La Théorie Gaïa de Maxime Chattam
La Théorie Gaïa de Maxime Chattam
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers , Littérature => Francophone
Critiqué par Bookivore, le 7 mai 2008
(MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 41 ans)
Critiqué par Bookivore, le 7 mai 2008
(MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 41 ans)
La note : 
Moyenne des notes :
(basée sur 26 avis)
Cote pondérée : (460ème position).
Visites : 21 637
Moyenne des notes :
(basée sur 26 avis)
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(460ème position).
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Fulgurant
Avec ce livre, Maxime Chattam achève enfin sa trilogie de l'Homme (démarrée avec "Les Arcanes Du Chaos" et poursuivie par "Prédateurs", deux romans violents, grandioses, et sans appel). Autant le dire tout de suite, les 400 pages de cette "Théorie Gaïa" sont un vrai point d'orgue pour la trilogie.
L'histoire est à la fois simple et riche en révélations et rebondissements, ne m'en veuillez donc pas trop si je ne m'en tiens qu'au strict minimum (de toute façon, en dire trop serait une catastrophe qui risquerait fort de vous retirer l'envie de lire ce roman) : trois scientifiques spécialisés dans des domaines différents sont envoyés sur deux sites de recherches par la Commission Européenne. Emma, paléoanthropologue, est envoyée aux îles Marquises (Polynésie Française), tandis que son mari Peter (biologiste) et son frère cadet Benjamin (sociologue) sont envoyés dans les Pyrénées, dans un laboratoire situé en haut d'une montagne. Leur mission : contrôler les installations et recherches top secrètes de scientifiques mystérieux suspectés de fraudes...
Du très imposants problèmes climatologiques empêcheront les deux groupes de se contacter, tandis que de très graves évènements les attendront, les entraînant dans une spirale de terreur...
S'il n'atteint pas la noirceur totale de "In Tenebris" ou de "Prédateurs", "La Théorie Gaïa" n'en est pas moins un excellentissime thriller 'à l'américaine', que l'on rêverait - comme pour les autres Chattam - de voir un jour adapté au cinéma. Les personnages sont attachants, surtout Emma et Benjamin (Peter semble plus secret, plus renfermé, mais n'en est pas moins sympathique), et les situations, surtout celles vécues par Emma, sont angoissantes au possible.
Le style Chattam - chapitres courts, nombreux rebondissements, paragraphes souvent courts, secs, nerveux, et dialogues ciselés - est une fois de plus totalement efficace. Oui, cet auteur fait dans le 'page-turner', tout à fait, à l'instar de romanciers tels que Dan Brown (dans un tout autre registre), mais ici, c'est diaboliquement efficace. Ce type s'améliore de roman en roman, même si mon préféré reste encore et toujours "Les Arcanes Du Chaos".
Ce livre ne se lit pas, il se dévore, il se bouffe, on en redemande. 400 pages, ce n'est pas beaucoup (sauf erreur de ma part, c'est à ce jour son roman le moins épais), et c'est bien le seul défaut du livre...quoique, je l'admets, le début (les 60 premières pages surtout) est assez lent, chose assez inhabituelle chez Maxime Chattam - "Prédateurs" était à peu près pareil.
Quand on l'a commencé, impossible de le lâcher. J'ai mis, cumulé en deux jours, environ 8 heures à le lire. Pour un 'page-turner', c'en est un de mémorable ! Vivement le prochain roman de ce remarquable et efficace auteur !
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Les éditions
-
La théorie Gaïa [Texte imprimé], roman Maxime Chattam
de Chattam, Maxime
Albin Michel
ISBN : 9782226186430 ; 22,30 € ; 30/04/2008 ; 405 p. ; Format Kindle
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Les livres liés
Le cycle de l'homme- Les arcanes du chaos
- Prédateurs
- La Théorie Gaïa
- La promesse des ténèbres
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Les critiques éclairs (25)
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Bon début, bonne fin
Critique de Marlène (Tours, Inscrite le 15 mars 2011, 46 ans) - 8 juillet 2013
En gros j'ai aimé le début et j'ai aimé la fin, entre les deux j'ai aimé mais sans plus. Finalement des trois livres du cycle de l'homme, mon préféré a été Prédateurs, ensuite Les Arcanes du Chaos et celui-ci en dernier. Je sais pas, je suis peut-être un brin tatillonne question tueurs en série mais j'ai trouvé la théorie limite et sur l'île, j'ai trouvé ça aussi limite. J'ai bien aimé Peter, Emma et Ben mais je n'ai pas vraiment accroché aux personnages comme à Yaël ou Frewin, la tension amoureuse m'a manquée et puis si j'ai bien aimé apprendre des théorie sur l'évolution et comment l'Homme peut évoluer, j'suis pas sûre d'adhérer à la théorie Gaïa, finalement avec L'âme du Mal, celui que j'ai le moins aimé...
A couper le souffle !
Critique de JoshWB (, Inscrit le 13 décembre 2010, 34 ans) - 3 février 2012
Malgré les +/-100 premières pages qui sont tirées en longueur et carrément ennuyantes, les +/- 400 pages suivantes m'ont fait passer deux nuits blanches! Ce livre est incontestablement un des meilleurs thrillers que j'ai lu de ma vie. La sensation d'être coupé du monde est fortement ressentie, et les points de non-retour sont nombreux ! Cependant, je trouve scandaleux qu'un thriller mette tant de pages à démarrer, car j'ai failli cesser ma lecture au bout de 50 pages d'ennui total. Heureusement que j'ai tenu le coup car franchement, j'aurais raté quelque chose !
Impressionnant
Critique de WhiteDevil (Strasbourg, Inscrit le 1 décembre 2011, 28 ans) - 2 février 2012
J'ai lu ce livre il y a déjà quelque temps, et franchement, j'ai adoré !
Pour les fans de thriller, d'aventure et de suspense, je conseille fortement ce livre.
Ce livre va vous emporter dans un autre monde, vous ne pourrez plus le lâcher et surtout vous n'arrivez plus à entamer une autre lecture sans avoir fini ce superbe roman.
Il n'y a même pas assez d'étoiles pour que je puisse le noter de façon convenable.
Pour les fans de thriller, d'aventure et de suspense, je conseille fortement ce livre.
Ce livre va vous emporter dans un autre monde, vous ne pourrez plus le lâcher et surtout vous n'arrivez plus à entamer une autre lecture sans avoir fini ce superbe roman.
Il n'y a même pas assez d'étoiles pour que je puisse le noter de façon convenable.
Un bon suspense
Critique de Blacksad75 (, Inscrit le 19 février 2009, 45 ans) - 26 octobre 2011
Ce bon roman manque un peu d'originalité quant au thème traité. Les rebondissements ont par ailleurs un fort parfum de déjà vu (comme souvent : les idées novatrices sont rares).
Mais Chattam a vraiment un don pour entretenir le suspense et tenir le lecteur en haleine. L'histoire est très bien construite.
Mais Chattam a vraiment un don pour entretenir le suspense et tenir le lecteur en haleine. L'histoire est très bien construite.
La définition du Thriller
Critique de AntoineBXL (Bruxelles, Inscrit le 9 août 2008, 44 ans) - 9 septembre 2011
J'ai l'impression que la lecture de ce troisième Chattam (après les arcanes et in tenebris) me transforme petit à petit en inconditionnel de l'auteur. J'ai terminé le livre il y a trois jours mais l'histoire trotte continuellement dans ma tête. Je ne parviens pas à entamer une nouvelle lecture. Je crois que je vais aller m'acheter "maléfices" après le boulot! Tant pis si je fais une indigestion...
Voilà mon état d'esprit décrit en quelques lignes. C'est la meilleure critique que je puis fournir pour ce bouquin: un début d'assuétude à chattam.
Lisez-le.
Voilà mon état d'esprit décrit en quelques lignes. C'est la meilleure critique que je puis fournir pour ce bouquin: un début d'assuétude à chattam.
Lisez-le.
Un peu déçu
Critique de Hiroo (, Inscrit le 18 février 2011, 49 ans) - 16 juin 2011
Après avoir dévoré les arcanes du chaos, ce livre a été un peu l'opposé. Au début j'ai accroché par son histoire et quelques infos intéressantes sur l'homme et son évolution mais après la moitié du livre tout s'essouffle. Dommage.
Passionnant
Critique de Dyonis (, Inscrit le 14 mars 2007, 57 ans) - 20 février 2011
Un livre passionnant se déroulant sur deux pôles géographiques opposés, d'un côté dans les Pyrénées, et de l'autre dans une île de la Polynésie. On voyage en lecture d'un point à l'autre. J'ai été plus captivé par le suspense, que recèle l'île lointaine. C'est un très bon livre qui se lit rapidement passé le cap des cinquante premières pages, et qui délivre une message sur notre humanité, sur notre évolution, sur notre rapport avec notre mère nature...
Un bon Chattam en effet
Critique de Patsy80 (, Inscrite le 20 août 2009, 48 ans) - 2 février 2011
J'ai souvent comparé le style Chattam à S. King mais pour la Théorie de Gaia, je le rapprocherais plutôt de Crichton. C'est que j'appelle un roman film où les images sont si vivantes qu'elles sortent du livre sur l'écran de votre imagination et vous ne vous rendez-même plus compte que vous lisez.
L'histoire, pas mal non plus mais j'apporterai un bémol ici car j'aurais aimé en savoir plus sur ce qui a pu être infligé à toutes ces personnes devenues monstres. J'ai trouvé que cela péchait un peu de ce côté là, c'est dommage car perso, j'adore les théories scientifiques abracadabrantes sur les causes des maux de la société car elles s'avèrent parfois de bonnes pistes pour comprendre en effet les mécanismes des hommes. Disons que ça interpelle davantage que de nous laisser imaginer tout et n'importe quoi.
Par contre côté torture, j'ai rarement lu aussi atroce...
L'histoire, pas mal non plus mais j'apporterai un bémol ici car j'aurais aimé en savoir plus sur ce qui a pu être infligé à toutes ces personnes devenues monstres. J'ai trouvé que cela péchait un peu de ce côté là, c'est dommage car perso, j'adore les théories scientifiques abracadabrantes sur les causes des maux de la société car elles s'avèrent parfois de bonnes pistes pour comprendre en effet les mécanismes des hommes. Disons que ça interpelle davantage que de nous laisser imaginer tout et n'importe quoi.
Par contre côté torture, j'ai rarement lu aussi atroce...
de l'action...
Critique de Marion1209 (Mandelieu, Inscrite le 6 mai 2005, 38 ans) - 21 novembre 2010
Ce livre est fort en évènements. Je l'ai lu très rapidement et il était difficile de m'en détacher pour aller dormir.
Certains passages au début m'ont même presque effrayée.
C'est donc un très bon livre sur une histoire qui fait un peu réfléchir sur l'évolution de l'homme.
En revanche, j'ai trouvé que la fin était un peu bâclée.
Je vais conseiller ce livre à mes amis.
Certains passages au début m'ont même presque effrayée.
C'est donc un très bon livre sur une histoire qui fait un peu réfléchir sur l'évolution de l'homme.
En revanche, j'ai trouvé que la fin était un peu bâclée.
Je vais conseiller ce livre à mes amis.
tout bonnement super !
Critique de Mayfair (Distroff, Inscrite le 30 mars 2007, 51 ans) - 24 septembre 2010
J'avoue ne pas comprendre comment certains peuvent descendre ce livre mais chacun ses goûts. Personnellement je l'ai trouvé passionnant et très original. Quelle bonne idée d'utiliser les tueurs en série et autres psychopathes pour faire des expériences ! Dans le livre j'entends bien sûr !
Franchement comme tous les Chattam ce roman était vraiment bon. Les personnages sont sympathiques. Difficile de lâcher le livre !
Comme j'aimerais être à la place d'Hexagone et rencontrer l'auteur.
Franchement comme tous les Chattam ce roman était vraiment bon. Les personnages sont sympathiques. Difficile de lâcher le livre !
Comme j'aimerais être à la place d'Hexagone et rencontrer l'auteur.
la théorie des neuneu
Critique de Golden (, Inscrit le 22 août 2010, 43 ans) - 22 août 2010
bon on peut dire qu'il y a un manque cruel d'un rien de logique .
Le garde qui est con comme un balai à l'observatoire du pic du midi.
Une lettre glissée sous la porte et Peter qui est dans sa chambre voit cette lettre qui passe sous la porte et qui ouvre la porte et qui crie le nom de la personne qu'il voit courir dans le couloir. Dans de la pâte a sel pour prendre les empreinte digitale. Là c'est trop limite ses autres romans étaient corrects.
Il faudrait vérifier un peu les détails.
C'est quand même bizarre de faire des erreurs pareilles.
Les autres livres qu'il a écrit n'étaient pas mauvais mais laisser passer des erreurs comme cela c'est affligeant
Le garde qui est con comme un balai à l'observatoire du pic du midi.
Une lettre glissée sous la porte et Peter qui est dans sa chambre voit cette lettre qui passe sous la porte et qui ouvre la porte et qui crie le nom de la personne qu'il voit courir dans le couloir. Dans de la pâte a sel pour prendre les empreinte digitale. Là c'est trop limite ses autres romans étaient corrects.
Il faudrait vérifier un peu les détails.
C'est quand même bizarre de faire des erreurs pareilles.
Les autres livres qu'il a écrit n'étaient pas mauvais mais laisser passer des erreurs comme cela c'est affligeant
Boucherie en gros
Critique de Guigomas (Valenciennes, Inscrit le 1 juillet 2005, 54 ans) - 20 août 2010
J’avais lu il y a quelque temps Le Sang du Temps de M Chattam et malgré son titre débile ce roman m’avait plu. C’est donc confiant et plein d’espoir que j’ai abordé La Théorie Gaïa. Mes amis, je suis tombé de haut, et Maxime est tombé bien bas !
Car la Théorie Gaïa, c’est un grand n’importe quoi. Des malfaisants en haut des Pyrénées, d’autres dans une île Polynésienne, des criminels rendus à l’état de bêtes qui massacrent sans désemparer tout ce qui se présente, et des ficelles grosses comme des câbles de téléphérique pour faire tenir l’ensemble. Le tout avec une complaisance déjà remarquée de l’auteur pour tout ce qui a trait à la boucherie (vocation contrariée peut-être ?)
Je ne saurai que recommander aux amateurs de démembrement et de saignant, à la place de cette daube, l’excellent ouvrage de Henri Martel « L'Industrie de l'équarrissage, traitement rationnel des cadavres d'animaux, des viandes saisies, des déchets de boucherie, etc » aux Editions H. Dunod et E. Pinat (1912), hélas introuvable aujourd’hui, Maxime C ayant acheté le dernier pour sa documentation personnelle.
On se demande bien ce que va pouvoir écrire l’auteur après ça : a-t-il touché le fond ? Va-t-il nous sortir l’histoire d’une colonie d’anthropophages expédiés sur la Lune qui prend d’assaut la station spatiale internationale sous le contrôle de Chevaliers Teutoniques bègues réfugiés au centre de la Terre pour échapper à un contrôle fiscal ? A moins qu’il ne se remette à l’écriture, ce qu’on peut souhaiter.
Car la Théorie Gaïa, c’est un grand n’importe quoi. Des malfaisants en haut des Pyrénées, d’autres dans une île Polynésienne, des criminels rendus à l’état de bêtes qui massacrent sans désemparer tout ce qui se présente, et des ficelles grosses comme des câbles de téléphérique pour faire tenir l’ensemble. Le tout avec une complaisance déjà remarquée de l’auteur pour tout ce qui a trait à la boucherie (vocation contrariée peut-être ?)
Je ne saurai que recommander aux amateurs de démembrement et de saignant, à la place de cette daube, l’excellent ouvrage de Henri Martel « L'Industrie de l'équarrissage, traitement rationnel des cadavres d'animaux, des viandes saisies, des déchets de boucherie, etc » aux Editions H. Dunod et E. Pinat (1912), hélas introuvable aujourd’hui, Maxime C ayant acheté le dernier pour sa documentation personnelle.
On se demande bien ce que va pouvoir écrire l’auteur après ça : a-t-il touché le fond ? Va-t-il nous sortir l’histoire d’une colonie d’anthropophages expédiés sur la Lune qui prend d’assaut la station spatiale internationale sous le contrôle de Chevaliers Teutoniques bègues réfugiés au centre de la Terre pour échapper à un contrôle fiscal ? A moins qu’il ne se remette à l’écriture, ce qu’on peut souhaiter.
Comment faites-vous Monsieur Chattam?
Critique de Lalie2548 (, Inscrite le 7 avril 2010, 39 ans) - 1 mai 2010
Je sais pas mais en tous cas quasi à chaque fois je me laisse avoir. Soit j'adore, soit c'est mitigé et je trouve quand même un petit quelque-chose qui me donne l'envie de lire la suite. Pour le présent livre, j'ai beaucoup apprécié. L'histoire est de nouveau géniale. Bon, c'est pas pareil que la trilogie du mal mais c'est très bien aussi. On se laisse "prendre au piège" de cette histoire bien écrite et veut savoir la suite. BRAVO!!!!!!!
Intéressant mais...
Critique de Aga60 (, Inscrit le 29 avril 2010, 50 ans) - 29 avril 2010
ce livre est très agréable à lire et on ne peut que relever le talent de l'auteur pour nous accrocher à ses pages.
Reste que bien qu'émettant une théorie originale, celle-ci reste grossière et bien moins aboutie que d'autres relatant la "fin du monde".
Le plaisir qu'on aura à lire ce livre dépend de ce qu'on en attendra. Le livre est palpitant et sans ennui mais question réflexion....
Reste que bien qu'émettant une théorie originale, celle-ci reste grossière et bien moins aboutie que d'autres relatant la "fin du monde".
Le plaisir qu'on aura à lire ce livre dépend de ce qu'on en attendra. Le livre est palpitant et sans ennui mais question réflexion....
Un bon Chattam
Critique de Free_s4 (Dans le Sud-Ouest, Inscrit le 18 février 2008, 49 ans) - 24 avril 2010
J'ai bien aimé ce livre, dont une partie se passe dans les Pyrénées, "Pic du Midi de Bigorre", je connais bien c'est ma région. Très bonne intrigue, je conseille, tout comme les autres Chattam d'ailleurs...............
De l’évolution de la violence dans la civilisation.
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 67 ans) - 18 avril 2010
« La Théorie Gaïa » est le dernier tome de la trilogie de l’Homme, après « Les arcanes du Chaos » et « Prédateurs ». Je n’hésiterais pas à reprendre ce que j’écrivais à propos des « Arcanes … » :
« Il y a dans la littérature finalement deux grands courants : les romans qu’on écrit pour raconter une histoire, et ceux pour qui l’histoire n’est qu’un support à l’écriture et aux sentiments qu’on veut faire passer … Une vision un peu simpliste, mais bon … Clairement Maxime Chattam s’inscrit dans la première proposition ; les romans qu’on écrit pour raconter une histoire. Dans cette mouvance, presque naturellement, l’histoire prime sur le style. Je comparerais cette attitude un peu à celle de l’éleveur de poulets qui privilégie la croissance du poulet à tout prix au détriment d’un minimum d’éthique et d’un minimum de respect du poulet. J’exagère évidemment ! Grossir le trait pour être plus aisément compris. Alors, non, le style de Maxime Chattam n’est pas indigne. J’ai trouvé que cela se lisait bien, trop bien en fait puisque, encore une fois, l’essentiel est l’histoire. Un peu un croisement bizarre de Dan Brown, Marc Lévy et Bernard Werber. Un peu ça. »
J’ajouterais simplement, à propos de la filiation un autre croisement ; Grangé revisité par Marc Lévy. C’est extrêmement dynamique, ne vous lâche pas d’une seconde, rebondit à toutes les pages et parvient encore à vous surprendre. Fort quand même ! D’autant qu’il y a de la matière, intelligente et sensée, qui doit nécessiter une belle préparation.
C’est de violence dont il est question, de théorisation de la violence ; la théorie Gaïa, associée à la violence faite à la Nature, autre thème très tendance … L’observatoire du Pic du Midi et une île des Marquises, c’est dans ces deux endroits isolés du monde qu’Emma, paléoanthropologue d’un côté (côté Marquises) et Peter, son biologiste de mari, accompagné de Benjamin, sociologue et frère d’Emma, sont mystérieusement envoyés pour le compte d’une autorité européenne. Leur mission doit rester secrète d’où un démarrage de roman bien touffu et obscur. Il faut gérer mystère et opacité. Après … ça s’accélère ! Et Maxime Chattam ne recule pas devant l’horreur et la description de violence brute. Ca peut gêner parfois. La limite entre décrire l’horreur pour mieux la condamner, et son apologie, reste quelque chose qu’il appartient à chacun de sentir et pour beaucoup elle sera franchie.
Mais il y a un vrai sujet, de vraies questions. Juste enrobées dans beaucoup d’actions et de péripéties. Disons qu’on est davantage du côté d’Indiana Jones qu’à la recherche du temps perdu !
« Il y a dans la littérature finalement deux grands courants : les romans qu’on écrit pour raconter une histoire, et ceux pour qui l’histoire n’est qu’un support à l’écriture et aux sentiments qu’on veut faire passer … Une vision un peu simpliste, mais bon … Clairement Maxime Chattam s’inscrit dans la première proposition ; les romans qu’on écrit pour raconter une histoire. Dans cette mouvance, presque naturellement, l’histoire prime sur le style. Je comparerais cette attitude un peu à celle de l’éleveur de poulets qui privilégie la croissance du poulet à tout prix au détriment d’un minimum d’éthique et d’un minimum de respect du poulet. J’exagère évidemment ! Grossir le trait pour être plus aisément compris. Alors, non, le style de Maxime Chattam n’est pas indigne. J’ai trouvé que cela se lisait bien, trop bien en fait puisque, encore une fois, l’essentiel est l’histoire. Un peu un croisement bizarre de Dan Brown, Marc Lévy et Bernard Werber. Un peu ça. »
J’ajouterais simplement, à propos de la filiation un autre croisement ; Grangé revisité par Marc Lévy. C’est extrêmement dynamique, ne vous lâche pas d’une seconde, rebondit à toutes les pages et parvient encore à vous surprendre. Fort quand même ! D’autant qu’il y a de la matière, intelligente et sensée, qui doit nécessiter une belle préparation.
C’est de violence dont il est question, de théorisation de la violence ; la théorie Gaïa, associée à la violence faite à la Nature, autre thème très tendance … L’observatoire du Pic du Midi et une île des Marquises, c’est dans ces deux endroits isolés du monde qu’Emma, paléoanthropologue d’un côté (côté Marquises) et Peter, son biologiste de mari, accompagné de Benjamin, sociologue et frère d’Emma, sont mystérieusement envoyés pour le compte d’une autorité européenne. Leur mission doit rester secrète d’où un démarrage de roman bien touffu et obscur. Il faut gérer mystère et opacité. Après … ça s’accélère ! Et Maxime Chattam ne recule pas devant l’horreur et la description de violence brute. Ca peut gêner parfois. La limite entre décrire l’horreur pour mieux la condamner, et son apologie, reste quelque chose qu’il appartient à chacun de sentir et pour beaucoup elle sera franchie.
Mais il y a un vrai sujet, de vraies questions. Juste enrobées dans beaucoup d’actions et de péripéties. Disons qu’on est davantage du côté d’Indiana Jones qu’à la recherche du temps perdu !
j'adore
Critique de Mr.crowley (, Inscrit le 14 janvier 2010, 41 ans) - 16 janvier 2010
magnifique ce livre vous prend et ne vous lâche plus, malgré un début un peu lent, la suite du livre le fait vite oublier
Un savant dosage
Critique de Oguz77 (, Inscrit le 24 novembre 2009, 46 ans) - 3 décembre 2009
C'est, en effet, un savant dosage qui fait de ce livre une réussite. Les choix spatio-temporels (isolement dans l'île, séparations des protagonistes,...), l'ambiguïté scientifico-fantastique (j'en dis pas plus de peur de trop en dire...), une écriture simple et efficace. Un bon Chattam, donc. Je rejoins les quelque lecteurs qui constatent que la qualité de la trilogie du Mal reste l'apogée à ce jour de Maxime Chattam. Cela dit, le plaisir de lire est néanmoins au rendez-vous.
angoissant...mais tellement bon!!!
Critique de Aurèl29 (, Inscrit le 16 novembre 2009, 39 ans) - 16 novembre 2009
Un succès de plus avec une bonne dose de sordide comme toujours mais le plaisir est là!La théorie gaïa devient la théorie du plaisir de lire chattam!
Sympa
Critique de Endymion (lille, Inscrit le 11 mai 2005, 44 ans) - 27 mars 2009
Le livre met un peu de temps à démarrer. L'avantage est le peu de personnage. Ce qui permet de s'attacher plus facilement à eux. L'idée de l'île est bien sympa, glauque mais sympa. Ce livre permet de se poser un certain nombre de questions sur l'évolution de l'espèce humaine. Je pense que c'est le meilleur des trois livres de sa trilogie sur l'homme.
A quand les films!!!
A quand les films!!!
un pavé pour amateurs de suspens !
Critique de Azilha (, Inscrite le 21 décembre 2008, 44 ans) - 26 janvier 2009
Le narrateur, au service de la Commission européenne qui le charge de régler un problème trop secret, se retrouve isolé dans des montagnes en compagnie de scientifiques aux comportements plutôt mystérieux...
Pendant ce temps-là, son épouse est envoyée sur une île lointaine escortée par un inconnu, sans compter les tueurs en série qui se mettent à faire des émules à un rythme effrayant !- Très avide de romans policiers, j'admets volontiers que celui-ci est attrayant grâce à l'histoire remarquablement bien menée par le maître français du thriller !- 450 pages qui se lisent vite!
Pendant ce temps-là, son épouse est envoyée sur une île lointaine escortée par un inconnu, sans compter les tueurs en série qui se mettent à faire des émules à un rythme effrayant !- Très avide de romans policiers, j'admets volontiers que celui-ci est attrayant grâce à l'histoire remarquablement bien menée par le maître français du thriller !- 450 pages qui se lisent vite!
Surprenant
Critique de Niky (, Inscrite le 22 janvier 2009, 57 ans) - 25 janvier 2009
Une fois encore, Maxime Chattam sait surprendre le lecteur et ses révélations laissent sans voix. Mais où va-t-il chercher tout ça ! Un roman réussi, à lire absolument !
Un thriller angoissant !
Critique de BONNEAU Brice (Paris, Inscrit le 21 mars 2006, 39 ans) - 16 octobre 2008
Dans une période ou les maisons d’édition publient à tour de bras, et où de nouveaux auteurs et titres en tout genre inondent un marché qu’on dit en difficulté, il est parfois bon de retrouver quelques valeurs fiables auxquelles se raccrocher au rayon des nouveautés. Parmi ces rares romans dont on attend l’arrivée en librairie avec fébrilité, le dernier Maxime Chattam figure en bonne position. Aussi, dès sa publication, La Théorie Gaïa était attendue de pied ferme par les aficionados de l’auteur.
Pour clore sa trilogie sur l’Homme (Les arcanes du chaos, Prédateurs), Chattam donne dans le thriller d’anticipation ; mêlant avec le brio qu’on lui reconnaît l’angoisse, la violence, la haine et des thématiques d’actualité comme les instances dirigeantes, le comportement de l’homme et l’avenir écologique de la planète. Pour l’occasion, trois scientifiques sont envoyés en mission secrète par l’Union Européenne sur deux sites de recherche isolés et éloignés afin d’enquêter et d’apporter leurs éclairages sur les travaux qui y sont menés. Peter et son frère Ben sont ainsi envoyés à l’Aiguille du midi tandis qu’Emma, la femme de Peter, est envoyée sur une île minuscule et quasiment inconnue appartenant à la France. Ils ne s’attendent évidemment pas à se retrouver confinés avec des scientifiques aux allures de militaires dans un observatoire pris dans la tempête, ni à débarquer sur une île avec un guide dont elle ignore tout, et dont les habitants semblent avoir tous disparus dans des circonstances étranges. La nature et l’horreur des découvertes qu’ils y feront laissant augurer le pire pour notre espèce…
Toujours dans son style américain –chapitres courts, action, intrigue permanente et rebondissements perpétuels- Maxime Chattam immerge le lecture dans ce thriller peu conventionnel, aux frontières du gore et de l’écologie, pour ne plus le laisser respirer qu’une fois les dernières pages tournées. Parfois décrié pour sa facilité à tirer de grosses ficelles entre des faits scientifiques avérés, l’auteur est fréquemment réclamé à ses amours premiers, le thriller conventionnel comme la Trilogie du Mal. Qu’importe ! Le lecteur fébrile de cette trilogie de l’Homme ne pouvait espérer mieux que La Théorie Gaïa comme note de fin, documentée et angoissante à souhait. Qui sait, sa théorie s’avèrera peut-être être la bonne…
Pour clore sa trilogie sur l’Homme (Les arcanes du chaos, Prédateurs), Chattam donne dans le thriller d’anticipation ; mêlant avec le brio qu’on lui reconnaît l’angoisse, la violence, la haine et des thématiques d’actualité comme les instances dirigeantes, le comportement de l’homme et l’avenir écologique de la planète. Pour l’occasion, trois scientifiques sont envoyés en mission secrète par l’Union Européenne sur deux sites de recherche isolés et éloignés afin d’enquêter et d’apporter leurs éclairages sur les travaux qui y sont menés. Peter et son frère Ben sont ainsi envoyés à l’Aiguille du midi tandis qu’Emma, la femme de Peter, est envoyée sur une île minuscule et quasiment inconnue appartenant à la France. Ils ne s’attendent évidemment pas à se retrouver confinés avec des scientifiques aux allures de militaires dans un observatoire pris dans la tempête, ni à débarquer sur une île avec un guide dont elle ignore tout, et dont les habitants semblent avoir tous disparus dans des circonstances étranges. La nature et l’horreur des découvertes qu’ils y feront laissant augurer le pire pour notre espèce…
Toujours dans son style américain –chapitres courts, action, intrigue permanente et rebondissements perpétuels- Maxime Chattam immerge le lecture dans ce thriller peu conventionnel, aux frontières du gore et de l’écologie, pour ne plus le laisser respirer qu’une fois les dernières pages tournées. Parfois décrié pour sa facilité à tirer de grosses ficelles entre des faits scientifiques avérés, l’auteur est fréquemment réclamé à ses amours premiers, le thriller conventionnel comme la Trilogie du Mal. Qu’importe ! Le lecteur fébrile de cette trilogie de l’Homme ne pouvait espérer mieux que La Théorie Gaïa comme note de fin, documentée et angoissante à souhait. Qui sait, sa théorie s’avèrera peut-être être la bonne…
Notre mère la terre...
Critique de Hexagone (, Inscrit le 22 juillet 2006, 53 ans) - 23 juin 2008
D'accord avec Bookivore, le début est un peu lent, d'accord également pour les arcanes du chaos.
En ce qui concerne la théorie Gaïa, je le trouve un peu lent, les ficelles de Chattam sont toujours les mêmes, sang, bidoche et tortures sadiques.
J'avais déjà exprimé mon inquiétude concernant l'épuisement de l'auteur, qui produit un livre par an.
J'ai eu la chance de le rencontrer dernièrement, un auteur très sympathique et à l'écoute de son lectorat. il m'a informé qu'il était en train d'écrire une trilogie, ainsi qu'un autre livre.
Quelle profusion.
Ceci étant la trilogie du mal était tellement énorme que ses autres romans me paraissent moins bons. Ce qui ne semble pas être l'avis des contributeurs.
Un bon livre à l'américaine, page turner, rythme soutenu, efficacité de la construction. A recommander, mais j'attends que l'auteur réitère le coup d'éclat de la trilogie du mal.
En ce qui concerne la théorie Gaïa, je le trouve un peu lent, les ficelles de Chattam sont toujours les mêmes, sang, bidoche et tortures sadiques.
J'avais déjà exprimé mon inquiétude concernant l'épuisement de l'auteur, qui produit un livre par an.
J'ai eu la chance de le rencontrer dernièrement, un auteur très sympathique et à l'écoute de son lectorat. il m'a informé qu'il était en train d'écrire une trilogie, ainsi qu'un autre livre.
Quelle profusion.
Ceci étant la trilogie du mal était tellement énorme que ses autres romans me paraissent moins bons. Ce qui ne semble pas être l'avis des contributeurs.
Un bon livre à l'américaine, page turner, rythme soutenu, efficacité de la construction. A recommander, mais j'attends que l'auteur réitère le coup d'éclat de la trilogie du mal.
Trop court
Critique de LesieG (CANTARON, Inscrite le 20 avril 2005, 57 ans) - 9 mai 2008
Fantastique, je n'arrivais pas à me détacher de ce livre.
Les personnages sont tellement sympathiques, que j'aimerais bien les retrouver dans une nouvelle aventure.
Pour moi, ce livre restera le meilleur des Chattam à ce jour.
Que rajouter à ce qu'à dit bookivore sinon ne ratez pas une occasion de palpiter.
Les personnages sont tellement sympathiques, que j'aimerais bien les retrouver dans une nouvelle aventure.
Pour moi, ce livre restera le meilleur des Chattam à ce jour.
Que rajouter à ce qu'à dit bookivore sinon ne ratez pas une occasion de palpiter.
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