Di rupo l'a encore dit sur le studio de la télé, Milquet n'arrête pas de le dire sur la radio, au début ça me faisait rigoler maintenant ça m'énerve.
Ils se prennent pour de grand politiciens parce qu'ils vont après moultes débats donner une allocation mazout à nous autres pauvres citoyens. Pendant ce temps on les voit se pavaner dans des grosses voitures avec chauffeurs, passer leur temps dans des réunions nocturnes ou dans des studios de télé, où ils cassent du sucre sur le dos des autres partis pour obtenir quelques voix en plus !
Oui le CDH c'est plutôt le centre gauche que la droite je pense, avec quelque relents chrétiens pour brouiller les cartes.
Ils se prennent pour de grand politiciens parce qu'ils vont après moultes débats donner une allocation mazout à nous autres pauvres citoyens. Pendant ce temps on les voit se pavaner dans des grosses voitures avec chauffeurs, passer leur temps dans des réunions nocturnes ou dans des studios de télé, où ils cassent du sucre sur le dos des autres partis pour obtenir quelques voix en plus !
Oui le CDH c'est plutôt le centre gauche que la droite je pense, avec quelque relents chrétiens pour brouiller les cartes.
J'ai entendu que le Roi avait refusé la démission du Premier Ministre ?
J'essaie de comprendre en vous lisant.
Mais là ça m'embrouille un peu!
Ca veut dire quoi? Que personne n'est aussi bon que ce Premier Ministre? Ou que personne n'ose se présenter à sa place? Ou qu'un Premier Ministre c'est pas utile? Ou qu'il n'y aura jamais moyen de trouver des bons Ministres pour bosser avec? Ou qu'un gouvernement c'est pas forcément indispensable et qu'une Assemblée irait aussi bien?
Vous avez une explication?
J'essaie de comprendre en vous lisant.
Mais là ça m'embrouille un peu!
Ca veut dire quoi? Que personne n'est aussi bon que ce Premier Ministre? Ou que personne n'ose se présenter à sa place? Ou qu'un Premier Ministre c'est pas utile? Ou qu'il n'y aura jamais moyen de trouver des bons Ministres pour bosser avec? Ou qu'un gouvernement c'est pas forcément indispensable et qu'une Assemblée irait aussi bien?
Vous avez une explication?
Je vais te répondre, mais laisse-moi un peu de temps. On va faire un peu de droit constitutionnel...
Je vais te répondre, mais laisse-moi un peu de temps. On va faire un peu de droit constitutionnel...Merci d'avance!
La constitution belge est un précieux monument à manier avec soin. Au point que la plupart des journalistes belges et étrangers ne la manient pas du tout, histoire de ne pas l’abîmer. C’est dans les périodes de crise que l’on s’en rend compte…
L’art. 96 alinéa 1 prévoit que :
« Le Roi nomme et révoque ses ministres ». C’est donc en vertu de ce principe, déjà mentionné dans le texte de 1831, que c’est au roi que le premier ministre remet sa démission. Le roi, toujours en vertu de cet alinéa, est libre de refuser cette démission. Néanmoins, l’article 106 prévoit que : « Aucun acte du Roi ne peut avoir d’effet, s’il n’est contresigné par un ministre, qui par cela seul, s’en rend responsable. » Les constitutionnalistes ont longtemps discuté pour savoir si le refus de la démission du gouvernement ou d’un ministre devait être contresigné par un ministre. La doctrine semble vouloir dire que le refus de la démission étant un « non-acte », il n’a pas besoin d’être contre-signé. Par contre l’acceptation devrait l’être… La question ne se pose pas vraiment dans ce cas puisqu’on considère que le ministre démissionnaire contresigne en quelque sorte l’acceptation par le roi de sa propre démission.
Le gouvernement peut-il être renversé par les Chambres ?
Jadis, sous le régime de la Constitution de 1831, on considérait qu’un gouvernement mis en minorité dans l’une ou l’autre des chambres législatives avait perdu la confiance de celle-ci. Il était donc de tradition, mais il n’était pas obligatoire, que le gouvernement présente sa démission au roi qui était toujours libre de l’accepter ou non. Cette tradition avait pour but de protéger le cabinet contre un mouvement de mauvaise humeur passager de la représentation nationale ou contre un incident de vote comme il s’en est produit quelquefois.
A l’heure actuelle, les choses sont toute différentes. L’article 96, alinéa 2, précise en effet :
« Le gouvernement fédéral remet sa démission au Roi si la Chambre des Représentants, à la majorité absolue de ses membres, adopte une motion de méfiance proposant au Roi la nomination d’un successeur au Premier Ministre, ou propose au Roi la nomination d’un successeur au Premier Ministre dans les trois jours du rejet d’une motion de confiance. Le Roi nomme Premier Ministre le successeur proposé, qui entre en fonction au moment où le nouveau Gouvernement fédéral prête serment. »
A l’époque où cette disposition a été votée, en 1994 (sauf erreur), personne n’y a fait attention. Or elle renverse complètement la tradition constitutionnelle.
1° - Un vote de défiance du Sénat n’a plus aucune conséquence. (L’art. 101 précise également : « Les ministres sont responsables devant la Chambre des représentants. » et donc pas devant le Sénat)
2° - Il est devenu pratiquement impossible de renverser le gouvernement à la Chambre puisqu’il tombe sous le sens que si une majorité vole en éclat, il serait presque irréaliste d’imaginer que puisse se constituer une majorité de rechange qui se mette d’accord sur le nom d’un Premier. Mais dans ce cas (très hypothétique), le roi n’a plus aucun choix et doit nommer le Premier Ministre qu’on lui propose. Cette considérable limitation des pouvoirs du roi (et du Sénat) n’a pas été remarquée par grand-monde…
Je m’empresse d’ajouter que cette procédure n’a jamais été appliquée et qu’elle ne risque pas de l’être avant longtemps.
Ajoutons que dans les faits, il est donc impossible à la Chambre de renverser un gouvernement. Elle pourrait voter toutes les motions de méfiance qu'elle voudrait, tant que les députés ne se mettent pas d'accord sur le nom d'un premier ministre "de rechange", le gouvernement reste légitimement en place. C'est ce que semble avoir complètement négligé Leterme qui, dans les faits, peut parfaitement se passer de la NVA tout en restant en fonction et en ne risquant rien.
Dans le cas qui nous occupe, le premier ministre n’a pas été renversé par la Chambre et le roi garde donc sa liberté d’action.
L’art. 96 alinéa 1 prévoit que :
« Le Roi nomme et révoque ses ministres ». C’est donc en vertu de ce principe, déjà mentionné dans le texte de 1831, que c’est au roi que le premier ministre remet sa démission. Le roi, toujours en vertu de cet alinéa, est libre de refuser cette démission. Néanmoins, l’article 106 prévoit que : « Aucun acte du Roi ne peut avoir d’effet, s’il n’est contresigné par un ministre, qui par cela seul, s’en rend responsable. » Les constitutionnalistes ont longtemps discuté pour savoir si le refus de la démission du gouvernement ou d’un ministre devait être contresigné par un ministre. La doctrine semble vouloir dire que le refus de la démission étant un « non-acte », il n’a pas besoin d’être contre-signé. Par contre l’acceptation devrait l’être… La question ne se pose pas vraiment dans ce cas puisqu’on considère que le ministre démissionnaire contresigne en quelque sorte l’acceptation par le roi de sa propre démission.
Le gouvernement peut-il être renversé par les Chambres ?
Jadis, sous le régime de la Constitution de 1831, on considérait qu’un gouvernement mis en minorité dans l’une ou l’autre des chambres législatives avait perdu la confiance de celle-ci. Il était donc de tradition, mais il n’était pas obligatoire, que le gouvernement présente sa démission au roi qui était toujours libre de l’accepter ou non. Cette tradition avait pour but de protéger le cabinet contre un mouvement de mauvaise humeur passager de la représentation nationale ou contre un incident de vote comme il s’en est produit quelquefois.
A l’heure actuelle, les choses sont toute différentes. L’article 96, alinéa 2, précise en effet :
« Le gouvernement fédéral remet sa démission au Roi si la Chambre des Représentants, à la majorité absolue de ses membres, adopte une motion de méfiance proposant au Roi la nomination d’un successeur au Premier Ministre, ou propose au Roi la nomination d’un successeur au Premier Ministre dans les trois jours du rejet d’une motion de confiance. Le Roi nomme Premier Ministre le successeur proposé, qui entre en fonction au moment où le nouveau Gouvernement fédéral prête serment. »
A l’époque où cette disposition a été votée, en 1994 (sauf erreur), personne n’y a fait attention. Or elle renverse complètement la tradition constitutionnelle.
1° - Un vote de défiance du Sénat n’a plus aucune conséquence. (L’art. 101 précise également : « Les ministres sont responsables devant la Chambre des représentants. » et donc pas devant le Sénat)
2° - Il est devenu pratiquement impossible de renverser le gouvernement à la Chambre puisqu’il tombe sous le sens que si une majorité vole en éclat, il serait presque irréaliste d’imaginer que puisse se constituer une majorité de rechange qui se mette d’accord sur le nom d’un Premier. Mais dans ce cas (très hypothétique), le roi n’a plus aucun choix et doit nommer le Premier Ministre qu’on lui propose. Cette considérable limitation des pouvoirs du roi (et du Sénat) n’a pas été remarquée par grand-monde…
Je m’empresse d’ajouter que cette procédure n’a jamais été appliquée et qu’elle ne risque pas de l’être avant longtemps.
Ajoutons que dans les faits, il est donc impossible à la Chambre de renverser un gouvernement. Elle pourrait voter toutes les motions de méfiance qu'elle voudrait, tant que les députés ne se mettent pas d'accord sur le nom d'un premier ministre "de rechange", le gouvernement reste légitimement en place. C'est ce que semble avoir complètement négligé Leterme qui, dans les faits, peut parfaitement se passer de la NVA tout en restant en fonction et en ne risquant rien.
Dans le cas qui nous occupe, le premier ministre n’a pas été renversé par la Chambre et le roi garde donc sa liberté d’action.
Je me permets de vous rappeler l'intervention d'un excellent politologue de ma connaissance qui écrivait, il y une semaine :
Jusqu'ici son programme semble être respecté.
(Non, Madame, je n'habite pas à Laeken !)
Conclusion : affûtez vos crayons rouges ! On va encore un peu chipoter. Dans l'ordre : refus de la démission jusqu'à la fin du mois, prorogation des chambres. Puis acceptation et affaires courantes. Dissolution vers le 1er septembre et élection dans la troisième semaine d'octobre. Cela pourrait être plus rapide mais il faut éviter de convoquer les électeurs pendant les vacances. et il faut laisser au CD&V le temps de f... le NVA dehors. Il a déjà réussi à se débarrasser de Leterme, il se met maintenant en mesure de passer à la phase 2 : écrabouiller De Wever. La date du 15 juillet n'avait rien d'anodin. Il n'y a vraiment que nos éminents stratèges wallons pour ne pas avoir entendu un léger tintement dans le lointain...
Jusqu'ici son programme semble être respecté.
(Non, Madame, je n'habite pas à Laeken !)
Pour les non-Belge qui nous font l'honneur, la NVA est un parti séparatiste, extrême-droitiste, républicain et, à l'occasion, révisionniste.
Il a fait une alliance avec le plus grand parti flamand, celui du Premier ministre Leterme, qui est le parti de la droite conservatrice "bien pensante" flamande.
Dans tous les accords, même s'il est question du prix des cacahuètes, ce parti extrémiste dit :
- Rien à faire, tant qu'on n'a pas séparé la Belgique.
Le programme de ce parti est : Que la Belgique crève !
Mais au moins ces gens sont droits dans leurs bottes : ils disent clairement ce qu'ils pensent.
Mais leur alliés, la droite conservatrice flamande, ils veulent la même chose mais ils n'osent pas le dire... Ce sont des faux-culs.
Il a fait une alliance avec le plus grand parti flamand, celui du Premier ministre Leterme, qui est le parti de la droite conservatrice "bien pensante" flamande.
Dans tous les accords, même s'il est question du prix des cacahuètes, ce parti extrémiste dit :
- Rien à faire, tant qu'on n'a pas séparé la Belgique.
Le programme de ce parti est : Que la Belgique crève !
Mais au moins ces gens sont droits dans leurs bottes : ils disent clairement ce qu'ils pensent.
Mais leur alliés, la droite conservatrice flamande, ils veulent la même chose mais ils n'osent pas le dire... Ce sont des faux-culs.
Le train omnibus ? Oui, bien sûr..Omnibus : par tous, pour tous.Tiens, je croyais que c'était parce qu'il s'arrête à tous les arrêts...
Tu vois une contradiction ou une incohérence quelque part ??
Absolument pas ! Je croyais simplement... Cela ne veut pas dire que j'affirme. On peut se tromper, non ?
J'ai entendu que le Roi avait refusé la démission du Premier Ministre ?
J'essaie de comprendre en vous lisant.
Mais là ça m'embrouille un peu!
Ca veut dire quoi? Que personne n'est aussi bon que ce Premier Ministre? Ou que personne n'ose se présenter à sa place? Ou qu'un Premier Ministre c'est pas utile? Ou qu'il n'y aura jamais moyen de trouver des bons Ministres pour bosser avec? Ou qu'un gouvernement c'est pas forcément indispensable et qu'une Assemblée irait aussi bien?
Vous avez une explication?
En fait je n'y comprend pas grand chose non plus, malgré les explications de Micharlemagne. Je t'explique la situation en gros : Depuis 18 mois les wallons et les flamands se disputent, c'est un travail à temps plein pour nos politiciens. De temps en temps le premier ministre donne sa démission, et il y a une crise. Personne ne sait si il faut prendre ça au sérieux ou si c'est un intermède pour gagner du temps.
En fait le premier ministre est devant une tâche impossible : il doit créer un gouvernement national et il doit représenter les intérêts aussi bien des wallons que des flamands, en même temps il s'est allié avec un parti qui veut la fin de la Belgique, ce qui lui a rapporté plein de voix. Personne d'autre ne peut être premier ministre car il a eu plein de voix (même si il est plutôt détesté par les wallons, il est assez gaffeur faut dire et par exemple il a confondu l'hymne national belge avec la marseillaise !).
C'est pour ça que Micharlemagne a peut-être raison quand il dit qu'on va faire durer la crise jusqu'en octobre, puis retourner aux urnes. Sinon pour le roi, c'est protocolaire, il n'a rien à dire en réalité.
en même temps il s'est allié avec un parti qui veut la fin de la Belgique, ce qui lui a rapporté plein de voix.
Je ne suis pas du tout certain que c'est le cartel qui lui a fait gagner des voix. Je m'explique. Il clair qu'il a fait le plein de voix dans son arrondissement. 800.000 suffrages, en Belgique, c'est beaucoup. Mais si c'était le cartel qui lui avait fait gagner des voix, le CD&V, son parti, aurait dû progresser de manière considérable partout en Flandre. Or c'est loin d'être vrai. Il y a même eu des tassements (dans le Limbourg et en Flandre orientale). Ce qui a fait gagner des voix à Leterme, c'est qu'il a été un excellent Ministre président de la région flamande.
L'histoire de ce cartel est un peu difficile à comprendre. Et ce ne sont pas les journalistes francophones qui vont nous aider à y voir un peu clair...
Vraisemblablement, le CD&V a voulu faire avec le NVA ce que le MR a fait avec le FDF : lui ôter ses griffes en le noyant dans la masse et en le "mouillant". Mais le NVA s'est montré beaucoup plus turbulent qu'escompté.
C'est ce que je crois...
Limiter le pouvoir du roi à un rôle strictement protocolaire est un peu exagéré. C'est négliger son énorme pouvoir d'influence. C'est précisément lors de crises comme celle-ci que l'on peut s'en rendre compte.
Voilà, avec Charlemagne et Saule, on sait tout.
On pourrait juste ajouter pour ceux qui nous font le plaisir de s'intéresser à notre triste sort, que ce Leterme est Premier ministre mais il n'y a que les Flamands qui peuvent voter pour lui.
Ce qui est une anomalie de la Belgique mais soit, une de plus !
Il aurait pu faire un type très bien : son père est Wallon et sa mère est Flamande.
Mais c'est un imbécile et un arrogant : il a raconté en France que les Wallons étaient des débiles mentaux.
(Même si c'était vrai, c'est pas des choses à dire, n'est-il pas ? ...surtout aux Français) ;-))
Son tort est d'avoir fait une alliance, personnellement, avec un groupuscule extrémiste, raciste du genre Le Pen, et surtout séparatiste qui représente, au plus, 10 % des Flamands.
Les Flamands aiment bien de marcher tous derrière le même homme : il a eu un nombre incalculable de voix, donc il est incontournable. Mais il est paralysé par cette minorité qui refuse tout, tant qu'on n'a pas "fait crever" la Belgique.
Les Wallons, ce serait plutôt le contraire : dès qu'il y a un homme fort, il divise tout le monde ; il a directement autant de partisans que d'adversaires.
On pourrait juste ajouter pour ceux qui nous font le plaisir de s'intéresser à notre triste sort, que ce Leterme est Premier ministre mais il n'y a que les Flamands qui peuvent voter pour lui.
Ce qui est une anomalie de la Belgique mais soit, une de plus !
Il aurait pu faire un type très bien : son père est Wallon et sa mère est Flamande.
Mais c'est un imbécile et un arrogant : il a raconté en France que les Wallons étaient des débiles mentaux.
(Même si c'était vrai, c'est pas des choses à dire, n'est-il pas ? ...surtout aux Français) ;-))
Son tort est d'avoir fait une alliance, personnellement, avec un groupuscule extrémiste, raciste du genre Le Pen, et surtout séparatiste qui représente, au plus, 10 % des Flamands.
Les Flamands aiment bien de marcher tous derrière le même homme : il a eu un nombre incalculable de voix, donc il est incontournable. Mais il est paralysé par cette minorité qui refuse tout, tant qu'on n'a pas "fait crever" la Belgique.
Les Wallons, ce serait plutôt le contraire : dès qu'il y a un homme fort, il divise tout le monde ; il a directement autant de partisans que d'adversaires.
(Même si c'était vrai, c'est pas des choses à dire, n'est-il pas ? ...surtout aux Français) ;-))
Ça, c'est vrai aussi ! C'était redondant : il prêchait à des convertis.
Merci à tous ! Avec vous l'histoire s'écrit en direct sur nos ordis !
Absolument pas ! Je croyais simplement... Cela ne veut pas dire que j'affirme. On peut se tromper, non ?Oui, sans doute on peut, mais dans la mesure du possible, il vaut mieux éviter, non.. ?
Errare humanum est, perseverare diabolicum.. :o)
Et affirmer pourquoi pas, mais dans tous les cas il faut savoir accepter que quelqu’un la ramène, dise qu’il n’est pas d’accord, ou demande des explications (pour autant, ne te sens pas obligé d'expliquer !).
Par exemple, je ne comprends rien à la suite de tes deux posts sur ce sujet, qui restent pour moi complètement incohérents si l’on s’en tient à l’énoncé brut. Non seulement personne ne t’interdit de te tromper, mais personne ne te dit que t’es trompé (sur ce coup-là au moins), ni que tu as affirmé quoi que ce soit.
Omnibus : par tous, pour tous.
Tiens, je croyais que c'était parce qu'il s'arrête à tous les arrêts...Le train omnibus ? Oui, bien sûr..
Tu vois une contradiction ou une incohérence quelque part ??
Absolument pas ! Je croyais simplement... Cela ne veut pas dire que j'affirme. On peut se tromper, non ?
Par contre, ce post je crois bien le comprendre : on y voit l’intention aussi clairement que la méthode.(Même si c'était vrai, c'est pas des choses à dire, n'est-il pas ? ...surtout aux Français) ;-))Ça, c'est vrai aussi ! C'était redondant : il prêchait à des convertis.
C'est curieux pourtant : chez SJB je ne vois que de l'humour !! .. :o)
Saperlipopette, il ne s'agit pas d'oublier de mettre les points sur les i dans la classe de Provis.
Je répète donc en termes moins incohérents :
J'ai toujours cru que l'on avait donné le terme "omnibus" aux trains parce qu'ils s'arrêtaient à toutes les gares. Vérification faite, dans l" Etymologique" de Larousse, c'est une erreur. Donc je me suis trompé.
Ensuite, ce n'est pas parce que je n'assortis pas mes messages de petits "smileys" que je ne plaisante pas... Je n'aime pas cette habitude que j'essaie toujours d'éviter.
Mais, précisons-le bien, je ne reproche à personne de le faire.
Est-ce clair, maintenant ?
Quand à mes intentions, quand je plaisante, je laisse à chacun le soin d'en juger. Mais, à mon tour, je me réserve le droit d'évaluer l'humour de mes interlocuteurs, sans pour autant rendre publiques mes opinions à ce propos.
Je répète donc en termes moins incohérents :
J'ai toujours cru que l'on avait donné le terme "omnibus" aux trains parce qu'ils s'arrêtaient à toutes les gares. Vérification faite, dans l" Etymologique" de Larousse, c'est une erreur. Donc je me suis trompé.
Ensuite, ce n'est pas parce que je n'assortis pas mes messages de petits "smileys" que je ne plaisante pas... Je n'aime pas cette habitude que j'essaie toujours d'éviter.
Mais, précisons-le bien, je ne reproche à personne de le faire.
Est-ce clair, maintenant ?
Quand à mes intentions, quand je plaisante, je laisse à chacun le soin d'en juger. Mais, à mon tour, je me réserve le droit d'évaluer l'humour de mes interlocuteurs, sans pour autant rendre publiques mes opinions à ce propos.
C'est vrai, ici on apprend la Belgique, grâce à Micharlemagne, Saule, Saint-Jean-Baptiste et d'autres.
Pour le factuel et l'officiel, Micharlemagne, tu m'as bien éclairé, merci.
Pour le ressenti et les "anecdotes", Saule, tu m'en apprends aussi et tu me fais sourire.
Même si tout cela est triste, quelque part.
Et puis pourquoi voudriez-vous que la Belgique, ou une partie, veuille rejoindre la France? Quels avantages pour les Belges de cette partie là et quels avantages pour la France? (surtout si la bière belge n'est même plus belge :)))
Pour le factuel et l'officiel, Micharlemagne, tu m'as bien éclairé, merci.
Pour le ressenti et les "anecdotes", Saule, tu m'en apprends aussi et tu me fais sourire.
Même si tout cela est triste, quelque part.
Et puis pourquoi voudriez-vous que la Belgique, ou une partie, veuille rejoindre la France? Quels avantages pour les Belges de cette partie là et quels avantages pour la France? (surtout si la bière belge n'est même plus belge :)))
Saperlipopette, il ne s'agit pas d'oublier de mettre les points sur les i dans la classe de Provis.Je comprends fort bien qu'on n'ait pas envie d'utiliser les smileys, d'autant plus que le sourire du smiley est parfois beaucoup plus ironique qu'amical. Mais là n'est pas la question.
Je répète donc en termes moins incohérents :
J'ai toujours cru que l'on avait donné le terme "omnibus" aux trains parce qu'ils s'arrêtaient à toutes les gares. Vérification faite, dans l" Etymologique" de Larousse, c'est une erreur. Donc je me suis trompé.
Ensuite, ce n'est pas parce que je n'assortis pas mes messages de petits "smileys" que je ne plaisante pas... Je n'aime pas cette habitude que j'essaie toujours d'éviter.
Mais, précisons-le bien, je ne reproche à personne de le faire.
Est-ce clair, maintenant ?
"Est-ce plus clair" ?
Bin non, pas vraiment ! (effectivement, ça dépend de quel point de vue on se place : ta stratégie qui est toujours la même se confirme post après post)
J'ai toujours cru que l'on avait donné le terme "omnibus" aux trains parce qu'ils s'arrêtaient à toutes les gares. Vérification faite, dans l" Etymologique" de Larousse, c'est une erreur. Donc je me suis trompé.Tu aurais trouvé un dictionnaire où il est contesté que le qualificatif d'"omnibus" a été donné aux trains dits "omnibus" parce qu'ils s'arrêtent à toutes les gares ??? C'est fort !
Et c'est l'"Etymologique" de Larousse ? Comment se fait-il alors que le Petit Larousse (1972 comme 1995) nous dit, je cite : « Train omnibus : train desservant toutes les stations de son parcours ».
Tu nous prends pour des couillons ? Dans quelles histoires es-tu en train de t'embarquer ? C'est la fuite en avant ?
Sonamouto, Provis, Dbzet, Jlc et les autres, nous apprécions, comme bien vous pensez, que vous vous intéressiez à notre beau petit pays.
Saule est un paria qui voudrait que la Wallonie soit rattachée à la France et les Flamands à la Hollande. J'ai beaucoup d'amitié pour les parias, enfin certains parias, tels que Saule. Je crois qu'ils pensent que ce serait une façon d'en finir une fois pour toutes avec les querelles entre Belges.
Mais nous, les vrais Belges, nous pensons que nous ne sommes pas Français – ni Hollandais. Nous avons toujours été différents : un petit peuple marginal, coulé hors moule, qui doit cultiver sa différence.
Le seul défi de la Belgique est de vivre ensemble avec deux langues nationales. Je suis convaincu que la grosse majorité des Belges veut relever ce défi et voudrait qu'on enseigne les deux langues dans nos écoles et qu'on fasse un pays bilingue.
C'est pour ça que je réclame une consultation populaire ; mais personne ne veut m'écouter.
;-((
Malheureusement, il y a une minorité flamande – souvent ce sont des intellectuels manipulés - qui se prennent pour des défenseurs d'une noble cause : l'avènement du peuple flamand, réuni dans une Mère Patrie qui s'appellerait La Flandre et qui parlerait la langue de Clovis, le Néerlandais.
Ce sont des idéalistes, des crétins, et des hommes dangereux – comme tous les idéalistes qui défendent "une cause". Ils sont manipulés par des affairistes, qui eux sont malins, et qui ont calculé que les Flamands seraient plus riches sans les Wallons – ce qui, disons-le – est la vérité.
Malheureusement, ceux qui défendent une cause, entrent en politique pour faire triompher leur cause et se trouvent en face de gens qui se fichent de ces histoires là ; ci bien qu'ils pourraient finir par l'emporter.
Saule est un paria qui voudrait que la Wallonie soit rattachée à la France et les Flamands à la Hollande. J'ai beaucoup d'amitié pour les parias, enfin certains parias, tels que Saule. Je crois qu'ils pensent que ce serait une façon d'en finir une fois pour toutes avec les querelles entre Belges.
Mais nous, les vrais Belges, nous pensons que nous ne sommes pas Français – ni Hollandais. Nous avons toujours été différents : un petit peuple marginal, coulé hors moule, qui doit cultiver sa différence.
Le seul défi de la Belgique est de vivre ensemble avec deux langues nationales. Je suis convaincu que la grosse majorité des Belges veut relever ce défi et voudrait qu'on enseigne les deux langues dans nos écoles et qu'on fasse un pays bilingue.
C'est pour ça que je réclame une consultation populaire ; mais personne ne veut m'écouter.
;-((
Malheureusement, il y a une minorité flamande – souvent ce sont des intellectuels manipulés - qui se prennent pour des défenseurs d'une noble cause : l'avènement du peuple flamand, réuni dans une Mère Patrie qui s'appellerait La Flandre et qui parlerait la langue de Clovis, le Néerlandais.
Ce sont des idéalistes, des crétins, et des hommes dangereux – comme tous les idéalistes qui défendent "une cause". Ils sont manipulés par des affairistes, qui eux sont malins, et qui ont calculé que les Flamands seraient plus riches sans les Wallons – ce qui, disons-le – est la vérité.
Malheureusement, ceux qui défendent une cause, entrent en politique pour faire triompher leur cause et se trouvent en face de gens qui se fichent de ces histoires là ; ci bien qu'ils pourraient finir par l'emporter.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre

