La 8e confession de Maxine Paetro, James Patterson
(The 8th confession)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes : (basée sur 2 avis)
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Un thriller efficace et sans prétention
A San Francisco, un bus scolaire transformé en laboratoire de crack roulant explose en pleine circulation, provoquant une dizaine de morts et de nombreux blessés. Un peu plus tard, un clochard connu pour les services rendus à ses confrères dans la débine est retrouvé assassiné de plusieurs balles de 22 long rifle dans la nuque et d'une multitude de coups et blessures. Plusieurs personnes de la haute société meurent de façon mystérieuse, ni arme à feu, ni arme blanche, ni poison, ni étranglement, ni coups et blessures, mais juste une morsure de serpent particulièrement venimeux. Les flics Lindsay Boxer et Rich Conklin sont chargés d'une enquête qui s'annonce complexe. Mais ils pourront bénéficier de l'aide d'une journaliste, d'une légiste et d'une avocate toutes trois membres du Women's Murder Club.
Un thriller facile à lire, de facture classique mais sans grande originalité. Beaucoup de dialogues, ce qui donne du rythme et de l'allant, peu de descriptions, peu de psychologie, peu d'épaisseur pour les personnages. Mais pas mal de professionnalisme très calibré à l'américaine type scénario de séries policières. Résultat le lecteur, accroché dès la première scène (choc forcément), ne peut plus lâcher le bouquin tant qu'il n'a pas eu le fin mot de cette affaire. Patterson sait très bien jouer avec nos nerfs et ne s'embarrasse pas de fignolages littéraires. Un agréable divertissement, efficace et sans prétention, mais n'est-ce pas généralement la loi du genre (et du marché...)
Les éditions
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La 8e confession [Texte imprimé], roman James Patterson, Maxine Paetro traduit de l'anglais (États-Unis) par Nicolas Thiberville
de Patterson, James Paetro, Maxine Thiberville, Nicolas (Traducteur)
J.-C. Lattès / Suspense & cie (Paris).
ISBN : 9782709636216 ; 15,11 € ; 10/11/2010 ; 450 p. ; Broché
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Des serpents, fallait que ce soit des serpents.
Critique de Incertitudes (, Inscrit le 4 décembre 2008, 40 ans) - 20 mars 2021
Beaucoup de rythme, des dialogues, des scènes courtes pour ne pas qu'on ait le temps de s'ennuyer et des personnages truculents qu'on prend plaisir à voir évoluer. Yuki, par l'exemple, l’avocate, semble devenir une machine à perdre des procès. Lindsay est toujours partagée entre Joe, jamais là, et son séduisant coéquipier Conklin qui file dans les bras de son amie Cindy la journaliste. Alors, Lindsay n'est pas contente. Pourquoi ? Elle s'amuse à le séduire et se dérobe à chaque fois au dernier moment.
Je ne vois pas en quoi il s'agit d'une huitième confession par contre. Ce n'est pas le plus important à la limite. Patterson nous distrait et c'est bien là l'essentiel.
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