Il faudrait aussi lire les critiques de Benjamin et de Shelton concernant "Séraphin, c'est la fin", critiques qui élèvent le débat et savent faire la part des choses en accréditant le discours de Dirlandaise.
Il faut toujours se méfier de discours trop dogmatiques surtout lorsqu'ils véhiculent tant de fiel et de haine ...
Il faut toujours se méfier de discours trop dogmatiques surtout lorsqu'ils véhiculent tant de fiel et de haine ...
Je reprends la citation de GM qui est au début de la phrase précédente:
"L'archétype de l'épreuve est celle du Christ au désert. Et c'est bien d'un désert qu'il s'agit. L'adversité crée autour de nous une vaste solitude. Elle est semblable à la crécelle d'un lépreux. Égoïstes et légers, les hommes n'aiment pas les spectacles qui les assombrissent. La maladie leur fait peur, la pauvreté leur fait peur, et ils marchent vers la mort à reculons, la grimace de la jeunesse tordant leurs visages parfumés. Celui qui souffre n'a rien à espérer d'eux."
Traduction par mes soins: "Je me sens seul dans l'adversité comme Jésus dans son désert. Ces salopards de gens, égoïstes et légers, qui critiquent ma pédérastie ne m'aiment pas parce que brillant comme je suis, je les assombris. Moi je reste jeune parce que je continue à coucher avec des jeunes. Eux ils sont vieux et moches. Je souffre mais je n'en attends rien."
"L'archétype de l'épreuve est celle du Christ au désert. Et c'est bien d'un désert qu'il s'agit. L'adversité crée autour de nous une vaste solitude. Elle est semblable à la crécelle d'un lépreux. Égoïstes et légers, les hommes n'aiment pas les spectacles qui les assombrissent. La maladie leur fait peur, la pauvreté leur fait peur, et ils marchent vers la mort à reculons, la grimace de la jeunesse tordant leurs visages parfumés. Celui qui souffre n'a rien à espérer d'eux."
Traduction par mes soins: "Je me sens seul dans l'adversité comme Jésus dans son désert. Ces salopards de gens, égoïstes et légers, qui critiquent ma pédérastie ne m'aiment pas parce que brillant comme je suis, je les assombris. Moi je reste jeune parce que je continue à coucher avec des jeunes. Eux ils sont vieux et moches. Je souffre mais je n'en attends rien."
Il faut toujours se méfier de discours trop dogmatiques surtout lorsqu'ils véhiculent tant de fiel et de haine ...Voyons, ma poulette, as-tu déjà eu affaire avec un pédophile...? Par exemple un type qui te demande (tu as 11 ans) à la sortie du métro si tu veux bien lui indiquer telle rue, puisqu'il ne connait pas le quartier, qui se fait passer pour médecin et, une fois arrivé dans un coin sombre, entrouvre son imperméable, sort sa bitte et te la fourre dans la main...??? haine et fiel ?
Oh, ma très chère, si tu savais mes sentiments à cet égard, tu aurais peur.
Esthètes, allez vous coucher, bordel !
Voyons, Radetsky, la bite de Matzneff c'est esthétique, et probablement parfumé (moins peut-être que les visages des vieux qui le critiquent). D'ailleurs, il l'écrit, tailler quelques pipes avec des mineurs d'âge, ce ne sont que des broutilles, pas de quoi fouetter un chat.
Franchement, j'ai l'impression d'halluciner quand je vois des gens que je pense intelligents approuver les infamies de ce type parce que c'est un "artiste", un "écrivain".
Eh bien, non. Un artiste, un vrai, comme Beethoven ou Mozart rendent le monde meilleur et pas plus glauque.
Franchement, j'ai l'impression d'halluciner quand je vois des gens que je pense intelligents approuver les infamies de ce type parce que c'est un "artiste", un "écrivain".
Eh bien, non. Un artiste, un vrai, comme Beethoven ou Mozart rendent le monde meilleur et pas plus glauque.
En parlant de haine et de fiel, mon poulet, je ne pensais pas à toi, mais au Rat dont je venais de lire les propos sur un forum ancien (en référence aux Carnets noirs). C'est d'ailleurs curieux, à l'époque il reconnaissait à Matzneff (je cite de mémoire) un style éblouissant et brillant !
Tu es libre quant à tes positions mais alors il faudrait mettre à l'index des pans entiers de la littérature, je suppose. Quand je pense qu'il n'y a pas si longtemps tout se voulait le chantre de la liberté d'expression! Belle fumisterie!
Par ailleurs, tu me fais rire parce que ce que tu racontes est arrivé, à quelques détails près à la petite fille de 8/9 ans (peut-être moins) que j'étais alors...il ne m'a pas mis "la petite bête" dans la main mais m'a demandé de la caresser et là je crois que je n'ai pas bien compris ce qui se passait. Je ne me souviens pas si je l'ai fait mais je me souviens avoir éprouvé de la culpabilité car je crois que je n'en ai jamais parlé à ma mère. Avec le recul je crois que c'est plutôt de la compassion que j'éprouve pour la misère sexuelle de ce pauvre type mais je ne crois pas que cela ait quelque chose à voir avec la sexualité de Matzneff et par ailleurs ce n'est pas mon propos!
Sur ce je préfère aller me coucher !
Tu es libre quant à tes positions mais alors il faudrait mettre à l'index des pans entiers de la littérature, je suppose. Quand je pense qu'il n'y a pas si longtemps tout se voulait le chantre de la liberté d'expression! Belle fumisterie!
Par ailleurs, tu me fais rire parce que ce que tu racontes est arrivé, à quelques détails près à la petite fille de 8/9 ans (peut-être moins) que j'étais alors...il ne m'a pas mis "la petite bête" dans la main mais m'a demandé de la caresser et là je crois que je n'ai pas bien compris ce qui se passait. Je ne me souviens pas si je l'ai fait mais je me souviens avoir éprouvé de la culpabilité car je crois que je n'en ai jamais parlé à ma mère. Avec le recul je crois que c'est plutôt de la compassion que j'éprouve pour la misère sexuelle de ce pauvre type mais je ne crois pas que cela ait quelque chose à voir avec la sexualité de Matzneff et par ailleurs ce n'est pas mon propos!
Sur ce je préfère aller me coucher !
Je m'adressais à Radetsky bien sûr.
Lire :"tout le monde se voulait le chantre..."
Lire :"tout le monde se voulait le chantre..."
Mais peut-être fais-tu partie de ces ligues de vertu qui voudraient voir pénalisés les clients des prostituées ? Enfin...c'est un autre débat !
Je ne peux pas rester sans réagir devant cette phrase. Je ne fais partie d'aucune ligue de vertu, et en ce qui me concerne je pense que les turpitudes de DSK ne devraient pas faire l'objet de poursuites, puisque rien de ce qui se passe entre adultes consentants ne regarde la loi.
Mais les ignominies de Matzneff ne se passent pas entre adultes consentants...
Les pédophiles qui passent à l'acte comme ce sale type sont responsables de toutes les souffrances que leur victime endurera pendant toute sa vie, qui peut parfois la conduire au suicide.
En parlant de haine et de fiel, mon poulet, je ne pensais pas à toi, mais au Rat dont je venais de lire les propos sur un forum ancien (en référence aux Carnets noirs). C'est d'ailleurs curieux, à l'époque il reconnaissait à Matzneff (je cite de mémoire) un style éblouissant et brillant !
Et je le reconnais toujours. C'est de la merde parfumée à l'eau de Cologne. Tout dépend des jours et de la sensibilité des fosses nasales. Certains jours je peux ne pas sentir la puanteur...
Le rat, du haut de sa perfection, se jette avec avidité sur sa proie favorite et la mord à belles dents ! Il avait faim...
Le rat, du haut de sa perfection, se jette avec avidité sur sa proie favorite et la mord à belles dents ! Il avait faim...
Je ne suis pas parfait mais pas pédéraste non plus. Je n'ai jamais violé d'enfants...
Il faudrait aussi lire les critiques de Benjamin et de Shelton concernant "Séraphin, c'est la fin", critiques qui élèvent le débat et savent faire la part des choses en accréditant le discours de Dirlandaise....
Aucun de ces intervenants, y compris votre servante, ne me semble avoir moins de moralité que vous ,ne vous en déplaise et aucun d'entre nous ne fait l'apologie de la vraie pédophilie .
Sur ce, je repars me coucher.
On a bien le droit de s'intéresser à l'oeuvre d'un écrivain sans avoir à subir ces éternelles dénonciations. On le sait que GM n'est pas un saint mais n'y aurait-il pas moyen de pouvoir le lire et partager de belles phrases en paix sans avoir toujours ces interventions intempestives et répétitives. Nous sommes des adultes, nous lisons ce que nous voulons en toute connaissance de cause. Nous n'avons pas besoin de censeurs agressifs et excités pour venir gâcher le plaisir de la belle littérature.
Aucun de ces intervenants, y compris votre servante, ne me semble avoir moins de moralité que vous ,ne vous en déplaise et aucun d'entre nous ne fait l'apologie de la vraie pédophilie .
Sur ce, je repars me coucher.
Je ne considère pas ça comme une question de moralité ou d'immoralité. Sur un autre fil on était d'ailleurs assez d'accord, et ce n'est pas le cas ici, peut-être parce que dans ma profession j'ai eu l'occasion de voir ce qu'étaient les souffrances de gens qui avaient été abusés par des pédophiles pendant leur enfance. Je ne prétends pas que qui que ce soit ici fasse l'apologie de la "vraie" pédophilie. Pourquoi vraie? Il y en a une fausse? Il y a que deux sortes de pédophiles: ceux qui passent à l'acte et ceux qui luttent contre leurs penchants et ne le font pas, par rigueur morale. Matzneff dit lui même faire partie de la première catégorie. Quant à ceux qui font partie de la deuxième, ils ont toute ma sympathie et même, j'ose le dire, mon admiration. Sur ce, fais de beaux rêves...
On a bien le droit de s'intéresser à l'oeuvre d'un écrivain sans avoir à subir ces éternelles dénonciations. On le sait que GM n'est pas un saint mais n'y aurait-il pas moyen de pouvoir le lire et partager de belles phrases en paix sans avoir toujours ces interventions intempestives et répétitives. Nous sommes des adultes, nous lisons ce que nous voulons en toute connaissance de cause. Nous n'avons pas besoin de censeurs agressifs et excités pour venir gâcher le plaisir de la belle littérature.
On est ici pour discuter de livres, tu n'as pas remarqué? Je ne te critique pas parce que tu aimes Matzneff, c'est ton droit. Je dis ce que je pense de l'homme et de son oeuvre, ce n'est pas permis?
Matzneff n'est pas un saint, ça c'est le moins qu'on puisse dire, mais comme chantait Polnareff, on ira tous au paradis. Je crois quand même que je ferai attention à ce que mes enfants ne se baladent pas sur le même nuage que lui.
Par ailleurs, tu me fais rireA chacun(e) ses distractions enfantines.
On est ici pour discuter de livres, tu n'as pas remarqué? Je ne te critique pas parce que tu aimes Matzneff, c'est ton droit. Je dis ce que je pense de l'homme et de son oeuvre, ce n'est pas permis?
Excuse-moi mais tu es loin d'avoir lu son oeuvre et tu ne donnes aucunement ton avis sur ses livres tu ne fais que dénoncer sa vie sexuelle. Oui on est ici pour discuter de livres alors fais-le !
Il est évident que tu n'as presque rien lu de lui...
Il ne faut pas tout mélanger, Dirlandaise : nous apprécions les citations de GM et nous te sommes reconnaissants de nous les faire partager.
Par contre, nous n'aimons pas le personnage GM ; pas parce que ces citations seraient nulles, mais parce que, dans ses œuvres, il fait l'apologie de la pédophilie.
Ce n'est quand même pas difficile à comprendre : ces citations sont peut-être belles, mais, selon nous, l'homme qui les fait est infect. Et nous pouvons le dire sans que tu parles de « la ligue de la moralité qui débarque (...) pour donner des leçons de morale et nous dire quel écrivain nous devons lire ».
Personne ne te reproche de lire GM et de l'aimer, si sa littérature correspond à tes goûts. Mais toi, ne nous reproche pas de fustiger l'homme qui se vante de violer des enfants et en fait l'apologie dans les média et dans ses livres.
A propos de la condamnation de la pédophilie, c'est le dernier relent de ce qui nous reste de moralité. Tout le reste est permis, même l'inceste du moment que tout le monde soit consentant. Mariage pour tous oblige !
Alors, grands dieux, qu'on nous permette de la condamner, la pédophilie, avant que n'arrive la prochaine loi qui va l'autoriser...
Par contre, nous n'aimons pas le personnage GM ; pas parce que ces citations seraient nulles, mais parce que, dans ses œuvres, il fait l'apologie de la pédophilie.
Ce n'est quand même pas difficile à comprendre : ces citations sont peut-être belles, mais, selon nous, l'homme qui les fait est infect. Et nous pouvons le dire sans que tu parles de « la ligue de la moralité qui débarque (...) pour donner des leçons de morale et nous dire quel écrivain nous devons lire ».
Personne ne te reproche de lire GM et de l'aimer, si sa littérature correspond à tes goûts. Mais toi, ne nous reproche pas de fustiger l'homme qui se vante de violer des enfants et en fait l'apologie dans les média et dans ses livres.
A propos de la condamnation de la pédophilie, c'est le dernier relent de ce qui nous reste de moralité. Tout le reste est permis, même l'inceste du moment que tout le monde soit consentant. Mariage pour tous oblige !
Alors, grands dieux, qu'on nous permette de la condamner, la pédophilie, avant que n'arrive la prochaine loi qui va l'autoriser...
Bah... si ça vous amuse... continuez, après tout je m'en fiche ! Mais aucun de vous ne l'a lu suffisamment pour en discuter sérieusement alors à quoi bon !
Non je n'ai pas lu son oeuvre, Dieu m'en préserve...!
J'ai lu un de ses livres il y a longtemps, ainsi que sa correspondance avec Hergé. Ca m'a suffi.
J'ai été voir les citations que tu as faites de lui. Sur la souffrance créatrice, Aragon a écrit beaucoup mieux: "l'homme crie où son fer le ronge et sa plaie engendre un soleil, plus beau que les anciens mensonges..." et sur la dualité humaine. Là aussi Lao Tseu a fait beaucoup mieux.
J'ai lu un de ses livres il y a longtemps, ainsi que sa correspondance avec Hergé. Ca m'a suffi.
J'ai été voir les citations que tu as faites de lui. Sur la souffrance créatrice, Aragon a écrit beaucoup mieux: "l'homme crie où son fer le ronge et sa plaie engendre un soleil, plus beau que les anciens mensonges..." et sur la dualité humaine. Là aussi Lao Tseu a fait beaucoup mieux.
Voilà que je suis (presque) d'accord avec SJB, il va falloir que je me soigne :o)
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