Je viens de finir Quoi ? L'éternité, de Marguerite Yourcenar, que j'ai plutôt apprécié. Je vais attaquer prochainement L'Oeuvre au noir, de la même auteure, et Clarissa, de Stefan Zweig (on ne se refait pas), sans que l'ordre soit encore clairement tranché. Cela se fera en fonction des envies, et des disponibilités de lecture.
Magnifique programme !
Merci !
Fini La Promesse de l'aube de Romain Gary: grande question que de savoir si j'ai aimé, adoré ou été irritée. Dans tous les cas, quel destin que le sien. Je ne sais pas sur quoi enchaîner. Ah, un rapide coup d’œil aux étoiles de Pêcheur d'Islande est bien susceptible de me décider (même si bon, ce n'est sans doute pas optimal de choisir en fonction des étoiles...).
Tu sais Lobe, Pêcheur d'Islande est un excellent choix, c'est un monument de la littérature française que tu ne regretteras pas d'avoir lu.
Tiens, encore un de plus que je voudrais relire !
Tiens, encore un de plus que je voudrais relire !
Ah oui, Pêcher d'Islande de Pierre Loti c'est génial!
Moi je suis perplexe....j'ai adoré, mais alors vraiment, "Le Sud" de Borges (une partie de "Fictions"), même si c'est obscur (ou justement parce que ça l'est).
Là je termine "L'Aleph" dont il est dit que c'est beaucoup plus accessible, et je suis complètement larguée...je ne comprends rien.
Perplexe, je vous dis.
Moi je suis perplexe....j'ai adoré, mais alors vraiment, "Le Sud" de Borges (une partie de "Fictions"), même si c'est obscur (ou justement parce que ça l'est).
Là je termine "L'Aleph" dont il est dit que c'est beaucoup plus accessible, et je suis complètement larguée...je ne comprends rien.
Perplexe, je vous dis.
Le IL c'est moi, je l'ai trouvé plus accessible, je ne pourrais dire pourquoi, peut-être parce que j'ai trouvé les histoires plus claires, ou ça peut être parce qu'en lisant Fictions avant j'étais plus habituée au style?
J'ai lu une partie de Fictions avant, et je m'étais familiarisée tout de suite (enfin, rapidement).
Comprends pas....
J'ai commencé "Dans la maison les histoires se défont" de Paul Nizon, wouaouh c'est génial!!!
Comprends pas....
J'ai commencé "Dans la maison les histoires se défont" de Paul Nizon, wouaouh c'est génial!!!
Un petit régal m'attend ce soir... J'en ferai la critique demain. ;-)
Bel arrivage de Belgique par un ami précieux :
- Un recueil de nouvelles érotiques : Assortiment de crudités
- Le pas sage à l'acte ' André Stas (aphorismes)
- Un privé à bas bilan - Eric Dejaeger (polar déconnant)
Tous les trois édités par Cactus inébranlables Editions de Philippe Querton.
Encore des bons moments à passer.
- Un recueil de nouvelles érotiques : Assortiment de crudités
- Le pas sage à l'acte ' André Stas (aphorismes)
- Un privé à bas bilan - Eric Dejaeger (polar déconnant)
Tous les trois édités par Cactus inébranlables Editions de Philippe Querton.
Encore des bons moments à passer.
Ah oui, Pêcher d'Islande de Pierre Loti c'est génial!
Moi je suis perplexe....j'ai adoré, mais alors vraiment, "Le Sud" de Borges (une partie de "Fictions"), même si c'est obscur (ou justement parce que ça l'est).
Là je termine "L'Aleph" dont il est dit que c'est beaucoup plus accessible, et je suis complètement larguée...je ne comprends rien.
Perplexe, je vous dis.
Je ne sais pas ce ton exemplaire du Sud comprenait, mais dans Fictions, la nouvelle Le Sud dénote un peu par rapport au reste. L'histoire est plus simple, plus linéaire que le reste du recueil et notamment que sa première partie, Le jardin aux sentiers qui bifurquent, que j'ai personnellement adorée, mais qui demande quand même un certain effort et de la concentration.
Quant à mes lectures, terminant Sur les falaises de marbre, de Junger, je pense enchaîner avec Le rivage des Syrtes que l'Allemand a semble-t-il inspiré à Gracq.
Deux livres qui apparraissent dans mon "top 10"!
Moi je suis perplexe....j'ai adoré, mais alors vraiment, "Le Sud" de Borges (une partie de "Fictions"), même si c'est obscur (ou justement parce que ça l'est).
Là je termine "L'Aleph" dont il est dit que c'est beaucoup plus accessible, et je suis complètement larguée...je ne comprends rien.
Perplexe, je vous dis.
Je ne sais pas ce ton exemplaire du Sud comprenait, mais dans Fictions, la nouvelle Le Sud dénote un peu par rapport au reste. L'histoire est plus simple, plus linéaire que le reste du recueil et notamment que sa première partie, Le jardin aux sentiers qui bifurquent, que j'ai personnellement adorée, mais qui demande quand même un certain effort et de la concentration.
Je n'ai pas lu 'L'Aleph'. Je pense cependant que les textes de cet auteur (et d'autres auteurs aussi) ne nous parlent pas forcément de suite, du premier coup. J'ai donc envie de te dire: laisse reposer un peu, et reprends plus tard, cette lecture; ta perplexité aura alors peut-être laissé place à autre chose ;-)
Au sujet de 'Sud' versus 'Le jardin aux sentiers qui bifurquent', j'ajouterais que les deux nouvelles ne traitant pas des mêmes thèmes; la première étant plus près, il me semble, de considérations psy, tandis que la seconde s'intéresse à des questions métaphysiques, ne susciteront forcément pas les mêmes réponses. Enfin, c'est mon ressenti.
Je viens de finir "Le Chant du Sabre", qui m'a laissé un sentiment partagé. Je me lance dans la foulée dans "l'Empire Comanche" dont l'épaisseur me fait, je l'avoue, un peu peur.
Je vois que vous avez tous des lectures très intelligentes. Bravo !
Enfin, moi, j'ai réussi à recommencer à lire. Un grand progrès !
Toutefois, j'ai lu beaucoup de choses faciles.
Là, je viens de lire quelque chose d'intéressant : une ré-édition de ce que l'éditeur appelle "le Bonjour tristesse américain".
Il s'agit de "Chocolates for breakfast" de Pamela Moore.
Je ne sais si quelqu'un l'a lu, parmi vous. Il faut dire que je passe peu par ici.
Enfin, moi, j'ai réussi à recommencer à lire. Un grand progrès !
Toutefois, j'ai lu beaucoup de choses faciles.
Là, je viens de lire quelque chose d'intéressant : une ré-édition de ce que l'éditeur appelle "le Bonjour tristesse américain".
Il s'agit de "Chocolates for breakfast" de Pamela Moore.
Je ne sais si quelqu'un l'a lu, parmi vous. Il faut dire que je passe peu par ici.
Je vois que personne n'en a parlé dans les chroniques.
Il s'agit d'un livre écrit par un jeune Américaine de 18 ans, publié en France en 1956. Elle décrit la vie de jeunes New-Yorkais de familles aisées qui noient leur mal de vivre dans l'alcool.
Un peu déprimant, mais intéressant. Une peinture assez étonnante de la jeunesse désabusée des années 50, qui n'a espoir en rien. Mépris des parents, argent jeté par les fenêtres, coucheries sans amour. Comme ça, cela semble bizarre, mais il y a vraiment une description sociologique. Un phénomène dont je n'avais jamais entendu parler.
La jeune romancière aborde aussi le tabou de l'homosexualité féminine, mais de façon très rapide. Le livre a été considéré comme très choquant. On peut juger de l'évolution des USA. Bien que le puritanisme y soit toujours très présent, on rigole quand on compare ce livre avec ce qu'écrivent un Brett Easton Ellis et bien d'autres auteurs.
J'en ferai une chronique rapide, quand j'aurai le courage.
Il s'agit d'un livre écrit par un jeune Américaine de 18 ans, publié en France en 1956. Elle décrit la vie de jeunes New-Yorkais de familles aisées qui noient leur mal de vivre dans l'alcool.
Un peu déprimant, mais intéressant. Une peinture assez étonnante de la jeunesse désabusée des années 50, qui n'a espoir en rien. Mépris des parents, argent jeté par les fenêtres, coucheries sans amour. Comme ça, cela semble bizarre, mais il y a vraiment une description sociologique. Un phénomène dont je n'avais jamais entendu parler.
La jeune romancière aborde aussi le tabou de l'homosexualité féminine, mais de façon très rapide. Le livre a été considéré comme très choquant. On peut juger de l'évolution des USA. Bien que le puritanisme y soit toujours très présent, on rigole quand on compare ce livre avec ce qu'écrivent un Brett Easton Ellis et bien d'autres auteurs.
J'en ferai une chronique rapide, quand j'aurai le courage.
"Le Sud" de Borges (une partie de "Fictions"), même si c'est obscur (ou justement parce que ça l'est).
Je ne sais pas ce ton exemplaire du Sud comprenait,
Les ruines circulaires, Le jardin aux sentiers qui bifurquent, Funes ou la mémoire, La forme de l'épée, La mort et la boussole, Le Sud.
J'ai tout adoré (mais le Sud un peu moins, effectivement), mais les deux premières sont phénoménales et m'ont vraiment scotchée.
Je n'ai pas lu 'L'Aleph'. Je pense cependant que les textes de cet auteur (et d'autres auteurs aussi) ne nous parlent pas forcément de suite, du premier coup.
Ben à moi ça a parlé du premier coup ("le Sud"), et puis au deuxième plus du tout (L'Aleph) alors que c'est réputé pour être plus "simple"......(??)
Mais j'ai pensé effectivement qu'il fallait que je le relise, plus tard, c'est prévu.
Comme je me suis lancé dans le jardinage, j'essai d'en apprendre le plus possible sur les plantes, les légumes, les arbres et autres arbustes. J'essai aussi d'en apprendre sur l’environnementalisme et sur l'écologie. C'est pour cette raison que je lis présentement La Voie du Retour à la Nature : Théorie et pratique pour une philosophie verte écrit par le japonais Masanobu Fukuoka
Je vois que personne n'en a parlé dans les chroniques.
Un peu déprimant, mais intéressant. Une peinture assez étonnante de la jeunesse désabusée des années 50, qui n'a espoir en rien. Mépris des parents, argent jeté par les fenêtres, coucheries sans amour. Comme ça, cela semble bizarre, mais il y a vraiment une description sociologique. Un phénomène dont je n'avais jamais entendu parler.
La jeune romancière aborde aussi le tabou de l'homosexualité féminine, mais de façon très rapide. Le livre a été considéré comme très choquant.
J'en ferai une chronique rapide, quand j'aurai le courage.
Et bien je te souhaite de te rétablir, car j'attends cette critique ! Ce que tu dis me rappelle le livre qui s'intitule "Une jeune femme" de Paul Bodin. Interview d'un jeune femme qui apparemment aura après une certaine célébrité (mais anonyme dans le livre) et de sa vie libérée à Paris, notamment à Pigalle dans les années 60. Ce livre m'avait laissé un goût bizarre... Mais je n'avais peut-être pas tout bien compris...
J'ai commencé "La voleuse de livre" de Markus Zusack et que dire... serais-je blindée contre ce genre de mièvrerie ? Il me semble que c'est trop facile comme récit, comme histoire juste pour émouvoir les lecteurs. On invente un personnage de petite orpheline recueillie par des Allemands peu instruits au seuil de la Deuxième Guerre mondiale et hop le tour est joué. Devrais-je baisser mes exigences, revoir mes critères car je vogue de déceptions en déceptions ces temps-ci. Je veux ensuite voir le film et j'espère au moins pouvoir l'apprécier plus que le livre mais j'ai d'énormes doutes...
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