Hier soir, j'ai revu Comment j'ai tué mon père, d'Anne Fontaine, avec Charles Berling, Michel Bouquet, Natacha Régnier, Amira Casar et Stéphane Guillon (oui, l'humoriste). Je l'avis vu en salle quand ce film était sorti en 2001.
Il s'agit d'une tragédie familiale, où le père revient d'Afrique, où il était médecin colonial, jusqu'à récemment. Il retrouve son films médecin à la tête d'une rutilante clinique. Les raisons de ce mystère après tant d'années d'absence apparaissent mystérieuses et l'change risque de tourner à l'aigre.
La tension monte crescendo, chez l'ensemble des personnages, pourtant nombreux, tout n'est pas absolument tiré au clair. La froideur, la défiance et le mystère baignent donc cette oeuvre aussi réussi qu'énigmatique.
Il s'agit d'une tragédie familiale, où le père revient d'Afrique, où il était médecin colonial, jusqu'à récemment. Il retrouve son films médecin à la tête d'une rutilante clinique. Les raisons de ce mystère après tant d'années d'absence apparaissent mystérieuses et l'change risque de tourner à l'aigre.
La tension monte crescendo, chez l'ensemble des personnages, pourtant nombreux, tout n'est pas absolument tiré au clair. La froideur, la défiance et le mystère baignent donc cette oeuvre aussi réussi qu'énigmatique.
Je viens de revoir Ghost, de Jerry Zucker, avec Patrick Swayze, Demi Moore et Whoopi Goldberg. Cela reste du grand divertissement, l’histoire est improbable, assez violente, mais assez belle.
Hier soir, j'ai revu Quatre aventures de Reinette et Mirabelle, d'Eric Rohmer. Ces sketches retraçant la vie de ces jeunes femmes reposent sur des incongruités et situations insolites, montrant l'absurdité et la méchanceté du monde, dans un état d'esprit frais et jovial. C'est réjouissant et charmant.
Je viens de revoir La Grande évasion, de John Sturges, avec Steve McQueen et Charles Branson. Ce n'est pas vraiment mon style, mais c'est bien fait et haletant, malgré la longueur (près de trois heures).
Je viens de revoir Julieta, de Pedro Almodovar.
Ce drame sentimental et familial le paraît toujours dense et riche en rebondissements et analyse psychologique.
Ce drame sentimental et familial le paraît toujours dense et riche en rebondissements et analyse psychologique.
Hier soir, j'ai revu Qui veut la peau de Roger Rabbit, de Robert Zemeckis, et, outre la dernière scène avec le juge, c'est toujours aussi drôle.
Hier soir, je me suis enfin décidé à voir Le Chat, de Pierre Granier-Deferre, avec Jean Gabin, Simone Signoret et Annie Cordy. C'est tragique, pesant, mais bien pensé et très bien interprété.
Hier soir, je me suis enfin décidé à voir Le Chat, de Pierre Granier-Deferre, avec Jean Gabin, Simone Signoret et Annie Cordy. C'est tragique, pesant, mais bien pensé et très bien interprété.
Oui, un huit clos incroyable. Des acteurs de talent.
J'ai été voir Jurrasic world, le petit dernier de la franchise. Que dire ? On est loin de la réussite du premier, ici c'est un peu du déjà vu. Il y a quand même Scarlet Johansson qui tire le film, les autres acteurs aussi (il y a d'ailleurs l'acteur qui joue dans "The Lincoln Lawer" mais ca fait un peu bizarre). Et puis c'est assez bluffant comme réalisation, c'est juste que le scénario est un peu éventé, et l'effet de surprise n'est plus là comme dans le premier.
Je viens de revoir Viva Maria, de Louis Malle, avec Jeanne Moreau et Brigitte Bardot. Cette comédie révolutionnaire est burlesque et distrayante.
Je viens de revoir Talons aiguilles, de Pedro Almodovar, avec Victoria Abril, Marisa Paredes et Miguel Bosé. Ce film mêle policier, mélodrame, burlesque et sentiments. C’est la richesse de ce tourbillon que j’apprécie tant.
Hier soir, j'ai découvert L'Eté prochain, de Nadine Trintignant, avec Fanny Ardant, Claudia Cardinale, jean-Louis Trintignant, Philippe Noiret et Marie Trintignant. Cette histoire familiale qui part doucement en vrille reste fraiche et joyeuse, sans laisser grand-chose de vraiment durable en mémoire. Ça se laisse regarder aimablement.
Je viens de découvrir Vanille fraise, de Gérard Oury, avec Sabine Azéma, Pierre Arditi, Isaac de Bankolé, Jacques Perrin et Patrick Timsit.
Cette comédie burlesque ne fait pas dans la dentelle mais le rythme est enjoué et divertit bien. Cela date de 1989.
Cette comédie burlesque ne fait pas dans la dentelle mais le rythme est enjoué et divertit bien. Cela date de 1989.
Hier soir, j'ai revu La vie est un long fleuve tranquille, d'Etienne Chatilliez. Je trouve toujours cela aussi drôle.
Je viens de revoir L’amour à ses raisons, de Giovanni Veronesi, comédie en trois sketches avec Ricardo Scarmaccio, Monica Bellucci et Robert De Niro. Elle parle des complications amoureuses sur fond burlesque mais avec une réflexion en arrière-fond. Ça détend bien et fait tout de même réfléchir aimablement.
Je viens de revoir Swimming Pool, de François Ozon, avec Charlotte Rampling et Ludivine Sagnier. Ce policier psychologisant se regarde aimablement. C’est assez bien fait et bien joué.
Je viens de voir Caravage, un film italien de 2022 par Michele Placido, avec Riccardo Scamarcio, figure montante du cinéma italien, Isabelle Huppert et Louis Garrel.
Il montre comment l’Eglise s’est offusquée de la représentation réaliste de scènes bibliques et de la prise comme modèles de personnes du peuple pour incarner celles des Évangiles. Il s’ensuit sa traque, l’instruction de sa grâce, souvent pour le pire.
C’est sombre mais très bien fait et expliqué fort clairement.
Il montre comment l’Eglise s’est offusquée de la représentation réaliste de scènes bibliques et de la prise comme modèles de personnes du peuple pour incarner celles des Évangiles. Il s’ensuit sa traque, l’instruction de sa grâce, souvent pour le pire.
C’est sombre mais très bien fait et expliqué fort clairement.
Hier soir, j'ai enfin découvert Quand Harry rencontre Sally, de Rob Reiner, avec Meg Ryan et Billy Cristal. Cette comédie est assez drôle et fraiche, sans rester tout de même inoubliable.
Hier soir, j'ai découvert Eugénie Grandet, un téléfilm avec Jean Carmet où Jean-Daniel Verhaeghe a adapté le roman de Balzac. C'est froid et rude, mais bien fait, le suspense étant bien entretenu. J'avais apprécié les adaptations du Rouge et le noir et de la Controverse de Valladolid.
Marc Dugain a récemment opéré une autre adaptation d'Eugénie Grandet, assez glauque!ante.
Marc Dugain a récemment opéré une autre adaptation d'Eugénie Grandet, assez glauque!ante.
Je viens de revoir Volver, de Pedro Almodovar, avec Pénélope Cruz et Carmen Maura. Ce mélodrame familial tient parfois de la comédie et j’apprécie ce mélange des genres.
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