Malone meurt, c'est immense.
Oui c'est ce que j'ai vu ! J'ai lu ta critique élogieuse Feint.
Relue aussi - Malone méritait mieux. Enfin.
"Dans un miroir obscur" de J. Gaarder.
J'ai abandonné Colette, j'ai pas accroché..
J'ai abandonné Colette, j'ai pas accroché..
Je viens d'acheter " Les aigles puent".
Mais j'ai deux livres de la biblio à lire avant.
Pas certaine de respecter l'ordre...
Mais j'ai deux livres de la biblio à lire avant.
Pas certaine de respecter l'ordre...
Les aigles puent aussi, c'est formidable. Volodine est grand (oui Aria : je ne le dirai jamais assez).
Je lis "Le sortilège Malais", de Somerset Maughan. Un recueil de nouvelles un peu... bizarre.
Les aigles puent aussi, c'est formidable. Volodine est grand (oui Aria : je ne le dirai jamais assez).
Les aigles puent, c'est du grand Volodine ?
Je te crois, promis, mais je n'ai pas encore franchi le pas. ;)
En ce moment, je lis :
"Le Club des Policiers Yiddish" de Michael Chabon.
C'est un univers à la fois plein d'humour et de faux polar. Un style bien particulier, très touffu. Il faut donc plutôt s'accrocher par moments.
Il semblerait, d'après les critiques CL, que Chabon ait fait mieux, mais franchement il y a quelques morceaux d'anthologie.
"Le Club des Policiers Yiddish" de Michael Chabon.
C'est un univers à la fois plein d'humour et de faux polar. Un style bien particulier, très touffu. Il faut donc plutôt s'accrocher par moments.
Il semblerait, d'après les critiques CL, que Chabon ait fait mieux, mais franchement il y a quelques morceaux d'anthologie.
Les aigles puent aussi, c'est formidable. Volodine est grand (oui Aria : je ne le dirai jamais assez).
Les aigles puent, c'est du grand Volodine ?
Je te crois, promis, mais je n'ai pas encore franchi le pas. ;)
Aria, tu ne peux savoir à quel point tu es dans l'erreur !!
Feint, on va arriver à la faire craquer !
J'espère ! D'ailleurs j'ai fini Ecrivains, crescendo, de plus en plus fort aussi. Quand je pense qu'on fait un tapage autour du dernier Houellebecq en lui servant du "grand écrivain"... Bref. A mes yeux il y a plein de grands noms du XXe siècle qui ne valent pas tripette à côté de Volodine.
(Mais Aria, je la ferai bien lire Federman, tiens. Federman aussi, c'est grand.)
(Mais Aria, je la ferai bien lire Federman, tiens. Federman aussi, c'est grand.)
J'ai terminé hier la conférence de Maria Trois-Cent-Treize et je trouvais en effet que ça allait crescendo. Il ne m'en reste plus qu'une, je m'y mets tout de suite !
J'espère ! D'ailleurs j'ai fini Ecrivains, crescendo, de plus en plus fort aussi. Quand je pense qu'on fait un tapage autour du dernier Houellebecq en lui servant du "grand écrivain"... Bref. A mes yeux il y a plein de grands noms du XXe siècle qui ne valent pas tripette à côté de Volodine.
(Mais Aria, je la ferai bien lire Federman, tiens. Federman aussi, c'est grand.)
Je ne vais plus oser dire sur ce fuseau ce que je lis, tant je sens que c'est de la m.. par rapport à Volodine et Federman ! :)))
Ces deux hommes, Feint et Stavro m'ont l'air d'être sur CL rien que pour me filer des complexes ! ;)
Ce qu'ils n'ont toujours pas compris c'est que j'ai pas leurs capacités intellectuelles. Nous dirons que les neurones diminuent avec l'âge, tout particulièrement pour moi. :)
Mais non, Aria, on essaye juste de te faire partager quelque chose que l'on trouve particulièrement bon. D'ailleurs, c'est ce qui s'est passé pour moi : Volodine m'était totalement inconnu jusqu'à ce que je lise la critique de Feint sur Avec les moines les soldats. Et puis, j'ai lu les Moines soldats et je suis immédiatement tombé dedans.
Après, c'est vrai que c'est quand même quelque chose de tout à fait particulier et je ne pense pas que tout le monde aime, non pas que ce soit une littérature excessivement exigeante, mais c'est tout de même un monde à part dans lequel il faut accepter de se plonger, c'est unique.
Pour en revenir au sujet du forum, j'ai donc terminé Ecrivains de Volodine et je me plonge dans Purge de Sofi Oksanen. Apparemment, on en dit beaucoup de bien dans cette rentrée littéraire. Vedremmo...
Après, c'est vrai que c'est quand même quelque chose de tout à fait particulier et je ne pense pas que tout le monde aime, non pas que ce soit une littérature excessivement exigeante, mais c'est tout de même un monde à part dans lequel il faut accepter de se plonger, c'est unique.
Pour en revenir au sujet du forum, j'ai donc terminé Ecrivains de Volodine et je me plonge dans Purge de Sofi Oksanen. Apparemment, on en dit beaucoup de bien dans cette rentrée littéraire. Vedremmo...
Stavroguine, tu nous conseillerais quoi pour commencer avec Volodine ?
Ces deux hommes, Feint et Stavro m'ont l'air d'être sur CL rien que pour me filer des complexes !
Absolument, c'est pour ça qu'on s'est inscrits. Aria, lis Chut ou La Fourrure de ma Tante Rachel, de Federman, tu vas adorer et tu n'auras plus de complexes ! (En plus, malgré l'horreur de ce qui est raconté, c'est vraiment un auteur qui donne la pêche !)
La littérature un peu inventive, hors des sentiers battus, est vite taxée d'avant-garde et étiquetée pour les intellos, alors qu'il suffit de la lire sans a priori. ça vaut aussi pour Volodine. Il ne faut pas oublier que Volodine a d'abord été publié dans la collection Présence du futur de Denoël, une collection de littérature populaire, donc - et ça fait plaisir de voir l'estime du public qu'un tel choix supposait de la part du directeur de collection. Volodine, bien sûr, peut dérouter si l'on a des attentes bien prédéfinies fondées sur des idées préconçues à propos de ce à quoi un roman doit ressembler (attitude mortifère pour la littérature, quelle qu'elle soit, d'ailleurs). Si l'on accepte qu'un livre soit vraiment autre chose que tout ce qu'on a déjà lu, alors, c'est en enchantement. Rouchka, puisqu'il est actuellement en librairie, je te conseillerai bien Les aigles puent, de Lutz Bassmann, pour commencer. (Lutz Bassmann, c'est aussi Volodine.)
Ne les écoutez pas, c'est Echenoz qu'il faut lire. (alexandrin)
Tu as un pied en trop.
On dit "Echnoz" ou "Echenoz ?
Je viens de relire "Ecrivains" de Volodine. La première lecture m'avait déçue parce qu'elle paraissait manquer de force d'envoûtement par rapport aux "songes de Mevlido".............
Mais comme le disait le professeur Nabokov , les vrais lecteurs de vraient devenir des "re-lecteurs" pour découvrir les mécanismes, les plans, les effets de ces textes.
La première lecture me donnait l'impression d'une "pause" , d'une réflexion des écrivains post-exotiques sur la légitimité et l'efficacité de leur travail.
A la relecture c'est le texte sur les voix des images , "la noirâtre" , la"rouge", la "vociférante", qui m'a touché. Les exemples de ces images à partir desquelles des voix "sourdent" est très fort.
Donc, comme toujours Volodine est désespérant et lucide, ce qui n'empêche pas de continuer à "vociférer".
J'ai hâte de lire les autres oeuvres de cette dernière vague Volodine.
Mais comme le disait le professeur Nabokov , les vrais lecteurs de vraient devenir des "re-lecteurs" pour découvrir les mécanismes, les plans, les effets de ces textes.
La première lecture me donnait l'impression d'une "pause" , d'une réflexion des écrivains post-exotiques sur la légitimité et l'efficacité de leur travail.
A la relecture c'est le texte sur les voix des images , "la noirâtre" , la"rouge", la "vociférante", qui m'a touché. Les exemples de ces images à partir desquelles des voix "sourdent" est très fort.
Donc, comme toujours Volodine est désespérant et lucide, ce qui n'empêche pas de continuer à "vociférer".
J'ai hâte de lire les autres oeuvres de cette dernière vague Volodine.
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