Toujours pour Nance : tu as une belle pile de livres devant toi.
"Tess d'Urberville " est un magnifique classique de la littérature anglaise.
Daphné du Maurier, j'ai beaucoup aimé, mais c'était il y a 40 ans ! Je ne sais pas si ça a vieilli. Tu nous le diras.
Je voulais te faire une petite remarque, inspirée par l'une de tes critiques récentes (une que j'ai réussi à entrevoir entre les Spirou et Ric Hochet....ras-le -bol de ceux-là !), je trouve que tu es plutôt dure dans tes appréciations. Je suis allée regarder comment tu notais de façon générale et cela m'a renforcée dans mon impression.
C'est pourquoi, je n'ai aucune idée de ce que tu pourras penser de "Rebecca". :)
"Tess d'Urberville " est un magnifique classique de la littérature anglaise.
Daphné du Maurier, j'ai beaucoup aimé, mais c'était il y a 40 ans ! Je ne sais pas si ça a vieilli. Tu nous le diras.
Je voulais te faire une petite remarque, inspirée par l'une de tes critiques récentes (une que j'ai réussi à entrevoir entre les Spirou et Ric Hochet....ras-le -bol de ceux-là !), je trouve que tu es plutôt dure dans tes appréciations. Je suis allée regarder comment tu notais de façon générale et cela m'a renforcée dans mon impression.
C'est pourquoi, je n'ai aucune idée de ce que tu pourras penser de "Rebecca". :)
Cachou, excuse-moi, je pensais avoir répondu à ton post, mais je ne l'ai pas fait et je m'en excuse.
Je ne connais pas les livres dont tu me parles, j'espère qu'ils t'aident.
Mais s'il y a une chose dont je suis certaine, c'est bien, comme tu le dis mieux que moi : les êtres que nous aimons ne meurent jamais tant que nous pensons à eux. J'ai moi aussi vécu très mal la perte de mon père, qui était un peu l'un des piliers de ma vie, j'avais 33 ans. Ce qui m'a le plus aidé c'est de penser qu'il était toujours avec nous, derrière l'épaule de l'un ou de l'autre quand on pensait à lui.
Le plus important, à mon avis, est de savoir que l'on a fait tout ce qu'on pouvait pour accompagner cette personne aimée, car le pire c'est lorsqu'à la douleur du deuil s'ajoute la culpabilité de ne pas avoir été assez présent et le sentiment de ne pas avoir parlé des choses importantes, de l'amour que l'on a toujours ressenti. Le pire, c'est lorsqu'on n'a pas l'impression d'avoir dit adieu.
Je pense à toi.
Je ne connais pas les livres dont tu me parles, j'espère qu'ils t'aident.
Mais s'il y a une chose dont je suis certaine, c'est bien, comme tu le dis mieux que moi : les êtres que nous aimons ne meurent jamais tant que nous pensons à eux. J'ai moi aussi vécu très mal la perte de mon père, qui était un peu l'un des piliers de ma vie, j'avais 33 ans. Ce qui m'a le plus aidé c'est de penser qu'il était toujours avec nous, derrière l'épaule de l'un ou de l'autre quand on pensait à lui.
Le plus important, à mon avis, est de savoir que l'on a fait tout ce qu'on pouvait pour accompagner cette personne aimée, car le pire c'est lorsqu'à la douleur du deuil s'ajoute la culpabilité de ne pas avoir été assez présent et le sentiment de ne pas avoir parlé des choses importantes, de l'amour que l'on a toujours ressenti. Le pire, c'est lorsqu'on n'a pas l'impression d'avoir dit adieu.
Je pense à toi.
Ah Nance, tu me renvoies à mes 20 ans :
Les Mamas et Papas tournaient en boucle sur mon électrophone (ben oui, c'est comme ça que ça s'appelait !) et les mélodies de "If you're going to San Francisco" etc. me rendent toute mélancolique.
Les années "Flower Power" ont été, je trouve, très riches musicalement.
Quel coup de nostalgie ! Ouaf !
Ca fait drôle, n'est-ce-pas Dbz ! Ca nous file un sale coup de vieux....
Ou bien un bon coup de jeune, si Nance les aime aussi ! :)
Ou bien un bon coup de jeune, si Nance les aime aussi ! :)
Je reviens au sujet initial de ce post. Je lis présentement "Le temps de l'innocence" d'Édith Wharton.
Comme j'attends mes réservations de la biblio, je lis des livres que je possède et je n'avais pas encore lu ce livre de Wharton. J'ai visionné le film une bonne douzaine de fois tellement il est beau et captivant ce qui nuit grandement à ma lecture car le film est assez fidèle au livre et c'est difficile d'avoir un regard neuf. Enfin, il y a des passages qui ne sont pas dans le film ce qui rend le tout intéressant. Et puis, lire le livre apporte beaucoup de nuances et de subtilités à l'histoire que le film peut difficilement rendre.
Comme j'attends mes réservations de la biblio, je lis des livres que je possède et je n'avais pas encore lu ce livre de Wharton. J'ai visionné le film une bonne douzaine de fois tellement il est beau et captivant ce qui nuit grandement à ma lecture car le film est assez fidèle au livre et c'est difficile d'avoir un regard neuf. Enfin, il y a des passages qui ne sont pas dans le film ce qui rend le tout intéressant. Et puis, lire le livre apporte beaucoup de nuances et de subtilités à l'histoire que le film peut difficilement rendre.
Toujours pour Nance : tu as une belle pile de livres devant toi.
"Tess d'Urberville " est un magnifique classique de la littérature anglaise.
Daphné du Maurier, j'ai beaucoup aimé, mais c'était il y a 40 ans ! Je ne sais pas si ça a vieilli. Tu nous le diras.
Je voulais te faire une petite remarque, inspirée par l'une de tes critiques récentes (une que j'ai réussi à entrevoir entre les Spirou et Ric Hochet....ras-le -bol de ceux-là !), je trouve que tu es plutôt dure dans tes appréciations. Je suis allée regarder comment tu notais de façon générale et cela m'a renforcée dans mon impression.
C'est pourquoi, je n'ai aucune idée de ce que tu pourras penser de "Rebecca". :)
J'ai donné 5 étoiles (tu vois, je ne suis pas toujours dure :P) à Les oiseaux/Le pommier de du Maurier et j'ai quelques espoirs pour Rebecca. Ça reste à voir. Mais si l'histoire est banale ou vieille, ce n'est pas grave si il y a de l'atmosphère. Moi aussi je n'ai aucune idée de ce que je vais penser de Rebecca...
Je reviens au sujet initial de ce post. Je lis présentement "Le temps de l'innocence" d'Édith Wharton.
Comme j'attends mes réservations de la biblio, je lis des livres que je possède et je n'avais pas encore lu ce livre de Wharton. J'ai visionné le film une bonne douzaine de fois tellement il est beau et captivant ce qui nuit grandement à ma lecture car le film est assez fidèle au livre et c'est difficile d'avoir un regard neuf. Enfin, il y a des passages qui ne sont pas dans le film ce qui rend le tout intéressant. Et puis, lire le livre apporte beaucoup de nuances et de subtilités à l'histoire que le film peut difficilement rendre.
Je ne peux pas lire un livre si j'ai vu le film avant !
Nance ne complexe pas, moi aussi je réserve les 5 étoiles pour les vrais coups de coeur et il n'y en a pas tant que cela !
J'ai entamé J'irai cracher sur vos tombes, de Boris Vian.
Je relis "La condition humaine" de Malraux, que j'ai lu il y a assez longtemps et qui m'avait un peu déçu relativement à la réputation que ce bouquin s'était faite.
Je me suis dit que peut-être j'avais manqué quelque chose, et que cette fois j'allais enfin voir le côté vraiment extraordinaoire de l'oeuvre, mais pour le moment (je suis vers le milieu du livre) je reste un peu sur la même impression.
Excellent livre bien sûr, mais méritait-il autant de louanges ?
Je me suis dit que peut-être j'avais manqué quelque chose, et que cette fois j'allais enfin voir le côté vraiment extraordinaoire de l'oeuvre, mais pour le moment (je suis vers le milieu du livre) je reste un peu sur la même impression.
Excellent livre bien sûr, mais méritait-il autant de louanges ?
Je relis "La condition humaine" de Malraux, que j'ai lu il y a assez longtemps et qui m'avait un peu déçu relativement à la réputation que ce bouquin s'était faite.
Je me suis dit que peut-être j'avais manqué quelque chose, et que cette fois j'allais enfin voir le côté vraiment extraordinaoire de l'oeuvre, mais pour le moment (je suis vers le milieu du livre) je reste un peu sur la même impression.
Excellent livre bien sûr, mais méritait-il autant de louanges ?
J'ai essayé autrefois, ainsi que L'Espoir. Dans les deux cas, le livre me tombait des mains. C'était il y a longtemps, mon rejet était sûrement excessif, mais... refeuilletée pas plus tard qu'avant-hier (la Condition humaine), cette littérature ne m'attire toujours pas.
Je relis "La condition humaine" de Malraux, que j'ai lu il y a assez longtemps et qui m'avait un peu déçu relativement à la réputation que ce bouquin s'était faite.
Je me suis dit que peut-être j'avais manqué quelque chose, et que cette fois j'allais enfin voir le côté vraiment extraordinaoire de l'oeuvre, mais pour le moment (je suis vers le milieu du livre) je reste un peu sur la même impression.
Excellent livre bien sûr, mais méritait-il autant de louanges ?
J'en doute après l'avoir lu en ... 96 il est vrai !
Je suis en train de lire Le grand nulle part de James Ellroy. Une lecture assez difficile au début vu le nombre de persos, mais un livre vraiment bien foutu qui me plait bien. Un vrai polar qui ne se laisse pas apprivoiser facilement mais qui est très bien écrit, ce qui en facilite la lecture.
J'ai aimé les Gardiens, pas ordinaire comme BD. Il faut que je lise les livres que j'ai emprunter à la bibliothèque. J'entame les correspondances de George Sand et Marie d'Agoult.
Je relis "La condition humaine" de Malraux, que j'ai lu il y a assez longtemps et qui m'avait un peu déçu relativement à la réputation que ce bouquin s'était faite.
Je me suis dit que peut-être j'avais manqué quelque chose, et que cette fois j'allais enfin voir le côté vraiment extraordinaoire de l'oeuvre, mais pour le moment (je suis vers le milieu du livre) je reste un peu sur la même impression.
Excellent livre bien sûr, mais méritait-il autant de louanges ?
Ben vous ètes tous bien durs avec cette brave "Condition humaine" !!
Ben vous ètes tous bien durs avec cette brave "Condition humaine" !!
J'ai essayé de le lire. Pas moyen. J'ai abandonné au bout de 3 pages.
J'ai essayé de le lire. Pas moyen. J'ai abandonné au bout de 3 pages.
Ben vous ètes tous bien durs avec cette brave "Condition humaine" !!
J'ai essayé de le lire. Pas moyen. J'ai abandonné au bout de 3 pages.
Là c'est carrément de la cruauté !
Ben vous ètes tous bien durs avec cette brave "Condition humaine" !!
J'ai essayé de le lire. Pas moyen. J'ai abandonné au bout de 3 pages.Tu n'es pas seule, Nomade...
Même enfermé toute une nuit dans un corps de garde à l'armée, je ne suis pas arrivé au delà du premier chapitre (93 pages)...
;-))
Ben vous ètes tous bien durs avec cette brave "Condition humaine" !!
J'ai essayé de le lire. Pas moyen. J'ai abandonné au bout de 3 pages.Tu n'es pas seule, Nomade...
Même enfermé toute une nuit dans un corps de garde à l'armée, je ne suis pas arrivé au delà du premier chapitre (93 pages)...
;-))
Pareil... Je ne suis jamais parvenue à le lire. J'ai essayé à plusieurs reprises mais il me m'est tombé des mains à chaque fois, peut-être même avant la troisième page :))... mais peut-être un jour...
Hommage consolatoire, dans le Figaro Littéraire, de Mauriac à Malraux, à l'occasion du Prix Nobel raté par ce dernier et attribué, contre toute attente, à Beckett :
« N'importe, Malraux, du moins je le crois, de le plus grand écrivain français vivant et, à coup sûr, le plus singulier. Tous les autres, si différents qu'ils soient, ont entre eux quelques traits communs : ils sont de la famille. Malraux, lui, s'il n'a certes pas été méconnu, demeure un inconnu. D'abord parce que l'intelligence et la culture à partir d'un certain degré isolent celui qui les possède et qui en est en même temps possédé... Il n'a pas tiré ses livres, comme la plupart d'entre nous, d'une enfance qu'il exècre : il les aura vécus, non pas pour raconter ses aventures, mais en épousant étroitement sur le terrain l'Histoire en train de se faire, pour s'interroger sur la condition humaine tragique et absurde, la nôtre, sans perdre conscience à aucun moment, et dès sa jeunesse, du vieillissement, de la mort inévitable... Il n'y a derrière son aucun fond religieux ou métaphysique tel qu'on en trouve – peut-être – derrière celle de l'auteur d'En attendant Godot... Bref, Malraux est un grand poète dont la grandeur repose en premier lieu sur la vie qu'il a vécue - et qu'il a risquée à chaque occasion offerte ».
Personnellement, je préfère Mauriac... et surtout Beckett, que Mauriac visiblement ne connaît pas (mais à l'époque, on peut peut-être lui pardonner).
« N'importe, Malraux, du moins je le crois, de le plus grand écrivain français vivant et, à coup sûr, le plus singulier. Tous les autres, si différents qu'ils soient, ont entre eux quelques traits communs : ils sont de la famille. Malraux, lui, s'il n'a certes pas été méconnu, demeure un inconnu. D'abord parce que l'intelligence et la culture à partir d'un certain degré isolent celui qui les possède et qui en est en même temps possédé... Il n'a pas tiré ses livres, comme la plupart d'entre nous, d'une enfance qu'il exècre : il les aura vécus, non pas pour raconter ses aventures, mais en épousant étroitement sur le terrain l'Histoire en train de se faire, pour s'interroger sur la condition humaine tragique et absurde, la nôtre, sans perdre conscience à aucun moment, et dès sa jeunesse, du vieillissement, de la mort inévitable... Il n'y a derrière son aucun fond religieux ou métaphysique tel qu'on en trouve – peut-être – derrière celle de l'auteur d'En attendant Godot... Bref, Malraux est un grand poète dont la grandeur repose en premier lieu sur la vie qu'il a vécue - et qu'il a risquée à chaque occasion offerte ».
Personnellement, je préfère Mauriac... et surtout Beckett, que Mauriac visiblement ne connaît pas (mais à l'époque, on peut peut-être lui pardonner).
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