merci SpaceCadet pour ces informations.
Je n'ai voulu lire aucune critique avant d'aborder le livre. J'en suis au tiers .C'est une langue à la fois simple et très littéraire d'une grande force ;comme souvent ,il donne une dimension grandiose voire mythique à la réalité dont il s'empare.Je confirme qu'il a l'étoffe d'un grand écrivain .Son écriture est unique et si je n'avais pas su que ce livre était de lui ,je l'aurais reconnu indépendamment de ce dont il parle.Néanmoins ,je demeure justement un peu sur la réserve quant au style ,pour le moment.
J'avais déjà noté chez lui l'usage de l'hyperbole et de ces fameuses correspondances spécifiques de son appréhension des choses.Mais pour le coup ,il me semble qu'ici ,il en use et abuse. Mais peut-être cela a-t-il un sens par rapport au reste du livre car il me semble qu'il a commencé par la fin ,la partie normalement la plus intensément dramatique .Je continue...
Je n'ai voulu lire aucune critique avant d'aborder le livre. J'en suis au tiers .C'est une langue à la fois simple et très littéraire d'une grande force ;comme souvent ,il donne une dimension grandiose voire mythique à la réalité dont il s'empare.Je confirme qu'il a l'étoffe d'un grand écrivain .Son écriture est unique et si je n'avais pas su que ce livre était de lui ,je l'aurais reconnu indépendamment de ce dont il parle.Néanmoins ,je demeure justement un peu sur la réserve quant au style ,pour le moment.
J'avais déjà noté chez lui l'usage de l'hyperbole et de ces fameuses correspondances spécifiques de son appréhension des choses.Mais pour le coup ,il me semble qu'ici ,il en use et abuse. Mais peut-être cela a-t-il un sens par rapport au reste du livre car il me semble qu'il a commencé par la fin ,la partie normalement la plus intensément dramatique .Je continue...
Alice Munro encore et toujours. Je lis une de ses nouvelles chaque fois que les Olympiques me laissent un peu de temps... ;-)
Ayant lu il pleuvait des oiseaux dans le cadre du prix CL, livre que j'ai énormément apprécié, j'attaque un deuxième roman de cet auteur, Jocelyne Saucier "Les héritiers de la mine", très prometteur pour le moment.
Je suis dans "Le cimetière de Prague" de Umberto Eco. Du Eco pur jus, à la fois érudit et drôle. Il traine moins en longueur que d'habitude et l'ensemble est plutôt agréable à lire (même si je suis sûrement un peu trop fatigué en ce moment pour apprécier cette lecture à sa juste valeur).
"Muette" d'Eric Pessan.
Enfin les vacances, enfin du temps, enfin de grandes plages de lectures à venir.
La maison est pleine à craquer, de cousins, de copains.
Et bien tout ce petit monde étant grand, il va se débrouiller, un peu.
Moi je vais lire au soleil.
Enfin les vacances, enfin du temps, enfin de grandes plages de lectures à venir.
La maison est pleine à craquer, de cousins, de copains.
Et bien tout ce petit monde étant grand, il va se débrouiller, un peu.
Moi je vais lire au soleil.
"Muette" d'Eric Pessan.Un auteur que j'aime.
J'ai enfin lu la première pierre, de Pierre Jourde. Vraiment très intéressant.
"Muette" d'Eric Pessan.
Un auteur que j'aime.
Je le découvre pour ma part, et pour l'instant je suis séduite.
"Indiana", de George Sand. Très lyrique...
Atala, de Chateaubriand, très lyrique également.
J'ai récupéré trois livres à la soirée CL, j'en ai échangé un avec Miss Teigne, j'ai acheté celui de Véronique Janzyk à la Foire et j'en ai reçu cinq pendant mon absence. Le programme ne se simplifie pas ! Il y en a beaucoup de petits et même des très petits. J'en ai lu deux en revenant de Bruxelles.
"Muette" d'Eric Pessan.
Un auteur que j'aime.
Je le découvre pour ma part, et pour l'instant je suis séduite.
J'étais sûr que tu aimerais !
J'ai attaqué "Noires Blessures" dans le cadre du prix CL
J'avance tranquillement dans le recueil d'Alice Munro "Un peu, beaucoup, pas du tout". Je me laisse tellement distraire par toutes sortes d'autres choses que je ne lis presque plus. Et puis, je me sers de ma nouvelle liseuse pour lire Gogol en parallèle mais je ne suis pas du tout enthousiasmée par cette histoire de diable dans un sac et autres niaiseries de la sorte, cela me fais penser au livre "Le Maître et Marguerite".
Correction : me fait penser...
Je termine bientôt "Une question de justice" de Perry. Une auteure que je découvre.
J'apprécie souvent la collection 10/18 qui me fait découvrir des histoires policières souvent dans un cadre historique
J'apprécie souvent la collection 10/18 qui me fait découvrir des histoires policières souvent dans un cadre historique
"Muette" d'Eric Pessan.
Un auteur que j'aime.
Je le découvre pour ma part, et pour l'instant je suis séduite.
J'étais sûr que tu aimerais !
Et bien bingo!
Plus que ça, même, j'ai franchement adoré. Je trouve ce texte excellent et je l'ai littéralement dévoré jusqu'à 3h du mat', impossible de décrocher. Pourtant il ne se passe pas grand chose, finalement, c'est l'errance d'une adolescente qui fuit sa famille (détestable, même si on n'a que son point de vue), mais traité d'une manière admirable, à cheval entre le très terre à terre "complexe du homard" de Françoise Dolto (le repli sur lui-même de l'adolescent qui mue, change sa carapace devenue trop étroite pour faire peau neuve, ce passage le mettant dans une situation de grande vulnérabilité) et la plus symbolique et mystique "métamorphose" ovidienne.
Merci de me l'avoir prêté, celui-là, et je vais lire d'autres livres d'Eric Pessan, c'est clair.
Il faut que je fasse une critique, j'ai beaucoup de choses à dire.
Mais ce sera quand la maison se sera un peu vidée, que j'aurai les deux choses nécessaires pour jeter sur le papier (heu l'écran, mais on ne se refait pas) mes impressions: du temps devant moi, et du calme.
"traitée"
Je relis ta critique, DBZ (de "Muette"), et je te rejoins complètement sur le "rythme régulier" du texte, qui ne faiblit jamais, ne s'essouffle jamais, garde toute sa cohérence, son esprit, et sa pertinence.
Sinon, j'attaque de ce pas "Un rude hiver", de Raymond Queneau (SJB, si tu me lis.... ;-)
Et dans quelques jours j'irai aux Sandales d'Empédocle (une librairie qui ne vent pas Levy et Musso, mais je crois que tout a été dit et je ne vais pas en remettre une couche) me procurer le dernier Didier da Silva (Ironie du sort) et le dernier Thomas Vinau (je ne sais plus le titre).
Je suis toujours résolue à faire décroître mes piles, mais bon, quand même, quoi.
Et je vais aussi m'atteler au prix CL catégories franco et découvrir franco.
Ca c'est pour la semaine prochaine.
Du pain sur la planche.
Sinon, j'attaque de ce pas "Un rude hiver", de Raymond Queneau (SJB, si tu me lis.... ;-)
Et dans quelques jours j'irai aux Sandales d'Empédocle (une librairie qui ne vent pas Levy et Musso, mais je crois que tout a été dit et je ne vais pas en remettre une couche) me procurer le dernier Didier da Silva (Ironie du sort) et le dernier Thomas Vinau (je ne sais plus le titre).
Je suis toujours résolue à faire décroître mes piles, mais bon, quand même, quoi.
Et je vais aussi m'atteler au prix CL catégories franco et découvrir franco.
Ca c'est pour la semaine prochaine.
Du pain sur la planche.
"vend" (pffff...)
Eric Pessan serait content de lire ce file, il m'honore de son amitié virtuelle sur FB seulement.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre

