Jamais sans ma fille de Betty Mahmoody
( Not without my daughter)
Catégorie(s) : Littérature => Biographies, chroniques et correspondances
Moyenne des notes : (basée sur 35 avis)
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le livre qui changera votre vie...
Betty avait tout pour être heureuse (un époux attentionné et une adorable petite fille de quatre ans) jusqu'au jour où son mari veut la présenter à sa famille en Iran. Ce qui ne devait être qu'un séjour de quinze jours va se prolonger en une lutte que devra mener Betty pour récupérer sa fille et quitter ce pays.
C'est un livre coup de poing. On partage le calvaire de cette jeune mère qui ne lâchera jamais, c'est un véritable combat qu'elle mènera et un belle leçon d'amour qu'elle nous donne. Ce récit ne peut que rester gravé dans nos mémoires et soulever une véritable réflexion. Une histoire à lire absolument au moins une fois dans sa vie. NE Passez pas à côté!!!
Les éditions
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Jamais sans ma fille [Texte imprimé] Betty Mahmoody [avec la collab. de] William Hoffer trad. de l'américain par Marie-Thérèse Cuny
de Mahmoody, Betty Hoffer, William (Collaborateur) Cuny, Marie-Thérèse (Traducteur)
Pocket / Presses pocket (Paris).
ISBN : 9782266025874 ; 6,46 € ; 01/01/1989 ; 477 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (34)
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A lire absolument
Critique de LeaPrepaOrtho (Paris, Inscrite le 22 février 2015, 28 ans) - 17 mars 2015
Betty Mahmoody, une femme en qui j'ai, maintenant, énormément de respect.
Du puissant amour maternel
Critique de Junos2005 (, Inscrite le 12 mars 2013, 34 ans) - 16 décembre 2013
Tout est dans le titre! Si le livre s’appelait "Jamais en Iran" oui les critiques pourraient être fondées mais ce n'est pas le message qu'a voulu faire passer l'auteur.
Je n'ai pas trouvé Betty pleine de haine et de xénophobie. Elle clame à plusieurs reprises que tous les Iraniens ne sont pas comme son mari et que bon nombre l'ont soutenue et aidée. Elle n'est jamais aveuglée et ne fait pas d'amalgame. Elle décrit une société et des coutumes qui ne lui plaisent pas et c'est bien son droit. Vous trouverez certes des termes péjoratifs mais jamais sectaires. Le mode de vie du pays est trop différent de ce qu'elle connait, elle ne l'apprécie pas et alors? Ce serait le cas de bon nombre d'entre nous.
C'est de soi, de son couple et de sa fille qu'elle parle dans ce roman. J'ai adoré ce témoignage qui m'a profondément bouleversée. C'est un livre très intime, une histoire personnelle dans laquelle il ne faut pas voir quelque chose de social.
Que feriez-vous si l'homme que vous avez aimé, que vous avez choisi et épousé, auquel vous avez donné un enfant, un homme tendre et proche se transformait en monstre? C'est cela qui m'a touchée et qu'il faut voir. Le comportement de son mari est abject et surtout absurde, schizophrénique.
L'amour qu'elle porte à sa fille? voila bien l'enjeu du livre! Comme toute mère, elle ne peut se résoudre à laisser sa fille, à vivre sans elle. Son histoire et son comportement démontrent un réel courage et montrent, si besoin est, que l'amour d'une mère est d'une puissance rare... A en déplacer des montagnes ce qui est le cas de le dire! J'ai couru mais véritablement couru et espéré avec Betty dans les dernières pages!
Un très beau livre qui ne mérite pas que sa section soit entachée de critiques si détournées.
Islamisme fanatisme et totalitaire
Critique de Windigo (Amos, Inscrit le 11 octobre 2012, 42 ans) - 12 mai 2013
J'adore...
Critique de Sophrone (, Inscrite le 20 juillet 2011, 41 ans) - 20 juillet 2011
Que le livre, co-écrit, soit parfois subjectif, c'est possible.
Mais que ce soit un tissu d'annerie juste parce que rédigé par une américaine... et on parle de racisme...
Retournez donc vivre dans votre beau pays si vous le souhaitez et s'il est si accueillant et tolérant!
L'enfer iranien vécu par une américaine
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 27 mars 2011
La question que je me posais était à savoir pourquoi Betty a accepté de faire ce voyage et ainsi se mettre à la merci de ce « fou » dangereux ? Elle ne l’explique pas au début mais seulement vers la toute fin du récit. Elle raconte aussi les signes avant-coureurs qui lui ont révélé la vraie personnalité de son mari. D’ailleurs, elle exposait leurs premières années de mariage et j’en avais les frissons dans le dos. Un homme trop gentil, qui comble sa femme de cadeau quotidiennement et l’adule cache souvent une personnalité fanatique et possessive. Betty s’est mise à douter peu à peu et même à songer sérieusement au divorce. Cependant, désireuse de sauver ce deuxième mariage, elle ne passe pas à l’acte afin d’éviter à ses enfants une autre séparation traumatisante.
La vie en Iran de Betty est un vrai cauchemar. Elle doit supporter la saleté répugnante des Iraniens, leur fanatisme religieux, les longues queues afin de se procurer de la nourriture, les arrestations de la police des mœurs pour des raisons aussi insignifiantes qu’un bas qui découvre un genou ou une touffe de cheveux qui dépasse de son voile. Elle sera battue, enfermée, menacée de mort et afin d’amadouer son « mari », elle fait semblant d’être soumise mais jamais au fond de son cœur, elle ne renoncera à son projet de retourner au USA avec sa famille.
Le gros dilemme de ce couple est le fait que Betty souhaite voir sa fille et son mari vivre comme des Américains à part entière alors que lui désire une femme et une fille entièrement iraniennes et soumises aux lois du Coran. Deux désirs irréconciliables qui mèneront Betty sur le chemin de l’exil. Un livre absolument captivant que je n’arrivais pas à laisser pour bien longtemps et que je reprenais à la moindre occasion tellement je voulais savoir comment cette femme intelligente et courageuse échapperait à son tourmenteur. Les cinquante dernières pages sont tout simplement hallucinantes ! Lisez-le mais attention… réservez-vous du temps car une fois plongés dans cette incroyable histoire, tout le reste deviendra secondaire et vous serez rivés à votre lecture et au récit de cette femme sympathique et d’une force morale hors du commun malgré son manque d’objectivité évident envers l’Iran mais comment la juger après tout ce qu’elle a enduré ?
un grand moment dans ma vie
Critique de Laure 11 (, Inscrite le 15 août 2008, 50 ans) - 15 septembre 2010
où est la vérité
Critique de MargueriteJames (, Inscrite le 3 janvier 2009, 43 ans) - 4 janvier 2009
C’est l’histoire d’un couple qui se dispute la garde de leur enfant, une petite fille, une petite victime, c’est une histoire banale sauf que les parents sont de deux mondes différents. On ne saura jamais la vérité sur cette histoire deux témoignages et deux versions se confrontent :
Tout d’abord le témoignage d’une américaine blanche type qui a du mal à voir le monde autrement qu’avec ses yeux d’américaine. De plus Betty est une femme en colère et pleine de ressentiments envers un mari violent qui a voulu lui voler sa fille (ce qui est légitime) mais également contre un pays tout entier. On ne peut s’empêcher de remarquer que tout est prétexte à la critique de ce pays. L’Iran est il vraiment ce pays arriéré, violent et sale ?
Betty simple secrétaire sera aidée (voire plus) dans l’écriture de son livre par un écrivain reconnu mais controversé William Hoffer.
D’un autre côté le Témoignage du Dr Mamoudy dans un reportage diffusé sur Arte « sans ma fille ». Le témoignage d’un père privé de sa fille. Avec différents interview d’iraniens, on a du mal à croire en la partialité des intervenants, amis de Moody ou membres de sa propre famille. Le témoignage de l’amie de Betty (une américaine mariée à un iranien) n’est pas plus crédible, on connaît hélas le problème de la condition féminine en Iran et au-delà de ça la condition des femmes battues.
Les deux parents ne sont ni noirs ni blancs et ne nous ont pas tout dit. La vérité est peut être un mélange des deux, moi voila comment je la vois : Betty cède à son mari et accepte d’aller vivre en Iran sans savoir à quoi elle s’engageait, arrivée en Iran elle n’arrive pas à s’adapter à cette culture et à ce pays si différent et souhaite repartir, Moody conforté dans son rôle de chef de famille par les lois et la société iranienne refuse. Betty demande de l’aide à l’ambassade américaine qui n’accepte qu’officieusement.
On peut considérer que ce livre est un pamphlet contre le monde musulman et contre l’Iran en particulier Mais loin de l’anti-islamisme primaire ce livre soulève un problème important celui des droits de la femme.
Un pays où le mari à tout pouvoir et où la femme n’a pratiquement aucun droit est un pays dangereux car il peut transformer n’importe quel homme en un tyran pour sa famille.
Dans un monde où une mère n’a aucun droit sur ses enfants il y a un grave Problème.
Manque d'objectivité..
Critique de Ancie (, Inscrite le 24 juin 2006, 36 ans) - 25 juin 2006
J'ai lu les trois livres de Betty Mahmoody et après mûre réflexion c'est évident qu'elle ressentait le besoin vital de partager son expérience et de dénoncer la tyrannie de certains musulmans.
Je dis bien certains musulmans car ils ne sont pas tous à mettre dans le même panier!! Ce livre vous laisse un goût amer à la bouche. Une envie de critiquer les musulmans et de se dresser contre leur idéologie. Mais c'est un livre à lire en gardant un esprit critique et toute son objectivité..
A Darius c'est bien de défendre ces convictions je trouve que vous êtes bien le seul à avoir gardé la tête froide en lisant ce livre. Mais il faut bien avouer que tout ce qu'elle a vécu et ce par quoi elle est passée vous est totalement inconnu..
Vous avez beau parler de la théorie que les "vers" sont bons pour la santé mais vous ne les mangerez quand même pas.. sauf si vous en trouvez par pur hasard dans des pâtes!!
J'admire votre lucidité et votre acharnement à défendre ce en quoi vous croyez!!
Après tout ne dit-on pas que " to err is human!!"
Réponse à St Jean Batiste
Critique de Rachida (Porto-Vecchio, Inscrite le 1 avril 2006, 36 ans) - 8 avril 2006
La phrase:" tous les hommes naissent égaux en droit et en dignité" s'applique à tout le monde aux hommes et aux femmes.
Les sociétés évoluent, les droits s'imposent. Peut-être qu'il y a 50 ans les femmes ne possédaient aucun droit mais aujourd'hui il y a des femmes qui luttent pour leurs droits.
Il ne faut surtout pas faire de généralisation. Il ne faut pas croire que tous hommes sont des "machos".
Incroyable !
Critique de Norway (Entre le Rhin, la Méditerranée et les Alpes !, Inscrite le 7 septembre 2004, 49 ans) - 24 juillet 2005
Objectivité SVP
Critique de Femme objective (, Inscrite le 4 juillet 2005, 43 ans) - 4 juillet 2005
No comment.....
Critique de Giny (Casablanca, Inscrite le 26 avril 2005, 36 ans) - 6 mai 2005
Monsieur saint jean baptiste, renseignez-vous avant d'émettre des critiques: ce n'est pas l'islamisme qui est une religion(pour votre information, l'islamisme est la branche intégriste de l'Islam.....), mais l'islam....
Quant à Betty Mahmoody, je pense que la plupart des faits relatés dans son livre sont réels, et qu'elle a vraiment subi des sévices, mais que l'exposition médiatique à laquelle son histoire a été exposée l'a vraiment décrédibilisée.A la longue, ce n'est plus de la souffrance, mais du misérabilisme.Dommage....
Un livre poignant bien que manichéen
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 47 ans) - 4 mai 2005
Il est certes un peu trop manichéen, ce qui m'a un peu gêné, puis je me suis ravisé en me disant qu'arriver à cette extrémité conduit à ce genre de pensées un peu extrêmes et m'apparaît révélateur d'un état d'esprit. Cela montre aussi la naïveté des Occidentales dans ce genre de situations, dont l'auteur a été victime et dont font part les femmes qu'elle rencontre.
La morale est qu'il faut réfléchir plutôt deux fois qu'une avant de s'engager, ce qui est évidemment plus facile qu'à faire.
C'est un drame bouleversant qui finit bien, mouvementé et beau.
bouleversant
Critique de Mukhlah (, Inscrite le 19 mars 2005, 40 ans) - 19 mars 2005
Polémique
Critique de Clarabel (, Inscrite le 25 février 2004, 48 ans) - 22 février 2005
C'est un film finlandais très touchant, pas une contre-enquête sur les allégations de Betty Mahmoody, mais le témoignage d'un père qui tente de retrouver la trace d'une fille aimée. Et donc ce documentaire très intelligent amène toutefois à remettre en question les propos rapportés dans le livre, puis dans le film. Tout ne semble pas totalement véridique, l'équipe de journalistes finlandais est allée aux Etats-Unis pour interroger les protagonistes de l'affaire. Le juge, l'éditeur, les universitaires, etc. Et insisideusement de conclure que Betty Mahmoody incarnait idéalement la détestation du "barbare" iranien. Tous pensent avoir été les partisans du bien contre le mal. Bozorg Mahmoody est coupable ! Qu'importe qu'il soit un médecin dévoué et apprécié, qu'il ait été spolié de tous ses biens en Amérique, etc. Une sanction la plus juste pour tous les détracteurs yankees. En Amérique, Betty est devenue une star dont personne n'oserait contredire la version qu'elle a proposée de son histoire avec la complicité du scénariste de "Midnight Express". Finalement, le docteur Mahmoody a été victime de la géopolitique et subit l'opprobe planétaire et la séparation d'avec son seul enfant.
Sans doute n'a-t-il pas été un mari parfait, toutefois ce document très poignant et passionnant rétablit la balance. Il mêle avec beaucoup de finesse histoire familiale et histoire politique. Un homme tente avec l'énergie du désespoir de renouer avec sa fille. Mais l'Iran appartient, selon l'administration Bush, à l'"axe du mal". Alors, quel poids la parole et le droit d'un père dans un pays qui se croit en croisade contre la mal ?
C'est bon de savoir TOUTE la vérité sur "Jamais sans ma fille" !
Monsieur Darius vous répond
Critique de Darius2 (, Inscrite le 29 octobre 2004, 66 ans) - 6 novembre 2004
Monsieur Darius est mon fils et je suis sa mère. Son papa est Iranien et je sais de quoi je parle lorsque je remets en question le livre soi-disant rédigé par Betty Mahmoody , livre qui a été rédigé par un nègre du nom de Billy Hayes, le même qui a rédigé "Midnight express" un plaidoyer anti-turc, sur commande expresse de la CIA.
Vous savez, les Américains ont toujours besoin de détester quelqu'un, cela leur permet d'occulter tout ce qui va mal chez eux.
Avant hier, c'était les Turcs, hier, les Iraniens, aujourd'hui les Irakiens. Et demain ? Méfiez-vous, cela pourrait être vous !
Je reviens à ce livre rédigé par ce nègre : Betty Mahmoody, revient justement d'Iran et s'est disputée avec son mari. Elle reçoit tous les honneurs de la CIA, car cette femme tombait à pic pour que le monde entier haïsse les Iraniens qui venaient de prendre en otage quelques diplomates américains lors de la révolution islamique.
Betty Mahmoody, obscure secrétaire sans talent, qui n'a jamais rédigé une ligne, s'est vu propulsée au rang de "doctor honoris causa" d'une prestigieuse université américaine...
Sa fille est devenue médecin, tout comme son père l'était avec ordre de la CIA de ne jamais revoir son père sous peine de représailles. Le seul étudiant qui a tenté de les mettre en contact a eu des ennuis avec la justice américaine. Les biens de Mr Mahmoody ont été confisqués illégalement par cette même justice....
Et je pourrais continuer sur toutes les illégalités commises..
Bref, nous ne parlons pas ici de littérature, mais d'une histoire de fiction plutôt bien ficelée, rédigée par Billy Hayes, à la solde de la CIA pour faire pleurer dans les chaumières et plus insidieusement jeter l'opprobre sur un pays entier qui a voulu résister, maladroitement j'en conviens, aux pressions américaines pour s'approprier ses énormes réserves de pétrole.
Critique littéraire ou plaidoyer pour Betty Mahmoody ?
Critique de Fabienne (, Inscrite le 12 septembre 2004, 46 ans) - 5 novembre 2004
D'ailleurs, j'aime en général peu les témoignages vécus pour cette raison : il n'y a pas assez de recul, de réflexion, d'objectivité pour donner un texte intéressant.
C'est aussi ce qui m'a marqué dans les critiques élogieuses de ce livre. Il ne s'agit pas en fait de critiques littéraires, mais des éloges du courage de Betty Mahmoody (que je ne nie pas...).
C'est dommage sur un site de critique littéraire.
ce qu'il ne faut pas entendre
Critique de Floor.A (, Inscrite le 4 novembre 2004, 44 ans) - 4 novembre 2004
je passe maintenant aux commentaires déplacés de mr Darius, qui datent de 2002, mais me font quand même bouillir. les détails de cette histoire paraissent-ils réellement inventés pour combler les lecteurs dans leur goût pour le sensationnel ? cette femme a-t-elle eu besoin de rajouter des coups, des humiliations, des privations, et j'en passe, pour aiguiser l'appétit du lecteur ?? quel mépris pour le vécu de Betty ! de la part d'un homme dont le seul argument consiste à remettre en question la véracité de l'histoire des "charançons dans le riz", excusez le ridicule , mais monsieur est apparemment bien placé pour émettre une critique vu son vécu, lui qui se fait "envoyer du riz iranien" jusqu'en BELGIQUE , si j'ai bien tout compris....
monsieur, si l'anti islamisme primaire existe encore, c'est bien parce que des aficionados et inconditionnels de cette culture comme vous l'êtes, se permettent de juger et de prendre à la légère des expériences dramatiques comme celles de Betty en avançant le fait qu'elle était Americaine pour tenter de faire valoir votre point de vue !
le moins qu'on puisse dire est que vous ressemblez beaucoup aux Iraniens décrits dans ce livre... à bon entendeur....
Un témoignage important
Critique de Saint Jean-Baptiste (Ottignies, Inscrit le 23 juillet 2003, 88 ans) - 22 février 2004
L'islamisme est sans doute une grande religion. Mais les intégristes en ont tiré une loi (la charia), particulièrement injustes pour les femmes.
Nous disons : "tous les hommes naissent égaux en droit et en dignité". D'accord, disent les intégristes musulmans : tous les hommes …à l'exception des femmes !
Le personnage du livre refuse de se soumettre à la loi du plus fort. Elle veut choisir sa vie pour elle et pour sa fille : dans le monde libre la femme n'est pas un sous produit de l'humanité !
Son témoignage est très important.
Pendant tout le XXème siècle – et hélas ! ce n'est pas fini ! – des humains se sont retrouvés écrasés par des régimes totalitaires. Certains ont refusé de se soumettre, ils ont résisté. Avec ou sans espoir d'en échapper, ils ont au moins sauvé leur dignité d'homme ! Leur témoignage est toujours un hommage à la grandeur de l'homme.
un livre émouvant
Critique de Krystale (, Inscrite le 20 février 2004, 37 ans) - 20 février 2004
Quoi de plus normal pour nous , mais seulement il faut voir que dans cette situation , nombreuses auraient été celles qui seraient parties promettant de revenir ....
Pour conclure je dirais à ceux qui pensent que Betty était consciente des risques qu'elle prenait en épousant un iranien ; que l'on n'est jamais à l'abri de la maladie de l'amour.
après réflexion...
Critique de Anonyme (, Inscrit(e) le ??? (date inconnue), - ans) - 1 novembre 2002
Un livre génial
Critique de Anonyme (, Inscrit(e) le ??? (date inconnue), - ans) - 31 juillet 2002
l'anti-islamisme primaire a encore frappé !
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 30 juillet 2002
Y a pas à dire, la propagande nord-américaine poursuit sa lobotomisation des cerveaux auprès du petit peuple.
Y a plus de guerre froide, les ennemis d'hier se sont réconciliés, alors il faut bien trouver un coupable de tous les maux de la terre... Et pendant ce temps, le bon peuple ne se préoccupe plus de ce qui va mal chez lui. Avant de prendre pour argent comptant ce que racontent les Amerloques, faudrait d'abord s'informer.. Bien sûr, il est mille fois plus facile, et surtout moins fatigant pour le cerveau d'avaliser tout ce qu'on vous matraque à grand renfort de formules toutes faites. Si je peux me permettre un petit conseil, allez lire l'ouvrage d'Anne Morelli sur la manipulation de l'information... bien que je craigne qu'un tel ouvrage ne soit pas à la portée des dilettantes qui se contentent de "jamais sans ma fille" pour tout bagage politique.
Ouh là!
Critique de Bluewitch (Charleroi, Inscrite le 20 février 2001, 45 ans) - 29 juillet 2002
je n'en reviens pas
Critique de Joanna (Anglet, Inscrite le 29 juillet 2002, 37 ans) - 29 juillet 2002
A Darius, Lolita et tous les autres
Critique de Rosenblum Petit (Marcinelle, Inscrite le 22 novembre 2001, 50 ans) - 5 juillet 2002
Je ne pense pas non plus qu'il faille voir là des propos racistes. Si son mari avait été italien, elle aurait certainement détesté tous les italiens et dépeint l'Italie comme sèche, inhospitalière et trop axée sur la religion catholique. Quand on est en colère, quand on souffre, on voit les choses de manière complètement tronquée. Nous ne sommes que des êtres humains. De là aussi, une petite réflexion: si les choses s'étaient déroulées comme prévu, si donc elle était restée 15 jours en Iran, aurait-elle, dans ses discours ou dans ses écrits décrit ce si beau pays d'une manière aussi négative? N'aurait-elle pas plutôt ri de cette anecdote du "riz aux vers"?
Lolita, je suis plutôt de ton avis mais toi aussi tu vas trop loin. Je rejoins Darius qui te dit d'aller faire un tour aux USA pour te rendre compte que l'exemple démocratique de notre petite planète n'est pas si beau si l'on creuse un peu… Je crois que tu réaliseras aisément toute seule que ce que l'on sait via les médias n'est que la partie visible de l'iceberg…
Ce livre, je l'ai trouvé plutôt plat et sans réel style, le fond est intéressant puisque l'histoire est vraie mais la forme n'y est pas. C'est assez souvent le cas des livres de type témoignage. Le film ne m'a pas laissé un souvenir impérissable malgré l'excellente Sally Field (elle pleure très bien!) dans le rôle principal!
A lolita
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 5 juillet 2002
Justement, je conteste qu'on trouve des vers dans le riz iranien, si l'auteure en a trouvé, c'était pur hasard, comme moi, j'ai trouvé des vers dans les macaronis de l'internat.. Ce n'est pas pour cela, que je crie "haro sur le baudet", ce que ferait sans doute Betty Mahmoudy, puisque tous les prétextes (même les plus mauvais) sont bons pour "casser" du sucre sur l'Iran. Alors, lorsqu'on trouve des prétextes aussi futiles, c'est qu'on a besoin d'en rajouter, et c'est ce qui la rend peu crédible.. Ceci dit, un point de plus qui prouve le conservatisme idiot de Betty Mahmoudy (alors que tu dis qu'en Amérique, les femmes sont suffisamment indépendantes... vas-y faire un tour, il y a en a pour tous les goûts en Amérique...)elle a conservé le nom de famille de son mari dont elle est divorcée, alors que les femmes ont le choix de garder leur nom de famille même mariées (belle preuve de progressisme...) Mais bon, libre à toi de croire, les yeux fermés, que tout ce que dit Betty Mahmoudy est parole d'Evangile.. Personnellement, je me permettrais quelques réserves..
Juste un petit oubli pour ma précédente critique
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 3 juillet 2002
Je sais qu'il s'agit là que d'un simple détail dans le livre mais il a quand même son importance!! sur ce salut!
Révoltée
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 3 juillet 2002
Je pense enfin que les souffrances qu'a enduré cette femme pour quitter le pays sans jamais abandonner son enfant alors qu'elle avait la possibilité de partir seule ne méritent pas les commentaires affligeants de Darius!!
Oui mais
Critique de Nelle (Bonne, Inscrite le 9 janvier 2001, 49 ans) - 18 juin 2002
N'oublions pas le contexte!
Critique de Maya (Eghezée, Inscrite le 18 octobre 2001, 49 ans) - 17 juin 2002
Pour répondre à Darius, je dirais qu'il y a une différence entre vouloir vivre à l'américaine partout (ça m'énerve aussi leur manie de se prendre pour les maîtres du monde) et se retrouver prisonnière dans un pays en pleine guerre, sans droit, sans pouvoir communiquer avec sa famille alors que votre père agonise à l'autre bout de la planète, d'être battue, de voir sa fille privée d'éducation. Je crois que l'histoire des vers dans le riz est un détail mineur.
Le livre est peut-être très unilatéral mais puis-je rappeler qu'il s'agit d'un témoignage, donc forcément partial. Betty Mahmoody est très dure avec les Iraniens... mais peut-on demander à une victime d'aimer ce qu'elle juge responsable de ses souffrances?
Emouvant...
Critique de Nounoursous (Oignies, Inscrite le 4 juin 2002, 43 ans) - 16 juin 2002
Ni cet excès d'honneur ni cette indignité...
Critique de Leura (--, Inscrit le 29 janvier 2001, 73 ans) - 16 juin 2002
Ceci dit, on ne peut s'empêcher d'éprouver de l'admiration pour Betty, même si son point de vue est unilatéral et caricatural, et si sa description de l'Islam peut nourrir l'extrême droite, et disons-le, un certain racisme.
sous la loupe américaine
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 16 juin 2002
Un exemple parmi tant d'autres : lorsqu'elle est en Iran, elle veut cuisiner et se plaint amèrement de ne pas trouver "sa" viande ou "son" steak comme elle le trouve débité aux States, dégraissé, aseptisé et j'en passe... Mais, il suffit déjà de se rendre dans une boucherie espagnole pour se rendre compte que chaque pays débite la viande à sa manière et qu'il n'existe aucune uniformité.. Autre chose, le riz iranien, dont elle prétend qu'il est parsemé de vers... Primo, le riz iranien "basmati" est le meilleur du monde, lorsque j'en trouve, je me précipite... Un parfum, nul autre pareil. Deuxio : les vers sont bons pour la santé, n'y a t'il pas des avant-gardistes français qui prônent leur consommation ? Mais rassurez-vous, il n'y en pas dans le riz iranien qu'on trouve dans les magazins, ni même dans celui que ma belle famille m'envoie en direct de Téhéran.. Pour la petite histoire, j'ai mangé des pâtes aux vers blancs (échoués là par hasard, sans doute..)dans un internat à Verviers. De là, à dire qu'en Belgique, on mange des pâtes criblées de vers, Betty Mahmoody sauterait à pieds joints sur le scoop.. Bref, cette femme avait épousé, les yeux fermés un Iranien, uniquement intéressée par son statut de "médecin". De sa culture d'origine, elle n'en avait rien à foutre..
L'Amérique n'est-elle pas le meileur pays du monde ? Comment "oser" vouloir rentrer dans son pays alors, que l'Amérique, bonne fille lui avait ouvert les bras ? Il faut être individualiste, que diable ... Bon, là où je suis d'accord, c'est lorsqu'elle dit que son mari a changé lorsqu'il se trouvait dans sa famille.
Normal, il doit assumer son rôle, pas question de ramener des idées occidentales, sous peine d'être renié par sa famille. Cela, elle aurait au moins pu le comprendre plus tôt. Mais lorsqu'on est assez borné que pour croire que le monde entier vit comme en Amérique... Il n'est pas encore sous la botte américaine, heureusement d'ailleurs, qu'il y a encore des disparités, sinon, quel ennui !
A propos du film, il n'a même pas été tourné en Iran, les paysages sont nuls, Téhéran est présentée comme une ville plate alors qu'il y a des montagnes partout et que les gens s'orientent grâce à elles. Bref, les Amerloques ont fait du fric avec des conneries et des mensonges, un de plus..
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