Il est d'ailleurs peu connu que oui-oui a inspiré la plupart des chefs d'oeuvre de la littérature mondiale, comme le témoigne la critique suivante d'un épisode apocryphe.
La di-ouioui-ne comédie : l’enfer
Dans cette œuvre grandiose, pratiquement impossible à résumer, oui-oui nous mène à la visite de l’enfer , lui même y étant guidé par le fameux Nounours. L’enfer a la forme d’un jeu de flechette, il comporte neuf cercles concentriques. Il rencontre dans chaque cercle les visions les plus horrifiques du pays des jouets : de la playstation et autres incongruités électroniques au " ni oui ni non ", en passant par le trivial poursuite, et le très atroce neuvième cercle au centre duquel il trouvera son compagnon, le nain Potiron qui joue à " chat-bite ".
La difficulté de l’ouvrage réside principalement dans l’usage de la langue ancienne du pays des jouets (dite la langue de bois) dont la traduction moderne ne peut rendre toutes les nuances. Mais oserez-vous suivre oui-oui et nounours au bout de l’enfer ?
La di-ouioui-ne comédie : l’enfer
Dans cette œuvre grandiose, pratiquement impossible à résumer, oui-oui nous mène à la visite de l’enfer , lui même y étant guidé par le fameux Nounours. L’enfer a la forme d’un jeu de flechette, il comporte neuf cercles concentriques. Il rencontre dans chaque cercle les visions les plus horrifiques du pays des jouets : de la playstation et autres incongruités électroniques au " ni oui ni non ", en passant par le trivial poursuite, et le très atroce neuvième cercle au centre duquel il trouvera son compagnon, le nain Potiron qui joue à " chat-bite ".
La difficulté de l’ouvrage réside principalement dans l’usage de la langue ancienne du pays des jouets (dite la langue de bois) dont la traduction moderne ne peut rendre toutes les nuances. Mais oserez-vous suivre oui-oui et nounours au bout de l’enfer ?
Quoi ? Ca aussi ? Qui y croit ?
La disparition d’oui-oui
Qui ou quoi avait disparu ? Un truc, un machin inconnu qui faisait oui-oui chagrin ! L’ami nain potiron qui bricolait, farfouilla au magasin : tout à fait vain ! Accompagnant Oui-oui qui conduit son taxi à fond, zigzaguant au pays du joujou jusqu’à Minitown. Il, voit tour à tour un vilain lutin, l’ours blanc du zoo, puis un anon tout à fait zinzin. Tous ignorants du machin disparu. A la fin, un Clown blanc abbatu apparaît. Il aura la solution du tracas .
Ma foi, un roman ambigu, cousu d’un fil blanc. La narration aboutira par pur hasard. Taisons son climat malsain, quasi à huis clos : Quand Oui-oui boit du whisky au volant du taxi biscornu, Potiron, oisif, fumant du haschich vomit son vin doux. Un propos tabou inoui qui nous abasourdit dans un bouquin hallucinant. Ou alors on aura confondu dans la traduction du manuscrit maudit, substituant dans un imbroglio Blyton a un roman noir.
La disparition d’oui-oui
Qui ou quoi avait disparu ? Un truc, un machin inconnu qui faisait oui-oui chagrin ! L’ami nain potiron qui bricolait, farfouilla au magasin : tout à fait vain ! Accompagnant Oui-oui qui conduit son taxi à fond, zigzaguant au pays du joujou jusqu’à Minitown. Il, voit tour à tour un vilain lutin, l’ours blanc du zoo, puis un anon tout à fait zinzin. Tous ignorants du machin disparu. A la fin, un Clown blanc abbatu apparaît. Il aura la solution du tracas .
Ma foi, un roman ambigu, cousu d’un fil blanc. La narration aboutira par pur hasard. Taisons son climat malsain, quasi à huis clos : Quand Oui-oui boit du whisky au volant du taxi biscornu, Potiron, oisif, fumant du haschich vomit son vin doux. Un propos tabou inoui qui nous abasourdit dans un bouquin hallucinant. Ou alors on aura confondu dans la traduction du manuscrit maudit, substituant dans un imbroglio Blyton a un roman noir.
En exclusivité mondiale, je vous livre la critique du futur épisode de oui-oui :
Le oui-oui code
Le conservateur du musée du jouet est assassiné mystérieusement alors qu’il était sur le point de rencontrer Oui-oui. Ce dernier, expert mondial en LEGO, bientôt accompagné du fils du conservateur, le nain Potiron devra résoudre bien des énigmes à la quête de " la pièce qui s’emboîte dans toutes les autres ". La puce Daisy conspire en secret, et la vache tiquant craint que la vérité ne soit révélée au monde ... . L’aventure nous amènera de la maison en carton du postier jusqu’à la cabane en mousse du jardinier.
Certes le récit est alerte mais le style trop rapide laisse fort à désirer, comme le témoigne le court extrait suivant :
Oui-oui : " La vérité est au fond du verre d’orangeade … qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire ? "
Potiron : " J’ai trouvé il faut le boire pour réussir à lire le numéro qu’il y a écrit dessous "
Oui-oui : " Attends, tu viens de cracher dedans ! "
Potiron : " Ca va j’ai pas la Graal ! "
Plus grave, des rumeurs courent que l’auteur se serait inspirée de théories anti nain-de-jardins, et laisse supposer l’existence de la secte des adorateurs du roudoudou. La polémique enfle devant l’affluence de curieux, le postier a même du interdire l’accès à son jardinet. Mais rien ne nous empêche de prendre plaisir à cette lecture comme une pure fiction …
J'hallucine.
Tout un monde parallèle que j'ignorais.
Quoi ? Ca aussi ? Qui y croit ?
La disparition d’oui-oui
Qui ou quoi avait disparu ? Un truc, un machin inconnu qui faisait oui-oui chagrin ! L’ami nain potiron qui bricolait, farfouilla au magasin : tout à fait vain ! Accompagnant Oui-oui qui conduit son taxi à fond, zigzaguant au pays du joujou jusqu’à Minitown. Il, voit tour à tour un vilain lutin, l’ours blanc du zoo, puis un anon tout à fait zinzin. Tous ignorants du machin disparu. A la fin, un Clown blanc abbatu apparaît. Il aura la solution du tracas .
Ma foi, un roman ambigu, cousu d’un fil blanc. La narration aboutira par pur hasard. Taisons son climat malsain, quasi à huis clos : Quand Oui-oui boit du whisky au volant du taxi biscornu, Potiron, oisif, fumant du haschich vomit son vin doux. Un propos tabou inoui qui nous abasourdit dans un bouquin hallucinant. Ou alors on aura confondu dans la traduction du manuscrit maudit, substituant dans un imbroglio Blyton a un roman noir.
Mais que fait la police?
Et Cuné se joint au débat ! superbe ! effectivement, cette couverture est scandaleuse !
Plus grave, des rumeurs courent que l’auteur se serait inspirée de théories anti nain-de-jardins, et laisse supposer l’existence de la secte des adorateurs du roudoudou.
Le roudoudou? Parle-t-on ici du Rondoudou (rendons à César ce qui appartient à César (le pauvre, qu'est-ce qu'il vient faire là dedans)), petit Pokémon Rond et qui fait s'endormir son auditoire en chantant? Car si tel est le cas, nous pourrions demander l'avis d'un expert en musicologie pour mettre en relation le teintement du grelot de oui oui, le côté lancinant du générique et l'endormissement des spectateurs-lecteurs.
Je suppose qu'il n'y avait aucun rapport entre le roudoudou et le Rondoudou mais je pense tout de même que le phénomène d'endormissement du à cette petite créature pourrait être mis en parallèle avec l'utilité du grelot de notre oui oui... A-t-elle des véléités de réveil pour d'éventuel lectuers (ou spentateurs) trop peu passionné?
Qu’ouis-je ? On dit non à Oui oui ? Non ! Ils n’ont ouient qu’un honteux nombre si concis de Oui oui qu’ils ne comprennent goûte au goût des Oui-ouitiens pour l’ouie d’un compte conséquent de contes de Oui oui. Non mais !
Peut-on être sûr que lorsque l'enfant lit "pour de bon", c'est-à-dire avec une certaine vitesse et un goût des histoires, il se contente des niaiseries de Oui-Oui? Ce sont des petites histoires que les parents racontent mais lire ce genre de trucs, ça doit ennuyer les enfants d'aujourd'hui.
Une information qui devrait intéresser les défenseurs et détracteurs de Oui-Oui.
Le 19 mai prochain, l'Institut International Charles Perrault organise une journée sur le thème "La haine des enfants : le sadisme dans la littérature de jeunesse".
Il s'agira d'esquisser une brève histoire de la cruauté dans la littérature de jeunesse et de distinguer les enjeux du sadisme dans cette littérature.
Lieu de la manifestation: Hôtel de Mézières -Avenue de l'Europe 14 à 95600 Eaubonne
Besoin d'infos?
communication.iicp@club-internet.fr
Le 19 mai prochain, l'Institut International Charles Perrault organise une journée sur le thème "La haine des enfants : le sadisme dans la littérature de jeunesse".
Il s'agira d'esquisser une brève histoire de la cruauté dans la littérature de jeunesse et de distinguer les enjeux du sadisme dans cette littérature.
Lieu de la manifestation: Hôtel de Mézières -Avenue de l'Europe 14 à 95600 Eaubonne
Besoin d'infos?
communication.iicp@club-internet.fr
Je trouve par hasard le site critiqueslibres.com. Je surfe. Ca me plaît. Je m'inscris. Je continue à surfer. Je vois la colonne de gauche : "Oui-Oui" ! Mon sang ne fait qu'un tour. Je commence à lire la critique de Oui-Oui au pays des jouets, LE livre qui m'a ouvert au monde. MON livre-culte. Celui par lequel a commencé mon apprentissage de la lecture et qui a contribué à asseoir sur des bases granitiques mon goût indéfectible pour la littérature. Et que lis-je en fin de critique ? Une critique qui commençait si bien ? Que ce genre de littérature enfantine serait sournoisement PERVERS ?! Que Oui-Oui ne serait pas « si innocent que ça » ? Que les enfants cauchemarderaient au seul souvenir des aventures du malicieux pantin au grelot ??
Mais dans quel monde vivons-nous ?
Méfiez-vous CL-iens et CL-iènnes, j'ai pris les noms ! Les Sahkti-Tistou-April's fool-Cuné-Krystelle-Le Marsu-Sonia P-Féé Carabine : les gémonies sont pour vous. Le procès en diffamation vous guette ici-bas et les flammes de l'enfer ici-haut ! En revanche les Kicilou-Bleunuit-Bluewitch-Killgrieg-Yali-Tophiv et la jeune Sibylline : félicitations pour vos avis avisés. Une mention particulière à SaintJeanBaptiste-Kilis-Lyra will et Zou pour leur bienveillante neutralité.
Par conséquent, je vous informe ici que les coupables ne tarderont pas à voir sous peu les effets juridico-pénaux de leurs délires critiqueslibresques. Comptez sur ma célérité à cette occasion. Impossible pour moi de laisser passer une telle avalanche de méchanceté gratuite !
La procédure est donc lancée. Je me tiens à disposition de chacun(e) pour examiner avec attention toute proposition d’accord à l’amiable. Je reste bien entendu ouvert pour servir d’intermédiaire éventuel à tous transferts de fonds susceptibles d’apaiser la polémique et étouffer éventuellement tout remous judiciaire dans l’oeuf.
A bon entendeur...
Minos6042
Mais dans quel monde vivons-nous ?
Méfiez-vous CL-iens et CL-iènnes, j'ai pris les noms ! Les Sahkti-Tistou-April's fool-Cuné-Krystelle-Le Marsu-Sonia P-Féé Carabine : les gémonies sont pour vous. Le procès en diffamation vous guette ici-bas et les flammes de l'enfer ici-haut ! En revanche les Kicilou-Bleunuit-Bluewitch-Killgrieg-Yali-Tophiv et la jeune Sibylline : félicitations pour vos avis avisés. Une mention particulière à SaintJeanBaptiste-Kilis-Lyra will et Zou pour leur bienveillante neutralité.
Par conséquent, je vous informe ici que les coupables ne tarderont pas à voir sous peu les effets juridico-pénaux de leurs délires critiqueslibresques. Comptez sur ma célérité à cette occasion. Impossible pour moi de laisser passer une telle avalanche de méchanceté gratuite !
La procédure est donc lancée. Je me tiens à disposition de chacun(e) pour examiner avec attention toute proposition d’accord à l’amiable. Je reste bien entendu ouvert pour servir d’intermédiaire éventuel à tous transferts de fonds susceptibles d’apaiser la polémique et étouffer éventuellement tout remous judiciaire dans l’oeuf.
A bon entendeur...
Minos6042
Même pas peur!
La procédure est donc lancée. Je me tiens à disposition de chacun(e) pour examiner avec attention toute proposition d’accord à l’amiable.
Que nenni!
A bon entendeur...non mé ki c sui la ??? Y s'pran pour ki ?? on pneu mèm pa rigolé sur ce site ?? on va pa s'dégonflé !! avoka, tu parle ! un peu blet l'avoka. Pa peur non plu.
Minos6042
Pis, moi, j'veux pas cafter, mais Léonce, aux gémonies ou au paradis ?.....
les gémonies, c'est pas mal Cuné, non? On pourra y torturer le petit Oui-Oui à notre aise :)))
J'ai les noms, et maintenant : un de plus "PROVIS". Avec ses allusions d'une finesse inégalée sur l'hypothétique travail de subversion de personnes apparentées à la famille de la grande Colette, le risque augmente considérablement par rapport à un procès en règle. L'échéance approche mesdames et messieurs. Enid Blyton, mon client, ne laissera pas les langues de vipère salir son grand oeuvre. Toutes ces assertions sans fondement ne resteront pas impunies, croyez-le bien ! Pour informations aus ignorants de la saga du charmant petit pantin, sachez aussi que "Oui-oui à l'école" a déjà été publié. Ce que certain(e)s d'entre vous rêvent d'être un jour. Oubliez ! Tout ceci s'apparente vraisemblablement à une jalousie maladive du même ordre que celle qui vous assaille au vu des immenses succès de la petite Nothomb ou du grand Brown... Patirence, tout se paye.
A bon entendeur,
Minos6042
A bon entendeur,
Minos6042
Ton client? Me semblait qu'Enid Blyton était une femme. "Etait" car elle n'est plus parmi nous.
Mais j'y pense, tu viens de nous donner une des clés du mystère. L'auteur était transexuel! Ta confusion homme-femme ne laisse planer aucun doute. Blyton effectué un transfert de ses pulsions cachées sur son personnage de Oui-Oui. Voilà un aspect intéressant à développer. Ce petit lutin un peu niais qui rit qui pleure, qui aime tout le monde sans pour autant jamais trouver sa place au sein de la société, qui rêve de tout sans être content avec rien... oui, tout cela illustre parfaitement les allers-retours que l'écrivain devait faire, mentalement, lorsqu'elle tentait de trouver sa vraie voie, tant sociale que sexuelle.
Mais j'y pense, tu viens de nous donner une des clés du mystère. L'auteur était transexuel! Ta confusion homme-femme ne laisse planer aucun doute. Blyton effectué un transfert de ses pulsions cachées sur son personnage de Oui-Oui. Voilà un aspect intéressant à développer. Ce petit lutin un peu niais qui rit qui pleure, qui aime tout le monde sans pour autant jamais trouver sa place au sein de la société, qui rêve de tout sans être content avec rien... oui, tout cela illustre parfaitement les allers-retours que l'écrivain devait faire, mentalement, lorsqu'elle tentait de trouver sa vraie voie, tant sociale que sexuelle.
Enid Blyton "était" bien une femme. Provis a jeté une ombre sur cette grande dame en mêlant et confondant les genres. A dessein bien entendu. Le terme "mon client" est générique et tellement habituel dans la profession, qu'il est venu naturellement, n'y voyez rien de malsain comme d'habitude. Déblatérez, épluchez, mixez, servez frais, il ne restera de toutes vos mièvreries diffamatoires que des poussières infimes oubliées dans la fange glauque de vos pensées irresponsables. La qualité intemporelle triomphera, soyez-en certains !
A bon entendeur,
Minos6042
A bon entendeur,
Minos6042
Non non Minos, on dit aussi et souvent "ma cliente" dans la profession, j'en sais quelque chose :)
et que dire de la version originale :
http://www.onlyblyton.cwc.net/
oui oui s'appelle en réalité "noddy" !
en anglais : nod =signe d'assentiment
mais noddy = "stupide" !!!!!!
cf traducteur altavista
http://babelfish.altavista.com/tr
http://www.onlyblyton.cwc.net/
oui oui s'appelle en réalité "noddy" !
en anglais : nod =signe d'assentiment
mais noddy = "stupide" !!!!!!
cf traducteur altavista
http://babelfish.altavista.com/tr
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