La révolution des fourmis de Bernard Werber
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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1+1=3
Voici le troisième et dernier volet du triptyque dédié aux fourmis.
Julie Pinson, une ado mal dans sa peau découvre dans la forêt de Fontainebleau une étrange valisette au fond d'un ravin. Son père garde forestier découvre lui une étrange pyramide construite en plein milieu d'une clairière.
Que contient cette valisette?
Qu'est-ce donc cette pyramide?
Comme a son habitude, Werber nous émerveille par une aventure "fourmidable".
A peine commencé, on ne peut plus s'en détacher.
On y retrouve les pages de l'encyclopédie troisième mouture, et cette fois-ci plus axée sur les révolutions sanglantes ou non, l'éveil des sens, l'union des talents...
On sent la fin de saga, tout y est plus axé sur l'action que sur les descriptions entomologiques. Ce livre réserve son lot de bonnes surprises: on y apprend comment prendre d'assaut un lycée, on y découvre les goûts musicaux de l'auteur (Genesis entre autres), on y voit un procès humains-fourmis...
Werber a écrit ce livre suite à "l'échec" des "Thanatonautes". Le public ne le voyant toujours que par les insectes de ses premiers bouquins.
Ce livre est à mon sens un des meilleurs qu'il a écrit, sachant que tous ses romans sont très bons.
ATTENTION: on est pas obligé d'avoir lu les autres bouquins pour comprendre l'histoire.
Et pourquoi 1+1=3?
Lecteur, lis le roman et tu comprendras!
Mieux que du Harry Potter, c'est du Werber!!!!!!!!!!!!!
Les éditions
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La révolution des fourmis [Texte imprimé], roman Bernard Werber
de Werber, Bernard
Albin Michel
ISBN : 9782226086365 ; 22,50 € ; 03/05/1996 ; 540 p. ; Broché
Les livres liés
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- La Trilogie des fourmis
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Les critiques éclairs (18)
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Jusqu'au bout de l'ennui
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 9 janvier 2019
Ce troisième tome m'a vraiment déçu. Werber s'est perdu dans des dédales loufoques et une histoire qui a perdu tout son sens.
Essoufflement sur la fin
Critique de Fa (La Louvière, Inscrit le 9 décembre 2004, 49 ans) - 4 janvier 2016
Au bout des 800 pages de ce dernier tome, je suis resté déçu : des narrations qui s'imbriquent de façon artificielle, des histoires rocambolesques où tout s'arrange à la fin, des personnages oubliés qui se retrouvent, un brasier final...
Avec une série qui par nature ne pouvait que vieillir. Faire la révolution soft aux premiers soupirs d'Internet, c'était avant les réseaux sociaux qui ont depuis lors largement dépassé cette fiction. Ce n'est pas un défaut, certes, mais le risque avec les romans "d'actualité", c'est que l'histoire les fait vieillir aussi vite que nous.
Grosse déception.
Critique de JoshWB (, Inscrit le 13 décembre 2010, 35 ans) - 10 février 2014
Par ailleurs, concernant les personnages, s'il y a bien une chose qu'il faut EVITER dans un bouquin, c'est l'étiquetage de ceux-ci par l'auteur. La personnalité des personnages doit se laisser découvrir. Plutôt que de nous laisser découvrir la personnalité des personnages, Werber nous décrit sur cinq pages chacun des protagonistes correspondant aux sept nains, "lui c'est grincheux, lui c'est sommeil"... Et puis, "La bande des sept nains" ça sonne tellement loser et le cliché de la "bande" trop "cool" composée de personnalités totalement différentes mais qui se complètent est totalement rasoir et digne d'un sitcom à la noix.
En outre, les passages de l'Encyclopédie ne racontent plus que des anecdotes beaucoup moins percutantes que ceux des précédents tomes.
Bref, pour moi il n'aurait dû y avoir que deux tomes, car celui-ci est clairement de trop. Le manque de profondeur révèle un réel essoufflement, on ne découvre rien de plus que ce qu'on savait déjà dans les tomes précédents. Ce livre n'apporte absolument rien. Seules les 50 premières et les 50 dernières pages sont accrocheuses... Le reste se lit un peu de force. Dommage.
Je laisse néanmoins une étoile pour la qualité de l'écriture.
Mouais ... !
Critique de LoupBleu77 (, Inscrit le 22 janvier 2014, 27 ans) - 22 janvier 2014
Chez les humains, l'histoire atteint le fond dans ce tome, à cause de nombreuses incohérences et d'un manque de crédibilité.
Déjà, j'ai du mal à m'imaginer qu'un concert de rock préparé quelques jours à l'avance par une bande d'ados déguisés en insectes puisse susciter des réactions hystériques dans un public majoritairement issu de retraités.
De plus, la révolution pacifique de Julie ne prend pas. Quand on enferme cinq cent vingt et une personnes dans un lycée pendant une semaine, il y a forcément des tensions, des disputes... Et bien pas chez Werber où tout se passe parfaitement jusqu'à ce que les méchants policier interviennent ! Moi, j'y crois pas.
Les personnages ne sont pas crédibles, eux non plus: Le Gonzague hypocrite qui joue les premiers de la classe mais qui est un sadique et qui en va même jusqu'à tenter de commettre un viol, par exemple.
Ce qui m'a aussi dérangé, c'est le fait que les révolutionnaires arrivent à créer un super logiciel futuriste de simulation en quelques heures qui ferait mourir d'envie Microsoft. Ou le fait qu'ils arrivent à se faire de l'argent facile rien qu'en ayant de bonnes idées. Werber semble oublier qu'il n'y a pas que les idées mais aussi la réalisation qui compte, sinon les voitures volantes seraient déjà dans le ciel depuis belle lurette !
Quant au procès final, on dirait presque une parodie ! Franchement, si un jour on arrive à tenir une conversation avec une fourmi, je ne pense pas que la première préoccupation de l'humanité sera de savoir laquelle des deux espèces est la plus intelligente en se livrant à des duels. Dans le livre, on dirait carrément que les gens se fichent totalement de savoir que les fourmis sont des êtres intelligents avec lesquels on peut communiquer.
En fait, ce qui m'a déplu dans cette trilogie en général, c'est la description erronée qui est faite de la société humaine.
Heureusement, du côté des fourmis, je trouve l'histoire toujours aussi sympathique, comme dans les premiers tomes. (Même si là aussi y'a des trucs tellement énormes qu'ils ne passent pas, comme l'épisode où une dizaine de fourmis arrivent à tuer une tortue et s'en font un bateau...)
En bref, c'est un livre divertissant, mais il ne faut pas le prendre au sérieux comme j'ai eu l'erreur de le faire ! Et comme l'a dit Martin1, je crois que la clef pour comprendre une grande partie des problèmes du livre, c'est la naïveté de l'auteur.
Un doux rêve partagé
Critique de Feather-hat (, Inscrite le 23 mai 2013, 27 ans) - 23 mai 2013
Il faut avouer que le passage dans lequel tout semble être "un petit monde parfait" aurait peut-être dû être raccourci. Créer une utopie, faire une "mini civilisation parfaite" dans la paix et la bonne entente est un peu trop tranquille. Qui n'a jamais rêvé que les guerres cessent, que les gens soient moins égoïstes, moins individualistes et plus tolérants? Certes, c'est bien tout ça mais un peu long sur une trop grande durée. Si les aventures de 103e donnent un peu d'action, il aurait peut-être été mieux que la paix et la bonne entente des fourmis ne soient pas en même temps que celle des humains. J'ai eu l'idée d'abandonner à ce passage trop long mais la curiosité est toujours une bonne chose pour un livre et la réussite des deux premiers tomes sont aussi de bons points pour continuer.
Les idées de ce troisième tome sont peut-être naïves, mais je pense que Werber a simplement mis dans un livre un doux rêve que chacun a déjà fait, peut-être que cela est la cause du manque de réalisme. Un rêve de paix et de vie commune parfaite, nous l'avons tous fait au moins un jour mais la nature humaine est comme elle est, c'est vrai que c'est difficilement imaginable.
La fin m'a agréablement surprise, elle retenait les idées que je me suis toujours faites sur la vie, c'est un point de vue plus personnel qu'universel mais certains comprendront peut-être. Pour revenir à mes idées, il faut revenir sur les deux tomes précédents. Souvenez-vous qu'il est écrit que l'espèce humaine est récente? Qu'elle n'a que trois millions d'années alors que les fourmis en ont bien plus (100 millions je crois mais les chiffres restent difficilement ancrés dans ma mémoire)? L'ère humaine n'est qu'un épisode et la fin du tome trois le montre bien. Les personnages humains continuent leur vie par obligation, mais ils se sentent plus proche de la nature. Les fourmis, elles, continuent d'évoluer même avec les méthodes du savoir "doigt", elles continuent à changer et à devenir encore plus puissantes. Animal à sang froid condamné à vivre selon la température ambiante, elles ont réussi à dominer l’hiver et elles semblent vouloir continuer sur leur route comme toujours. L'homme est-il condamné à disparaître comme un simple épisode qui se termine à cause de son égoïsme ou a-t-il ouvert les yeux grâce aux fourmis? Le buffet avec les danois nous montre un doute sur cette question.
Bon, je vais éviter de m'éparpiller comme j'en ai l'habitude et m'arrêter là mais on peut en dire beaucoup sur ce livre. La trilogie nous ajoute encore quelques questions sans réponse à notre pauvre esprit qui en a certainement déjà beaucoup, un peu comme 103e. Ce fut un véritable plaisir de lire ces trois livres, je les conseillerais donc à tous les intéressés. N'ayant pas l'expérience sur d'autres œuvres de cet auteur, je vais combler ces lacunes, son style d'écriture est vraiment sympathique.
Dommage...
Critique de Martin1 (Chavagnes-en-Paillers (Vendée), Inscrit le 2 mars 2011, - ans) - 28 mars 2012
Alors, après avoir tourné la dernière page du deuxième tome, je me suis dit que j'allais finir la série... avec La Révolution des Fourmis.
C'est alors que l'écrivain explose ! Il nous montre SON utopie à lui, celle qu'il désirerait de tout son cœur... on est ému face à un tel désir de changer le monde... seulement il y a un hic, Bernard. Tu te trompes complètement. Ton utopie est illusoire. Elle ne correspond pas du tout aux problèmes réels de ce monde.
En fait, en lisant ce livre, je me suis dit : "il y a quelque chose qui cloche là-dedans... ce n'est pas l'écriture, elle est un peu légère mais elle passe... non c'est la NAÏVETÉ !" Et oui, Bernard est trop naïf ! Ses personnages sont caricaturaux, ça se voit vite, mais surtout ses idées sont très arrêtées. Il s'imagine que le rêve hippie de Julie Pinson sera acceptée par 521 personnes, comme ça, comme si c'était une révélation ! Mais non, parmi ces 521 personnes, tous ne sont pas parfaits, il y en a qui ont des défauts ! Certains sont trop colériques, ou jaloux de certains autres. D'autres ne supportent pas de rester enfermés dans ce lycée, ou meurent d'envie de faire de grandes randonnées, ou de retrouver leurs familles, leurs amis, leurs vies d'antan, d'autres encore détestent la science, d'autres détestent l'art ou ne supportent pas l'anarchie. D'autres encore sont en difficultés, ils ont besoin de vrais repères, de vraies limites car ils sont perdus ou violents... Non, une utopie seule ne pourra pas satisfaire tout le monde. Elle est vouée à l'échec. En plus, qu'est-ce que l'auteur a à reprocher à la société actuelle ? Elle n'est pas parfaite mais elle répond dans l'ensemble à nos besoins alimentaires et financiers (plus que s'enfermer dans un lycée = la galère pour trouver de quoi manger !)
Ce sont les jeunes (de mon âge, en fait) ou les gens qui connaissent très peu la vraie littérature et la science-fiction qui le trouveront génial, car les adultes ayant plus de vécu ne verront en lui qu'un charlatan. Werber répondra à cet argument par la posture de l'incompris.
Bernard Werber est un puits de science, je ne dirai pas le contraire.
Comme le site http://branchum.perso.neuf.fr/werber.htm le dit très bien : "Le seul risque serait de le prendre au sérieux, mais un lecteur pas trop candide trouvera toujours chez Werber matière - première - à réflexion." (Vous remarquerez que j'ai copié sur cette page du site certains arguments, pardon, mais ça correspond tellement bien à ce que je veux dire!)
Merci Bernard Werber pour les 2 premiers livres qui m'ont appris tellement de choses sur les fourmilières et sur le monde. Deux étoiles pour ma toute nouvelle culture en matière d'insectes.
et Bravo FightingIntellectual pour ta critique très drôle...
Decrescendo
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 24 août 2009
Les personnages ne m’ont pas accrochés du tout. Je les ai trouvé plus moralisateurs que ceux des autres volets. Ils sont manichéens, eux contre le monde, le genre de personnages que l’on retrouve plus tard aussi dans son livre Le papillon des étoiles. J’ai parfois l’impression que l’on prend les gens pour des imbéciles. Je ne sais pas si c’est la façon de penser de l’auteur, mais c’est un sentiment qui me vient souvent en lisant ses oeuvres et je commence de moins en moins aimer cet auteur à cause de ça, à quelques livres exceptions près.
J’ai trouvé l’histoire moins forte que les deux autres. J’ai eu de la difficulté à me lier à l’histoire, il y a plein de détails que j’ai trouvé énervants, comme le jeu qui se veut être « révolutionnaire », me semble guère qu’une copie du jeu Civilization de Sid Meier.
En tout cas, c’était amusant avant, mais là je trouve que ça commence à trop se prendre au sérieux.
La peur de rencontrer l'autre
Critique de Chris (Bruxelles, Inscrite le 30 décembre 2003, 50 ans) - 27 novembre 2008
Il n'y a vraiment pas de suite??? Dommage, je voudrais savoir ce que devient 103è.
Un ton en dessous des deux premiers
Critique de Domimag (, Inscrit le 6 juillet 2007, 67 ans) - 9 juillet 2007
Je rejoins certains avis ci-dessous : la partie humaine n'est pas crédible. Cette révolution, qui démarre à partir d'un concert musical, est bidon et on n'y croit pas une seconde, ça devient donc rapidement barbant. J'ai fini par zapper une bonne partie de ces chapitres.
Le narration "fourmi" est la plus intéressante de ce dernier volume (qui est le plus épais aussi). C'est cette partie qui sauve un peu le livre du naufrage bien que la subite adaptation des fourmis à certaines techniques humaines et bien d'autres aspects de leur évolution ne sont pas non plus crédibles (contrôle du feu etc...) mais il y a de bons et même très bons moments dans ces chapîtres myrmécéens.
Le procès final des révolutionnaires et des fourmis tourne au grand'guignol. Bref il était temps d'arrêter M.Werber même s'il est quand même nécessaire de lire ce roman pour boucler la trilogie.
Guano
Critique de FightingIntellectual (Montréal, Inscrit le 12 mars 2004, 42 ans) - 14 juin 2006
Cependant j'ai une relation amour-haine assez intense avec Werber et ce bouquin est l'expression la plus pure de tout ce que je déteste dans son écriture. Les Fourmis étaient excellent, Le Jour des Fourmis était très bon... mais qu'est-ce qui m'a pris d'avoir voulu finir la trilogie et me taper cette révolution mal fagotée de fourmis?
C'est tellement mauvais que je ne sais pas trop par ou commencer. Julie Pinson, tiens, n'ayant rien à envier aux héroïnes de Amélie Nothomb (on connait mon opinion sur elle), cette antropomorphisation du papillon est horriblement stéréotypée, sans imagination et trempe légèrement dans le sexisme, montrant une Julie dépourvue face aux charmes de l'amour, qui se lance tour a tour dans les bras de chaque membre de son groupe de rock, chose qui a pris fin seulement avec la fin du roman, je crois qu'elle aurait continué à butiner, tel l'abeille, si Werber avait décidé d'étendre cette atrocité sur cent pages de plus.
Les antagonistes sont également bêtes, décérébrés et stéréotypés à un point tel qu'on se demande si le message hippie que Werber veut passer n'est pas propagandiste sur les bords. Maximilien Linhart change du bon policier au psychopathe dangereux l'instant de quelques parties de jeu d'ordinateur... accompagné BIEN SUR d'un conseiller déshumanisé nommé Mac Yavel (en panne d'inspiration Bernard?). La violence aveugle du jeune Gonzague Dupeyron serait également intéressante si elle était motivée par une idéologie de droite quelconque. Dupeyron frappe pour frapper, même s'il se prétend droitiste. Il est un gros bras d'usage, sans vraiment de profondeur psychologique.
La critique des institutions y est également risible. Le procès des compagnons à la fin du roman est le comble de la propagande hippie à cinq sous de Werber. Julie se lève à chaque réplique pour pouvoir contrer l'affirmation d'un avocat sans jamais même se faire menacer d'un outrage au tribunal... et encore mieux... le juge décide de jouer du côté de Julie et organise des joutes moyenâgeuses entre les fourmis et les hommes.
Mais pourquoi veut-il nous prouver absolument la supériorité des fourmis? Contrairement aux deux tomes précédents, très peu de descriptions de l'univers fourmilier sont faites, si ce n'est que cette harassante comparaison à l'univers humain et ce parallèle abrutissant entre les événements historiques humains et ceux des fourmis (I.E. prise de bel-o-kan Vs révolution d'octobre). La tendance de Werber à vouloir nous éduquer sur un phénomène quelconque en deux, trois phrases bien placées ici vient également à noyer le récit avec ces interventions de Edmond Wells qui deviennent plus harassantes qu'intéressantes vers la fin.
La révolution des fourmis, est, comme il a été si bien dit, un manuel utopiste et conformiste à la fois, comment vouloir former une société où la violence et les mauvais sentiments n'existent pas, tout en laissant hors de cette idylle, toute personne n'adhérant pas à ces concepts (en voilà de la violence idéologique!)
Considérant que le lecteur moyen de Werber a environ 15 ans, je considère le troisième tome de cette trilogie comme étant naïf oui, mais également pernicieux et vaguement subversif.
C'est encore pire que "Nous les Dieux" J'en ai au moins pour un an à le bouder..
1+1 = 2
Critique de Alex_cc (, Inscrit le 10 avril 2006, 41 ans) - 10 avril 2006
Les personnages principaux sont sans saveur:
-la fourmi vedette n'est que nostalgie où elle se remémore son histoire des volumes précédents
-Julie apparait comme un personnage vide et très capricieuse.
Le comble est atteint à la fin avec les juges et le commissaire.
Franchement l'auteur a connu mieux disons que cela devait être un passage à vide.
le meilleur des trois
Critique de Elyria (, Inscrite le 25 mars 2006, 33 ans) - 1 avril 2006
En tendant toujours plus vers la nouveauté, on ne risque pas se brûler les ailes, M.Werber l'a bien compris!
Il loupe sa sortie...
Critique de Jb084 (, Inscrit le 30 octobre 2005, 40 ans) - 14 janvier 2006
Non seulement l'héroïne n'est pas tellement attachante (je dirais plutôt le contraire d'ailleurs), mais l'utopie du "tout le monde vit ensemble avec bonheur" est assez énervante sur le long terme...
Et cela casse la magie. Donc on n'accroche plus à son histoire, et les faits étranges de ses bouquins paraissent décidément trop gros.
Dommage. Vraiment dommage.
pseudo-philosophique
Critique de Rat noir (, Inscrit le 14 août 2004, 40 ans) - 20 juin 2005
De plus, contrairement à ce qu'on pourrait croire, Werber est un pur conformiste. Voyez les animaux. Les gentils sont ceux que tout le monde trouve sympathiques (fourmis, loups) et les méchants des créatures jugées répugnantes (rats, chiens policiers,...).
Je ne dirais pas que "la révolution des fourmis" est un navet mais elle ne mérite surement pas tous les éloges que l'on lui fait.
La révolution à plat.
Critique de Seulement (, Inscrit le 3 janvier 2004, 37 ans) - 3 janvier 2004
La rencontre impossible
Critique de Fane (Nancy, Inscrite le 28 mai 2003, 46 ans) - 7 juillet 2003
Pas vraiment révolutionnaire mais quand même très bon
Critique de Virgile (Spy, Inscrit le 12 février 2001, 45 ans) - 5 septembre 2001
Si vous ne devez lire qu'un Werber c'est sans doute celui ci que je vous recommanderais...
toute une philosophie
Critique de Manhud Yrogerg (Bruxelles, Inscrit le 24 avril 2001, 47 ans) - 10 mai 2001
1+1=3 où la somme des talents est plus forte que ces talents pris individuellement.
A lire absolumment pour ne pas mourir idiot
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