C'est Adam en effet qui fut formé le premier, Ève ensuite.
Et ce n'est pas Adam qui se laissa séduire, mais la femme qui, séduite, se rendit coupable de transgression.
Néanmoins, elle sera sauvée par l'enfantement, à condition qu'elle persévère avec sobriété dans la foi, la charité et la sanctification.
Margaret Atwood, dans ''La servante écarlate'', page 392.
Et ce n'est pas Adam qui se laissa séduire, mais la femme qui, séduite, se rendit coupable de transgression.
Néanmoins, elle sera sauvée par l'enfantement, à condition qu'elle persévère avec sobriété dans la foi, la charité et la sanctification.
Margaret Atwood, dans ''La servante écarlate'', page 392.
" Le mariage consiste à faire ce que l'on peut pour se dégoûter l'un de l'autre"
Arthur Schopenhauer
Arthur Schopenhauer
" Le mariage consiste à faire ce que l'on peut pour se dégoûter l'un de l'autre"
Arthur Schopenhauer
Hooooh !
L'hostie que je recevais à la communion me procurait une joie d'autant plus intense que le danger d'un sacrilège y était associé. En effet, on nous avait raconté, en classe, l'histoire de cet enfant qui, défiant l'avertissement du prêtre, avait mordu l'hostie en revenant de la sainte table. Instantanément le sang du Christ lui avait rempli la bouche. Je ne communiais jamais sans cette histoire en tête.
Denise Bombardier, dans ''Une enfance à l'eau bénite'', page 170.
Denise Bombardier, dans ''Une enfance à l'eau bénite'', page 170.
« Mes chères filles, la connaissance se trouve dans les livres. Ne pas lire est un péché contre l'esprit, donc une offense au Seigneur. »
Denise Bombardier, dans ''Une enfance à l'eau bénite'', page 205.
Denise Bombardier, dans ''Une enfance à l'eau bénite'', page 205.
L'esprit humain est si influençable que, à force d'être répété, un simple mot finit par causer des dommages considérables.
Virginia Woolf, dans ''Une prose passionnée et autres essais'', page 77.
Virginia Woolf, dans ''Une prose passionnée et autres essais'', page 77.
L'esprit humain est si influençable que, à force d'être répété, un simple mot finit par causer des dommages considérables.
Virginia Woolf, dans ''Une prose passionnée et autres essais'', page 77.
C'est bien vrai : c'est le mécanisme de la propagande.
Donnez-moi un mot, disait Victor Hugo, j’en ferai une révolution.
De Etty Hillesum dans « Une Vie bouleversée », suivi des lettres de Westerbork. (Édtion Points)
Elle parle des événements qui en 1942 déciment le monde juif autour d'elle. Mais elle se refuse à accabler Dieu :
« Dieu n'a pas à nous rendre des comptes pour les folies que nous commettons ; c'est l'inverse, c'est à nous de Lui rendre des comptes ».
Plus loin elle se refuse à accabler les Allemands :
« il y a autant de souffrances des deux côtés et je n'arrive pas à haïr les Allemands. Toutes ces atrocités émanent de la haine qui est au cœur de tous les hommes ».
(Encore d’actualité si on remplace Allemands par Hamas)
Et elle a ces paroles prémonitoires :
« le peuple juif cherche à communier dans la haine et quand la haine aura fait de nous des bêtes féroces, il sera trop tard ».
(Écrit en 1942. A méditer ! )
https://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/2682
Elle parle des événements qui en 1942 déciment le monde juif autour d'elle. Mais elle se refuse à accabler Dieu :
« Dieu n'a pas à nous rendre des comptes pour les folies que nous commettons ; c'est l'inverse, c'est à nous de Lui rendre des comptes ».
Plus loin elle se refuse à accabler les Allemands :
« il y a autant de souffrances des deux côtés et je n'arrive pas à haïr les Allemands. Toutes ces atrocités émanent de la haine qui est au cœur de tous les hommes ».
(Encore d’actualité si on remplace Allemands par Hamas)
Et elle a ces paroles prémonitoires :
« le peuple juif cherche à communier dans la haine et quand la haine aura fait de nous des bêtes féroces, il sera trop tard ».
(Écrit en 1942. A méditer ! )
https://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/2682
''La religion est pour ceux qui ont peur d'aller en enfer; la spiritualité est pour ceux qui y ont déjà été.''
- Proverbe sioux -
- Proverbe sioux -
Devant des événements absurdes ou violents, les mots de la liturgie et de la Parole de Dieu proposent à tous un sens et des raisons de ne pas désespérer. Ils annoncent l'espérance chrétienne et la foi dans la résurrection des morts.
Cardinal André Vingt-trois, dans la préface de Notre-Dame de Paris: La grâce d'une cathédrale, page 10.
La fiche du livre: https://critiqueslibres.com/i.php/vcrit/64601
Cardinal André Vingt-trois, dans la préface de Notre-Dame de Paris: La grâce d'une cathédrale, page 10.
La fiche du livre: https://critiqueslibres.com/i.php/vcrit/64601
"...ce qu'il y a de mieux dans les musées, c'est les fenêtres..."
Le peintre Pierre Bonnard dans une lettre à un ami.
Le peintre Pierre Bonnard dans une lettre à un ami.
Liberté, que de crimes ne commet-on en ce nom... Après l'égalité, la liberté est l'autre absolu de notre société. Affranchi de Dieu, l'homme prétend être le centre de gravité autour duquel tout se meut et prend sens. Puisque la raison de l'homme ne veut se soumettre à aucune règle, c'est donc elle qui règlera l'univers selon son entendement.
Alain Escada, dans Théorie du genre - L'idéologie qui voulait détruire la Création et libérer toutes les perversions humaines, page 12.
Alain Escada, dans Théorie du genre - L'idéologie qui voulait détruire la Création et libérer toutes les perversions humaines, page 12.
« Le monde moderne avilit. Il avilit la cité, il avilit l'homme. Il avilit l'amour, il avilit la femme. Il avilit la race, il avilit l'enfant. Il avilit la nation, il avilit la famille. »
(Charles Péguy, Gloire temporelle), cité par Alain Escada, dans Théorie du genre - L'idéologie qui voulait détruire la Création et libérer toutes les perversions humaines, page 39.
(Charles Péguy, Gloire temporelle), cité par Alain Escada, dans Théorie du genre - L'idéologie qui voulait détruire la Création et libérer toutes les perversions humaines, page 39.
L‘obus n’a pas de chez-soi. Il est pressé quand même.
( Henri Michaux « Ecce homo »)
( Henri Michaux « Ecce homo »)
« Je peux tracer mon propre chemin dans la vie. Je peux réaliser mes rêves. »
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 10.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 10.
En parallèle, j'ai commencé à remarquer de plus en plus d'hommes d'un certain âge dans le public. Ça me mettait mal à l'aise de les voir me reluquer comme si j'étais une sorte de Lolita pour vieux pervers.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 70.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 70.
À Hollywood, on se montre bien plus permissif envers les hommes qu'envers les femmes. On incite souvent les hommes à dénigrer les femmes pour accéder à la gloire et au pouvoir.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 96.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 96.
Tous les jeunes connaissent un jour ou l'autre l'envie de se rebeller contre leurs parents, surtout quand ceux-ci ont la manie de tout vouloir contrôler. Avec le recul, il me semble que ma réaction était plutôt naturelle. On s'acharnait contre moi pour une bêtise qui, à mon sens, ne portait pas à conséquence et qui, de toute façon, ne regardait que moi.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 119.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 119.
J'avais l'impression d'être passée à côté de la vie.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 120.
Britney Spears, dans ''La femme en moi'', page 120.
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