Les enfants de la Terre de Jean M. Auel
( The mammoth hunters)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Moyenne des notes : (basée sur 19 avis)
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Comment devenir préhistorien sans le savoir...
Il y a 35 000 ans, nos ancêtres tout ce qu'il y a de plus homo sapiens sapiens (c'est-à-dire, nous-mêmes) peuplaient l'Europe où ils côtoyaient les Néandertaliens. L'auteur nous fait suivre la vie de Ayla, petite fille Cro-Magnon (moderne, donc) recueillie par une tribu Neandertal.
La cohabitation n'est pas toujours facile et Ayla devra se battre pour imposer sa différence et finalement partir, vivre sa vie seule un moment et retrouver ceux de son peuple ensuite. Le livre est passionnant d'un bout à l'autre, attachant jusque dans ses défauts. Par exemple, le personnage d'Ayla. Elle est belle, intelligente, imaginative. Elle invente le propulseur, redécouvre la technique d'allumage du feu, parvient à domestiquer le cheval, etc. Tout ça en quelques années qui "résument" en quelque sorte les progrès de dizaines de siècles. Bon, on est vraiment dans la fiction sur ce plan là. Mais hors l'invraisemblance qui consiste à ramasser beaucoup de choses en peu de temps, la description des avancées techniques de l'époque est inattaquable. Avec Ayla, on apprend à faire bouillir de l'eau dans un récipient en peau, on cuisine des lagopèdes à l'étouffée aux herbes de la prairie, on maîtrise la technique de la surgélation des aliments, etc. Bref, on apprend la vie quotidienne d'il y a 35 000 ans. Mais on l'apprend dans le cadre d'un roman d'aventure, avec ce que cela comporte de retournements, d'émotions, d'envies de tourner la page pour connaître la suite. Ayla tombe amoureuse bien sûr et l'auteur ne détourne pas pudiquement les yeux de la couche: comment pouvait-on passer une nuit d'amour à l'époque? Vous le saurez en lisant "Les enfants de la Terre", suite romanesque en quelques tomes et des milliers de pages. Et votre plaisir vaudra le sien...
Les éditions
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Les enfants de la terre [Texte imprimé] Jean M. Auel préf. de Jean-Philippe Rigaud,... [trad. de Philippe Rouard, Catherine Pageard, Renée Tesnière]
de Auel, Jean M. Rouard, Philippe (Traducteur) Pageard, Catherine (Traducteur) Tesnière, Renée (Traducteur)
Presses de la Cité / Collection Omnibus (Paris. 1988).
ISBN : 9782258034969 ; 3,37 € ; 04/11/1999 ; 1470 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (18)
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Un roman initiatique...
Critique de Sorenja (, Inscrite le 27 mars 2007, 51 ans) - 14 octobre 2010
J'avais 14 ans quand j'ai découvert Ayla, et plus de vingt ans plus tard je suis toujours émerveillée et transportée par cette histoire. C'est vrai que c'est une saga à conseiller aux ados, car elle apprend la vie...
J'ai eu la chance de découvrir chaque épisode avec à chaque fois quelques années d'écart, un peu comme on savoure une tablette de chocolat morceau après morceau, et pas en dévorant d'un coup la tablette entière! car c'est bien ce que j'aurais fait si je les avais eu tous à me mettre sous la dent!
Intéressant, mais...
Critique de Milonguera (, Inscrite le 24 août 2010, 42 ans) - 24 août 2010
Le personnage d’Ayla, quant à lui, est attachant au début mais fini par devenir irritant par trop de perfections. Où qu’elle arrive elle guérit tous les maux, résout tous les problèmes, découvre la domestication, perfectionne de nombreux outils avec l’aide de son prince charmant, lui-même doté de très nombreuses qualités et presque aucun défaut. Leur histoire donne à cet ouvrage un côté roman à l’eau de rose.
Dans l’ensemble c’est une vision un peu trop idéaliste de l’époque mais on se laisse entrainer avec plaisir dans les premiers tomes. Un gros défaut dans cette saga, les trop nombreuses répétitions d’un même événement qui donnent une impression de lourdeur à l’ensemble.
À ceux qui aiment les romans d’amour, lisez ces cinq livres ils vous raviront.
À ceux qui veulent découvrir la vie des hommes préhistoriques, les trois premiers suffisent.
Interdit aux moins de 16 ans (de (trop) nombreuses scènes érotiques très détaillées).
Que du bonheur
Critique de Stefy31 (, Inscrite le 21 septembre 2007, 51 ans) - 21 septembre 2007
Et alors... Un roman est fait pour voyager. Et quel voyage nous propose celui-ci ! Un voyage de 35000 ans en arrière, dans un autre monde.
J'ai adoré ces livres. J'ai vécu pendant des mois avec Ayla et Jondalar, j'ai partagé leurs aventures et j'avoue que pendant ces lectures j'ai regardé le monde qui m'entoure d'un autre oeil. Et c'est là, je pense, la force de ces livres : nous ouvrir à d'autres perspectives, d'autres mondes et d'autres possibilités.
Utopique
Critique de PA57 (, Inscrite le 25 octobre 2006, 41 ans) - 5 décembre 2006
L'avantage de ce roman est de faire comprendre que les hommes (et femmes) préhistoriques étaient des êtres humains, avec des sentiments et non des animaux.
Fabuleux
Critique de Chéry (Québec, Inscrite le 27 août 2006, 45 ans) - 27 août 2006
Il est certain, par contre, que certains thèmes ont été empruntés à notre société d'aujourd'hui. Cependant, cela peut s'expliquer par le fait que les pensées, les sentiments d'antan ne peuvent être documentés comme aujourd'hui. Les seules documentations que l'auteure a pu recueillir se trouvent dans l'anthropologie ou, si vous préférez, dans tout ce qui était matériel.
Un beau souvenir
Critique de Bo (Paris, Inscrite le 21 juillet 2005, 44 ans) - 28 juillet 2005
J'ai lu les enfants de la terre et sa suite d'une traite, quand j'avais 14/15 ans, et j'en garde un souvenir magnifique. Oui, tout est bien policé, oui, Ayla est en fait une wonderwoman des temps anciens... mais je conseille ce livre à tous les jeunes qui aiment la fantasy, car c'est comme cela qu'il faut lire ce cycle. L'histoire de l'homme réinventée... à l'américaine, certes, mais de manière très agréable et qui vous tiendra en haleine tout le long du récit !
Néandertaliens, Cro-Magnon ou Cheyennes ?
Critique de JLB (, Inscrit le 28 juillet 2005, 77 ans) - 28 juillet 2005
Je ne suis pas une ado de 14 ans, mais un de 57.
Comme vous tous, j'ai été envoûté par cette saga (LES ENFANTS DE LA TERRE).
Un ami, à qui je voulais la faire lire m'ayant dit que c'était purement descriptif et sans aucun intérêt, je l'ai relue, en réactivant mon esprit critique.
Relisant la même histoire à 5 ans d'intervalle, c'est presque une nouvelle aventure. J'avais idéalisé certains passages et en avais déformé voire oublié d'autres.
Le personnage d'Ayla est toujours aussi prenant.
Il faut dire qu'amateur de science fiction, j'avais beaucoup aimé "la mère" de Pearl Buck et "l'enfant qui ne pleurait pas" de Torey L. Hayden ainsi que "des fleurs pour Algernon" de Daniel Keyes ou "les piliers de la Terre" de Ken Follett.
Je vous invite à faire ces lectures vous aussi.
Pour ce qui est des "Enfants de la Terre", de nombreuses critiques sont souhaitables: de l'"angélisme" Américain pour l'initiation des vierges à la sexualité pour être à la mode, mais ce sont à mon sens des détails qui reflètent un choix respectable de l'auteur.
J'ai voulu, par comparaison, lire "Dji la magicienne" de Henri Kubnick. Les personnages et les situations sont plus crédibles que dans "les Enfants de la Terre". Mais il y manque le souffle épique qui rend Ayla vivante et marque le lecteur pour la vie.
C'est un roman initiatique! Et comme toute initiation, elle ne doit pas être revécue (ne pas relire) mais servir de tremplin pour accéder à un niveau supérieur de la compréhension de soi ou du monde.
La critique du lecteur est autorisée et souhaitable. Elle n'enlève rien au personnage. Pour ma part, c'est son accession à diverses formes de l'intelligence et les chemins de cette accession qui m'ont enchanté. L'expérience de l'auteur au sein de Mensa et ses interrogations personnelles ne doivent pas y être étrangères.
La mémoire innée des Néandertaliens, proche de l'instinct animal, est une idée originale et intéressante.
Les inventions en série ne sont qu'un raccourci, et quelques allusions à la "Guerre du feu" sont un clin d'oeil sympa. Les personnages sont des héros mythiques, et en tant que tels, autorisés à échapper à la mort en de multiples occasions. Tous ceux qui, comme vous et moi furent écrasés, mangés ou noyés n'ont pas mérité de passer à la postérité...
Malheureusement, ce beau plaidoyer contre le racisme n'en est un qu'au premier degré, et reflète, je le crains un point de vue très américain là aussi, saupoudré d'un fond de nostalgie pour les grands ariens blonds... Si vous connaissez la population de la Dordogne, cherchez-y les grands blonds !
Une fois encore, n'ayons pas honte d'apprécier cette belle histoire. En la discutant, nous exerçons notre esprit critique, car nous voudrions qu'Ayla soit parfaite, et en même temps, toute femme doit vouloir s'identifier à elle (pour moi, je laisse ce soin à un psychanalyste au chômage).
Les répétitions et descriptions minutieuses contribuent à la structure initiatique à ce récit. C'est par la répétition des situations que nous leur donnons un sens (dans tout conte de fées, les situations significatives se répètent trois fois). Nos actuels amateurs de vie naturelle, qui prennent l'avion pour arriver plus vite au fond de la brousse, ne vivent pas le voyage, et n'apprennent donc pas ce que le voyage est censé enseigner. Les actuels pèlerins de Compostelle non plus, car ce n'est pas leur survie qui est en jeu; seulement leur confort. Une partie des pèlerins de La Mecque le vivent, mais notre civilisation étant imprégnée de valeurs chrétiennes, le sens que nous donnons aux expériences est différent. Je serai curieux de connaître l'appréciation de lecteurs des "Enfants de la Terre" de culture musulmane ou chinoise et pas trop occidentalisés !
Parmi les oublis de l'auteur, je fus surpris de voir les héros s'ébattre dans les buissons sans aucune crainte de la gente serpentine! (dans les régions froides, c'est admissible, mais dans les régions chaudes...) A moins que ce ne soit une transposition de l'Eden...
Nous avons tendance à nous représenter les Cro-Magnon à l'image des Papous, mais la comparaison des peintures des aborigènes d'Australie, ou autres avec celles des grottes Chauvet ou Cosquer laisse perplexe. Même des artistes contemporains bénéficiant de l'expérience de millénaires et de techniques évoluées produisent des oeuvres souvent moins belles (et ce n'est pas parce que ce sont nos ancêtres).
Les règles sociales décrites par J.M Auel ne sont pas absurdes, mais peuvent avoir coexisté avec d'autres très différentes ou les avoir suivi ou précédé (voir le christianisme de François d'Assise et celui des Borgia, la guerre du Vietnam et le mouvement Hippy, la vie de Coluche !).
Si vous rencontrez d'autres récits de qualité, faites en part à ceux qui ont aimé Ayla !
Rappels: 1°) visitez le musée de St Germain en Laye !
2°) une lecture même intensément vécue n'est pas une expérience, et l'ordre dans lequel nous faisons ces lectures et le moment où nous les faisons ont une incidence sur ce que nous en retirons.
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27/07/2005
Salut lecteurs et surtout lectrices de la saga "Les Enfants de la Terre".
1° Sous le pseudo "JLB", je citais plusieurs ouvrages que je me permettais de conseiller à ceux et celles qui avaient apprécié Ayla.
2° j'y ajoute à présent quelques titres qui ont un rapport avec le sujet.
« l'or des fourmis » de Michel Oeissel, Ed Robert Laffont
Ethnologue parti au Tibet chercher les Minaros, Ariens, possibles descendants de soldats d'Alexandre (ou ancêtres des Scytes ?), qui se transmettent depuis plus de 2500 ans des éléments d'histoire et connaissent encore l'usage des menhirs et dolmens (qu'ils appellent do-mandal). Se souviennent des méthodes de chasse d'avant l'introduction de l'arc et maîtrisent la technique de la représentation gravée des ibex (bouquetins) à l'identique des gravures rupestres européennes (et la signification symbolique de ces gravures et des mégalithes) !
Dans la foulée il réhabilite Hérodote ! (les fourmis sont en fait des marmottes qui creusent leurs terriers dans des sables aurifères).
« LES 7 PLUMES DE L'AIGLE » Henri Gaugaud (conteur !)
Parcours vraiment initiatique supposé réel mais semi onirique d'un artiste, depuis les Andes jusqu'à Paris.
« Mille femmes blanches » Jim Fergus Pocket N011261
En 1874, Little Wolf, chef cheyenne propose au Président Grant d'échanger 1000 chevaux contre 1000 femmes blanches, afin de faciliter l'intégration de son peuple au nouveau monde dominé par les blancs.
Je passe les péripéties; et signale de remarquables similitudes avec "Les Enfants de la Terre". Il est évident soit que l'un des deux auteurs a plagié l'autre, soit plus vraisemblablement, que JM Auel s'est inspirée de récits historiques ou ethnographiques de la vie des cheyennes ! A lire !
Le comportement de Little Wolf est celui de Brun
La langue cheyenne gutturale coexiste avec un langage des signes plus facile à comprendre
Le chaman est androgyne
L'héroïne se baigne chaque matin dans l'eau même glacée
Les tribus se réunissent régulièrement et font des compétitions de toutes sortes
Ce n'est pas l'héroïne, mais une femme noire (ancienne esclave en fuite) qui devient "la femme qui chasse"
Description du sauna et des latrines
Robe de mariage en peau d'antilope, et pour la narratrice, revêtue de piquants de porc-épique
Ce n'est pas Ranec, mais une femme qui peint des oiseaux magnifiques sur les corps des guerriers
Dans quantité de détails de la vie quotidienne les similitudes sont tellement nombreuses que je me demande si Jim Fergus n'est pas un pseudonyme de JM Auel ...
En réalité, ils ont sans doute puisé tous deux dans la culture américaine.
Mais attention; en prêtant aux hommes préhistoriques européens la culture des cheyennes, JM Auel peut nous induire en erreur ! Les amérindiens sont d'origine sibériens, ou mongoloïdes; et en comparant le mode de vie des Tibétains (civilisation hiérarchisée, du yack et de l'agriculture) et celui des Minaros (sans chefs, chasseurs d'ybex et tradition orale; civilisation de la chèvre), on voit d'énormes différences alors qu'ils vivent dans le même environnement depuis des siècles.
Pour répondre à une lectrice, les amérindiens comme les peuples d'Ayla sont en majorité semi nomades, suivent les grands troupeaux de bisons, et ne reviennent aux endroits abrités que pour hiverner. Leur sédentarisation forcée les contraint à se mettre à l'agriculture et à l'élevage qui remplaceront la cueillette et la chasse.
Excusez-moi pour la longueur, mais "Les Enfants de la Terre" est une si belle histoire que tout complément me semble bon à connaître.
http://cultureetloisirs.france2.fr/archeologie/…
Coexistence ? d'une néandertalienne et d'homosapiens à Saint-Césaire (17)
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Trop idéal
Critique de Toundra (Paris, Inscrite le 16 février 2005, 34 ans) - 26 février 2005
Mais ce qui me gêne, c'est que le monde que dépeint Auel est quand même trop idéal. Malgré les famines, les chasses mortelles, et les maladies, tout paraît trop facile : Ayla semble savoir tout guérir, tout inventer... Il y a quelque chose qui me dérange, sans savoir quoi : peut être les rapports entre les hommes et les femmes, trop empruntés à notre époque ; ou cette société primitive, que je trouve peu Européenne...
Mais bon, bon livre quand même, sauf pour certaines descriptions un peu longues, et pour les derniers tomes moins savoureux...
Roman pour adolescents
Critique de Libris québécis (Montréal, Inscrit(e) le 22 novembre 2002, 82 ans) - 14 janvier 2005
Le plus agaçant de cette oeuvre, c'est l'attribution des préoccupations d'aujourd'hui aux premiers êtres de la terre, telles que le féminisme. La survie passait avant la discussion de la place de la femme dans la société. La valorisation de la femme est toute récente dans le monde occidental . Les sentiments d'Ayla expriment plutôt ceux de l'auteur que ceux des femmes de l'ère primitive.
Ne parlons pas de la traduction. Parfois, c'est traduit de l'américain de façon littérale. Ex. : la nuit est noire dehors. Ce dernier mot traduit inutilement le mot "out", caractéristique de l'emploi de l'adverbe en anglais. Par contre, il faut souligner l'écriture vive de l'auteur qui permet une lecture entraînante. Donc oeuvre intéressante pour s'initier à notre origine, mais le ton convient davantage aux adolescents.
passionnant, instructif, évasion.
Critique de Ald_bzh (Brest, Inscrite le 11 janvier 2005, 46 ans) - 13 janvier 2005
Incroyable, envoûtant, époustouflant!! enfin tout ce que vous voulez...
Critique de Piper (, Inscrite le 3 novembre 2004, 34 ans) - 3 novembre 2004
c'est un voyage passionnant
Critique de Mistics (, Inscrite le 23 août 2004, 36 ans) - 23 août 2004
oui mais...
Critique de Eowyn (, Inscrite le 8 juillet 2004, 51 ans) - 26 juillet 2004
Le premier volume, ça va, le second ça va et dès le 3e on se surprend à sauter des paragraphes, des passages et pour finir des pages entières.
Un conseil : ne pas lire les 5 volumes à la suite. Laissez reposer. L'auteure craint certainement de perdre son lecteur dans le temps mais de là à reprendre d'un volume à l'autre les descriptions des découvertes de nos héros... c'est un peu indigeste.
La surprise ? la qualité du dialogue dans le Clan (volume 1). J'avoue avoir été "choquée" du langage châtié de Brun et ses condisciples. Je ne m'attendais pas à ça. Mais on s'y fait et on y prend goût.
4 étoiles pour l'histoire, la pédagogie, la botanique et la cuisine !
MAGNIFIQUE
Critique de Thomasdesmond (, Inscrit le 26 juillet 2004, 43 ans) - 26 juillet 2004
Paléopolar
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 20 mai 2004
Un voyage initiatique
Critique de Maya (Eghezée, Inscrite le 18 octobre 2001, 49 ans) - 8 novembre 2001
Les aventures d’Ayla et de Jondalar m’en ont appris bien plus sur cette période qu'aucun professeur ne l'a fait. Que le lecteur ne se laisse pas rebuter par le nombre de pages. Ces romans se lisent à la vitesse de l’éclair, impossible de s’arrêter.
Détail des parutions
Critique de Bolcho (Bruxelles, Inscrit le 20 octobre 2001, 76 ans) - 8 novembre 2001
Ayla, elle l'a !
Critique de Patman (Paris, Inscrit le 5 septembre 2001, 62 ans) - 8 novembre 2001
Je lui met en tout cas 5 étoiles pour le plaisir que m'a donné cette lecture.
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