Je viens de lire un livre de Catherine Coq qui a écrit la Chronique du périnée et qui vient de publier celui que j'ai commenté : Bleu ballerine.
Une leçon d'amour, de littérature, de sexualité et surtout de vie et de fin de vie. Une très belle écriture qui fait penser aux auteurs classiques du début de l'autre siècle.
Et pour suivre quelques recueils de poésie après un polar !
Une leçon d'amour, de littérature, de sexualité et surtout de vie et de fin de vie. Une très belle écriture qui fait penser aux auteurs classiques du début de l'autre siècle.
Et pour suivre quelques recueils de poésie après un polar !
"Le docteur Jivago" de ce cher Boris.
"C’était ce moment du printemps où la terre émerge à peu près telle qu’elle était quand, six mois auparavant, elle s’était enfouie sous la neige. La forêt sentait le mouillé ; elle était jonchée des feuilles mortes du précédent automne, comme un logis en désordre où l’on a déchiré des factures, des lettres et des papiers accumulés au fil des ans, sans prendre le temps de balayer."
C'est beau, un hymne à la Russie.
"C’était ce moment du printemps où la terre émerge à peu près telle qu’elle était quand, six mois auparavant, elle s’était enfouie sous la neige. La forêt sentait le mouillé ; elle était jonchée des feuilles mortes du précédent automne, comme un logis en désordre où l’on a déchiré des factures, des lettres et des papiers accumulés au fil des ans, sans prendre le temps de balayer."
C'est beau, un hymne à la Russie.
Il est paru récemment un Dictionnaire amoureux de Flaubert, qui me tente bien.
"Le docteur Jivago" de ce cher Boris.Effectivement c’est un hymne à la Russie comme les écrivains russes savent le faire. Un livre magnifique.
(...)
C'est beau, un hymne à la Russie.
Et on est bien en Russie ; Il y a entr’autres ce passage extraordinaire où il raconte un repas chez des riches aristos : à la fin du repas, quand les gens ont quitté la table, un rat court sur la table pour manger les restes...
Il est paru récemment un Dictionnaire amoureux de Flaubert, qui me tente bien.
Oh! merci pour l'information
"Le docteur Jivago" de ce cher Boris.
"C’était ce moment du printemps où la terre émerge à peu près telle qu’elle était quand, six mois auparavant, elle s’était enfouie sous la neige. La forêt sentait le mouillé ; elle était jonchée des feuilles mortes du précédent automne, comme un logis en désordre où l’on a déchiré des factures, des lettres et des papiers accumulés au fil des ans, sans prendre le temps de balayer."
C'est beau, un hymne à la Russie.
N'oubliez pas de lire les : "Vers de Iuory Jivago" a la fin de l'ouvrage, qui sont vraiment magnifiques...
Boris PASTERNAK considérait d'ailleurs que c'était un livre à part que le "Docteur Jivago".
Après "Exit West" du pakistanais Mohsin HAMID (recension à suivre...), je lis "Tango de Satan" du hongrois László KRASZNAHORKAI...
j'ai commencé à lire le livre Charles Martin La montagne entre nous
Présentement, je lis ''Renouer avec Dieu'' de Jean-Paul Simard.
j'ai commencé à lire le livre Charles Martin La montagne entre nousBonjour Adalene, bienvenue sur le site. Je me réjouis de lire ta critique.
Le Simenon de l'année qui est un recueuil de trois nouvelles: L'Etoile du nord...(Folio 2 euros)
Je commence à l'instant ''Catéchisme de l'église catholique'', un ouvrage écrit sous la direction de Joseph Ratzinger (Pape Benoît XVI)
Je lis "Le cœur de l'Angleterre de Jonathan Coe.
Je lis "Le cœur de l'Angleterre de Jonathan Coe.
Je n'ai jamais lu de Jonathan Coe, mais dernièrement Le Royaume désuni m'a fait très envie ! Je suis aussi en Angleterre, en train de lire le très beau Fille, femme, autre de Bernardine Evaristo (Booker Prize 2019).
J'ai entamé la lecture de romans recueillis dans la Pléiade de Joseph Conrad intitulé Au coeur des ténèbres et autres écrits, une sorte de "best of" qui vient s'ajouter aux autres volumes de la collection et qui forment son oeuvre complète. J'ai l'impression que c'est le seul auteur qui bénéficie de ce traitement de faveur...
Je ne connais pas Conrad, j'ai hâte de le découvrir...j'en suis à la préface qui ma foi est assez pénible à lire...
Je ne connais pas Conrad, j'ai hâte de le découvrir...j'en suis à la préface qui ma foi est assez pénible à lire...
Je lie Liguries, d'Italo Calvino.
.............j'en suis à la préface qui ma foi est assez pénible à lire...
On pourrait créer un recueil sur les préfaciers qui vous dégoûtent d'aller plus loin... Désormais je lis les préfaces avec les postfaces, une fois le bouquin achevé. ;-)
Je vais me lancer dans une série de lectures consacrée à Amin Maalouf. Il n'est jamais trop tard, après tout, pour découvrir.
Il est prévu la lecture du Dictionnaire amoureux de Victor Hugo, ainsi que du Prince balafré, par Alain Duhamel, comme du Goût du secret, de l'anthologie littéraire Le Goût de ...
J’ai commencé « La Promesse de l’Aube » et j’ai parcouru les 43 critiques de ce livre. Je suis de ceux qui le trouve insupportable. C’est une affaire de goût, je déteste en général les autobiographies et c’en est une.
Déjà je me demande comment il est possible de raconter sa vie. Ou bien on se met comme à confesse pour raconter ses fautes et on plaide sa cause pour se faire pardonner, ou bien on se vante de ses réussites en jouant les faux modestes et la plupart du temps, ça sonne faux.
A mon avis, c’est bien la cas ici : Gary joue les faux modestes et puis, cet éloge à sa mère est tellement exagéré que c’en est naïf ; et il en fait une caricature qui frise le mauvais goût.
Je crois que je vais abandonner cette lecture qui me crispe
En fait, en remuant ma PAL, je pensais tomber sur « Les Racines du Ciel ». J’avais lu la récente critique-éclair et puis les 10 autres, qui en disait beaucoup de bien et j’ai confondu avec « La Promesse de l’Aube ». Mais je suis aussi retombé sur « Les Mangeurs d’Étoiles » que j’avais lu, je crois en 1967 et qui m’avait laissé un souvenir absolument fabuleux. Je vais plutôt relire celui-là.
Déjà je me demande comment il est possible de raconter sa vie. Ou bien on se met comme à confesse pour raconter ses fautes et on plaide sa cause pour se faire pardonner, ou bien on se vante de ses réussites en jouant les faux modestes et la plupart du temps, ça sonne faux.
A mon avis, c’est bien la cas ici : Gary joue les faux modestes et puis, cet éloge à sa mère est tellement exagéré que c’en est naïf ; et il en fait une caricature qui frise le mauvais goût.
Je crois que je vais abandonner cette lecture qui me crispe
En fait, en remuant ma PAL, je pensais tomber sur « Les Racines du Ciel ». J’avais lu la récente critique-éclair et puis les 10 autres, qui en disait beaucoup de bien et j’ai confondu avec « La Promesse de l’Aube ». Mais je suis aussi retombé sur « Les Mangeurs d’Étoiles » que j’avais lu, je crois en 1967 et qui m’avait laissé un souvenir absolument fabuleux. Je vais plutôt relire celui-là.
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