Les gens heureux lisent et boivent du café de Agnès Martin-Lugand
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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pas assez exploité
A la suite du décès accidentel de son mari et sa fille, diane décide de partir vivre en Irlande pour prouver à son meilleur ami qu'elle va se reprendre. Elle se retrouve au fin fond de no man's land, avec un voisin grincheux et une météo capricieuse.
L'idée est bonne, mais j'ai eu très peur de tomber dans le gnan-gnan quand le méchant et la veuve s'accoquinent... mais l'histoire ne finit pas en love story, merci!
Je pense juste que la fin aurait pu être plus travaillée, il y avait matière!
Les éditions
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Les gens heureux lisent et boivent du café
de Martin-Lugand, Agnès
M. Lafon
ISBN : 9782749919980 ; 5,41 € ; 07/03/2013 ; 182 p. ; Format Kindle -
Les gens heureux lisent et boivent du café
de Martin-Lugand, Agnès
Pocket
ISBN : 9782266243537 ; 6,50 € ; 05/06/2014 ; 186 p. ; Poche -
Les gens heureux lisent et boivent du café
de Urbain, Faustine (Acteur) Martin-Lugand, Agnès
Audible
ISBN : B01CUUR9J2 ; EUR 9,95 ; 06/08/2015 ; Téléchargement audio -
Les gens heureux lisent et boivent du café [Texte imprimé], roman Agnès Martin-Lugand
de Martin-Lugand, Agnès
Éd. de Noyelles
ISBN : 9782298073034 ; 14,95 EUR ; 01/01/2013 ; 252 p. ; Cartonné
Les livres liés
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Les critiques éclairs (22)
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Une résilience bien rude
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 46 ans) - 23 novembre 2023
De retour à Paris, elle se rend compte que ce dépaysement lui a été salutaire, pour se reconstruire.
Réfléchir sur la résilience constitue une belle expérience : l'idée est formidable, selon moi. Toutefois, que de rudesse, de difficultés, d'âpreté, si bien que je n'ai pas toujours et en tout senti en quoi Diane s'était senti relevée, après une forme de dépit amoureux, postérieur à son drame. Et quant au lien avec le titre, fort beau au passage, il 'apparaît clairement.
J'ai été séduit par la problématique narrative générale, mais déçu par son traitement, que j'aurais espéré plus réconfortant, plus analytique également.
Bad
Critique de Nickie (, Inscrite le 14 mars 2004, 63 ans) - 11 décembre 2018
De belles émotions
Critique de Gordien25 (, Inscrit le 12 août 2017, 67 ans) - 12 août 2017
irish romance
Critique de Jfp (La Selle en Hermoy (Loiret), Inscrit le 21 juin 2009, 76 ans) - 5 juin 2017
Joli, mais...
Critique de Palmyre (, Inscrite le 15 avril 2004, 62 ans) - 4 novembre 2016
Malgré cela j'ai apprécié ma lecture, il n'est pas forcément obligatoire de se "casser" la tête à chaque lecture que l'on entame!
Un bon titre et puis plus rien
Critique de Seb (, Inscrit le 24 août 2010, 47 ans) - 18 juillet 2016
Bientôt à l'écran?
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 29 juin 2016
Pathétique
Critique de Erlep (, Inscrite le 6 avril 2016, 54 ans) - 7 avril 2016
Que vous soyez une psychologue clinicienne m'épouvante!
Même pas un bon feu de cheminée!
Jolie histoire
Critique de Flo29 (, Inscrite le 7 octobre 2009, 52 ans) - 18 février 2016
Un titre accrocheur
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 18 septembre 2015
L'histoire de Diane manque cruellement d'originalité, l'écriture est d'une grande simplicité mais une gentille lecture pleine de bons sentiments, cela fait du bien de temps en temps ; pas de prise de tête mais une heure agréable qui me rappelle les romans photos de ma grand-mère et le plaisir de mes jeunes années.
Beurk
Critique de Slowlife (, Inscrite le 10 août 2015, 53 ans) - 10 août 2015
A découvrir
Critique de KAROLE (, Inscrite le 9 février 2010, 49 ans) - 8 juin 2015
Les personnages sont super attachants .
A découvrir et je le conseille vivement .Un livre pour filles .
J’espère le voir un jour en film ...
Je m'en vais de ce pas lire "La vie est facile, ne t'inquiète pas" la suite de cette histoire .
De la difficulté à faire le deuil
Critique de Stradivarius (, Inscrite le 7 février 2015, 82 ans) - 20 mars 2015
Nullissime !
Critique de Joséfa (, Inscrite le 7 janvier 2014, 53 ans) - 25 février 2015
Las ! Quelle déception ! Des phrases courtes ? Ah certes : courtes encore ça irait… Mais pauvres, plates, posées là les unes après les autres, comme un dialogue oral. On ne peut même pas parler de «style»… Franchement nul.
Ne parlons pas de l’histoire : une guimauve indigeste, inintéressante, mièvre, cousue de fil blanc… ils doivent être ainsi, les livres de la collection Harlequin : bébêtes, nunuches, niais. Des livres à nous entraîner vers le bas ! Dommage que l’idée du café littéraire n’ait pas été exploitée, elle était sympathique mais il n’en est pratiquement pas question ici.
Comment ce livre a-t-il pu connaître le succès que l’on dit ? C’est tout simplement invraisemblable, inimaginable. A croire que tous les lecteurs (comme moi) se laissent prendre par ce succès justement : «Ah ! Ça ne doit pas être si mal s’il se vend comme des petits pains»…
Eh bien ! Quelle supercherie. C’est le plus mauvais livre que j’ai lu depuis des lustres !
Vite ! vite ! Un autre livre.
Un peu d'espoir...
Critique de Psychééé (, Inscrite le 16 avril 2012, 36 ans) - 3 décembre 2014
Un an après la perte de son mari et de sa petite fille dans un accident, Diane se refuse de vivre et ne trouve pas de raison de continuer à se battre. Elle n’en peut plus des condescendances des gens de son entourage et décide de partir seule en Irlande, là où personne ne connaît son histoire. Une nouvelle vie l’attend. Elle traverse quelques bons moments, d’autres moins agréables et l’on partage avec elle de fortes émotions… C’est parfois prévisible mais peu importe, ce roman se lit très facilement et on y trouve finalement de la légèreté. A lire.
Les gens heureux...
Critique de Sandra_m (, Inscrite le 25 septembre 2012, 39 ans) - 27 octobre 2014
Sensible
Critique de Zizette (, Inscrite le 7 juin 2014, 28 ans) - 7 juin 2014
Ennuyeux
Critique de Odile93 (Epinay sur Seine, Inscrite le 20 décembre 2004, 70 ans) - 30 mai 2014
Un style très simple, presque du langage oral. Ca ressemble à l'histoire qu'une copine pourrait me raconter. Donc, déjà le style ne me séduit pas.
Notre héroïne quitte la civilisation (ou presque) pour s'exiler en Irlande et découvre que son voisin est un ours, une espèce d'individu très mais alors très antipathique,...
Dès lors, pour moi, la suite allait être claire. Dans ce genre d'histoire, le méchant très méchant, méchant va finir par devenir gentil, gentil, ...
Un coup d'œil sur la dernière page m'a fait dire que j'avais grosso modo deviné la fin.
Escroquerie littéraire
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 22 décembre 2013
On attire le lecteur par une photo de couverture aguichante, un titre accrocheur et des premières pages un peu travaillées, et puis on peut tirer l'échelle.
C'est de la guimauve intégrale, un style pour midinette et un scénario de roman-photo.
A éviter absolument.
Se laisse lire.
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 25 octobre 2013
Agnès Martin-Lugand parvient à éviter le piège d'une fin téléphonée (à "la Musso").
Ici une écriture un peu simpliste, sans grand effet et même un peu terne mais l'ambiance est bien décrite.
Finalement seul le titre est original !
Irlande, amour et cigarettes
Critique de Bernard2 (DAX, Inscrit le 13 mai 2004, 75 ans) - 9 octobre 2013
Un roman court, bien écrit, où la pluie de l'Irlande complète le tableau du vide sentimental et de la solitude de Clara. Mais pourquoi l'auteur a-t-elle tant voulu que ses personnages, à commencer par l'héroïne, passent leur temps à allumer cigarette sur cigarette ? Au départ ça intrigue, puis ça devient franchement crispant tant c'est répétitif. Un maladresse de style qui m'a gêné, et qui m'empêche de donner à ce livre une note qui aurait pu être supérieure.
Harlequinade sous titre aguicheur
Critique de Peche07 (, Inscrite le 22 février 2006, 67 ans) - 21 août 2013
Le produit ( produit d'appel vendu à prix compétitif au format numérique) est le fruit du marketing ambiant . En version papier on se laisse séduire par le titre, on entend " lecture" ( c'est tendance dans les titres avec juste ce qu'il faut de caution culturelle), la juxtaposition des mots " heureux" et "café" soutenue par une belle photo rétro en NB fait aussi son petit effet. On attend une bonne histoire ficelée avec juste ce qu'il faut d'analyse comme peut le laisser supposer Sigmund en épigraphe.
Les cinquante premières lignes nous laissent sur cette illusion, presque bien écrites, avec juste ce qu'il faut de maîtrise du pathos... Hélas, passée cette ouverture appliquée , l'auteure ne réussit pas à tenir l'allure et sombre illico dans des dialogues d'une platitude épuisante pimentée d'expression familières ( mais oui, rappelons nous ... on est censé baigner dans le quotidien..!) . Côté récit j'abrège sur les retrouvailles de nos deux héros favoris, dignes des meilleures séries sentimentales. Nos classiques rose tendre qu'on dévore vers quatorze ans ou plus, l'amour yoyo, le macho et sa douce, fringants depuis le Moyen Age , toutes latitudes confondues ( ici l'Irlande , ses pubs et ses cottages et rien que des personnages clichés au service de l'intrigue )... Intemporel vous dis je, avec une exception pour la fin, (Sigmund est passé par là) , la thérapie se termine au chapitre 10 mais on ne saura pas si les deux protagonistes ... " furent heureux et eurent beaucoup d'enfants". L'auteure retrouve le style de "l'intro", les dix dernières lignes restent dans la suggestion, tendance vous dis je! Voilà qui m'apprendra à feuilleter trop distraitement les parutions en librairies...
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Chacun s'exprime en respectant l'autre | 15 | Bernard2 | 29 juillet 2014 @ 19:13 |
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