Voilà voili, j'ai fait la demande aux admins de retirer mon texte pamphlétaire "critique libre" puisque ça a heurté des susceptibilités apparemment;
Je le fais parce que je trouve dommage de perdre du temps en polémiques débiles et que cela donne une mauvaise image de CL.
Je le remettrai en ligne au nom d'une certaine justice et de la liberté d'expression en précisant que je n'attends pas de commentaire.
Voilà, c'est ce qu'on appelle de l'autocensure mais si la paix de CL est à ce prix eh bien il faut savoir faire taire son égoïsme.
J'espère surtout que personne ne croira aux propos malveillants de mes détracteurs et qu'ils se souviendront de ma dernière réponse :
"Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage mais il y en a qui " etc ..etc...
Je le fais parce que je trouve dommage de perdre du temps en polémiques débiles et que cela donne une mauvaise image de CL.
Je le remettrai en ligne au nom d'une certaine justice et de la liberté d'expression en précisant que je n'attends pas de commentaire.
Voilà, c'est ce qu'on appelle de l'autocensure mais si la paix de CL est à ce prix eh bien il faut savoir faire taire son égoïsme.
J'espère surtout que personne ne croira aux propos malveillants de mes détracteurs et qu'ils se souviendront de ma dernière réponse :
"Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage mais il y en a qui " etc ..etc...
Peut-être qu'une des causes des malheurs de ce monde est le manque d'humour? A réfléchir.
Je crois que c'est le manque d'amour qui tue l'humour ;)
ou l'inverse.
ou l'inverse de l'inverse.
et vice inversé
Mais le rire est ce qui délie l'homme (et donc itou la femme) du du du .
bin merdre , je me rappelle plus
Ah si ça y est :
du poids de sa conscience d'être mortel
sisisi
J'ai lu ça dans un journaux
(Voui, y avait plusieurs articles sur le même thème, alors ça fait *un journaux* )
voilà voili voilon, cher jonjon
Mais le rire est ce qui délie l'homme (et donc itou la femme) du du du .
bin merdre , je me rappelle plus
Ah si ça y est :
du poids de sa conscience d'être mortel
sisisi
J'ai lu ça dans un journaux
(Voui, y avait plusieurs articles sur le même thème, alors ça fait *un journaux* )
voilà voili voilon, cher jonjon
Rââââh !!!! Ben y en a qui sont bien liés, alors. :o((
Moi, je crois que ceux qui ne savent pas rire sont des extraterrestres. ET go home.
Moi, je crois que ceux qui ne savent pas rire sont des extraterrestres. ET go home.
Chouette, de la philo.
Ferrat aurait-il pu chanter "le rire est l'avenir de l'homme"?
Ferrat aurait-il pu chanter "le rire est l'avenir de l'homme"?
Chouette, de la philo.
Ferrat aurait-il pu chanter "le rire est l'avenir de l'homme"?
:-)))
y en a qui en deveinneney même fous à lier :
le zygomatique coincé, ça rend zinzin !
voire pyre ô man !
( Ah, re re re relire " le nom de la rose ...")
le zygomatique coincé, ça rend zinzin !
voire pyre ô man !
( Ah, re re re relire " le nom de la rose ...")
y en a qui en deveinneney même fous à lier :
le zygomatique coincé, ça rend zinzin !
voire pyre ô man !
( Ah, re re re relire " le nom de la rose ...")
Houlà quelle coquille de frappe !
"y en qui en *deviennent*"
et non pas " y en a qui en *deveinneney*" !
"Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage mais il y en a qui " etc ..etc...
Et celle-là:
Renard pris n'accuse que le piège.
Et celle-là:
Renard pris n'accuse que le piège.
"Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage mais il y en a qui " etc ..etc...
Et celle-là:
Renard pris n'accuse que le piège.
"honteux comme un renard qu'une poule aurait pris"
Celle là, c'est de Lafontaine !
Bonne nuit tous/tes
Pour moi, c'est l'heure
Renard pris n'accuse que le piège.
Blake in "Mariage du ciel et de l'Enfer".
(J'avais omis de citer la source. Je ne supporte pas de laisser croire que ce que j'ai écrit est de moi lorsque ce n'est pas le cas).
Bonne nuit les petits.
FLC.
Blake in "Mariage du ciel et de l'Enfer".
(J'avais omis de citer la source. Je ne supporte pas de laisser croire que ce que j'ai écrit est de moi lorsque ce n'est pas le cas).
Bonne nuit les petits.
FLC.
Allez, un p'tit dernier pour la route étoilée:
"Un chien sans queue ne peut exprimer sa joie."
Proverbe Albanais
Doux rêves
"Un chien sans queue ne peut exprimer sa joie."
Proverbe Albanais
Doux rêves
Bonjour à tous ! c'est le 2 mai, un jour nouveau :
Sur la table rase du passé, nous mettrons une nappe blanche.
Quelques verres dépareillés : et que chaque jour soit dimanche.
Sur la table rase du passé, nous mettrons une nappe blanche.
Quelques verres dépareillés : et que chaque jour soit dimanche.
je tenais à faire passer à Malic (excuse le k !) la réponse que j'avais écrite hier matin mais que je n'ai pas eu le loisir d'envoyer :
Je suis assez d'accord avec ce que tu dis, les critiques sont utiles et les bibliophages pondeurs de synopsis ( même s’ils m’agacent !) sont des gens plutôt enthousiastes que démolisseurs.
C'est le pouvoir qu'on lui laisse et l'abus de ce pouvoir qui permet au critique de devenir maléfique, à l'occasion, et surtout s'il a en lui-même ce « manque à écrire » qui le ronge : Je parlais d’impuissance à écrire, Lincoln parlait de "dépression" ce qui va aussi avec l'absence de créativité. Mais bon on ne va pas psychanalyser, les images fortes sont des images sans plus et on peut être créatif autrement que par l’écrit, comme on peut être boulimique sans être anorexique, juste un bon gros glouton qui aime bien la bonne chère et 'igoler.
Ce sont des excès comme tu le dis si bien : en fait au départ des systèmes de mode et d’influences, piston, phénomène de groupe, etc ...( N Sarraute en parle très bien dans "les fruits d'or") qui ne sont pas *que* le fait des critiques, mais dont les critiques "maléfiques" tirent les ficelles : succès, éreintements, encensements, cabales et oblitérations.
Et comme tout est dans tout, la dérive du général peut se retrouver dans le particulier, en microcosme, donc bien sûr aussi sur les forums d'écriture : ce n'est, je le redis, absolument pas le cas actuellement sur les forums de CL.
Evidemment, je ne nierai pas que l’inspiration puisse venir d’exemples concrets a priori, ni que le privé n' amène pas au général, ni que le général ne se retrouve dans le particulier.
Cependant si j'écrivais par exemple un texte ironique à propos des parterres de fleurs un peu ringards qu’on met devant les mairies des petites villes en général, est-ce qu’on viendrait m’ accuser de je ne sais quelles turpitudes pour avoir décrit les mêmes géraniums que ceux qui fleurissaient il y six mois devant la mairie d'Issy les Moulineaux ?
(et qui de surcroît ont été remplacés depuis par des dahlias !;)
Voilà
Je tenais à te remercier pour ton enthousiasme vis à vis de cette tirade, qui effectivement ne doit être prise que comme une grosse bouffée de rigolade entre deux brins de muguet.
tiens, t'as la bise du jour de l'an, en plus !
Je suis assez d'accord avec ce que tu dis, les critiques sont utiles et les bibliophages pondeurs de synopsis ( même s’ils m’agacent !) sont des gens plutôt enthousiastes que démolisseurs.
C'est le pouvoir qu'on lui laisse et l'abus de ce pouvoir qui permet au critique de devenir maléfique, à l'occasion, et surtout s'il a en lui-même ce « manque à écrire » qui le ronge : Je parlais d’impuissance à écrire, Lincoln parlait de "dépression" ce qui va aussi avec l'absence de créativité. Mais bon on ne va pas psychanalyser, les images fortes sont des images sans plus et on peut être créatif autrement que par l’écrit, comme on peut être boulimique sans être anorexique, juste un bon gros glouton qui aime bien la bonne chère et 'igoler.
Ce sont des excès comme tu le dis si bien : en fait au départ des systèmes de mode et d’influences, piston, phénomène de groupe, etc ...( N Sarraute en parle très bien dans "les fruits d'or") qui ne sont pas *que* le fait des critiques, mais dont les critiques "maléfiques" tirent les ficelles : succès, éreintements, encensements, cabales et oblitérations.
Et comme tout est dans tout, la dérive du général peut se retrouver dans le particulier, en microcosme, donc bien sûr aussi sur les forums d'écriture : ce n'est, je le redis, absolument pas le cas actuellement sur les forums de CL.
Evidemment, je ne nierai pas que l’inspiration puisse venir d’exemples concrets a priori, ni que le privé n' amène pas au général, ni que le général ne se retrouve dans le particulier.
Cependant si j'écrivais par exemple un texte ironique à propos des parterres de fleurs un peu ringards qu’on met devant les mairies des petites villes en général, est-ce qu’on viendrait m’ accuser de je ne sais quelles turpitudes pour avoir décrit les mêmes géraniums que ceux qui fleurissaient il y six mois devant la mairie d'Issy les Moulineaux ?
(et qui de surcroît ont été remplacés depuis par des dahlias !;)
Voilà
Je tenais à te remercier pour ton enthousiasme vis à vis de cette tirade, qui effectivement ne doit être prise que comme une grosse bouffée de rigolade entre deux brins de muguet.
tiens, t'as la bise du jour de l'an, en plus !
Salut les Mickeys. Beau ici, un peu voilé. Et dans mon bureau, encombré.
Il est des oiseaux de mauvaise augure qu'on n'aime pas voir débarquer sur Vos Ecrits. Je ne sais pas qui est en réalité cette "Solange" mais c'est un de ces oiseaux. Me semblait pas pourtant qu'on soit allé mettre le bazar à droite à gauche ? On va arrêter cette pseudo polémique qui s'instaure sur le fuseau de Mae puisque propos sibyllins il y a ... et que d'explications point n'en veulent donner ...
mouais.
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