Vacances indiennes de William Sutcliffe
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Catégorie(s) : Littérature => Anglophone , Littérature => Voyages et aventures , Littérature => Asiatique
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Vacances, délices !!!
Du bonheur, ce roman ! Frais, pétillant, drôle et cynique, il nous entraîne aux trousses d'un jeune anglais de 19 ans, Dave, parti trois mois en Inde, avec une compatriote, Liz... Mais avant tout ça, remontons les rouages de la machine : Dave a un meilleur ami, James, qui sort avec Liz. James part huit mois faire le tour du monde, Liz et Dave se rapprochent, deviennent intimes et se fâchent trois jours avant leur départ commun pour l'Inde. Laquelle aventure est particulièrement entreprenante pour Dave, typiquement flegmatique et sacarstique dans l'âme, loin d'être baroudeur de surcroît !
Bref, l'épopée en Inde ne va pas manquer de piquant pour ces deux personnages. Le dépaysement, l'isolement et la solitude se joindront parfois à l'excitation et la rencontre d'une culture différente, la chaleur accablante et les dérivés cosmiques du pays. Aussi ce roman présente de manière délirante les divagations des routards, tous rompus à la lecture du Lonely Planet par exemple, et le psychédélisme souvent stéréotypé, mais pas loin de la réalité, très probablement ! JETEZ-VOUS DESSUS !!! UNE BONNE CLAQUE !!!
Les éditions
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Vacances indiennes [Texte imprimé] William Sutcliffe trad. de l'anglais par Philippe Rouard
de Sutcliffe, William Rouard, Philippe (Traducteur)
10-18 / 10-18. Série Domaine étranger
ISBN : 9782264039170 ; 8,80 € ; 01/03/2005 ; 308 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (6)
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Vraiment pas emballée
Critique de Flo29 (, Inscrite le 7 octobre 2009, 52 ans) - 14 octobre 2013
"J'aurais dû me tirer un mois au soleil d'Ibiza"
Critique de JEyre (Paris, Inscrite le 17 juillet 2010, 43 ans) - 12 février 2011
« Quand on bosse dans une boutique de fringues, on ne fait rien d’autre que replier ce que les clients ont déplié. Ce qui fait de Sock Chop un drôle d’endroit pour un boulot, parce que ça ne se plie pas, une paire de chaussettes. Votre vie finit par perdre son sens au point qu’on en vient à se demander si on est encore de ce monde. Après ça, on commence même à douter de l’existence de la chaussette. »
« Depuis mon débarquement en Inde, Ranj était la première personne pour qui j’avais vraiment de la sympathie […] je passais de plus en plus de temps en compagnie de mon Indien de Putney. Je n’avais encore jamais eu de copains venant de ce quartier sud de Londres, et c’était intéressant parce qu’ils ont vraiment une toute autre vision de la vie. »
« Elle était sans aucun doute la pire bécoteuse que j’aie jamais eu le désagrément d’embrasser. J’avais l’impression que ma langue était coincée dans l’embout d’un aspirateur et, en même temps, mise à essorage rapide dans une machine à laver.
J’ai été sauvé de l’amputation de mon organe par Ranj venu nous suggérer qu’on retourne à l’hôtel faire razzia sur nos minibars. »
« Afin d’éviter une mutilation linguale, j’ai essayé de la déshabiller tout en la bécotant, ce qui tenait du déballage d’une momie. J’ai fini par trouver une technique qui consistait à tourner autour d’elle avec un paquet de voiles grossissant dans mes mains et à faire un arrêt bécot chaque fois que je passais devant elle. C’était rigolo mais pas vraiment bandant comme préliminaires amoureux. »
Roman initiatique
Critique de Norway (Entre le Rhin, la Méditerranée et les Alpes !, Inscrite le 7 septembre 2004, 49 ans) - 11 février 2008
Des vacances qui font du bien !
Critique de Fldub (Lille, Inscrit le 3 décembre 2006, 41 ans) - 12 mai 2007
On désire vite connaître l'évolution de ce personnage perdu dans l'Inde, entre maladie, incompréhension du monde qui l'entoure et amours merdiques etc...
Ne pas hésiter à monter à bord de ce livre et se laisser embarquer, un vrai régal !!
A lire, pour son humour bien placé et pour ses personnages à la fois si caricaturaux et si vrais. Pas de méchanceté mais du piment. Très bon moment...
vacances en délire
Critique de Valeriane (Seraing, Inscrite le 16 novembre 2005, 45 ans) - 17 août 2006
Les deux personnages ont des caractères totalement opposés, ce qui met du piment dans leur relation « amicale ». Le roman est ponctué par les hauts et les bas de leurs échanges. Et cela contribue au comique de la situation.
Les différentes rencontres qu'ils font, ajoutent du cynisme au ton de l'auteur. Ce qui n'est pas sans déplaire le lecteur.
A lire, qu'on parte ou non pour l'Inde.
Le routard débutant....
Critique de Cuné (, Inscrite le 16 février 2004, 57 ans) - 23 avril 2005
J'ai un vrai faible pour cet humour anglais actuel, il fait mouche parce qu'il n'est pas outrancier, et repose presque toujours sur une base sociale avérée...
A lire, vraiment !!
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