J'ai revu No country for old men (Ethan & Joel Cohen, 2007)- Absolument formidable. Adapté d'un roman de Cormac McCarthy, ce film offre une photographie superbe.
Quand ça se colle sur un scénario de cette qualité, le spectateur a droit à un superbe film.
En effet, le roman et le film sont incroyablement réussis.
Je viens de revoir Les diamants sont éternels.
C’est invraisemblable mais distrayant.
C’est invraisemblable mais distrayant.
Je viens juste de regarder The Exorcist : Believer (2023), qui est une suite de The Exorcist (1973).
Hier soir, j’ai regardé Elles, de Malgorzata Szumowska, avec Juliette Binoche et Anais Demoustier. Une journaliste doit écrire un article sur la prostitution et mène une investigation à cette fin. C’est assez intéressant mais assez glauque et un tantinet brouillon ; et on n’a pas le résultat de l’enquête et le contenu de l’article.
Je viens de revoir Golden Eue, avec Pierce Brosnan. C’est très grand public mais c’est assez bien fait.
Je ne l’avais pas vu depuis des lustres et j’avais oublié des tas de choses.
Je ne l’avais pas vu depuis des lustres et j’avais oublié des tas de choses.
Je viens de voir la série ''Entretien avec un vampire'', mettant en vedettes Jacob Anderson, Sam Reid et Eric Bogosian. Mon avis est assez mitigé. En regardant cette série, je ressentait comme une gène ou un malaise, à cause du côté woke qui est trop présent. J'ai préféré le roman d'Anne Rice, et le film de Neil Jordan.
J'ai vu The Irishman (Martin Scorcese, 2019). Encore un film sur la Mafia italo-américaine avec les inévitables Pacino, Pesci et de Niro.
Le spectateur a l'impression d'avoir déjà vu ce genre de film encore et encore (Mean Steets, Casino chez Scorcese, Le Parrain chez Coppola,...etc,) mais malgré tout ce film demeure intéressant. Il y a bien sûr l'aspect moral et les sentiments qui agitent le personnage joué par de Niro (absence de remords, violence exacerbée, fidélité, ou non aux amis et alliés) mais surtout Scorcese filme très bien les années 60 jusqu'aux années 90 de l'Amérique.
Le spectateur a l'impression d'avoir déjà vu ce genre de film encore et encore (Mean Steets, Casino chez Scorcese, Le Parrain chez Coppola,...etc,) mais malgré tout ce film demeure intéressant. Il y a bien sûr l'aspect moral et les sentiments qui agitent le personnage joué par de Niro (absence de remords, violence exacerbée, fidélité, ou non aux amis et alliés) mais surtout Scorcese filme très bien les années 60 jusqu'aux années 90 de l'Amérique.
J'avais moyennement aimé, je trouvais de Niro vraiment trop vieux et les autres aussi. Pour le Parrain, j'avais écouté un podcast mais je ne sais plus de qui, je pense par france culture ou un classique du cinéma, et ils expliquaient en long et en large en quoi Le Parrain était un chef-d'oeuvre absolu du cinéma (un peu comme Proust pour la littérature donc). Je l'avais regardé à nouveau avec les scènes décrites dans le podcast en tête, très intéressant (le mariage au début par exemple).
J'aimerai aller voir le film sur Bruce Springsteen, bonnes critiques je pense.
J'aimerai aller voir le film sur Bruce Springsteen, bonnes critiques je pense.
J'ai vu A House of Dynamite (Kathryn Bigelow, 2025).
La réalisatrice a déclaré que ce film concluait une trilogie (avec Démineurs et Zero Dark Thirty). Je trouve cependant que tous ces films n'ont rien à voir les uns avec les autres.
Si les deux premiers examinaient les actions des militaires engagés sur le terrain dans des guerres "normales", AHoD est quant à lui monté dans le but d'expliquer ce qu'il adviendrait en cas de guerre stratégique, i.e à coups de missiles, intercepteurs etc. Surtout il explique comment la chaîne de commandement fonctionnerait en cas de crise.
Les doctrines d'emploi de la force nucléaire par les USA sont très bien mises en scène, et très réalistes apparemment.
A la veille d'une guerre mondiale difficilement évitable à mon avis, ce film est vraiment saisissant, le monde est vraiment assis sur un tas de dynamite.
La réalisatrice a déclaré que ce film concluait une trilogie (avec Démineurs et Zero Dark Thirty). Je trouve cependant que tous ces films n'ont rien à voir les uns avec les autres.
Si les deux premiers examinaient les actions des militaires engagés sur le terrain dans des guerres "normales", AHoD est quant à lui monté dans le but d'expliquer ce qu'il adviendrait en cas de guerre stratégique, i.e à coups de missiles, intercepteurs etc. Surtout il explique comment la chaîne de commandement fonctionnerait en cas de crise.
Les doctrines d'emploi de la force nucléaire par les USA sont très bien mises en scène, et très réalistes apparemment.
A la veille d'une guerre mondiale difficilement évitable à mon avis, ce film est vraiment saisissant, le monde est vraiment assis sur un tas de dynamite.
Hier soir, j'ai découvert Le Chasseur, de Buzz Kulik, avec Steve McQueen, le dernier film qu'il ait tourné. C'est un policier avec un fonds de mélo familial. Cela donne un film classique, qui ne manque pas d'action, sans présenter d'originalité spécifique. Je m'y suis presque ennuyé. Je ne pense pas que grand-chose m'en reste en mémoire.
J'ai vu À l'aube de l'Amérique (American primeval), une minisérie en six épisodes, disponible sur Netflix. Il s'agit d'un western se produisant quelques années avant la guerre de Sécession. Il est bien meilleur que l'autre série que j'avais vu auparavant.
Je viens de revoir Le Cercle rouge, de Jean-Pierre Melville, avec Bourvil, Alain Delon , Gianmaria Volonte, Yves Montand et François Perrier.
Ce polar mérite son statut de classique. Il est bien conçu, avec un suspense bien mené et étiré dans le temps, malgré une atmosphère glaciale.
Ce polar mérite son statut de classique. Il est bien conçu, avec un suspense bien mené et étiré dans le temps, malgré une atmosphère glaciale.
J'ai revu pour la troisième ou quatrième fois Dead Poets Society (Peter Weir, 1989).
C'est toujours aussi magnifique, l'histoire de jeunes gens qui sont à l'heure des choix, qui doivent s'affirmer. Je suis toujours aussi enthousiaste.
Je sais que le film est la référence de toute une génération et que les vrais cinéphiles méprisent un peu le sentimentalisme facile qui y est développé mais j'adhère complètement!
C'est toujours aussi magnifique, l'histoire de jeunes gens qui sont à l'heure des choix, qui doivent s'affirmer. Je suis toujours aussi enthousiaste.
Je sais que le film est la référence de toute une génération et que les vrais cinéphiles méprisent un peu le sentimentalisme facile qui y est développé mais j'adhère complètement!
J'ai revu pour la troisième ou quatrième fois Dead Poets Society (Peter Weir, 1989).
C'est toujours aussi magnifique, l'histoire de jeunes gens qui sont à l'heure des choix, qui doivent s'affirmer. Je suis toujours aussi enthousiaste.
Je sais que le film est la référence de toute une génération et que les vrais cinéphiles méprisent un peu le sentimentalisme facile qui y est développé mais j'adhère complètement!
Je suis d'accord. J'ai également revu il y a peu Le Cercle des poètes disparus, et il me fait autant d'effet. Cela va au-delà du sentimentalisme : il traite des conséquences du conservatisme radical et sectaire.
J'adhère donc à ce film, également.
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