, je me suis toujours couchée très tard.
Trop tard.
Je ne lis presque jamais les livres comme on doit les lire normalement.
Comme vous les lisez vous.
Je les ouvre au hasard balthazar lorsque l'envie m'en prend et j'y trouve toujours un lien qui me rattache à mon propre "Livre".
Un exemple ?
Ben, pas plus tard que la semaine dernière j'avais encore "Farrago" de Yann Apperry qui traînait depuis trois semaines tantôt sur la table de nuit, tantôt sur un coin de table du salon.
Je ne le lisais pas.
Etait-ce LUI qui me lisait ? Je ne saurais pouvoir l'affirmer.
Mais l'autre jour en cherchant un bon mot dans un vieux dico de latin je suis tombée sur ceci :
Farrago = nostri est farrago libelli = Juvenal Telle est la matière variée de mon livre.
Il y a eu dans celui-ci, de livre, Farrago donc, une ou deux autres phrases-clés en rapport avec les ancêtres du narrateur qui venaient à point nommé me confirmer mes interrogations sur ma propre généalogie.
Je ne lis donc pas l'histoire de l'auteur dont je lis le livre au moment où je le lis. C'est bien étrange ne trouvez-vous pas ?
Je lis ma propre douleur de ne pas écrire le mien. De livre.
Voilà.
J'espère que vous avez apprécié ces quelques lignes que j'ai pris soin de rendre le plus claires possible à votre attention, chers Céliens.
Vous aurez ainsi appris quelque-chose de moi. Ne me cherchez pas sur facebook ou myspace ou montrouducbook. Je n'y serai pas.
Je viens telle une météorite et je repars très vite.
Sauf lorsque je rencontre des esprits avec lesquels je m'accorde.
Un peu. Un temps. Mais le virtuel est le virtuel.
Internet est le tombeau je pense de nombre de gens qui y perdent leur vie.
Tout y est dit et rien.
Comme ceci en quelque sorte;)
Qui cela intéresse-t'il de lire mes états d'âme en ce moment ?
Je remercie CL de toujours m'avoir encouragée à l'écriture.
Vous savez que lorsque les enfants cessent d'applaudir les Fées, celles-ci meurent.
Enfin, c'est un étrange personnage au langage plus qu'étrange qui m'avait écrit ceci lorsque nous correspondions sur un merveilleux site de Magie. Je n'ai pas vraiment vérifié la chose.
J'essaie de faire "survivre" la fée malgré tout en souvenir de ce fantôme. Elbondt.
Les enfants n'applaudissent plus. Ils ont les mains occupées sur leur propre clavier, leur souris ou leur joy-stick à essayer d'exister sur facebook, jeracontemavie.com, et blablabla.con.
Je ne me sens pas hors du lot.
C'est même grave à quel point de fais mon auto-critique.
Je dédie ce texte à FLC, sans qui je ne serais jamais venue en ce lieu.
Bon, je lance un appel : je veux bien être "nègre".
Mais faut payer cash et d'avance.
Surtout si j'écris pour un personnage dénué de "talent".
Lollllllllllll.
Vous trouvez que je me la pète ? z'avez raison les mecs.
Je suis comme ça.
Dur-dur d'être une fée.
Et l'autre, mon pote, machin Rambaud vient juste de sortir son bouquin sur Nicolas Ier.
Le contre-pied de CantorzyIer ??? M'a piqué "L'IDEE" ?
Encore un livre sans doute que je ne lirai pas, ou alors, comme le "Fou"... en diagonale.
Je me demande s'il y a un "fou" dans son histoire de Royaume.
En tout cas, le Diable c'est Carla !!!
Comme Swann l'était dans le film "Phantom of the Paradise" Prix du Festival d'Avoriaz dans les années 75.
Wizzous et re-meilleurs voeux.
Vous ai-je bien "Saoûlé" Mister Saule ?
Hmmm ! Un futur groupie ? J'en frétille de joie par avance.
Mais dites-moi,qu'aimeriez-vous que je vous conte comme histoire ?
J'ai appris aujourd'hui même que mon grand-père paternel, que je n'ai pas connu, et dont j'ignore à peu près tout, était un fabuleux conteur.
L'action se passait en Corse.
Il était artiste. Il dessinait et peignait les logos pour une maison fort connue de spiritueux.
Cela se passait il y a longtemps.
Est-ce qu'il s'exprime un peu par ma plume aujourd'hui ?
Je ne sais.
Pépé, pourquoi tu "nous" a laissés ?
Je raconte vraiment n'importe quoi ce soir.
J'ai un vaste projet. Mais c'est top secret.
Et il restera encore longtemps dans le coffre-fort de mes pensées.
Je commence toutes les histoires et je ne les finis jamais.
Mais c'est que mon histoire à moi ne finit pas.
Enfin, je crois.
La Fée persiste, signe, et ne relis pas.
Passe pas souvent ces derniers temps La Fée mais ça dépote quand elle ...
Y'a d'la neige chez toi ?
Sympa de m'encourager.
Alors ceci pour vous amis céliens.
Attention ! Il paraît que c'est obscur.
Je ne change rien.
Cela a été écrit d'un seul jet en quelques minutes lors d'un atelier.
Personne n'a rien compris;
Alors je l'ai laissé tel que. Mais je l'ai tout de même recopié.
Car à l'atelier j'écris à la main. Parfois si vite que je ne sais même pas me relire.
;))
======================
Titre : Incipit...(c)
Longtemps je me suis couché(e) de bonne heure...
Depuis, je me suis rattrapée. Voilà trois nuits que je ne dors pas. Non par insomnie, mais plutôt par manque de Temps. Ah ! Le Temps !
Ce n’est pas exactement parce que j’avais entrepris “ma” recherche, moi aussi, que mes veilles tardives, occupée à mille autres choses qu’à écrire, se firent de plus en plus pressantes sur mon temps de sommeil.
Ma marraine qui avait pour devise, “il faut se coucher tard et se lever tôt” avait dû m’inculquer ce don de l’utilisation du temps dans sa moindre seconde et ce depuis ma plus tendre enfance, puisque, déjà, à l’époque, pour me faire dormir, il fallait déployer des moyens colossaux, histoires en tous genres et berceuses n’y suffisant pas, et que je résistais toujours et encore à l’envahisseur morphique, avant même d’avoir atteint l’âge d’aller au lit sans la contrainte parentale. Ainsi, très tôt, je pris des libertés sur l’amenuisement de mon temps de sommeil.
Les nuits se firent plus courtes au fil des ans sans pour autant que les pages du Livre en devenir n’encombrassent la table de travail qui me servait de bureau et sur laquelle un sempiternel semblant d’ordre rivalisait avec le laxisme évident de mon aptitude à ranger.
Les feuillets, épars, comme au dernier chant du Paradis de Dante, ne racontent toujours pas cette vie pourtant si bien remplie, à la recherche de je ne sais quel autre temps perdu, qui, comme le dit la chanson, ne se rattrape guère, ce temps que ne se rattrape plus, bien qu’une infinie volonté de ma part à le distendre, à le disjointer soit l’oeuvre à laquelle j’eus travaillé le plus clair de mes déjà si veilles années. D’hypotétiques feuillets sur lesquels virevoltent les mots absents de mon silence.
Si Picasso disait “Je ne cherche pas, je trouve” c’est sans doute qu’il avait lui aussi connu ce sentiment de manque propre à chaque âme d’artiste. Seul celui ou celle qui ne manque de rien, ne cherchera pas. Mais cela existe-t’il ?
Un seul être comblé au point de se sentir tel qu’en lui-même le début et la fin cesserait-il cet indicible combat ?
Il en va du temps comme des sentiments. Ils se perdent et se délayent dans le magma bouillonnant du chronos de notre coeur. Inconscient collectif, où se perdent les limites confuses de notre compréhension et celles plus précises de notre entendement.
Un seul coeur qui bat et palpite attendant le trépas.
Cette grande respiration du monde. Le souffle. L’En Sof, diraient les kabbalistes.
“Mon coeur craint de souffrir” disait le jeune homme à l’alchimiste ? Dis-lui que la crainte de la souffrance est pire que la souffrance elle-même” lui répondait-il à je ne sais plus quelle page du livre.
Mon coeur, quant à lui, ayant entendu de longue date, bien avant la lecture par moi de la recherche du trésor de Santiago le jeune berger de Coelho, poursuivant sa légende personnelle, ces palpitations indéfinissables, m’était témoin que moi non plus je n’avais pas lu Proust. Mais au moins l’avais-je pressenti ? Comme pressenti j’avais, ces mots inconnus,
murmurés par les lèvres de ma mère, suivant les pages d’un livre invisible, qui aurait regroupé, interminable ombilic, toutes les pensées de tous les hommes depuis qu’ils avaient inventé l’écriture. pas plus que je n’avais lu encore, “Le flic qui n’avait pas lu Proust”...
Mais, alors, Proust, le flic, ou moi-même, nous lisant nous-mêmes de l’autre côté d’un miroir sans tain. Transitere disaient les latins... Je transitais donc. Sorte de dédouanement de moi-même dont personne n’avait idée. Mais comment communiquer ce “transitere” ?
Je me souviens, ma rédaction en 4ème. “Obscur” écrit à l’encre rouge dans la marge de gauche pour qualifier des évidences pour moi. Etrange objet que la “communication” des idées entre les êtres.
Cette explication de texte, il n’y a donc que moi qui la perçois ?
Comment retrouver avec des mots d’enfant l’explication d’un texte trop difficile à expliquer.
Eh oui ! “il” souffrait de ce manque-là. Mais il cherchait encore. Ou étais-ce moi, me retrouvant en ce coeur tentaculaire qui cherchait à travers ses mots à “lui” ?
“- Il sait parler du coeur d’une façon experte ?”
- Mais il n’en parle pas monsieur, il en disserte !”
- Pour souffrir puisqu’il m’en faut un autre,
Si vous gardez mon coeur envoyez-moi le vôtre !
C’est à ce moment-là du délire que je compris que ce coeur est à l’intérieur même de l’Ecriture
==================== nb : remarquez l'absence de point après Ecriture... ce n'est pas un lapsus anodin... c'est moi, l'auteur qui vous le dit. Mais que ceux qui ont des oreilles entendent et ceux qui ont des yeux voient. Lol.
La fée, pas apperry mais terry comme terry pratchett.(fin de mon textounet).
Je précise que ce texte est l'original pondu à l'atelier, en à peine cinq minutes, d'un seul jet, sans retouche.
Lorsque je l'ai lu, mes collègues de l'atelier ont fait en choeur "ouf !"...
touffu... (ça j'ai l'habitude).
Et obscur bien sûr.
Ils n'ont pas compris en quelle mesure (au sens de métrique) je respectais la consigne.
La prof de l'atelier nous donnait une quinzaine d'incipit.
J'ai choisi celui-ci.
Le problème c'est que la consigne était de respecter le sens de la phrase en tant qu'incipit.
Ce que l'histoire ne dit pas c'est que pratiquement personne dans l'assistance, pas même la prof ne savait de quels bouquins étaient issus les quinze incipit.
J'ai failli choisir "La première fois qu'Aurélien vit Bérénice il la trouva laide"... et puis j'ai choisi Marcel.
Surtout, lorsque j'ai dit Aurélien c'est Aragon. La prof a dit :"non, ce n'est pas d'Aragon" Les autres ont confirmé ou ne se sont pas prononcés.
Alors j'ai fermé ma gueule.
Personne n'a eu l'air de savoir de quoi il s'agissait en fait.
Ils avaient une vague idée que l'incipit était le début d'un roman bien sûr, mais de là à connaître de quel roman il s'agissait.
Je ne m'étonne pas des réactions qu'a suscitées mon texte.
Personne ne s'est douté que je n'écrivais pas tout à fait dans mon "style" mais que je tentais un pastiche de Monsieur Marcel.
Qu'il veuille bien me pardonner de l'avoir si mal imité.
Alors, à l'attetion de SJB, tu vois, encore une coïn-coïn-cidence.
Ces coïncidences si denses !
Mais bon.
Vous imaginez à mon niveau (de conscience cosmique... hi hi hi) me retrouver à l'atelier d'écriture "pour les nuls". Lolll.
Ptdr... mdr... Je ne me moque pas bien sûr.
Mais là je dis stop.
Je ne suis pas à ma place à cet atelier c'est certain. Pourtant je les aime bien. Je leur porte même du vin d'orange maison car nous faisons toujours un petit apéro-casse-croûte lors des séances.
Bon, ici aussi je me suis faite un peu casser fut un temps.
Mais enfin, le niveau m'a l'air un peu plus relevé.
Je pense que personne ici ne me contesterait le fait qu'Aurélien est bien de Louis Aragon. Vous voyez de qui je veux parler ou bien ??? Lol !
J'aime bien le pastiche.
Alors, je "plagie" en quelque-sorte lorsque le jeu s'y prête tel ou tel auteur pour agrémenter mon propre délire.
Mais je ne me suis prêtée que très rarement à ce genre d'exercice.
Et je le répète. Je ne lis pas vraiment les histoires en entier de tous ces merveilleux auteurs. Je crois que je lis des phrases.
J'entends plus leur voix que l'histoire qu'ils racontent.
Je dénude la phrase dans sa métrique. Inconsciemment sans doute.
Je viens de relire à la va-vite après avoir fait copié-collé.
Finalement, je me comprends dans ce que j'ai écrit, même si ça peut paraître touffu ou obscur.
Maintenant, j'aimerais que des "étrangers" se livrent à une explication de texte comme l'on faisait au lycée.
Car ça c'est quelque-chose l'explication de texte !
Je suis certaine que même les plus grands profs agrégés, au moins une fois dans leur carrière, si ce n'est pas plus, n'ont pas perçu une once de la réelle signification de tel ou tel texte dont ils ont eu à faire l'analyse, et que si l'auteur revenait il leur dirait :
"Mais c'est quoi ce binz' ? Mais vous n'avez rien compris. Je n'ai jamais voulu dire ceci ou cela comme ce que vous y avez vu.
Mais bon. L'intertextualité c'est aussi quelque-chose.
L'Opera Aperta n'est pas prête se se refermer.
Et avec Internet ce n'est que le début.
Moi,ce que j'aime bien ce sont les challenges.
Quelqu'un me donne une thématique, un exercice alors je peux le faire, du moins essayer.
Mais sans "motivation" ou "carotte" je ne sais pas faire. Ou ne veux pas. Même ne peux pas c'est sûr.
J'ai toujours été "fumiste".
Les profs ici qui me liront comprendront de quoi je veux parler.
Je n'ai pas fait d'études supérieures alors soyez indulgents.
Voilou.
C'était un brin de recherche du Livre Perdu de La Fée.
(critiquez à l'aise mais sans trop me briser le moral si vous ne voulez pas que je finisse pendue à la grille du jardin comme Nerval.
D'ailleurs, chez moi, il n'y a même plus le portail à l'entrée. Alors, pensez ! Des grilles !
Seuls restent les piliers.
Comme des sentinelles du temps passé.
Que votre avis/critique soit profitable pour moi. Prenez ce texte tel que je vous l'ai "expliqué" sans vouloir le transformer à tous prix.
Il est un éclair à un instant de ma vie. Je ne me sens pas le courage d'en changer ne serait-ce qu'un mot. Pas même une virgule.
Je vous le disais. Les histoires compréhensibles n'ont que peu de prise sur moi. Mon texte vous paraîtra obscur ?
Il n'a prétention de rien. Seulement l'expression en cinq minutes d'un seul jet de ce qui m'est passé par la tête, un peu à la manière des surréalistes. C'est bien ça ? ceux qui se livraient à l'écriture automatique.Voilà, le texte a été écrit un peu sur ce modèle de l'écriture automatique puisque je n'y ai apporté aucune modification depuis que je l'avais écrit.
Donc, pas de prise de tête. C'est de l'ébauche.
De Serpent ? ;)))
re-La Fée.
Ouh là, faut que je prenne le tempsde lire ... plus tard ... mais effectivement, il eût fallu plus probablement ouvrir un spécifique fuseau !
Même pas fait exprès (le haut de page) !
Bon, et puis, c'est pas parce que je suis en retard que je vais faire l'impasse ...
BONNE ANNEE A TOUTES ET TOUS !
Que 2009 nous soit prolifique et qu'il nous permette d'échanger longtemps, souvent, et satisfaisamment. Surtout ça ; la qualité.
Une pensée pour tout le monde. Et m'en vais faire un café, moi. Tiens, je vous en paie un. A la vôtre !
Bon, et puis, c'est pas parce que je suis en retard que je vais faire l'impasse ...
BONNE ANNEE A TOUTES ET TOUS !
Que 2009 nous soit prolifique et qu'il nous permette d'échanger longtemps, souvent, et satisfaisamment. Surtout ça ; la qualité.
Une pensée pour tout le monde. Et m'en vais faire un café, moi. Tiens, je vous en paie un. A la vôtre !
Coucuo Tistounet !
ça faisait longtemps.
tu as reçu mon message j'espère ainsi que mes voeux ?
Merci pour le café.
Tiens, j'en fais un à l'instant. Combien de sucre ?
Oui, bon, pour les fuseux, et tout ça...
Mais je crois que mon délégué (alias Soso) peut s'occuper mieux que moi de la paperasserie-informatiquechierie.
Là où j'attéry... c'est là qu je poste. Lol !
Il pleut comme jamais, et pourtant, cette année, jamais de pluie on ne peut plus le dire.
D'ailleurs il a plu depuis novembre comme jamais.
Jamais vu ça en plus de cinquante ans que je suis sur la Côte d'Azur disait l'autre jour un mec du garage où je portais ma voiture.
Ce n'est plus de la pluie, ce sont des trombes qui tombent sans discontinuer pendant des heures.
C'est vrai que c'est un peu inquiétant tout de même.
Et on a eu un mini tsunami à Cannes;
La ville que tu n'aimes pas. ça les a rincés...
Bon zou, j'arrête de dire des bêtises.
J'essaierai à l'avenir de faire attention où je poste mes "délires".
Wizzous;)
Yentl.
ça faisait longtemps.
tu as reçu mon message j'espère ainsi que mes voeux ?
Merci pour le café.
Tiens, j'en fais un à l'instant. Combien de sucre ?
Oui, bon, pour les fuseux, et tout ça...
Mais je crois que mon délégué (alias Soso) peut s'occuper mieux que moi de la paperasserie-informatiquechierie.
Là où j'attéry... c'est là qu je poste. Lol !
Il pleut comme jamais, et pourtant, cette année, jamais de pluie on ne peut plus le dire.
D'ailleurs il a plu depuis novembre comme jamais.
Jamais vu ça en plus de cinquante ans que je suis sur la Côte d'Azur disait l'autre jour un mec du garage où je portais ma voiture.
Ce n'est plus de la pluie, ce sont des trombes qui tombent sans discontinuer pendant des heures.
C'est vrai que c'est un peu inquiétant tout de même.
Et on a eu un mini tsunami à Cannes;
La ville que tu n'aimes pas. ça les a rincés...
Bon zou, j'arrête de dire des bêtises.
J'essaierai à l'avenir de faire attention où je poste mes "délires".
Wizzous;)
Yentl.
Bien reçu message. Bien reçu voeux. Pas de sucre dans le café.
Quant à Cannes, qu'il ... se noie, ça ne me dérange pas plus que ça !
Ici point de noyade, c'est de congélation qu'il est question. La neige au sol appelle celle des nuages et manifestement il y en a, là-haut.
Touffu, je dirais, ton jet en 5 mn. 5 mn vraiment ? Eh ben ! Moi je persiste à penser que tu gagnerais à te poser et à endiguer, canaliser, élaguer, domestiquer un peu le flux dru qui jaillit de ta plume. La facilité à aligner mots, phrases, idées, fort bien, mais à un moment peut-être faut-il se préoccuper du lecteur, au moins le prendre en pitié, par la main et un peu le guider, non ?
Bon, ton atelier d'écriture ça n'est sûrement la panacée. Ici malheureusement ça ne l'est plus trop. Il y eût des avis intéressants, divers et pertinents, il y eût ...
On est quand même quelques uns toujours intéressés à te lire, donc n'hésitons pas. Ta virulence fait plaisir.
Quant à Cannes, qu'il ... se noie, ça ne me dérange pas plus que ça !
Ici point de noyade, c'est de congélation qu'il est question. La neige au sol appelle celle des nuages et manifestement il y en a, là-haut.
Touffu, je dirais, ton jet en 5 mn. 5 mn vraiment ? Eh ben ! Moi je persiste à penser que tu gagnerais à te poser et à endiguer, canaliser, élaguer, domestiquer un peu le flux dru qui jaillit de ta plume. La facilité à aligner mots, phrases, idées, fort bien, mais à un moment peut-être faut-il se préoccuper du lecteur, au moins le prendre en pitié, par la main et un peu le guider, non ?
Bon, ton atelier d'écriture ça n'est sûrement la panacée. Ici malheureusement ça ne l'est plus trop. Il y eût des avis intéressants, divers et pertinents, il y eût ...
On est quand même quelques uns toujours intéressés à te lire, donc n'hésitons pas. Ta virulence fait plaisir.
Comme Tistou La Fée, si tu fais l'effort d'écrie un truc à peine plus carré sans perdre ce brin de folie et cet enthoisiasmen je suis sûr que tu peux faire quelque chose de bien ! Tu as une grande sensibilité et ton côté écorchée vive peut te faire produire un texte très intéressant. Fonce, tu mettras en forme après ! Ecris tes folies, tes galères, tes fantasmes, tes délires, tes joies, tes peines, ... et nous serons très heureux de te lire !
Je crois qu'on va créer un fan club, pour l'encourager à écrire. C'est vrai que pour tenir la distance sur un récit plus long il faudra bien canaliser ton énergie.
Enfin des paroles bénies...
Venant de Saule cela ne m'étonne pas trop ;)))
"si tu fais l'effort d'écrie un truc à peine plus carré..."
Qu'entends-tu par "un truc à peine plus carré", débézed ?
Il n'est ni rond ni carré ni pointu,
Il est ovale, il est ovale,
Il n'est ni rond ni carré ni pontu,
Il est ovale mon truc...
(Vous connaissez l'air de cette comptine ?)
Wizzous-night.
Je vais me coucher, sinon Saint-Jean va encore s'inquiéter de ma petite santé.
A demain les petits choux...
La Fée.
Venant de Saule cela ne m'étonne pas trop ;)))
"si tu fais l'effort d'écrie un truc à peine plus carré..."
Qu'entends-tu par "un truc à peine plus carré", débézed ?
Il n'est ni rond ni carré ni pointu,
Il est ovale, il est ovale,
Il n'est ni rond ni carré ni pontu,
Il est ovale mon truc...
(Vous connaissez l'air de cette comptine ?)
Wizzous-night.
Je vais me coucher, sinon Saint-Jean va encore s'inquiéter de ma petite santé.
A demain les petits choux...
La Fée.
Petits choux ... ???
Bonjour le monde tout blanc tout froid.
Fait froid. Fait blanc.
J'ai coupé hier mes derniers liens avec ma néo-ex société. J'en rencontre une autre semaine prochaine ... Inch'Allah !
Sarkozy continue ses conneries, Israël, n'en parlons pas ! Vive 2009 et la bêtise des gouvernants !
Qui parlait de révolution ?!
Bonjour le monde tout blanc tout froid.
Fait froid. Fait blanc.
J'ai coupé hier mes derniers liens avec ma néo-ex société. J'en rencontre une autre semaine prochaine ... Inch'Allah !
Sarkozy continue ses conneries, Israël, n'en parlons pas ! Vive 2009 et la bêtise des gouvernants !
Qui parlait de révolution ?!
Raconter une histoire aussi délirante que les mots que tu fais danser sur la feuille . Je ne sais pas trop comment dire .. quelque chose qui dépasse la longueur d'une scène, quelque chose qui dépasse les mots, quelques chose qui fasse durer l'émotion un peu plus longtemps.
Tu as le talent pour écrire quelque chose de plus long qui nécessite un fil conducteur même dans le délire ou la fantaisie. Faire jouer les mots comme tu sais le faire autour d'une idée qui se déroule, rebondit et fait tout ce que tu as envie de lui faire faire....
J'aimerais ça !
Tu as le talent pour écrire quelque chose de plus long qui nécessite un fil conducteur même dans le délire ou la fantaisie. Faire jouer les mots comme tu sais le faire autour d'une idée qui se déroule, rebondit et fait tout ce que tu as envie de lui faire faire....
J'aimerais ça !
Raconter une histoire aussi délirante que les mots que tu fais danser sur la feuille .
J'aimerais ça !
Tu connais des drôles de comptine, La Fée... ;-))
Enfin, j'ai peut-être l'esprit mal tourné.
Moi, comme Dbz, j'aimerais aussi. Il y a du Proust dans ce que tu écris, je trouve. Du Proust, fantaisiste, baroque, loufoque... mais un peu Proust quand même. Finalement, non ! c'est du La Fée...
Je n'oserais même pas comparer ;)))
Et puis, le pauvre Marcel a tout de même passé sa vie dans un lit.
C'est bien ce que je disais ci-dessus je crois.
Alors, évidemment, il avait tout son temps.
Et puis il avait sa fidèle compagne, Françoise je crois qu'elle s'appelait et qui lui faisait sa mise en page et l'aidait à reformer l'incroyabe puzzle de ses "paperoles".
Ou alors Françoise c'est un nom de "La Recherche". Enfin, ché plus.
Pas grave. C'est pour dire.
Mes paparoles à moi sont par-ci, par-là, dans des cahiers, dans des cartons, sur des clé usb, dans des forums, dans mon disque dur et j'en oublie sans doute.
Mes choupinets, c'est super comme vous m'encouragez.
Alors, je dois vous dire en ce bel après-midi du soleil janusien revenu, que depuis deux jours environ (hier et aujourdh'ui) eh bien... j'écrivais "en direct" sur CL.
Alors, justement, je vous parlais, entre autres, des mots que j'invente parfois. Donc, si le lexique ne vous renseigne pas pour "Janusien" pas grave. C'était de moi.
Cela commençait à avoir pris tournure. Et même à la relecture, ça avait belle allure. Mais voilà. Comme toujours la chtoune m'a guettée au coin de l'ordi. Non, je blague. C'est ma faute ce qui est arrivé, vous allez voir.
Ce matin même j'avais mis une dernière touche à un bon morceau de chapitre, dont la longueur laissait présager que je vous fournissais un véritable travail d'écrivain, chose inhabituelle pour moi, mais bêtassonne que je suis, je l'ai fait sans filet.
Donc, sans avoir sauvegardé, ou écrit sous works ou word...
Bref. Ce qui devait arriver arriva. Bouhhh !
J'avais mis en stand-by mais ce petit chapitre était super, dans le genre que vous m'aviez demandé.
C'était, comment dire, un chapitre d'une histoire dont vous prendriez le train en route, mais qui vous aurait tout de suite mis sur la voie.
eh bien... ce train-là a déraillé.
Car, idiote que je suis, (bis repetita) en ouvrant une autre page du net, j'ai vu disparaître ma fenêtre CL plus vite que la meilleure livraison de La Redoute, et ce n'est pas peu dire vu qu'ils n'ont plus trop le temps, car eux aussi, malheureusement, ils vont fermer.
(clin d'oeil à Tistou... bouh !)
Alors, me voilà face à vous. Honteuse et appauvrie de quelques feuillets virutels mais qui contenaient tout de même une "page" de ma pensée.
Je commence à m'habituer à perdre des écrits.
Je me dis que ce doit être une façon détournée et inconsciente du refus d'affronter la peur de l'échec de "doner à lire".
Etre lu relève un peu de l'exhibitionnisme je pense. Enfin, je ne sais pas trop. Mais un truc dans ce genre.
Alors, ce n'est pas grave ? Hmm... pas trop.
Les Dieux du courage et de la mémoire avec moi ont fort à faire.
C'est vrai que la deuxième fois, ce n'est plus l'inspiration. C'est l'expérience.
Disons que ce matin, on a perdu un peu de l'inspiration de La Fée, mais que l'on a gagné un peu d'expérience de téry.
Voilou !
Je commence à prendre un peu plus confiance.
Surtout avec ce que j'ai écrit à l'atelier d'écriture jeudi soir.
C'est justement en vous relatant les évènements de cet atelier que malencontreusement l'histore à disparu dans le flot informe des espaces cyber-électroniques.
Peut-être mon disque dur en garde-t'il la trace ?
Je ne sais.
Donc, je ne vous raconterai pas à nouveau ce que je vous disais depuis deux jours, mais vous avez droit du coup à mon petit exercice réalisé en deux minutes avec 12 mots choisis deux à deux par les quatre intervenants que nous étions à cet atelier.
Comme j'avais amené la galette des Rois et le vin d'orange, les mots choisis devaient commencer pour moitié par "PAR" et "POUR" à cause du partage à dit l'animatrice de l'atelier.
Voici donc sans plus de commentaire mon petit... comment appelleriez-vous ça ? Ode ? pfff... ché pas trop...
Je l'intitulerais "L'apologie de Socrate en abrégé par La Fée".
Là je m'adresse aux exégètes de la littérature si vous avez le nom précis de ce genre de court texte. (pour mon fort intérieur ça m'intéresse de le savoir.)
Les mots du "partage" étaient :
parménide pouboire
parthénon pourlécher
parure pourceau
parbleu pouvu que
parcours pourrai
particule pourcentage
"Parbleu ! fit Parménide.
Pourvu que ces pourceaux ne prennent pas pour parure les paroles de ton discours, ô divin Socrate !
- Je les leur laisse comme pourboire.
- Certains ont mis sur ton parcours la cigüe, le sais-tu ?
- Je m'en pourlèche d'avance. Mourir pour la Vérité. Quel pourcentage, le don de ma vie, sur la connaissance des siècles à venir !
- Le Parthénon t'en est témoin, ô doux Socrate ! Et moi aussi je pourrai témoigner. Tu n'as rien écrit, mais rien que citer ton nom sera la particule de la Philosophie.
===========(c) fin.
J'avoue que lorsque j'ai compris ce que j'avais écrit, je me suis dit que décidément je n'étais pas "seule" dans l'Univers.
"ILS"... "EUX"... sont là... mdr... ils écoutent... et ils renvoient parfois cette part de magique insondable dont je m'étonne moi-même être pouvue. Mais, nous participons tous ce cette Magie qu'est le Verbe, n'est-il pas.
Merci amis Céliens. Vous lire aussi est un véritable plaisir.
Demain c'est mon anniversaire, alors, ceci était un peu le cadeau que je vous fais, ne pouvant vous offrir du Champagne, ce sont quelques bulles de mon cerveau qui pétille (mot que vous aimez utiliser pour ma prose)... Nous boirons le vin des esprits...
Zou ! Je poste avant de tout reperdre.
Wizzous...
La Fée.
Et puis, le pauvre Marcel a tout de même passé sa vie dans un lit.
C'est bien ce que je disais ci-dessus je crois.
Alors, évidemment, il avait tout son temps.
Et puis il avait sa fidèle compagne, Françoise je crois qu'elle s'appelait et qui lui faisait sa mise en page et l'aidait à reformer l'incroyabe puzzle de ses "paperoles".
Ou alors Françoise c'est un nom de "La Recherche". Enfin, ché plus.
Pas grave. C'est pour dire.
Mes paparoles à moi sont par-ci, par-là, dans des cahiers, dans des cartons, sur des clé usb, dans des forums, dans mon disque dur et j'en oublie sans doute.
Mes choupinets, c'est super comme vous m'encouragez.
Alors, je dois vous dire en ce bel après-midi du soleil janusien revenu, que depuis deux jours environ (hier et aujourdh'ui) eh bien... j'écrivais "en direct" sur CL.
Alors, justement, je vous parlais, entre autres, des mots que j'invente parfois. Donc, si le lexique ne vous renseigne pas pour "Janusien" pas grave. C'était de moi.
Cela commençait à avoir pris tournure. Et même à la relecture, ça avait belle allure. Mais voilà. Comme toujours la chtoune m'a guettée au coin de l'ordi. Non, je blague. C'est ma faute ce qui est arrivé, vous allez voir.
Ce matin même j'avais mis une dernière touche à un bon morceau de chapitre, dont la longueur laissait présager que je vous fournissais un véritable travail d'écrivain, chose inhabituelle pour moi, mais bêtassonne que je suis, je l'ai fait sans filet.
Donc, sans avoir sauvegardé, ou écrit sous works ou word...
Bref. Ce qui devait arriver arriva. Bouhhh !
J'avais mis en stand-by mais ce petit chapitre était super, dans le genre que vous m'aviez demandé.
C'était, comment dire, un chapitre d'une histoire dont vous prendriez le train en route, mais qui vous aurait tout de suite mis sur la voie.
eh bien... ce train-là a déraillé.
Car, idiote que je suis, (bis repetita) en ouvrant une autre page du net, j'ai vu disparaître ma fenêtre CL plus vite que la meilleure livraison de La Redoute, et ce n'est pas peu dire vu qu'ils n'ont plus trop le temps, car eux aussi, malheureusement, ils vont fermer.
(clin d'oeil à Tistou... bouh !)
Alors, me voilà face à vous. Honteuse et appauvrie de quelques feuillets virutels mais qui contenaient tout de même une "page" de ma pensée.
Je commence à m'habituer à perdre des écrits.
Je me dis que ce doit être une façon détournée et inconsciente du refus d'affronter la peur de l'échec de "doner à lire".
Etre lu relève un peu de l'exhibitionnisme je pense. Enfin, je ne sais pas trop. Mais un truc dans ce genre.
Alors, ce n'est pas grave ? Hmm... pas trop.
Les Dieux du courage et de la mémoire avec moi ont fort à faire.
C'est vrai que la deuxième fois, ce n'est plus l'inspiration. C'est l'expérience.
Disons que ce matin, on a perdu un peu de l'inspiration de La Fée, mais que l'on a gagné un peu d'expérience de téry.
Voilou !
Je commence à prendre un peu plus confiance.
Surtout avec ce que j'ai écrit à l'atelier d'écriture jeudi soir.
C'est justement en vous relatant les évènements de cet atelier que malencontreusement l'histore à disparu dans le flot informe des espaces cyber-électroniques.
Peut-être mon disque dur en garde-t'il la trace ?
Je ne sais.
Donc, je ne vous raconterai pas à nouveau ce que je vous disais depuis deux jours, mais vous avez droit du coup à mon petit exercice réalisé en deux minutes avec 12 mots choisis deux à deux par les quatre intervenants que nous étions à cet atelier.
Comme j'avais amené la galette des Rois et le vin d'orange, les mots choisis devaient commencer pour moitié par "PAR" et "POUR" à cause du partage à dit l'animatrice de l'atelier.
Voici donc sans plus de commentaire mon petit... comment appelleriez-vous ça ? Ode ? pfff... ché pas trop...
Je l'intitulerais "L'apologie de Socrate en abrégé par La Fée".
Là je m'adresse aux exégètes de la littérature si vous avez le nom précis de ce genre de court texte. (pour mon fort intérieur ça m'intéresse de le savoir.)
Les mots du "partage" étaient :
parménide pouboire
parthénon pourlécher
parure pourceau
parbleu pouvu que
parcours pourrai
particule pourcentage
"Parbleu ! fit Parménide.
Pourvu que ces pourceaux ne prennent pas pour parure les paroles de ton discours, ô divin Socrate !
- Je les leur laisse comme pourboire.
- Certains ont mis sur ton parcours la cigüe, le sais-tu ?
- Je m'en pourlèche d'avance. Mourir pour la Vérité. Quel pourcentage, le don de ma vie, sur la connaissance des siècles à venir !
- Le Parthénon t'en est témoin, ô doux Socrate ! Et moi aussi je pourrai témoigner. Tu n'as rien écrit, mais rien que citer ton nom sera la particule de la Philosophie.
===========(c) fin.
J'avoue que lorsque j'ai compris ce que j'avais écrit, je me suis dit que décidément je n'étais pas "seule" dans l'Univers.
"ILS"... "EUX"... sont là... mdr... ils écoutent... et ils renvoient parfois cette part de magique insondable dont je m'étonne moi-même être pouvue. Mais, nous participons tous ce cette Magie qu'est le Verbe, n'est-il pas.
Merci amis Céliens. Vous lire aussi est un véritable plaisir.
Demain c'est mon anniversaire, alors, ceci était un peu le cadeau que je vous fais, ne pouvant vous offrir du Champagne, ce sont quelques bulles de mon cerveau qui pétille (mot que vous aimez utiliser pour ma prose)... Nous boirons le vin des esprits...
Zou ! Je poste avant de tout reperdre.
Wizzous...
La Fée.
Joeux anniversaires !
Et je suis sûr que tu pourrais écrire l'histoire de la nana qui coupe les emmerdes en deux pour être sûre d'en avoir une pour le lendemain ! T'as déjà écrit le début ci-dessus !
Et je suis sûr que tu pourrais écrire l'histoire de la nana qui coupe les emmerdes en deux pour être sûre d'en avoir une pour le lendemain ! T'as déjà écrit le début ci-dessus !
BON ANNIVERSAIRE, MISS TERY
;)
;)
Joeux anniversaires !
Et je suis sûr que tu pourrais écrire l'histoire de la nana qui coupe les emmerdes en deux pour être sûre d'en avoir une pour le lendemain ! T'as déjà écrit le début ci-dessus !
Heu... merci à tous les deux.
Par con... je ne sais pas si c'est le man... de ...meil mais je n'ai pas saisi la fin.... de ton ...let, ci-des... ....iqué en vert.
Bonne idée en tous cas.
Tiens, je commence l'expérience.
J'ai dû enlever quelques lettres pour voir si leur absence enlevait du sens. Et puis, si j'arrive à amputer mes phrases de la moitié des mots déjà que j'écris guère eh bien mon Livre sera très économique à imprimer. ;)))
Des fois, même avec tous les mots et toutes les lettres qui les composent on a du mal. Alors !
Ceci s'inscrit dans une démarche kabbaliste... ou listique au choix.
Faut que je pense à passer à la pompe cet aprèm'... (lolll) en fait je vais aller faire l'essence... (gniark !!!)
ptdr...
Qui parle sème. Qui écoute récolte. (et c'est qui qui a dit ça ??? Heiiiinnnn ???)
La Fée
La fée, tu sais ce que j'aime le plus dans ce que tu écris? Le côté "sans-écrit-fixe"... où que tu te poses, tu sors la plume et on en a plein les yeux! C'est de l'art au quotidien, celui que j'aime le plus, comme le théâtre de rue, les (vrais) musiciens dans la rue...
Mille merci pour ça :)))
Mille merci pour ça :)))
Qui parle sème. Qui écoute récolte. (et c'est qui qui a dit ça ??? Heiiiinnnn ???)
La Fée
Pas moi, Mdame !
"Ce matin même j'avais mis une dernière touche à un bon morceau de chapitre, dont la longueur laissait présager que je vous fournissais un véritable travail d'écrivain, chose inhabituelle pour moi, mais bêtassonne que je suis, je l'ai fait sans filet.
Donc, sans avoir sauvegardé, ou écrit sous works ou word...
Bref. Ce qui devait arriver arriva. Bouhhh !"
Je ne supporte pas ce genre de situation, qui ne m'arrivent plus que dans quelques cas de réponses un peu longues dans des forums. C'est bien simple : c'est l'horreur.
Donc Word now, svp !!!
Je profite de votre attention pour lancer un avis de grand beau. Un temps à glisser sur les pistes, qu'on se le dise. D'ailleurs c'est parce que je suis bloqué que je n'y suis pas. Sinon ...
Il faudrait qu'on poursuive notre conversation sur Cannes un de ces jours La Fée. J'en ai 2 actuellement chez moi. Enfin une vraie et un faux et ça confirme bien ce que j'en pense ...
Nos petits enfants peuvent être de beaux garçons. Je répète ; nos petits enfants peuvent être de beaux garçons. (quand je pense que ça veut dire que je suis grand-père ... sacré coup de vieux !
Donc, sans avoir sauvegardé, ou écrit sous works ou word...
Bref. Ce qui devait arriver arriva. Bouhhh !"
Je ne supporte pas ce genre de situation, qui ne m'arrivent plus que dans quelques cas de réponses un peu longues dans des forums. C'est bien simple : c'est l'horreur.
Donc Word now, svp !!!
Je profite de votre attention pour lancer un avis de grand beau. Un temps à glisser sur les pistes, qu'on se le dise. D'ailleurs c'est parce que je suis bloqué que je n'y suis pas. Sinon ...
Il faudrait qu'on poursuive notre conversation sur Cannes un de ces jours La Fée. J'en ai 2 actuellement chez moi. Enfin une vraie et un faux et ça confirme bien ce que j'en pense ...
Nos petits enfants peuvent être de beaux garçons. Je répète ; nos petits enfants peuvent être de beaux garçons. (quand je pense que ça veut dire que je suis grand-père ... sacré coup de vieux !
"J'avoue que lorsque j'ai compris ce que j'avais écrit, je me suis dit que décidément je n'étais pas "seule" dans l'Univers.
"ILS"... "EUX"... sont là... mdr... ils écoutent... et ils renvoient parfois cette part de magique insondable dont je m'étonne moi-même être pouvue."
J'adore quand tu te la joues ainsi, La Fée !!
"ILS"... "EUX"... sont là... mdr... ils écoutent... et ils renvoient parfois cette part de magique insondable dont je m'étonne moi-même être pouvue."
J'adore quand tu te la joues ainsi, La Fée !!
"Demain c'est mon anniversaire"
Bon sang, je ne l'avais vu ! Mille excuses d'arriver telle la cavalerie, en retard, forcément en retard. Bon ANNIVERSAIRE, donc, pour ... pour ... pour combien au fait en vrai, La Fée ? (il fût un temps où ça m'énervait facilement qu'on dissimule ainsi son âge ... bof, on se calme, on vieillit)
Il fût un temps aussi où l'on fêtait plus que dignement les anniversaires ... Bon mais pour ça il faut former un groupe plus uni, plus assidu et plus à l'écoute les uns des autres.
Bon sang, je ne l'avais vu ! Mille excuses d'arriver telle la cavalerie, en retard, forcément en retard. Bon ANNIVERSAIRE, donc, pour ... pour ... pour combien au fait en vrai, La Fée ? (il fût un temps où ça m'énervait facilement qu'on dissimule ainsi son âge ... bof, on se calme, on vieillit)
Il fût un temps aussi où l'on fêtait plus que dignement les anniversaires ... Bon mais pour ça il faut former un groupe plus uni, plus assidu et plus à l'écoute les uns des autres.
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