J'ai vu partiellement l'émission de Stephane Bern sur le sujet Molière/Corneille, il y avait au bas mot une dizaine de spécialistes (5 dans chaque camps) qui avaient chacun des preuves irréfutables (je suis pas sur de l'orthographe, mais on comprend le mot), certain en analysant le texte de Molière voyaient du Corneille "bas de gamme" (comme si l'auteur avait refilé les pièces qu'ils renaient à Molière) d'autres disaient qu'il ny avait aucune trace du style de Corneille dnas les pièces de Molière, sur le fait que Molière n'sit pas écrit de manuscrit les avis aussi diverges, mais entre les fans de Molière, certains disent que Molière en tant que comédien jouait les pièces avec sa troupe et qu'on les imprimait à partir du spectacle lui même, autre théorie, à sa mort la malette contenant les manuscrit auraient été volées, résultat??? On ne savait rien de plus à la fin de l'émission qu'au début.
Pour Alexandre Dumas, autre auteur dont on conteste la paternité de son oeuvre (quelques fois avec raison, voir l'anecdocte qu'il raconte lui-même dans ses "Mémoires" il apprend qu'un de ses "Nègre" qui écrivait un de "ses" romans est mort, ne connaissant pas l'histoire, ni le titre du roman, et n'ayant pas le temps d'écrire la suite, il attend anxieusement le lendemain, quand il ouvre le journal, il y voit le feuilleton comme d'habitude, en fait le "Nègre" de Dumas avait lui aussi un "Nègre" qui ignorait sa mort et qui continuait le feuilleton comme chaque matin) Le site Internet de Dumaspère.com fait de bonne analyse des romans et ils n'hésitent pas quand la paternité du roman est vraiment contestable à le dire. D'ailleurs dans des romans comme "Robin des bois" ça crève les yeux et Dumas n'hésitait pas à puiser chez d'autres écrivains (Il a utiliser Charles Nodier comme source "sans autorisation" pour "les Compagnons de Jéhu", il le refera pour "Les Blancs et le Bleus" "avec autorisation cette fois". Dumas lui ne voit pas le crime d'avoir un collaborateur comme Maquet qui l'aide à écrire ses roman, il ne cache pas l'existance de son collaborateur le décrivant comme "l'homme qui travaille le plus en France après moi". Pourtant on sait que Dumas "récritvait" le jet de Maquet (sauf dans un cas ou la copie s'était perdue en route et que le journal a demandé à Maquet de réécrire le texte afin qu'il soit puiblier à temps).
Pour clore mon avis sur la question, je vais aussi reprendre une citation de Dumas qui va bien avec le Débat Molière/Cornaille : "On me demande souvent qui écrit mes livres, il n'ont pas pensé que ça pouvait être moi."
Pour Alexandre Dumas, autre auteur dont on conteste la paternité de son oeuvre (quelques fois avec raison, voir l'anecdocte qu'il raconte lui-même dans ses "Mémoires" il apprend qu'un de ses "Nègre" qui écrivait un de "ses" romans est mort, ne connaissant pas l'histoire, ni le titre du roman, et n'ayant pas le temps d'écrire la suite, il attend anxieusement le lendemain, quand il ouvre le journal, il y voit le feuilleton comme d'habitude, en fait le "Nègre" de Dumas avait lui aussi un "Nègre" qui ignorait sa mort et qui continuait le feuilleton comme chaque matin) Le site Internet de Dumaspère.com fait de bonne analyse des romans et ils n'hésitent pas quand la paternité du roman est vraiment contestable à le dire. D'ailleurs dans des romans comme "Robin des bois" ça crève les yeux et Dumas n'hésitait pas à puiser chez d'autres écrivains (Il a utiliser Charles Nodier comme source "sans autorisation" pour "les Compagnons de Jéhu", il le refera pour "Les Blancs et le Bleus" "avec autorisation cette fois". Dumas lui ne voit pas le crime d'avoir un collaborateur comme Maquet qui l'aide à écrire ses roman, il ne cache pas l'existance de son collaborateur le décrivant comme "l'homme qui travaille le plus en France après moi". Pourtant on sait que Dumas "récritvait" le jet de Maquet (sauf dans un cas ou la copie s'était perdue en route et que le journal a demandé à Maquet de réécrire le texte afin qu'il soit puiblier à temps).
Pour clore mon avis sur la question, je vais aussi reprendre une citation de Dumas qui va bien avec le Débat Molière/Cornaille : "On me demande souvent qui écrit mes livres, il n'ont pas pensé que ça pouvait être moi."
J'ai vu partiellement l'émission de Stephane Bern sur le sujet Molière/Corneille, il y avait au bas mot une dizaine de spécialistes (5 dans chaque camps) qui avaient chacun des preuves irréfutables (je suis pas sur de l'orthographe, mais on comprend le mot), certain en analysant le texte de Molière voyaient du Corneille "bas de gamme" (comme si l'auteur avait refilé les pièces qu'ils renaient à Molière) d'autres disaient qu'il ny avait aucune trace du style de Corneille dnas les pièces de Molière, sur le fait que Molière n'sit pas écrit de manuscrit les avis aussi diverges, mais entre les fans de Molière, certains disent que Molière en tant que comédien jouait les pièces avec sa troupe et qu'on les imprimait à partir du spectacle lui même, autre théorie, à sa mort la malette contenant les manuscrit auraient été volées, résultat??? On ne savait rien de plus à la fin de l'émission qu'au début.
Pour Alexandre Dumas, autre auteur dont on conteste la paternité de son oeuvre (quelques fois avec raison, voir l'anecdocte qu'il raconte lui-même dans ses "Mémoires" il apprend qu'un de ses "Nègre" qui écrivait un de "ses" romans est mort, ne connaissant pas l'histoire, ni le titre du roman, et n'ayant pas le temps d'écrire la suite, il attend anxieusement le lendemain, quand il ouvre le journal, il y voit le feuilleton comme d'habitude, en fait le "Nègre" de Dumas avait lui aussi un "Nègre" qui ignorait sa mort et qui continuait le feuilleton comme chaque matin) Le site Internet de Dumaspère.com fait de bonne analyse des romans et ils n'hésitent pas quand la paternité du roman est vraiment contestable à le dire. D'ailleurs dans des romans comme "Robin des bois" ça crève les yeux et Dumas n'hésitait pas à puiser chez d'autres écrivains (Il a utiliser Charles Nodier comme source "sans autorisation" pour "les Compagnons de Jéhu", il le refera pour "Les Blancs et le Bleus" "avec autorisation cette fois". Dumas lui ne voit pas le crime d'avoir un collaborateur comme Maquet qui l'aide à écrire ses roman, il ne cache pas l'existance de son collaborateur le décrivant comme "l'homme qui travaille le plus en France après moi". Pourtant on sait que Dumas "récritvait" le jet de Maquet (sauf dans un cas ou la copie s'était perdue en route et que le journal a demandé à Maquet de réécrire le texte afin qu'il soit puiblier à temps).
Pour clore mon avis sur la question, je vais aussi reprendre une citation de Dumas qui va bien avec le Débat Molière/Cornaille : "On me demande souvent qui écrit mes livres, il n'ont pas pensé que ça pouvait être moi."
je viens de voir que j'ai fait beaucoup de fautes (surtout des pluriels un peu singuliers ;-) ) désolé.
Je dois dire que l'histoire du Nègre du Nègre de Dumas, c'est tout simplement formidable.
Je dois dire que l'histoire du Nègre du Nègre de Dumas, c'est tout simplement formidable.
Oui, je l'apprends en lisant ce fil; c'est fou!
Pour Alexandre Dumas, autre auteur dont on conteste la paternité de son oeuvre (quelques fois avec raison, voir l'anecdocte qu'il raconte lui-même dans ses "Mémoires" il apprend qu'un de ses "Nègre" qui écrivait un de "ses" romans est mort, ne connaissant pas l'histoire, ni le titre du roman, et n'ayant pas le temps d'écrire la suite, il attend anxieusement le lendemain, quand il ouvre le journal, il y voit le feuilleton comme d'habitude, en fait le "Nègre" de Dumas avait lui aussi un "Nègre" qui ignorait sa mort et qui continuait le feuilleton comme chaque matin) Le site Internet de Dumaspère.com fait de bonne analyse des romans et ils n'hésitent pas quand la paternité du roman est vraiment contestable à le dire. D'ailleurs dans des romans comme "Robin des bois" ça crève les yeux et Dumas n'hésitait pas à puiser chez d'autres écrivains (Il a utiliser Charles Nodier comme source "sans autorisation" pour "les Compagnons de Jéhu", il le refera pour "Les Blancs et le Bleus" "avec autorisation cette fois". Dumas lui ne voit pas le crime d'avoir un collaborateur comme Maquet qui l'aide à écrire ses roman, il ne cache pas l'existance de son collaborateur le décrivant comme "l'homme qui travaille le plus en France après moi". Pourtant on sait que Dumas "récritvait" le jet de Maquet (sauf dans un cas ou la copie s'était perdue en route et que le journal a demandé à Maquet de réécrire le texte afin qu'il soit puiblier à temps).
Pour clore mon avis sur la question, je vais aussi reprendre une citation de Dumas qui va bien avec le Débat Molière/Cornaille : "On me demande souvent qui écrit mes livres, il n'ont pas pensé que ça pouvait être moi."
Mais comme tu le dis dans ta critique de "La belle Gabrielle", Maquet n'est pas à la hauteur. Le "grand" romancier , c'est Dumas. Quel dommage qu'il n'ait pas pu écrire lui-même la suite de la trilogie des Valois ! Pourquoi ne l' a-t-il pas fait d'ailleurs ?
Pour Alexandre Dumas, autre auteur dont on conteste la paternité de son oeuvre (quelques fois avec raison, voir l'anecdocte qu'il raconte lui-même dans ses "Mémoires" il apprend qu'un de ses "Nègre" qui écrivait un de "ses" romans est mort, ne connaissant pas l'histoire, ni le titre du roman, et n'ayant pas le temps d'écrire la suite, il attend anxieusement le lendemain, quand il ouvre le journal, il y voit le feuilleton comme d'habitude, en fait le "Nègre" de Dumas avait lui aussi un "Nègre" qui ignorait sa mort et qui continuait le feuilleton comme chaque matin)
Absolument fabuleux!
Concernant l'Affaire Molière/Corneille, je n'éprouverais qu'un plaisir scientifique à en connaitre le fin mot... un logiciel bien programmé qui repèrerait les "tics" de langage de l'un ou de l'autre - j'imagine que ça existe et que c'est utilisé d'ailleurs.
Par contre "esthétiquement", je me permets de me contrefoutre royalement de ces débats d'identité. J'aime ou je trouve moyen, je trouve ça fort ou à chier, mais je me détache assez de la notion d'auteur dans mes lectures. D'ailleurs je rejoins Smokey sur ce point:
Mmm, en effet, aborder l'analyse d'un texte sous le seul prisme de la vie de l'auteur est une faute. Au-delà du fait que le peut royalement se vautrer dans une interprétation psychanalytique à deux roupies, on en arrive surtout à trouver des éléments qui n'existent pas et à inventer des interprétations typiquement freudiennes qui, si elles nous éloignent du récit, ont en plus le mérite de nous induire en erreur.
J'ai eu à l'unif une prof de littérature belge qui "tuait" tous les livres qu'elle touchait et analysait en cours, en faisant systématiquement des liens débiles entre l'oeuvre et l'auteur... trop c'est trop...
Surtout que les trois quarts du temps, l'auteur, il n'y a rien à en dire.
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