Hier soir, j'ai découvert Le bonheur, d'Agnès Varda, avec Jean-Claude Drouot. Ce film m'a mis mal à l'aise. Il traite l'adultère sur un ton léger et badin, et, suite au suicide par noyade de l'épouse, le mari part avec sa maîtresse, ses enfants à la main, comme si de rien n'était. Sans doute suis-je un peu vieux jeu, mais il me semble que le sujet, d'intérêt en soi, méritait un autre traitement.
J'ai vu The Killer (David Fincher, 2023).
Un thriller assez bien mené, dans lequel le chasseur devient la proie avant de se rebeller. C'est enlevé et au final assez plaisant même si on a le sentiment d'avoir déjà vu ça avec la série de films des Jason Bourne notamment.
Un thriller assez bien mené, dans lequel le chasseur devient la proie avant de se rebeller. C'est enlevé et au final assez plaisant même si on a le sentiment d'avoir déjà vu ça avec la série de films des Jason Bourne notamment.
Hier soir, j'ai revu LOL, de Lisa Azuelos, avec Sophie Marceau, Josselin Quuivrin et Françoise Fabian. Cette comédie est divertissante et assez drôle.
Je viens de revoir Le Juste et l’assassin, de Bertrand Tavernier, avec Michel Galabru, Philippe Noiret, Isabelle Huppert et Jean-Claude Brialy.
Ce jeu de dupes et cete tension entre les deux protagonistes est très bien menée et interprétée. Le film marque, malgré l’économie de moyens.
Ce jeu de dupes et cete tension entre les deux protagonistes est très bien menée et interprétée. Le film marque, malgré l’économie de moyens.
Je viens de revoir Le Juste et l’assassin, de Bertrand Tavernier, avec Michel Galabru, Philippe Noiret, Isabelle Huppert et Jean-Claude Brialy.
Ce jeu de dupes et cete tension entre les deux protagonistes est très bien menée et interprétée. Le film marque, malgré l’économie de moyens.
... le Juge et l'assassin ...
Hier soir, j'ai enfin découverte Péril jeune, de Cédric Klapisch, avec Romain Duris, Elodie Bouchez, Vincent Elbaz et Hélène de Fougerolles. Je ne sais pas pourquoi j'appréhendais. J'avais sans doute sur d'une forme de caricature sur les adolescents, leur dilettantisme, leur violence larvée et leurs addictions. En réalité et conformément à la réputation du film, c'est assez bien fait.
Cette après-midi, j'ai enfin découvert Les Vitellin, de Federico Fellini. Il s'agit d'une comédie dramatique à tendance sociale et de style néo-réaliste, à l'humour grinçant, mettant en scène cinq jeunes désoeuvrés d'une cité balnéaire qui ont du mal à trouver un emploi et ne se montrent pas très motivés pour mieux z'insérer dans la société. Aussi s'en trouvent-is de plus en plus rejetés. La tension va crescendo, les scènes de vexation et d'ironie vont bon train; C'est intéressant, sans être au mieux agréable.
Hier soir, j'ai découvert Cours privé, de Pierre Granier-Deferre, avec Elizabeth Bourgine, Michel Aumont, Xavier Deluc et Emma nulle Seigner. La réputation du cinéaste m'a dirigé vers ce film, mais je l'ai trouvé passablement glauque.
Je viens de revoir La Fleur de mon secret, de Pedro Almodovar, avec Marisa Paredes. Ce mélodrame est très beau à mon sens et très mené, très bien interprété avec de belles scènes de flamenco.
Je viens de revoir Gatsby le magnifique ´, de Jack Clayton, d’après le roman de Francis Scott Fitzgerald m, avec Robert Redford et Mia Farriw.
Ce mélodrame sentimental au suspense crescendo mérite, semble-t-il, son statut de classique.
Ce mélodrame sentimental au suspense crescendo mérite, semble-t-il, son statut de classique.
J’ai revu « Out of Africa » qui lui aussi mériterait bien son statut de grand classique du cinéma. Super grand classique, même.
J’ai été beaucoup plus ému que quand je l’avais vu la première fois à sa sortie… Ça doit être l’âge.
J’ai été beaucoup plus ému que quand je l’avais vu la première fois à sa sortie… Ça doit être l’âge.
Je viens de regarder "Ready Player One", un film de Steven Spielberg. Ce film est génial, et se passe dans un univers futuriste pas trop lointain, où les gens vivent à la fois dans le monde réel, et à la fois dans un monde de jeu vidéo.
J’ai revu « Out of Africa » qui lui aussi mériterait bien son statut de grand classique du cinéma. Super grand classique, même.
J’ai été beaucoup plus ému que quand je l’avais vu la première fois à sa sortie… Ça doit être l’âge.
Je partage ton avis sur ce film. Et je l'avais tout de suite adoré. Mais ça peut évoluer avec le temps. La maturité fait apprécier et percevoir certaines choses. Et puis, à force de redécouvrir certain films, les détails et articulations apparaissent mieux.
J'ai regardé ''Einstein et la bombe'' via Netflix. C'est intéressant de savoir que le physicien, qui est connu comme le père de la relativité restreinte et générale, n'envisageait absolument pas cette théorie comme une arme.
Hier soir, j’ai découvert Le Mari de la coiffeuse, de Patrice Leconte, avec Jean Rochefort. Malgré ma sympathie pour l’acteur, l’œuvre ne présente rien d’inoubliable. Il ne peut pas tout porter.
J'ai vu Contraattaque (Chava Cartas, 2025). Un film d'action mexicain...ce n'est pas inoubliable, on a l'impression d'avoir vu ce genre de film dans le cinéma américain depuis des années.
Ce qui est intéressant en revanche, c'est la façon avec laquelle la guerre des cartels façonne la société et l'imaginaire de ce pays (le Mexique). J'ai le sentiment que tout ce qui est produit là-bas (en tout cas, tout ce qui nous arrive) a un lien avec ce véritable conflit interne.
Ce qui est intéressant en revanche, c'est la façon avec laquelle la guerre des cartels façonne la société et l'imaginaire de ce pays (le Mexique). J'ai le sentiment que tout ce qui est produit là-bas (en tout cas, tout ce qui nous arrive) a un lien avec ce véritable conflit interne.
J'ai regardé ''Einstein et la bombe'' via Netflix. C'est intéressant de savoir que le physicien, qui est connu comme le père de la relativité restreinte et générale, n'envisageait absolument pas cette théorie comme une arme.
@Windigo : je n'ai pas vu ce reportage mais quand Einstein écrit à Roosevelt, c'est bien pour développer la bombe (car il pensait que les Allemands y travaillaient et que le vainqueur de la guerre serait celui qui y parviendrait en premier). Einstein n'a jamais ignoré que ses travaux pourraient avoir des enjeux militaires.
J'ai regardé ''Einstein et la bombe'' via Netflix. C'est intéressant de savoir que le physicien, qui est connu comme le père de la relativité restreinte et générale, n'envisageait absolument pas cette théorie comme une arme.
@Windigo : je n'ai pas vu ce reportage mais quand Einstein écrit à Roosevelt, c'est bien pour développer la bombe (car il pensait que les Allemands y travaillaient et que le vainqueur de la guerre serait celui qui y parviendrait en premier). Einstein n'a jamais ignoré que ses travaux pourraient avoir des enjeux militaires.
Il lui a écrit, dans les années 30-40, mais en 1905, lorsqu'il élabora sa théorie, c'était pour prouver que l'univers peut se courber avec la gravité, et que rien ne peut dépasser la vitesse de la lumière. C'est ce qui est expliqué dans le documentaire.
Dimanche matin, j'ai revu Huit et demi, de Fellini, en italien pour pratiquer un peu, et en hommage à claudia cardinale.
Pour le Guépart, je le reverrai quand j'aurai plus de temps, car il dure quand même trois heures.
Pour le Guépart, je le reverrai quand j'aurai plus de temps, car il dure quand même trois heures.
J'ai vu The Northman (Robert Eggers, 2022), un film qui s'inspire de façon évidente de la série Viking. C'est assez plaisant à regarder.
Nicole Kidman après sa chirurgie esthétique est méconnaissable.
Bonne musique, beaux paysages de l'Islande sauvage. Le scenario n'est pas très original, mais ça se laisse regarder.
Nicole Kidman après sa chirurgie esthétique est méconnaissable.
Bonne musique, beaux paysages de l'Islande sauvage. Le scenario n'est pas très original, mais ça se laisse regarder.
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