"c'est bien plus beau quand c'est inutile"
Ça c'est le panache, le grandiose, la classe... C'est très français, et c'est la France que nous aimons.
" Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre "
Ça c'est le réalisme sublimé, c'était la philosophie de Saint-Expupéry, j'ai toujours admiré cette philosophie...
Sauf que Saint-Exupéry ne la pratiquait jamais au détriment des autres...
;Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre "
Sauf que Saint-Exupéry ne la pratiquait jamais au détriment des autres...
...Espérer au détriment des autres ? Ou, entreprendre au détriment des autres... ?
Pas compris... mais c'est rien !
Ceci est une critique de la lettre ouverte aux Français pessimistes dont l’auteur est Christian Adam. Cette lettre, une non-critique, ce dernier la définit en pamphlet méchant et cruel, moqueur et mordant, à l’intention des optimistes et autres gavés d’espérance.
Et de qui veut-il se payer la tête ? Jean-Claude Guillebaud, auteur d’un récit nommé "Je n’ai plus peur", édité chez L’iconoclaste, 2013.
Cette présente critique, Christian Adam m’en a fait la demande. Je réponds donc, considérant, fidèle à mes habitudes, que la critique littéraire est un sport, terme pris au sens traditionnel et britannique.
Si je ne peux qu’apprécier la citation Nietzschéenne au préambule « Ce n’est pas par la colère, c’est par le rire que l’on tue », je m’interroge par conséquent : quid de l’instinct de mort qui – potentiellement – inspire notre pamphlétiste ? Du rire canaille au sardonique en passant par l’ironique, une vaste gamme se place à son service. Après tout, plus on est de fous plus on rit ! Et « La liberté d’expression ne s’use que quand on ne s’en sert pas ! » (formule tirée d’un journal satirique français envers lequel j’adopte la plus hypocrite neutralité).
La personne de Christian Adam doit-elle pour autant être épargnée de raillerie ? Il se veut impitoyable, infligeant à la poupée Guillebaud d’affligeantes réalités, celles qui, contre vents et marées, viennent vous rappeler à chaque instant que le monde dans son évolution globale se contrefout éperdument des pessimistes autant que des optimistes. Pour autant, la question est posée : le sergent Adam peut-il s’avancer en héraut sur la « place des grands hommes », croyant claironner un réalisme ébouriffant ?
Et pourtant je m’incline devant le grand homme que voilà : oui car, quinze mois consacrés à l’écriture de ce pamphlet – que dis-je ? ce brûlot – prolixe, le respect dû à une œuvre augmente d’autant plus que les heures consacrées à son érection sont conséquentes. Bon, d’un autre côté, je ne sais pas non plus combien de minutes furent consacrées par jour ou par semaine à cela… mais si le chiffre sus-indiqué nous fut livré, ce n’est sans doute pas pour que nous autres, lecteurs, le négligeassions.
Sergent Adam, pourquoi vous qualifie-je de ce rang ? Sans doute parce qu’à l’armée, le sergent est souvent un roquet. Les lieutenants le savent et les utilisent comme bon leur semble. Il est intéressant sur le plan psychanalytique que vous ayez réagit de la sorte au récit de Guillebaud.
Tout en faisant un clin d’œil à Achille Talon, une question très concise me taraude : pourquoi ?
Pourquoi donc cette lettre ouverte à l’intention de ces optimistes dont l’inconséquence conscientisée serait aussi criminelle que machiavélique ? Le sergent Adam se figure-t-il qu’en clamant ces lignes, un équilibre puisse être réalisé, celui du contre-balancier relativement au tsunami d’espérance que constitue Je n’ai plus peur ? Pense-t-il, par ses prétentions nihilistes, pessimistes et non-croyantes, être plus lucide que d’autres ? C’est là où j’aborde la suite, concernant le fond.
Le sergent Adam se veut cynique lorsqu’il incise tel un chirurgien militaire le contour des carcinomes que le scanner a préalablement révélés dans le récit « Je n’ai plus peur » de Jean-Claude Guillebaud. Le monde va mal, le premier dit. Le monde va mal, le second dit. Oui mais la lumière au bout du tunnel est celle du train qui va nous broyer, assène le premier. Mais non que diantre, rétorque le second, point d’autre lumière ne doit être suivie que celle de l’espérance, et quand bien même les multiples mutations sociétales du monde moderne nous causent des « prises de tête » jusqu’à trépanation, restons lucides : un autre monde est en gestation et se développera comme la persévérante amarante vient à bout des cultures OGM des Ricains !
Devant cette sempiternelle discussion en tête à tête entre l’optimisme et le pessimisme, je me mets à songer à l’opposition conventionnelle entre les démocrates/républicains US, les travaillistes/conservateurs Britanniques, la droite et la gauche Françaises : une dualité artificielle et fallacieuse qui stérilise immédiatement toute idée concrètement réaliste et utile au monde. Tout le monde le sait, la vie est d’issue fatale, dès l’instant où l’on naît, seul l’instant de cette échéance reste une inconnue pour la plupart d’entre nous. Et après ? Songer, lorsque la situation est éprouvante, que « Tout ira mieux demain » ou que « Ce sera pire », ne change rien à la situation de l’instant vécu ; fait plus grave encore, il n’indique aucune solution et n’offre aucun outil pour extraire l’intéressé de la fosse septique. Donc, une focalisation sur ce genre de duels ne m’interpelle pas outre mesure.
Pour autant, faire l’autruche n’a jamais été une solution, pour personne. Oui, on est dans la fosse à purin, non, on n’est pas en cure de thalasso. Reprenant une devise qui m’est toute personnelle : « La connaissance est une douleur mais l’ignorance peut être un crime ! »
Un point tout particulier m’a titillé l’intérêt : la modernité, engagée selon Guillebaud dans un métissage et une pluralité tous deux inéluctables, provoque à n’en pas douter une poussée de psoriasis sur la personne du sergent Adam. Car je considère la définition identitaire avec une circonspection d’Apache en cavale. Ne suis-je pas métisse, culturellement au moins, entre Platon (grec), Chef Seattle (amérindien), Baudelaire (français), Dostoïevsky et Pouchkine (russes), Allassane Ndaw (sénégalais), Achille Mbembe (camerounais), Van Vogt (américain), Sun Tsu (chinois), etc. ? Sans parler du reste et notamment du mixage présent et futur de ma descendance et sur-descendance biologiques. Mon avis sur la question ? Le mixage du monde n’est que le résultat fortuit de la globalisation facilitée des communications virtuelles et non virtuelles des humains entre eux. S’opposer à ce mixage est défendable, mais il s’agit de ne pas se tromper de combat : parle-t-on d’union maritale entre un Pakistanais et une irlandaise ou d’uniformisation planétaire opérée par la World Company ? La question, tout comme la lettre de Christian Adam, reste ouverte… Et pour votre malheur à vous tous citoyens, les médias globaux vous apportent des réponses avant que vous n’ayez engagé l’embryon d’une réflexion ! Quant à l’avenir, oui, il est probable que de multiples réactions à ce mixage se fassent sentir, au travers de tentatives épuratrices (donc génocidaires) afin de tenter d’expurger les éléments jugés perturbateurs et pollueurs [sic] par la partie "légitime", pure et authentique [sic bis]. Mais le monde est déjà engagé dans un mixage global et ce dernier sera le vainqueur in fine… que vous le vouliez ou non. Si je ne me retenais pas, une question je vous poserais : que voulez-vous dire par « cachot planétaire surpeuplé et génétiquement altéré » ? Mais je crains de ne pas avoir envie de lire la réponse, aussi, je me tiens coi. Il existe des adeptes décérébrés du Malthusianisme et de la Race Pure qu’il vaut mieux ne pas écouter.
Je comprends, sergent Adam, lorsque, sceptique, vous vous interrogeâtes sur la pertinence de la gnose Guillebaudesque. Il se veut chercheur, il se dit conscient, il affirme avoir vu et vécu une somme de misère humaine que peu d’entre nous ont pu en avoir l’occasion. Alors, s’il semble pour certains radoter voire faire preuve de redondance notable au fil de ses 30 (!) ouvrages parus, je déclare pour sa défense que le meilleur pédagogue du monde a certainement un fonctionnement partiellement répétitif.
Vous vous déclarez solidaire des « colonies d’escargots condamnés à baver sous leur coquille, si désespérés qu’ils ne sont bons qu’à jeter aux chiens ; ils transpirent le ressentiment et puent la frustration » ? Entre nous, il est probable que votre dernière phrase adressé à Jean-Claude « Et ils vous emmerdent » lui en fasse toucher une sans faire bouger l’autre. Pourquoi a-t-il écrit ce récit, d’après vous ? Pour endormir le lecteur ou bien l’aider à débusquer des questions et soulever des pistes ?
En épilogue, vous citez Philippe Muray : « L’espoir, le seul, c’est le rire, celui qui giflera toujours les aligneurs et les actionneurs et les empêchera de triompher complètement […] L’ironie sanglante et sensible est le seul travail dont on puisse attendre quelque espérance. Parce qu’elle est sanglante. Parce qu’elle est sensible. »
A cela, en réponse, je n’ai besoin de citer personne. Tout comme, si j’ai besoin d’une stère, je prends ma tronçonneuse et me rends tout seul dans la forêt : la source fondamentale d’espérance est le sentiment d’humanité partagé entre les humains, tandis que le rire, parfois, peut contenir une part non négligeable d’inhumanité. Et de l’inhumanité peut survenir le pire.
Que proposez-vous, sergent Adam, d’autre que l’acerbe ?
Sous quelles fourches caudines êtes-vous passé, quelles épreuves vous ont forgé, quelles victoires vous ont marqué, sergent Adam ? Sauriez-vous être en mesure de discourir de la violence puis de la non-violence comme le fit Tolstoï après qu’il ait vécu la boucherie Napoléonienne ?
Si la France est la patrie du bon vin, elle est aussi celle du vinaigre. Il semblerait que vous en pissiez et, de surcroît, dans un violon.
Joyeux Noël.
Et de qui veut-il se payer la tête ? Jean-Claude Guillebaud, auteur d’un récit nommé "Je n’ai plus peur", édité chez L’iconoclaste, 2013.
Cette présente critique, Christian Adam m’en a fait la demande. Je réponds donc, considérant, fidèle à mes habitudes, que la critique littéraire est un sport, terme pris au sens traditionnel et britannique.
Si je ne peux qu’apprécier la citation Nietzschéenne au préambule « Ce n’est pas par la colère, c’est par le rire que l’on tue », je m’interroge par conséquent : quid de l’instinct de mort qui – potentiellement – inspire notre pamphlétiste ? Du rire canaille au sardonique en passant par l’ironique, une vaste gamme se place à son service. Après tout, plus on est de fous plus on rit ! Et « La liberté d’expression ne s’use que quand on ne s’en sert pas ! » (formule tirée d’un journal satirique français envers lequel j’adopte la plus hypocrite neutralité).
La personne de Christian Adam doit-elle pour autant être épargnée de raillerie ? Il se veut impitoyable, infligeant à la poupée Guillebaud d’affligeantes réalités, celles qui, contre vents et marées, viennent vous rappeler à chaque instant que le monde dans son évolution globale se contrefout éperdument des pessimistes autant que des optimistes. Pour autant, la question est posée : le sergent Adam peut-il s’avancer en héraut sur la « place des grands hommes », croyant claironner un réalisme ébouriffant ?
Et pourtant je m’incline devant le grand homme que voilà : oui car, quinze mois consacrés à l’écriture de ce pamphlet – que dis-je ? ce brûlot – prolixe, le respect dû à une œuvre augmente d’autant plus que les heures consacrées à son érection sont conséquentes. Bon, d’un autre côté, je ne sais pas non plus combien de minutes furent consacrées par jour ou par semaine à cela… mais si le chiffre sus-indiqué nous fut livré, ce n’est sans doute pas pour que nous autres, lecteurs, le négligeassions.
Sergent Adam, pourquoi vous qualifie-je de ce rang ? Sans doute parce qu’à l’armée, le sergent est souvent un roquet. Les lieutenants le savent et les utilisent comme bon leur semble. Il est intéressant sur le plan psychanalytique que vous ayez réagit de la sorte au récit de Guillebaud.
Tout en faisant un clin d’œil à Achille Talon, une question très concise me taraude : pourquoi ?
Pourquoi donc cette lettre ouverte à l’intention de ces optimistes dont l’inconséquence conscientisée serait aussi criminelle que machiavélique ? Le sergent Adam se figure-t-il qu’en clamant ces lignes, un équilibre puisse être réalisé, celui du contre-balancier relativement au tsunami d’espérance que constitue Je n’ai plus peur ? Pense-t-il, par ses prétentions nihilistes, pessimistes et non-croyantes, être plus lucide que d’autres ? C’est là où j’aborde la suite, concernant le fond.
Le sergent Adam se veut cynique lorsqu’il incise tel un chirurgien militaire le contour des carcinomes que le scanner a préalablement révélés dans le récit « Je n’ai plus peur » de Jean-Claude Guillebaud. Le monde va mal, le premier dit. Le monde va mal, le second dit. Oui mais la lumière au bout du tunnel est celle du train qui va nous broyer, assène le premier. Mais non que diantre, rétorque le second, point d’autre lumière ne doit être suivie que celle de l’espérance, et quand bien même les multiples mutations sociétales du monde moderne nous causent des « prises de tête » jusqu’à trépanation, restons lucides : un autre monde est en gestation et se développera comme la persévérante amarante vient à bout des cultures OGM des Ricains !
Devant cette sempiternelle discussion en tête à tête entre l’optimisme et le pessimisme, je me mets à songer à l’opposition conventionnelle entre les démocrates/républicains US, les travaillistes/conservateurs Britanniques, la droite et la gauche Françaises : une dualité artificielle et fallacieuse qui stérilise immédiatement toute idée concrètement réaliste et utile au monde. Tout le monde le sait, la vie est d’issue fatale, dès l’instant où l’on naît, seul l’instant de cette échéance reste une inconnue pour la plupart d’entre nous. Et après ? Songer, lorsque la situation est éprouvante, que « Tout ira mieux demain » ou que « Ce sera pire », ne change rien à la situation de l’instant vécu ; fait plus grave encore, il n’indique aucune solution et n’offre aucun outil pour extraire l’intéressé de la fosse septique. Donc, une focalisation sur ce genre de duels ne m’interpelle pas outre mesure.
Pour autant, faire l’autruche n’a jamais été une solution, pour personne. Oui, on est dans la fosse à purin, non, on n’est pas en cure de thalasso. Reprenant une devise qui m’est toute personnelle : « La connaissance est une douleur mais l’ignorance peut être un crime ! »
Un point tout particulier m’a titillé l’intérêt : la modernité, engagée selon Guillebaud dans un métissage et une pluralité tous deux inéluctables, provoque à n’en pas douter une poussée de psoriasis sur la personne du sergent Adam. Car je considère la définition identitaire avec une circonspection d’Apache en cavale. Ne suis-je pas métisse, culturellement au moins, entre Platon (grec), Chef Seattle (amérindien), Baudelaire (français), Dostoïevsky et Pouchkine (russes), Allassane Ndaw (sénégalais), Achille Mbembe (camerounais), Van Vogt (américain), Sun Tsu (chinois), etc. ? Sans parler du reste et notamment du mixage présent et futur de ma descendance et sur-descendance biologiques. Mon avis sur la question ? Le mixage du monde n’est que le résultat fortuit de la globalisation facilitée des communications virtuelles et non virtuelles des humains entre eux. S’opposer à ce mixage est défendable, mais il s’agit de ne pas se tromper de combat : parle-t-on d’union maritale entre un Pakistanais et une irlandaise ou d’uniformisation planétaire opérée par la World Company ? La question, tout comme la lettre de Christian Adam, reste ouverte… Et pour votre malheur à vous tous citoyens, les médias globaux vous apportent des réponses avant que vous n’ayez engagé l’embryon d’une réflexion ! Quant à l’avenir, oui, il est probable que de multiples réactions à ce mixage se fassent sentir, au travers de tentatives épuratrices (donc génocidaires) afin de tenter d’expurger les éléments jugés perturbateurs et pollueurs [sic] par la partie "légitime", pure et authentique [sic bis]. Mais le monde est déjà engagé dans un mixage global et ce dernier sera le vainqueur in fine… que vous le vouliez ou non. Si je ne me retenais pas, une question je vous poserais : que voulez-vous dire par « cachot planétaire surpeuplé et génétiquement altéré » ? Mais je crains de ne pas avoir envie de lire la réponse, aussi, je me tiens coi. Il existe des adeptes décérébrés du Malthusianisme et de la Race Pure qu’il vaut mieux ne pas écouter.
Je comprends, sergent Adam, lorsque, sceptique, vous vous interrogeâtes sur la pertinence de la gnose Guillebaudesque. Il se veut chercheur, il se dit conscient, il affirme avoir vu et vécu une somme de misère humaine que peu d’entre nous ont pu en avoir l’occasion. Alors, s’il semble pour certains radoter voire faire preuve de redondance notable au fil de ses 30 (!) ouvrages parus, je déclare pour sa défense que le meilleur pédagogue du monde a certainement un fonctionnement partiellement répétitif.
Vous vous déclarez solidaire des « colonies d’escargots condamnés à baver sous leur coquille, si désespérés qu’ils ne sont bons qu’à jeter aux chiens ; ils transpirent le ressentiment et puent la frustration » ? Entre nous, il est probable que votre dernière phrase adressé à Jean-Claude « Et ils vous emmerdent » lui en fasse toucher une sans faire bouger l’autre. Pourquoi a-t-il écrit ce récit, d’après vous ? Pour endormir le lecteur ou bien l’aider à débusquer des questions et soulever des pistes ?
En épilogue, vous citez Philippe Muray : « L’espoir, le seul, c’est le rire, celui qui giflera toujours les aligneurs et les actionneurs et les empêchera de triompher complètement […] L’ironie sanglante et sensible est le seul travail dont on puisse attendre quelque espérance. Parce qu’elle est sanglante. Parce qu’elle est sensible. »
A cela, en réponse, je n’ai besoin de citer personne. Tout comme, si j’ai besoin d’une stère, je prends ma tronçonneuse et me rends tout seul dans la forêt : la source fondamentale d’espérance est le sentiment d’humanité partagé entre les humains, tandis que le rire, parfois, peut contenir une part non négligeable d’inhumanité. Et de l’inhumanité peut survenir le pire.
Que proposez-vous, sergent Adam, d’autre que l’acerbe ?
Sous quelles fourches caudines êtes-vous passé, quelles épreuves vous ont forgé, quelles victoires vous ont marqué, sergent Adam ? Sauriez-vous être en mesure de discourir de la violence puis de la non-violence comme le fit Tolstoï après qu’il ait vécu la boucherie Napoléonienne ?
Si la France est la patrie du bon vin, elle est aussi celle du vinaigre. Il semblerait que vous en pissiez et, de surcroît, dans un violon.
Joyeux Noël.
Quelle géniale et subtile analyse du "sergent Adam", le roquet de service qui pisse du vinaigre dans un violon.... ;-)
Voilà un rééquilibrage qui me plait!
Une remarque, omise mais point oubliée, sur la "Lettre ouverte" de Christian Adam. Il correspond à la mouvance moderne, le monde d’aujourd’hui qui fonctionne selon la rationalité et l’imposture philosophique de Diogène de Sinope : le cynisme, dans sa splendeur vraisemblable, aime se draper d'un voile de sincérité nommée "la Vérité Vraie" ; quand donc le considérerons-nous comme étant un dérivé du sophiste, selon la définition Platonicienne : « un disputeur, imitateur du sage, qui se fait passer pour omniscient, usant, comme un charlatan, de simulacres de logique afin de berner l’auditoire » ?
En l’occurrence, Christian adam, bien qu'il soit doué d'un potentiel sophistique, révèle quelques subtilités supplémentaires : il se veut contrarieur, imitateur du sage, qui se fait passer pour clairvoyant, usant, comme un noyeur de poisson, d'absence de logique afin d'aveugler l'auditoire...
Point n'est besoin de sortir l'arsenal du dico pour convaincre. Trop de mots tuent les mots.
En l’occurrence, Christian adam, bien qu'il soit doué d'un potentiel sophistique, révèle quelques subtilités supplémentaires : il se veut contrarieur, imitateur du sage, qui se fait passer pour clairvoyant, usant, comme un noyeur de poisson, d'absence de logique afin d'aveugler l'auditoire...
Point n'est besoin de sortir l'arsenal du dico pour convaincre. Trop de mots tuent les mots.
Cette controverse eut lieu du 9 au 31 décembre (le cachet d'aspirine faisant foi).
A manip', contre-manip', +1 -1 = 0
Zéro, c'est ce qui résulte de l'opération fumigène et logorrhéique qui précède.
Dans l'intervalle, il s'est passé des choses... désastreuses tant pour les optimistes que pour les pessimistes.
CL peut ôter de sa page de garde ce pétard mouillé, il y a mieux à faire puisque d'autres pétards ont parlé, hélas.....
A manip', contre-manip', +1 -1 = 0
Zéro, c'est ce qui résulte de l'opération fumigène et logorrhéique qui précède.
Dans l'intervalle, il s'est passé des choses... désastreuses tant pour les optimistes que pour les pessimistes.
CL peut ôter de sa page de garde ce pétard mouillé, il y a mieux à faire puisque d'autres pétards ont parlé, hélas.....
Cette controverse eut lieu du 9 au 31 décembre (le cachet d'aspirine faisant foi).
A manip', contre-manip', +1 -1 = 0
Zéro, c'est ce qui résulte de l'opération fumigène et logorrhéique qui précède.
Dans l'intervalle, il s'est passé des choses... désastreuses tant pour les optimistes que pour les pessimistes.
CL peut ôter de sa page de garde ce pétard mouillé, il y a mieux à faire puisque d'autres pétards ont parlé, hélas.....
Comme tu as raison! pessimisme et optimisme il y a de quoi être déboussoulé par ces temps qui courent...
Radetsky, la loggorhée n'a jamais tué personne. Je préfère les chiens qui aboient à ceux qui mordent.
Radetsky, la loggorhée n'a jamais tué personne. Je préfère les chiens qui aboient à ceux qui mordent.
Mais il se trouve qu'ils font souvent les deux...Et puis qui dit loggorhée dit souvent indigestion...
CL peut ôter de sa page de garde ce pétard mouillé,
@ Radetsky
Censure... ?
Explication de texte : tout ça est dé-pas-sé et de loin, très loin, au vu du 7 janvier 2015.
Censure ? Non : épluchures, pelures, rognures, à quoi sont réduites en ce jour 13 janvier les vaines confitures susmentionnées. Dans mon village les éboueurs passent le mercredi matin. Ils sont sûrement en grève sur CL...
Il y a d'autres urgences que les cuistreries de comptoir.
Censure ? Non : épluchures, pelures, rognures, à quoi sont réduites en ce jour 13 janvier les vaines confitures susmentionnées. Dans mon village les éboueurs passent le mercredi matin. Ils sont sûrement en grève sur CL...
Il y a d'autres urgences que les cuistreries de comptoir.
Dans mon village les éboueurs passent le mercredi matin. Ils sont sûrement en grève sur CL...
Ca fait d'ailleurs un bout de temps qu'ils le sont au vu du nombre de fils pourris qui continuent depuis des mois de flotter à la surface sans jamais être avalés par de nouveaux plus intéressants et conviviaux comme c'était le cas avant. Il y a toujours eu des forums chauds sur CL : ça faisait son charme. Seulement, maintenant, on parle de tout sauf de lectures. Sans compter que c'est redondant. A force.
tout ça est dé-pas-sé ... Dans mon village les éboueurs passent le mercrediTu as raison, Radetsky, fais passer l'éboueur et ponds-nous un nouvel édito...
;-))
C'est de notre faute. Certains utilisateurs (de longue date) du forum n'ont encore rien appris de la dialectique, et ils alimentent les fils pourris avec autant de ferveur que ceux qui les initient. Discuter sur un forum, ça s'apprend. Avant une intervention, il est important de garder en tête que la discussion est publique, et que si elle est bien menée, pourrait même avoir une valeur éducative. Contrairement à la population de youtube – de laquelle nous nous démarquons finalement peu –, nous sommes tous d'assidus lecteurs, et nous avons armes et matière pour pouvoir défendre nos convictions ; mais nous persistons à utiliser ces forums comme une discussion facebook.
Chaque opinion ici exprimée est le résultat d'une masse monumentale d'ouvrages ingérés, or je peine à en voir la moindre trace.
Chaque opinion ici exprimée est le résultat d'une masse monumentale d'ouvrages ingérés, or je peine à en voir la moindre trace.
... Avant une intervention, il est important de garder en tête que la discussion est publique, et que si elle est bien menée, pourrait même avoir une valeur éducative.
...
nous avons armes et matière pour pouvoir défendre nos convictions
Mr Smith
Avant, il y avait le spécialiste musique, le spécialiste religion, le spécialiste colonie, l'économiste distingué, l'écolo, le camarade syndiqué, le spécialiste langue française... etc... plus ou moins compétent, chacun dans sa spécialité, il pouvait nous apprendre des choses.
Mais, à chaque sujet, c'était toujours les mêmes qui surgissaient, si bien que les forums devenaient toujours plus répétitifs.
Ce qu'il faudrait c'est un renouvellement des discutailleurs... mais, ça viendra.
Sjb, Repetitio est mater studiorum.
... Avant une intervention, il est important de garder en tête que la discussion est publique, et que si elle est bien menée, pourrait même avoir une valeur éducative.
...
nous avons armes et matière pour pouvoir défendre nos convictions
Mr Smith
Avant, il y avait le spécialiste musique, le spécialiste religion, le spécialiste colonie, l'économiste distingué, l'écolo, le camarade syndiqué, le spécialiste langue française... etc... plus ou moins compétent, chacun dans sa spécialité, il pouvait nous apprendre des choses.
Mais, à chaque sujet, c'était toujours les mêmes qui surgissaient, si bien que les forums devenaient toujours plus répétitifs.
Ce qu'il faudrait c'est un renouvellement des discutailleurs... mais, ça viendra.
C'est vrai que c'est important d'avoir un spécialiste qui sait de quoi il parle.... sauf qu'un regard neuf n'est pas inutile parfois(souvent...) car le spécialiste peut être englué dans ses propres croyances à force de les répéter et ne se rend plus compte que des changements sont intervenus car tout est toujours en mutation... donc une vue multidisciplinaire n'est pas mal..
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre