je ne sais quel avis j'aurai sur son livre mais quoi qu'il en soit je serai "respectueuse" de ce qu'elle a écrit. Vous n'êtes pas d'accord sur le mot "respect" ? Que vous dire?
Et bien... si être "respectueuse" d'un auteur, c'est ne pas avouer que son ouvrage nous a partiellement ou totalement déplu, effectivement je ne suis pas respectueuse. N'écrire que des critiques sur les livres qu'on a adorés, je n'en vois pas l'intérêt, c'est tout personnel.
J'ai un autre mot pour ça, moi.
C'est pas un peu fini de vous chamailler ?
Allez lire dans votre chambre.
Allez lire dans votre chambre.
Vous n'êtes pas d'accord sur le mot "respect" ? Que vous dire?
C'est plutôt le mot "honnête" qui nous pose problème, je crois. C'est quand même une accusation grave, la malhonnêteté. Beaucoup plus grave que de dire à un auteur qu'on a pas aimé son livre. Là, ou touche à la moralité d'une personne, c'est bien plus grave que sa capacité à écrire.
Mais j'ai du mal avec ton approche. En gros, personne ne saurait apprécier (dans le sens d'évaluer) un livre à moins d'être soi-même écrivain ? On ne pourrait pas dire qu'un livre est mauvais sous prétexte que soi-même, on serait incapable d'en écrire un ? Mais alors, quid de tous les autres livres que l'on n'a pas écrits et que l'on a trouvés bons ? Ils ne peuvent pas nous servir d'échelle pour notre évaluation ? Tout se vaudrait dès lors qu'on ne peut soi-même pas faire mieux ? Si je vais au restaurant et que je mange un boeuf bourguignon infect, je devrais le trouver délicieux au seul titre que moi, je ne sais pas faire le boeuf bourguignon ? Mais enfin, moi, je ne suis pas cuisinier ! Et ne pas savoir cuisiner ne m'empêche pas d'avoir des sens, et parmi eux du goût qui me permet de dire si j'aime ou non le plat que l'on me propose. Et si un jour, le cuisinier fait appel à moi et que je lui fournis un mauvais service, il ne pourrait pas s'en plaindre au seul titre que lui-même n'aurait pas mieux fait mon métier (qui n'est pas le sien) que je l'exerce moi ? Mais s'il exerçait mieux mon propre métier que je ne l'exerce moi-même, alors pourquoi viendrait-il me voir ? C'est un peu ubuesque, ton raisonnement, il me semble.
C'est pas un peu fini de vous chamailler ?
Allez lire dans votre chambre.
Non, moi j'aimerais bien prendre une douche avant tout, mais je n'ai plus d'eau...
moi, je ne sais pas faire le boeuf bourguignon ?.
Rhooo, c'est facile, pourtant. Je te donnerai la recette.
C'est pas un peu fini de vous chamailler ?
Allez lire dans votre chambre.
Oui, bonne idée. Je pense que tout est dit. Enfin pour ma part c'est le cas.
Non, le bœuf bourguignon, c'est moi qui donne la recette !!!
;))))))
;))))))
Mais bon sang qu'est ce qui vous permet de dire que la critique est "honnête"?
Parce qu'elle n'a pas dit "c'est nul", elle a expliqué ce qui l'avait dérangée, ELLE. Elle n'a pas énoncé des vérités d'un ton péremptoire, elle a utilisé des phrases telles que le "tu" m'a gênée.
(...)
Simplement, j'arrive à faire la différence entre une critique écrite dans le but de faire du tort (aucune argumentation, des termes grossiers et méprisants envers l'oeuvre et l'auteur) et une critique qui tient la route (même si elle est brouillonne, éventuellement mal construite, courte, trop longue ou même si elle ne rejoint pas mon avis).
Ben voilà, c'est bien dit. Tout à fait d'accord.
un lion avec un brushing, ça pue la culpabilité à plein nez !
Mince, c'est une perruque !? Ah, ben oui, là, il y a tromperie sur lot d'emplettes... Je suis bougrement déçue... ;)
Sinon tout ça, ça me fait penser à ceux qui répondent aux "hermétiques" à l'art contemporain : "tu comprends pas !" (avec un air de dédain de la part de ceux qui comprennent envers les hermétiques). En général, les "élus qui comprennent" ne sont souvent pas fichus de dire pourquoi. Alors que Yotoga, entre 2 séances chez le perruquier, a été capable d'énoncer les aspects qui l'avaient dérangée... Ce qui, me semble-t-il, est largement honnête.
Et si on discutait des autres critiques sur le Guetteur Halluciné ? Je vois qu'il y a de nouveaux apports sur la fiche !
C'est pas un peu fini de vous chamailler ?
Allez lire dans votre chambre.
Oui, bonne idée. Je pense que tout est dit. Enfin pour ma part c'est le cas.
Yo !
C'est pas un peu fini de vous chamailler ?
Pour moi oui...
D'abord je n'ai jamais dit que la critique de Yotoga était malhonnête! Vous, vous affirmez qu'à priori elle l'est? pourquoi? parce qu'elle l'a écrite? bien faible l'argument...Moi je dis simplement que telle qu'elle est rédigée elle nuit au livre. Vous n'êtes pas d'accord? C'est votre droit, je ne vous impose pas mon avis je vous en fait part c'est tout. Vous voudriez que je rejoigne votre point de vue? Désolée vos arguments qui consistent à dire que sous prètexte qu'une critique est écrite elle est honnête ne me convainquent, que s'il n'y a pas le mot nul y a pas de problème...Là je souris...
Et surtout ça me fatigue tant de parlottes pour contester le droit à quelqu'un de ne pas apprécier une critique! Crime de lèse majesté! Au fait peut-être faudrait-il en passer par le Tribunal de CL? !
Maintenant je vais me reposer j'en ai bien besoin...même si j'écris couchée c'est bien fatiguant:-)))
A bientôt sur d'autres fils plus sereins...
Et surtout ça me fatigue tant de parlottes pour contester le droit à quelqu'un de ne pas apprécier une critique! Crime de lèse majesté! Au fait peut-être faudrait-il en passer par le Tribunal de CL? !
Maintenant je vais me reposer j'en ai bien besoin...même si j'écris couchée c'est bien fatiguant:-)))
A bientôt sur d'autres fils plus sereins...
C'est pas un peu fini de vous chamailler ?
Allez lire dans votre chambre.
Non, moi j'aimerais bien prendre une douche avant tout, mais je n'ai plus d'eau...
Viens chez moi ! J'ai de l'eau, mais ça caille !
moi, je ne sais pas faire le boeuf bourguignon ?.
Rhooo, c'est facile, pourtant. Je te donnerai la recette.
Moi non plus, je ne sais pas faire le boeuf bourguignon, ni des tas de spécialités culinaires et pourtant je sais apprécier quand c'est bon.
Exemple très bien choisi, Stavro !
Piero, il vaut mieux en effet te reposer car je te trouve bien peu convaincante sur ce fil.
C'est pas un peu fini de vous chamailler ?
Allez lire dans votre chambre.
Non, moi j'aimerais bien prendre une douche avant tout, mais je n'ai plus d'eau...
Viens chez moi ! J'ai de l'eau, mais ça caille !
.
Echange douche contre boeuf bourguignon, ça te va? :)
C'est pas un peu fini de vous chamailler ?
Allez lire dans votre chambre.
Non, moi j'aimerais bien prendre une douche avant tout, mais je n'ai plus d'eau...
Viens chez moi ! J'ai de l'eau, mais ça caille !
.
Echange douche contre boeuf bourguignon, ça te va? :)
Ok, super !
Si on commence à faire des échanges de cette nature... je vais prendre dix kilos en peu de temps !!!
Si on commence à faire des échanges de cette nature... je vais prendre dix kilos en peu de temps !!!
Je t'assure que si tu viens manger chez moi en petites foulées, ça compensera :p
Puis je vous interdis de faire des allusions que je ne comprends pas.
Prov... heu ! Grégoire M, tu veux nous dire ça en latin, pour voir ?
;-))
Heureusement, Sidonie, que je viens de manger du bar grillé accompagné de tomates et d'oignons cuisinés à l'huile d'olives... Sinon... ;)
Quand on ne désire pas être convaincu tous les efforts sont vains !
Cela ne me gêne aucunement.
Par contre j'ai été de plus en plus convaincue dans mon opinion (heureusement me direz-vous) après avoir lu les deux autres critiques et particulièrement celle de Shelton qui apporte un éclairage sur cette oeuvre autrement plus intelligente que les :
"La lenteur du monologue sans queue ni tête, une suite de pensées écrites mais sans intérêt aucune, sans mouvement crescendo, longueurs incessantes, le contenu est assez plat. Le niveau de langue s’affaisse complètement, à partir de la page 130 le lecteur trouvera des « il y a » à tout bout de champ."
"Ces phrases tombent, souvent comme un cheveu sur la soupe (p191 Bruit de benne du camion-poubelle au petit matin), mais réveillent le lecteur, font sourire et sont l’intérêt de cet ouvrage."
"Personnellement, je considère cette erreur fatale, et la page 195 signifie pour moi, le début de la fin, l’apogée de la perte."
de Yotoga !
Alors il n'y a pas de "nul"certes, il y a pire, si vous le l'avez pas vu j'en suis désolée pour vous; moi, les critiques de Namanuma et Shelton m'ont prisent aux tripes et m'ont fait encore plus regretté le gâchis de cette critique principale !
Je le redis : Merci Shelton et Namanuma, car qu'elles que soient les prochaines critiques, qu'elles soient favorables ou non, les leurs ont apporté ce fameux "respect" à l'oeuvre qui m'est cher en la lisant avec profondeur !
Et tant pis pour ceux qui confondent respect envers une oeuvre et le fait de lui être favorable ! Que l'on trouve (comme Sidonie) aucun intérêt à ne critiquer que des oeuvres que l'on aime (c'est se priver pourtant d'un bien grand plaisir à faire partager) , en ce qui me concerne je n'aime pas perdre mon temps à écrire sur des choses qui ne m'ont pas intéressées (sauf cas particuliers) il y a tellement d'oeuvres qui m'attirent et qui m'attendent ! Influencer des lecteurs sur le mauvais avis que j'ai eu d'un livre, dans le but de lui éviter de le lire, n'est pas mon truc non plus ! Bien sûr, chacun ses goûts !
Cela ne me gêne aucunement.
Par contre j'ai été de plus en plus convaincue dans mon opinion (heureusement me direz-vous) après avoir lu les deux autres critiques et particulièrement celle de Shelton qui apporte un éclairage sur cette oeuvre autrement plus intelligente que les :
"La lenteur du monologue sans queue ni tête, une suite de pensées écrites mais sans intérêt aucune, sans mouvement crescendo, longueurs incessantes, le contenu est assez plat. Le niveau de langue s’affaisse complètement, à partir de la page 130 le lecteur trouvera des « il y a » à tout bout de champ."
"Ces phrases tombent, souvent comme un cheveu sur la soupe (p191 Bruit de benne du camion-poubelle au petit matin), mais réveillent le lecteur, font sourire et sont l’intérêt de cet ouvrage."
"Personnellement, je considère cette erreur fatale, et la page 195 signifie pour moi, le début de la fin, l’apogée de la perte."
de Yotoga !
Alors il n'y a pas de "nul"certes, il y a pire, si vous le l'avez pas vu j'en suis désolée pour vous; moi, les critiques de Namanuma et Shelton m'ont prisent aux tripes et m'ont fait encore plus regretté le gâchis de cette critique principale !
Je le redis : Merci Shelton et Namanuma, car qu'elles que soient les prochaines critiques, qu'elles soient favorables ou non, les leurs ont apporté ce fameux "respect" à l'oeuvre qui m'est cher en la lisant avec profondeur !
Et tant pis pour ceux qui confondent respect envers une oeuvre et le fait de lui être favorable ! Que l'on trouve (comme Sidonie) aucun intérêt à ne critiquer que des oeuvres que l'on aime (c'est se priver pourtant d'un bien grand plaisir à faire partager) , en ce qui me concerne je n'aime pas perdre mon temps à écrire sur des choses qui ne m'ont pas intéressées (sauf cas particuliers) il y a tellement d'oeuvres qui m'attirent et qui m'attendent ! Influencer des lecteurs sur le mauvais avis que j'ai eu d'un livre, dans le but de lui éviter de le lire, n'est pas mon truc non plus ! Bien sûr, chacun ses goûts !
Puis je vous interdis de faire des allusions que je ne comprends pas.
Prov... heu ! Grégoire M, tu veux nous dire ça en latin, pour voir ?
;-))
Facile :
Tunc veto ad references, non capio.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre