Heu... p'tet pas pour tout de suite maintenant quand même ! C'est que j'ai la mise en plis à faire à c'theure mon pauv'môssieur...
Très bien, j'attendrai, je dois admettre qu'il y a des priorités.
Une grande interrogation cependant : peut-on réfléchir avec des bigoudis sur la tête ?
Relis avec un énorme plaisir "Disgrâce" de Coet Zee. Comme quoi les deuxièmes lectures ouvrent des portes encore inconnues lors de la première.
Étant d'esprit "africain" ces temps-ci, je me replongerais bien dans "American Darling" de Banks que j'avais arrêter à cause des lectures universitaires.
Continue "Mme Bovary" et je suis assez surprise de l'intérêt qui me pousse à le finir. Ce n'est pas aussi horrible que tout le monde semble le penser. Par contre, j'ai vu l'adaptation ciné de Chabrol, je sais pas ce que vous en pensez, mais j'ai trouvé ça horriblement plat contrairement au bouquin. Un rendu trop fidèle peut-être?
Me suis achetée un Kundera, "L'identité" dans la collection blanche gallimard, hâte de le commencer, mais j'ai encore pas mal de bouquin à terminer.
Étant d'esprit "africain" ces temps-ci, je me replongerais bien dans "American Darling" de Banks que j'avais arrêter à cause des lectures universitaires.
Continue "Mme Bovary" et je suis assez surprise de l'intérêt qui me pousse à le finir. Ce n'est pas aussi horrible que tout le monde semble le penser. Par contre, j'ai vu l'adaptation ciné de Chabrol, je sais pas ce que vous en pensez, mais j'ai trouvé ça horriblement plat contrairement au bouquin. Un rendu trop fidèle peut-être?
Me suis achetée un Kundera, "L'identité" dans la collection blanche gallimard, hâte de le commencer, mais j'ai encore pas mal de bouquin à terminer.
J'ai commencé il y a deux jours "Les filles" de Lori Lansens.
L'histoire de deux filles siamoises (craniopages)... J'ai du mal à imaginer comment elles sont mais j'aime beaucoup !
L'histoire de deux filles siamoises (craniopages)... J'ai du mal à imaginer comment elles sont mais j'aime beaucoup !
Ce sont souvent des filles très attachantes.
Sinon, à part dire des conneries, je lis "Devenirs du roman", le premier collectif des Éditions Inculte. Vraiment passionnant, je sens que ça va être un de mes livres de chevet.
http://www.inculte.fr/Devenirs-du-roman
http://www.inculte.fr/Devenirs-du-roman
N'empêche, des filles qui partagent le même cerveau, ce n'est pas très original. C'est juste que, par rapport aux autres, il leur manque le wifi.
Relis avec un énorme plaisir "Disgrâce" de Coetzee. Comme quoi les deuxièmes lectures ouvrent des portes encore inconnues lors de la première.
Étant d'esprit "africain" ces temps-ci, je me replongerais bien dans "American Darling" de Banks que j'avais arrêter à cause des lectures universitaires.
Du très, très, très bon... Si tu adores ces deux livres -comme moi- je pense que tu aurais beaucoup de plaisir à lire Mickaël K, sa vie, son temps de Coetzee, si ce n'est pas déjà fait.
C'est quoi les caractéristiques d'une écriture de mec ?
J'avoue que l'idée d'une écriture de/pour mecs et de/pour filles me déplaît fortement. Mais j'ai lu un jour, sur un forum, une remarque de Jules qui disait que peu de femmes appréciaient Ernest Hemingway (j'en suis) parce qu'il avait une écriture très "masculine". Je crois en effet que c'est sans doute vrai concernant Hemingway, même si je suis incapable de dire en quoi son écriture est si "virile" ;-).
Merci Aria pour le conseil !
Merci Aria pour le conseil !
Pardon je me suis trompée de personne ! Merci Avada !
Une grande interrogation cependant : peut-on réfléchir avec des bigoudis sur la tête ?
Palo, apprends que toutes les femmes ne mettent pas des bigoudis, bien au contraire, ça se perd ! On fait des brushings.
Mais tu peux être content de ta blague.
Je ne porte pas de bigoudis, mais il est certain qu'il y a une écriture masculine. J'approuve Antinea a 100%.
Peut-être dans la façon de mettre en scène les personnages masculins.
Je peux citer une femme qui écrit plutôt comme un homme, c'est Ms Proulx, qui a écrit "Brokeback Mountain". C'est ce qui m'a le plus frappée en lisant ses oeuvres.
N'empêche, des filles qui partagent le même cerveau, ce n'est pas très original. C'est juste que, par rapport aux autres, il leur manque le wifi.
Ca te réussit de te lever à 4h du mat' !
Rouchka, en tout cas, je t'approuve aussi de relire Disgrace de Coetzee.
Un de mes livres préférés.
Il y en a un autre qui est extraordinaire, c'est "Au coeur de ce pays", mais c'est un livre très dur.
Un de mes livres préférés.
Il y en a un autre qui est extraordinaire, c'est "Au coeur de ce pays", mais c'est un livre très dur.
Peut-être est-ce comme les juifs; ils portent le poids du monde et ça se ressent dans leur livres ?
Oh non, rien de ce genre !
Je crois que c'est leur passé de misère, de famine, de guerres.
Et puis l'âme celte porte son poids de désespoir. (c'est mal dit, mais quelqu'un comprendra bien...)
Il y en a un autre qui est extraordinaire, c'est "Au coeur de ce pays", mais c'est un livre très dur.
D'accord avec toi, c'est un livre excellent.
Je termine à l'instant "Une veuve de papier" d'Irving
J'ai terminé "Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" de Annie Barrows et Mary Ann Shaffer et je commence "Les Hauts de Hurle-Vent" de Emily Brontë
Ici, j'ai attaqué "Le soleil des Scorta". J'aime beaucoup l'atmosphère de ce bouquin.
Un très bon Gaudé!
J'attaque un énorme pavé, "Essais" de Philippe Muray...
Je viens seulement de découvrir au travers de certaines critiques littéraires récentes (eh oui il y en a de très bonnes) l'existence de cette plume trempée dans du curare qui s'en prend à toutes les formes de bien-pensances; une extraordinaire liberté de ton qui me sied bien, ponctuée de drôlerie, et qui requinque en ces temps de basses eaux "intellectuelles", (oh le gros mot !).
Je reprends un propos du critique du Fig. Litt.-c'est un faux pas que je ne referai pas- qui donne envie d'avaler avec gourmandise son Philippe Muray.:
« Enfant de Bloy par la colère, de Céline par la fièvre, de Rabelais par l'imagination, il se fait un devoir de pulvériser les vanités de son temps, de les transformer façon puzzle. »
SEBASTIEN LAPAQUE, « La charge joyeuse de Philippe Muray contre l'Empire du Bien »
Le Figaro littéraire
Je viens seulement de découvrir au travers de certaines critiques littéraires récentes (eh oui il y en a de très bonnes) l'existence de cette plume trempée dans du curare qui s'en prend à toutes les formes de bien-pensances; une extraordinaire liberté de ton qui me sied bien, ponctuée de drôlerie, et qui requinque en ces temps de basses eaux "intellectuelles", (oh le gros mot !).
Je reprends un propos du critique du Fig. Litt.-c'est un faux pas que je ne referai pas- qui donne envie d'avaler avec gourmandise son Philippe Muray.:
« Enfant de Bloy par la colère, de Céline par la fièvre, de Rabelais par l'imagination, il se fait un devoir de pulvériser les vanités de son temps, de les transformer façon puzzle. »
SEBASTIEN LAPAQUE, « La charge joyeuse de Philippe Muray contre l'Empire du Bien »
Le Figaro littéraire
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