Nouvelles histoires extraordinaires de Edgar Allan Poe
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone , Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique , Littérature => Nouvelles
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Légendaire
Sans aucun doute pour moi, le recueil de nouvelles le plus important de tous les temps. 23 contes fantastiques dont les chef d’œuvres : Le Cœur révélateur, La Chute de la maison Usher, Le Puits et le pendule, Le Chat noir et La Barrique d’amontillado.
Les nouvelles regroupées sous ce titre sont plus noires, moins accessibles que celles des autres collections de Poe, donc probablement plus appropriées pour les amateurs du genre. L’écriture de Poe est comme toujours, absolument délirante, élégante et traduite de manière irréprochable par un Charles Baudelaire au sommet de sa forme.
On retrouve tout le génie macabre de Poe dans ces courtes histoires tortueuses, perverses et sinistres. Un délicieux voyage au cœur de la folie d’un auteur légendaire.
Les éditions
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Nouvelles histoires extraordinaires [Texte imprimé] Edgar Allan Poe trad. de Charles Baudelaire préf. et comment. de Emmanuel Martin et Daniel Mortier
de Poe, Edgar Allan Martin, Emmanuel (Editeur scientifique) Mortier, Daniel (Editeur scientifique) Baudelaire, Charles (Traducteur)
Pocket / Presses pocket (Paris).
ISBN : 9782266082853 ; 0,99 € ; 19/11/1998 ; 363 p. ; Poche -
Nouvelles histoires extraordinaires
de Poe, Edgar Allan
Flammarion
ISBN : 9782081221147 ; EUR 3,80 ; 07/11/2008 ; 314 p. ; Broché -
Nouvelles histoires extraordinaires d'Edgar Allan Poe
de Poe, Edgar Allan Baudelaire, Charles (Traducteur)
Edito-Service
ISBN : SANS000004630 ; 01/01/1984 ; 306 p. ; Cartonné
Les livres liés
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Les critiques éclairs (13)
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Le champion de l'horreur gothique est de retour !
Critique de Les Amis d'Edgar Poe (, Inscrit le 13 octobre 2020, 34 ans) - 13 octobre 2020
Quel ennui !
Critique de Mimi62 (Plaisance-du-Touch (31), Inscrit le 20 décembre 2013, 71 ans) - 3 septembre 2020
Comme toujours, une critique n'est pas une déclaration de valeur universelle mais bien le reflet d'un ressenti accordé sur la sensibilité du lecteur. C'est évident mais il est parfois nécessaire de le rappeler.
J'ai d'abord pensé que j'en attendais trop mais plus j'avançais dans l'ouvrage plus je me suis rendu compte que cette grande déception venait de l'ouvrage lui-même, sous tous ses aspects.
En ce qui concerne la référence au roman policier, j'avoue ne pas voir où elle se trouve, il doit s'agir d'autres ouvrages comme "Double meurtre dans la rue Morgue". En ce domaine, je trouve Sue bien plus évocateur, sans parler de Conan Doyle (je reconnais que ce dernier affirme avoir été influencé par Poe).
Je trouve d'ailleurs amusant que cette référence au roman policier contribue à construire sa légende d'auteur de référence, alors que pour beaucoup ce genre est encore actuellement considéré comme un sous-genre
Pour la référence au fantastique, je comprends mieux cette analyse mais suis loin de la partager. J'aime le fantastique mais pas dans cette dimension qui me fait davantage penser au fantasy, au gothique voire au gore, genres que j'élimine d'office tant il me déplaisent.
On ne peut davantage faire référence à la science fiction à la prospective ou à l'aventure magique.
Reste les personnages !
Ils sont dans la droite ligne du peu que je connais de la littérature américaine. On y rencontre des personnes tourmentées toujours à la recherche d'explications tordues basées sur la responsabilité des autres mais surtout par la leur. Des réflexions qui ne font que les enfoncer davantage sans aucunement les aider. Plus on avance, plus c'est sombre et le dénouement... n'en est jamais un. Ces personnages s'apitoient sur leur sort, sont présentés comme étant le centre du monde.
Sans intérêt pour moi.
On devine également, me semble-t-il l'arrivée de la période romantique qui, elle aussi, est loin de faire partie de celles que j'aime, en raison de ces façons de tourner en rond sans jamais avancer, sans jamais comprendre d'où vient ni où va le héros, un héros qui se complaît dans ce questionnement creux et sans fin. Je retrouve cela aussi dans la musique de cette époque.
Et pourtant on croise alors Balzac et Zola qui peignent la société avec une trame romanesque. Gervaise ne s'interroge pas sur le pourquoi de la déformation du deuxième métatarse du troisième orteil de son pied gauche. Elle est dans la vraie vie, elle souffre, elle se bat et on comprend pourquoi.
Elle est dans la vraie vie... faut-il se dire que ces auteurs, totalement déconnectés de la réalité, avaient un véritable potentiel d'homme politique ? C'est bien à ce moment là qu'a vécu Lamartine...
Lorsque je lis, j'aime que l'on me raconte une histoire, j'aime que cette histoire m'interpelle sur des conditions humaines, sur un déroulement historique, sur l'évolution d'une société mais je ne cherche nullement à lire un compte-rendu de consultation psychiatrique de personnes s'enfonçant dans une dépression.
Peut-être faut-il se rappeler le goût de cet auteur pour l'alcool et des drogues diverses et ne voir dans ses lignes que la transcription de ses délires ? Quoi qu'il en soit c'est toujours autant sans intérêt.
En conclusion, au cas où cela ne serait pas évident, je n'ai franchement pas aimé. J'ai déclaré forfait au milieu du livre. Je perdais mon temps et ai préféré aller sur d'autres chemins pour faire des rencontres qui parlent davantage à ma sensibilité.
C'est un ouvrage où je me suis profondément ennuyé, grandement en raison du fond mais peut-être encore plus en raison de la forme. Jamais on n'arrive à se projeter dans l'espace ni le temps et aucune empathie pour un personnage ne se développe pas plus que l'émergence d'un rejet face à ces personnalités qui n'en sont pas. Pour un psychopathe, au moins on éprouve un rejet total. Là, rien que de l'agacement et de l'ennui.
La qualité de l'écriture ? Je ne sais qu'en dire. Soit le manque d'intérêt du sujet rend l'écriture insipide, soit l'écriture trop lourde accentue l'ennui. Je ne sais pas Certains pourraient me reprocher de me comporter comme ces personnages en parlant de moi et je comprendrais votre ennui... mais à côté de ces nouvelles, cet ennui ne serait rien. Il me reste un sentiment d'écriture recevable mais cela ne peut suffire.
C'est un auteur que je ne rejette pas car il me semble intéressant en tant que témoignage de l'histoire de la littérature et de l'époque mais ce recueil ne figure nullement dans les lectures plaisirs ou humainement enrichissantes.
C'est surchargé, inconfortable et pompeux comme l'était la mode de l'époque, tout comme cela le fut dans les années dites folles. La littérature de cette dernière époque est quand même plus recevable.
Je vais cependant tenter la lecture d'un roman probablement d'un autre genre comme "Double meurtre dans la rue Morgue" mais j'avoue qu'au vu de l'époque et de la nationalité, je pars avec un a priori peu favorable. Par contre, relire un Conan Doyle...
Quelle note donner ?
Pour l'intérêt historique de la littérature ; 3
Pour le plaisir de lecture 0.5
Poe, LA référence !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 30 mars 2019
23 nouvelles autour de la Mort, de l'âme humaine et de sa part sombre.
Poe est un chirurgien des tourments de l'âme.
La Mort, la solitude, la perversité, l'horreur sont ses terrains de chasse.
J'ai plus particulièrement apprécié :
-> L'Homme des foules.
-> La chute de la maison Usher.
-> Petite discussion avec une momie.
-> Ombre.
Source d'inspiration de nombreux auteurs de Polars et de romans fantastiques (Stephen King, ...) , Edgar Allan Poe est une référence littéraire.
Des nouvelles de grande qualité servies par un style unique.
Un "Must" !
Narrateur de la mort
Critique de Ngc111 (, Inscrit le 9 mai 2008, 38 ans) - 12 janvier 2015
Mais Poe est aussi un incroyable narrateur de la mort. A travers une maladie symbolique (la peste) ou dans toute autre forme, de façon allégorique (L'île de la fée) ou directe, il sait mieux qui quiconque installer une ambiance de mort, dans le sens premier du terme, avec tout ce que cela implique de décrépitude, de désespoir, de définitif.
L'auteur procède de manière amusante, il nous fait entrer dans chaque récit de manière abrupte, sans vraiment resituer le contexte, sans réelle introduction ; de même il sait créer des images dans la tête du lecteur sans pourtant l'appesantir de longues descriptions. Même au cours de la narration, même à la fin de l'intrigue ou du déroulement, il n'explique pas tout, ne justifie pas les actes des personnages, sauf par la voix même de ces personnages lorsqu'ils font office de narrateur.
Le résultat est là, les nouvelles sont rythmées, percutantes pour la plupart et donnent pourtant matière à réfléchir, à s'interroger sur l'esprit humain ; mais sur un angle nouveau, non pas celui de la cause ou de la conséquence mais plutôt sur les effets inconscients (sur le subconscient) du passage à l'acte, les effets secondaires pourrait-on dire. Avec plus ou moins de bonheur Poe utilise la science dans certains cas, la philosophie, quitte à rendre un tant soit peu obscurs des dialogues et des récits intéressants sur le fond mais plus hermétiques sur la forme. C'est flagrant dans la deuxième moitié du livre, qui a tout d'une curiosité vraiment attirante mais qui se montre de moindre qualité au final.
Recueil d'une homogénéité toutefois remarquable en terme de qualité, Nouvelles histoires extraordinaires est une preuve du talent incommensurable d'Edgar Allan Poe pour captiver son lecteur autour d'un imaginaire débordant (salué par Baudelaire), le faire frissonner devant les terribles perspectives que peut offrir le cerveau humain, lui faire sentir comme jamais ce qu'est la mort, et le plonger dans des atmosphères comme des bains d'eau glacée. Si vous ne le croyez pas, lisez juste Le Puits et le Pendule pour ressentir le véritable et oppressant sentiment de peur.
BIENVENUE DANS LES TREFONDS DE L'ÂME HUMAINE
Critique de Buck (Rennes, Inscrit le 20 juin 2010, 36 ans) - 15 août 2013
Le thème de la mort est récurrent mais l'humour gravite autour de certains de ses textes. De petits détails qui allègent le style parfois lourd de Poe. On peut citer le nom de la ville dans "le diable dans le beffroi : "Vondervotteimittiss" (je vous le garantis sans faute) signifiant "wonder what time it is". Un autre exemple dans "le roi Peste" avec les jeux de mots autour du mot "peste". Cette humour autour du thème macabre de la mort donne à Poe, je pense, tout son génie. Poe réussit l'exercice d'être capable de se moquer de ses contemporains tout en faisant rire (oui oui, j'ai rigolé) et faire réfléchir les lecteurs sur la folie et les "perversités" qui nous habitent.
Mais je ne vais pas jouer mon bobo intellectuel, le style est lourd et j'ai ramé en essayant de décrire ce fameux double sens dans certains récits. Je finis certaines nouvelles mais je ne vois pas où il a voulu en venir. Je m'attendais à une chute, une morale, une leçon mais non. L'exemple type est Hop-Frog. Poe ne les a pas écrites sans raisons quand même! La préface et le dossier de l'éditeur sont très utiles pour débriefer toutes ces nouvelles. Au passage, j'ai adoré "Le système du docteur Goudron et du professeur Plume".
Trois nouvelles m'ont surpris dans l'enchainement des textes : "Puissance de la parole", "Colloque entre Monos et Una" et "Dialogue entre Eiros et Charmion". L'esprit sordide marque une pause dans l'enchainement des nouvelles en laissant le côté métaphysique prendre le relai. Comme dit dans le dossier à la fin livre : "c'est une leçon de sagesse[…]". Je pense les relire un peu plus tard pour mieux les comprendre et les appréhender.
Le style lourd, un double sens pas très clair sont des défauts très vite effacés face aux situations dans lesquelles nous invite Poe. Par les nouvelles, on passe d'époques en époques, de personnages en personnages mais on remarque très vite les liens qui se tissent entre tous ces protagonistes : la peur et le frisson pour notre plus grand bonheur.
le créateur du roman policier
Critique de Vero13 (Marseille, Inscrite le 31 janvier 2011, 55 ans) - 21 avril 2011
C'est 'le portrait ovale', l'une de ces Nouvelles, qui m'a permis de renouer avec celui que je considère comme le créateur du roman policier, le vrai bon polar ! "Le portrait ovale" explore le thème du peintre aveugle et fou victime de son art, ou la rivalité entre l'art et l'amour, thème repris notamment par Balzac dans son chef-d'œuvre inconnu. J'adore !
Les meilleures histoires de Poe !
Critique de Keox (, Inscrit le 24 février 2010, 40 ans) - 27 février 2010
Si vous voulez lire du Edgar Allan Poe, prenez celui-ci...
Mythique ! La suite
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 31 mai 2009
5,5/5 pour moi !
Contient mes préférées de Poe
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 2 janvier 2008
Le démon de la perversité (1850) : Le niveau de langage est trop haut, même avec un dictionnaire. J’ai aimé la dernière partie, mais c’était trop peu trop tard. 2/5
Le chat noir (1843) : Une de mes préférées. Mon genre de macabre. 5/5
William Wilson (1839) : Dans le genre doppelgänger, c’est un classique. 5/5
L’homme des foules (1850) : Pas si intéressant. 1/5
Le coeur révélateur (1843) : Génial, mais dans le même style, je préfère Le chat noir. 4.5/5
Bérénice (1835) : La suggestion est meilleure que la démonstration, un des bons éléments du récit. L’important n’est pas ce qui est décrit. L’histoire de la dentition de la femme me fait penser au sourire du chat d’Alice au pays des merveilles. 4/5
La chute de la maison Usher (1839) : Bonne atmosphère gothique, mystérieuse et le thème de doppelgänger encore? Mon genre. 4.5/5
Le puit et le pendule (1842) : Un classique. Très intense. 4/5
Hop-Frog (1850) : Moyen. 2/5
La barrique d’amontillado (1846) : Un peu sensationnaliste, mais j’adore. Ma préférée de Poe. Fou. Nemo me impune lacessit! Personne ne me provoque impunément! 5/5
Le masque de la Mort Rouge (1842) : Un archétype. Gaston Leroux en fait une référence dans Le fantôme de l’opéra. Vous avez à visualiser l’histoire pour la trouver intéressant. 3.5/5
Le roi Peste (1835) : Pas vraiment mon style, mais l’histoire est riche en détails et elle est dégoûtante à souhait. 2.5/5
Le diable dans le beffroi (1839) : Moyen, il faut que je la relise. 2/5
Lionnerie (1835) : Non, je n’ai pas aimé. 0.5/5
Quatre bêtes en une (1833) : Pas mon genre. 0.5/5
Petite discussion avec une momie (1845) : Moyen. 1.5/5
Puissance de la parole (1845) : Moyen. 1.5/5
Colloque entre Monos et Una (1845) : Pas mon genre. 1/5
Conversation d’Eiros avec Charmion (1839) : Mieux que les dernières. 2/5
Ombre (1835) : Je n’ai pas apprécié. 1/5
Silence (1837) : Je n’ai pas apprécié aussi ici. 1/5
L’Île de la fée (1841) : Moyen. Riche en descriptions. 2.5/5
Le portrait ovale (1842) : Je ne sais pas pour les autres personnes, peut-être parce que je l’ai super visualisé, mais c’est une de mes préférées. 5/5
Je suis devenue une admiratrice d’Edgar Allan Poe avec ce recueil. Je comprends que ce n’est pas le genre à plaire à tout le monde. Son écriture peut être repoussante, j’ai souvent été tentée de tout laisser tomber, surtout vers la fin du recueil, mais j’ai persévéré et j’ai été récompensée avec Le portrait ovale.
Extraordinaire à tous Edgar
Critique de Jean Meurtrier (Tilff, Inscrit le 19 janvier 2005, 49 ans) - 9 novembre 2007
Les descriptions psychologiques sont riches et convaincantes, principalement dans les premières nouvelles qui traitent de la perversité, cette méchanceté gratuite parfois incontrôlable. La cruauté qui en résulte submerge le lecteur d’une profonde indignation, que j’ai intensément ressentie dans «Le chat noir».
Ce narrateur humble qui se confesse sur le papier, m’a rappelé la trilogie new-yorkaise de Paul Auster. Le trouble s’accroit quand on met en parallèle la manière avec laquelle est décrit le double de William Wilson (c’est-à-dire William Wilson) et celle utilisée pour dresser le portrait de Fanshawe dans «La chambre dérobée». Et puis d’un coup, je percute! William Wilson est en effet le pseudonyme sous lequel le narrateur publie dans «La cité de verre». La filiation est donc volontaire… et le plaisir identique.
Il est évident que ces récits ne ménagent pas un suspens comparable à ce qui se fait actuellement. On peut également s’étonner de la fin pour le moins abrupte de certaines histoires. Cependant, par ces nouvelles, Poe se pose en précurseur du fantastique (voire horreur) et du policier. Sa palette comprend également bien d’autres styles plus répandus à l’époque et dans lesquels il excelle.
Les nouvelles ne sont pas classées par ordre chronologique, mais ont peut-être été réordonnées selon les genres, car les dernières ne m’ont pas autant intéressé que les premières, sans quoi j’aurais ajouté une demi-étoile à ma cote. «William Wilson», «La chute de la maison Usher» et «Le puits et le pendule» constituent mon tiercé.
Sombre et abouti
Critique de Oxymore (Nantes, Inscrit le 25 mars 2005, 52 ans) - 8 décembre 2005
Bon voilà j'ai parlé du côté négatif, passons au plaisir immense que j'ai ressenti à la lecture de la plupart des nouvelles. D'abord les thèmes: la mort dans son imminence, la maladie, l'amour dans sa mélancolie.
J'ai particulièrement adoré "l'homme des foules", "Hop-frog", "la chute de la maison Usher", "le puits et le pendule", "le roi peste" et le prodigieux "colloque entre Monos et Una" qui m'a pratiquement fait pleurer par la force de l'écriture et la beauté sans nom du sujet traité: métempsychose entre deux êtres qui se sont aimés.
En somme ces Nouvelles histoires extraordinaires m'ont semblées plus fouillées encore que les précédentes de Poe, la lecture n'y est certes pas toujours facile mais la beauté des textes et les paraboles qu'utilise l'auteur sont somptueuses; j'ai souvent ressenti la sensation de voir enfin s'exprimer mes sentiments sous des mots qui s'y apprêtaient de façon évidente et juste. Ne serait-ce que pour ça, Poe est à mes yeux un maître incontournable.
Vite lu, vite oublié
Critique de Pierre666 (Strasbourg, Inscrit le 13 octobre 2005, 43 ans) - 24 novembre 2005
INDIGESTE.
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 24 novembre 2005
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Les doubles et les doppelgängers | 35 | Nance | 21 janvier 2009 @ 21:13 |
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