@ Cyclo, j’espère que tu n’as pas trop lu les commentaires!
Je crois que tous t’encouragent à le lire, malgré quelques bémols.
J’ai essayé de retenir le groupe, mais il y’avait bcp d’enthousiasme.
Pour la prochaine session, j’indiquerai un échéancier de dates avec les étapes.
Je crois que tous t’encouragent à le lire, malgré quelques bémols.
J’ai essayé de retenir le groupe, mais il y’avait bcp d’enthousiasme.
Pour la prochaine session, j’indiquerai un échéancier de dates avec les étapes.
*** continuation des spoilers ***
Auster suggère fortement la collision, mais elle n’est pas décrite.
Nashe pourrait dévier le trajet à la dernière seconde?
Encore une fois, nous n’avons pas de certitude absolue.
Rappelez-vous que Nashe entretenait le fantasme de tuer le petit fils de Murks, mais il n’est pas passé à l’acte.
Comme Saule l’a mentionné, l’autre grande énigme est celle des 2 millionnaires. Ont-ils tiré les ficelles de tout ça? Est-ce que le simple vol de la figurine dans la maquette a pu causer un plan pour asservir Nashe?
Auster suggère fortement la collision, mais elle n’est pas décrite.
Nashe pourrait dévier le trajet à la dernière seconde?
Encore une fois, nous n’avons pas de certitude absolue.
Rappelez-vous que Nashe entretenait le fantasme de tuer le petit fils de Murks, mais il n’est pas passé à l’acte.
Comme Saule l’a mentionné, l’autre grande énigme est celle des 2 millionnaires. Ont-ils tiré les ficelles de tout ça? Est-ce que le simple vol de la figurine dans la maquette a pu causer un plan pour asservir Nashe?
Je suis d’accord avec la première impression de Pieronnelle : Nashe est, à première vue, un personnage complexe et très simple. Mais que je n’ai pas eu l’impression qu’il se sente des ailes quand la fortune lui tombe dessus. Je trouve qu’il est plutôt désemparé. Au fond, son boulot lui donnait une raison de vivre mais c’est le hasard qui l’avait choisi. Maintenant la fortune lui permet de choisir son destin et ça fait toute la différence.
Alors, pour la première fois de sa vie, il goûte à la liberté. Mais la liberté est une épreuve, il faut choisir, prendre des décisions, il n’en est pas capable. Il commence par se débarrasser de ses obligations envers sa fille et envers toute la société et puis il s’isole dans sa voiture qui va nulle part. Apparemment, le hasard va décider pour lui. Il va se soumettre au hasard des rencontres ou des circonstances qu’il ne choisira pas. C’est difficile de donner un sens à sa vie, c’est peut-être ce que l’auteur veut démontrer dans cette présentation du personnage de Nashe.
Nashe est littéralement un canard sans tête. Vous savez ; celui qui continue à courir quand on lui a coupé la tête ...
J’ai parcouru les critiques CL de « La Musique du Hasard », heureusement après ma lecture, question suspense, et elles m’ont bien étonné.
https://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/757
La plupart des critiqueurs y ont vu des métaphores, des leçons de vie, des messages, et même de la métaphysique…
Je n’ai rien vu de tout ça. Pour moi ce livre est un roman. Un roman bien troussé, bien écrit, très prenant... tout simplement un bon roman.
Mais je suis d’accord avec la première phrase de la critique de Xerinata : « qui n’a jamais eu l’envie de tout larguer ? » Pas moi ! j’aurais voulu tout larguer et partir en roulotte au Larzac avec Antinea. Mais nous n’avions pas de roulotte et puis, je ne suis pas sûr qu’Antinea m’aurait accepté comme compagnon. Alors, hélas ! je ne suis pas parti.
;-))
Ben zut alors ! Et Antinea qui m'avait confié qu'elle aurait bien eu envie de partir à l'aventure en roulotte mais que personne ne le lui avait proposé !! Pour le coup la "musique du hasard" s'est révélée dissonante !
Nashe fait preuve d’un courage assez étonnant dans son acceptation des nouvelles conditions du contrat puisque le remboursement de la dette s’éloigne de plus en plus. Je ne pense pas qu’il soit naïf mais il essaie de justifier le but qu’il s’est fixé et s’il est vraiment conscient du piège dans lequel ils sont tombés il ne veut pas capituler.
Moi je n’y vois ni courage ni but particulier. Nashe est le type même du soumis. Il aurait fait un bon citoyen dans une dictature : fais ce qu’on t’impose et, surtout, ne réfléchis pas !
SJB rebelle en chef !
Pas encore trouvé. Mais vous me donnez envie de le lire !
Persiste, ça en vaut la peine !
Il doit me rester une quinzaine de pages à lire et je me les garde de peur de finir trop vite avec cette belle lecture. Puis je reviens vers vous ... Mais là c'est ping (oui, encore !).
SJB :
Franchement ton avis sur le roman n'est pas très flatteuse pour son auteur, tu l'as bien assaisonné:-)).
Pour ma part je ne croirai jamais que Paul Auster n'a écrit qu'une histoire qui, selon toi n'aurait pas vraiment de consistance . De plus cette appréciation de Nashe comme pauvre type est quand même choquante ...Ça pourrait l'être si l'on prenait cette histoire au pied de la lettre ce qui, à mon avis est totalement impossible , compte tenu de son auteur, de plus quel en serait l'intérêt vu l'invraissemblance de certaines scènes.... ?
Mais chaque ressenti....
Franchement ton avis sur le roman n'est pas très flatteuse pour son auteur, tu l'as bien assaisonné:-)).
Pour ma part je ne croirai jamais que Paul Auster n'a écrit qu'une histoire qui, selon toi n'aurait pas vraiment de consistance . De plus cette appréciation de Nashe comme pauvre type est quand même choquante ...Ça pourrait l'être si l'on prenait cette histoire au pied de la lettre ce qui, à mon avis est totalement impossible , compte tenu de son auteur, de plus quel en serait l'intérêt vu l'invraissemblance de certaines scènes.... ?
Mais chaque ressenti....
Je peux comprendre les critiques de SJB et Saule par rapport à Nashe.
Je me suis attaché à Nashe mais ce ne serait pas le genre d’ami que j’aurais dans ma vie!
Bien qu’il possède tout de même certaines qualités.
Toute la galerie de personnages est un peu surréaliste, ou disons non-conventionnelle. Peut-être Auster l’a voulu ainsi volontairement?
Je me suis attaché à Nashe mais ce ne serait pas le genre d’ami que j’aurais dans ma vie!
Bien qu’il possède tout de même certaines qualités.
Toute la galerie de personnages est un peu surréaliste, ou disons non-conventionnelle. Peut-être Auster l’a voulu ainsi volontairement?
Reste Nashe. Au début il apparaît comme une vraie loppe ; curieusement, en captivité dans sa roulotte, il devient un peu plus raffiné, il écoute de la musique classique et il lit des livres. Mais ce n’est pas très plausible, ça ne correspond pas à son personnage d’abruti : un type qui ne trouve rien de mieux à faire que de rouler jour et nuit dans une voiture, alors qu’il est devenu riche à millions…
Mais il personnalise le type même du soumis : soumis au hasard, soumis aux autres, incapable de mener sa vie. Dans ce sens, on peut dire qu’il est bien typé
Là c'est faux ! Nashe écoutait tout le temps de la musique classique, jazz et autres dans sa voiture. C'est un homme qui lit beaucoup et a une certaine érudition, ses analyses de la musique classique et des musiciens sont pertinentes, et il ne faut pas oublier qu'il a réclamé un piano sur lequel il joue de beaux morceaux...c'est d'ailleurs ce qui lui permet de tenir dans cette roulotte .
De plus il n'a rien d'un "soumis" , il se révolte il veut se venger mais il a des règles morales c'est pourquoi il ne peut tuer l'enfant . Certes il est faible et indécis mzis il a un certain sens du devoir pour rembourser sa dette. En fait il n'est pas assez méchant car les méchants gagnent et pas lui...Il n'a rien d'un pauvre type ,il n'a pas trouvé ,compte tenu de ses faiblesses et erreurs et du hasard mais aussi de sa sensibilité, le mode d'emploi pour vivre. Comme beaucoup....
Là je suis d'accord avec Piero. Nashe n'a pour moi rien d'un abruti. C'est un type cultivé nourri de lectures et de musique classique.
Ensuite, c'est quelqu'un qui a une éthique. Il assume jusqu'au bout ses inconséquences en refusant de se soustraire au règlement de ses dettes. La manière dont il est prêt à se sacrifier pour protéger Pozzi est aussi à verser à son crédit. Il a exercé pendant 7 ans un métier qui demande courage et abnégation au service des autres. Je pense aussi à son comportement avec la jeune prostituée. Il trouve par ailleurs une certaine satisfaction dans le travail bien accompli.
Tout cela brosse le portrait d'un mec plutôt bien ,qui a des valeurs, même si hélas elles se retournent contre lui et contribuent à l'enfermer dans le piège dans lequel il est tombé, en font une victime probablement inadaptée à ce monde de brutes dans lequel nous vivons.
Ensuite, c'est quelqu'un qui a une éthique. Il assume jusqu'au bout ses inconséquences en refusant de se soustraire au règlement de ses dettes. La manière dont il est prêt à se sacrifier pour protéger Pozzi est aussi à verser à son crédit. Il a exercé pendant 7 ans un métier qui demande courage et abnégation au service des autres. Je pense aussi à son comportement avec la jeune prostituée. Il trouve par ailleurs une certaine satisfaction dans le travail bien accompli.
Tout cela brosse le portrait d'un mec plutôt bien ,qui a des valeurs, même si hélas elles se retournent contre lui et contribuent à l'enfermer dans le piège dans lequel il est tombé, en font une victime probablement inadaptée à ce monde de brutes dans lequel nous vivons.
Là je suis d'accord avec Piero. Nashe n'a pour moi rien d'un abruti. C'est un type cultivé nourri de lectures et de musique classique.
Ensuite, c'est quelqu'un qui a une éthique. Il assume jusqu'au bout ses inconséquences en refusant de se soustraire au règlement de ses dettes. La manière dont il est prêt à se sacrifier pour protéger Pozzi est aussi à verser à son crédit. Il a exercé pendant 7 ans un métier qui demande courage et abnégation au service des autres. Je pense aussi à son comportement avec la jeune prostituée. Il trouve par ailleurs une certaine satisfaction dans le travail bien accompli.
Tout cela brosse le portrait d'un mec plutôt bien ,qui a des valeurs, même si hélas elles se retournent contre lui et contribuent à l'enfermer dans le piège dans lequel il est tombé, en font une victime probablement inadaptée à ce monde de brutes dans lequel nous vivons.
Parfaitement d'accord :-)
Là je suis d'accord avec Piero. Nashe n'a pour moi rien d'un abruti. C'est un type cultivé nourri de lectures et de musique classique.
Ensuite, c'est quelqu'un qui a une éthique. Il assume jusqu'au bout ses inconséquences en refusant de se soustraire au règlement de ses dettes. La manière dont il est prêt à se sacrifier pour protéger Pozzi est aussi à verser à son crédit. Il a exercé pendant 7 ans un métier qui demande courage et abnégation au service des autres. Je pense aussi à son comportement avec la jeune prostituée. Il trouve par ailleurs une certaine satisfaction dans le travail bien accompli.
Tout cela brosse le portrait d'un mec plutôt bien ,qui a des valeurs, même si hélas elles se retournent contre lui et contribuent à l'enfermer dans le piège dans lequel il est tombé, en font une victime probablement inadaptée à ce monde de brutes dans lequel nous vivons.
Parfaitement d'accord :-)
Entièrement d'accord avec vous deux. Je pense qu'il est un peu trop "gentil" au point de faire passer Pozzi avant lui. Peut-être aussi son âme de pompier qui fait surface?
J’ai beaucoup aimé cette lecture comme la majorité d’entre nous.
J’ai été impressionnée par la construction du livre et par l’évolution du personnage de Nashe . Homme sans but, sans projet, j’allais presque dire sans consistance comme SJB, qui au fil des rencontres, va évoluer de façon surprenante. D’abord Pozzi, où il se sent responsable du jeune homme, comme un transfert d’une paternité non exercée, puis l’acceptation du sort imposé par les étranges personnages, William Stone et Bill Flowe ou même Musk. D’un homme totalement libre, il accepte l’asservissement (ou presque) au nom de ses valeurs.
Un roman qui laisse aussi tellement de questions sans réponses qu’il peut en être frustrant. " Laurel et Hardy", la partie de cartes, le rôle de Musk, le sort de Pozzzi...
J’ai été impressionnée par la construction du livre et par l’évolution du personnage de Nashe . Homme sans but, sans projet, j’allais presque dire sans consistance comme SJB, qui au fil des rencontres, va évoluer de façon surprenante. D’abord Pozzi, où il se sent responsable du jeune homme, comme un transfert d’une paternité non exercée, puis l’acceptation du sort imposé par les étranges personnages, William Stone et Bill Flowe ou même Musk. D’un homme totalement libre, il accepte l’asservissement (ou presque) au nom de ses valeurs.
Un roman qui laisse aussi tellement de questions sans réponses qu’il peut en être frustrant. " Laurel et Hardy", la partie de cartes, le rôle de Musk, le sort de Pozzzi...
A quoi tient la destinée ! Sniff, sniff, j’ai raté ma vie ! Et puis non après tout, ma belle-mère n’aurait pas voulu…
j’aurais voulu tout larguer et partir en roulotte au Larzac avec Antinea. Mais nous n’avions pas de roulotte et puis, je ne suis pas sûr qu’Antinea m’aurait accepté comme compagnon. Alors, hélas ! je ne suis pas parti.
;-))
Ben zut alors ! Et Antinea qui m'avait confié qu'elle aurait bien eu envie de partir à l'aventure en roulotte mais que personne ne le lui avait proposé !!
;-))
SJB :@Pieronnelle
Pour ma part je ne croirai jamais que Paul Auster n'a écrit qu'une histoire qui, selon toi n'aurait pas vraiment de consistance . (...) ...Ça pourrait l'être si l'on prenait cette histoire au pied de la lettre ce qui, à mon avis est totalement impossible , compte tenu de son auteur, (...)
Mais chaque ressenti....
Chacun son ressenti, tu l’as dit et c’est bien dit ! Mais je me suis toujours demandé dans quel mesure le nom de l’auteur influence nos lectures.
J’avais eu naguère une discussion avec notre très regretté Jules au sujet du « Vieil Homme et la Mer ». Je trouvais que c’était un fait divers long et ennuyeux mais qu’il était porté aux nues parce que c’était Hemingway qui l’avait écrit. Jules n’était pas d’accord mais alors, pas du tout.
J’ai toujours rêvé de faire des lectures en commun sans que personne ne sache le nom de l’auteur. Je pense qu’ici, parce que c’est Paul Auster, on cherche à donner une signification à beaucoup de choses… Mais comme tu dis : chacun son ressenti. Et c’est le plaisir des lectures en commun.
@Aaro-B-G
Je me suis attaché à Nashe mais ce ne serait pas le genre d’ami que j’aurais dans ma vie!
Moi bien, pourquoi pas. Je l’aurais bien pris, pas pour ami, mais pour copain, un bon copain, facile à vivre, toujours d’accord, jamais de disputes, des bonnes idées de temps en temps, plutôt rarement… Comme dans le livre, l’idée de s’évader… ou de piquer les deux figurines.
(...) le travail fournis par les deux amis est peut-etre une allégorie de notre dur labeur ici bas, pour bien peu au final...@Saule
Encore une fois je me demande s’il faut chercher « une allégorie de notre dur labeur ici bas ». A mon humble avis c’est peut-être chercher un peu loin.
Mais par contre je comprends très bien cette volonté que le mur soit bien construit : puisqu’il faut le faire, faisons le bien !
C’est comme le brave soldat Ivan Denissovitch dans son goulag qui construit à la perfection le mur qui sera sa prison.
Tiens ! Ça me donne envie d’encore re-relire cette pépite.
https://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/1295
Finalement vous avez sans doute raison : ce Nashe est un type plus complexe qu’il n’apparaît à première vue. Plus intéressant aussi. Je dois l’avoir considéré d’un manière trop superficielle.
Mais ça reste le type même de l’homme qui a des possibilités physiques, des goûts artistiques, de l’argent, et qui est incapable de rien décider. D’un côté on peut dire qu’il est bien typé, c’est un personnage qui existe, il est cohérent, on y croit, et c’est ce qui rend son histoire très passionnante.
Mais je lis ce que disait Myrco à propos du début du chapitre 4 : les premières notes : po-po-po-pomme, de la cinquième de Beethoven. C’est le destin qui frappe ! Le drame se prépare. Mwouai ! on peut voir ça comme ça. Mais quand Nashe pique les deux figurines, j’ai cru que ça préparait un sortilège, voir une intervention mystique dans la suite du récit… et rien !
Alors quelle est la part de l’anecdote et des intentions de l’auteur ?
Mais ça reste le type même de l’homme qui a des possibilités physiques, des goûts artistiques, de l’argent, et qui est incapable de rien décider. D’un côté on peut dire qu’il est bien typé, c’est un personnage qui existe, il est cohérent, on y croit, et c’est ce qui rend son histoire très passionnante.
Mais je lis ce que disait Myrco à propos du début du chapitre 4 : les premières notes : po-po-po-pomme, de la cinquième de Beethoven. C’est le destin qui frappe ! Le drame se prépare. Mwouai ! on peut voir ça comme ça. Mais quand Nashe pique les deux figurines, j’ai cru que ça préparait un sortilège, voir une intervention mystique dans la suite du récit… et rien !
Alors quelle est la part de l’anecdote et des intentions de l’auteur ?
Mais je lis ce que disait Myrco à propos du début du chapitre 4 : les premières notes : po-po-po-pomme, de la cinquième de Beethoven. C’est le destin qui frappe ! Le drame se prépare. Mwouai ! on peut voir ça comme ça. Mais quand Nashe pique les deux figurines, j’ai cru que ça préparait un sortilège, voir une intervention mystique dans la suite du récit… et rien !
Alors quelle est la part de l’anecdote et des intentions de l’auteur ?
Ah moi j'ai tout de suite pensé que le fait de voler ces figurines avait un sens et qu"il appartient à chacun de le comprendre comme il le sent. C'est une sorte de pragmatisme superticieux :-))
Mais pour moi il est clair que Nashe , par ce geste un peu naïf , a voulu exprimer le ressentiment qu'il a envers ces deux milliardaires en les éliminant de tout ce déballage prétencieux.
Alors est-ce que les deux bonshommes s'en sont aperçu et ont voulu se venger et le punir comme le pense Pozzi ? Ou est-ce que ça leur a porté malheur comme a pu le penser Nashe puisqu'il va brûler les figurines de façon irrationnelle pour apaiser Pozzi ?
Ce sont tous ces petits aspects qui nous interrogent et rendent l'histoire intéressante et prenante tout en créant des interprétations différentes.
Mais ce qui m'a frappée c'est , pour Nashe je pense, un geste important puisqu'il l'obligera à ne pas capituler dans le jeu de pocker (et finalement se perdre ) afin , à tout prix, de ne pas laisser gagner S et W que, dans son esprit , il avait éliminés ... Ce qui le culpabilise envers Pozzi qui , lui, aurait sûrement arrêté plus tôt car c'est un vrai joueur. A mon avis, mais sans doute en extrapolant, le vol des figurines et la mise en jeu de sa voiture sont liés par les mêmes motivations irrationnelles ,et fatales à l'encontre des deux milliardaires...
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