Je suis dans "Grace" de Paul Lynch dans j'avais beaucoup apprécié le roman précédent "La neige noire" en particulier la belle écriture. Mais on est toujours dans le noir;-)
Moi, j'ai bien aimé "Ciel rouge, le matin".
Parallèlement à mes lectures de BD pour le prix CL, je suis en train de finir "Le vampire de Montluçon", un policier-thriller-humoristique-terroir de Philippe Chatel : un peu vulgaire parfois à mon goût, mais plutôt bien écrit et assez réjouissant !
Enfin Robert Merle pour moi c'est un de ces écrivains vers qui je reviens régulièrement, j'aime beaucoup son imagination et la fluidité de sa lecture. J'aurai bien aimé lire une thèse qui lui avait été consacré en 2016, (http://www.theses.fr/2016LIL30008) mais elle est payante malheureusement. Cependant dans le résumé il est dit quelque chose d'assez vrai (en tout cas sur ce que j'ai lu de lui), c'est que c'est un écrivain "de l’événement et du pire": et c'est vrai ces romans se passent souvent par rapport à une guerre ou une catastrophe.
Fanou dans ce cas ne pas hésiter à contacter directement l'auteur de la thèse en expliquant ton intérêt, ça m'étonnerait que la réponse soit défavorable, c'est plutôt flatteur j'imagine!
Je lis « Le sermon sur la chute de Rome », de Jérôme Ferrari. Il faut du souffle !
Fanou dans ce cas ne pas hésiter à contacter directement l'auteur de la thèse en expliquant ton intérêt, ça m'étonnerait que la réponse soit défavorable, c'est plutôt flatteur j'imagine!
Oui, mais il faudrait que je parvienne à trouver ces coordonnées ! A l'époque j'avais envoyé un message à l'université où a été soutenu la thèse et on m'a bien confirmé que sa diffusion était payante. J'ai été assez étonné je l'avoue: je savais que des thèses scientifiques financées par des labo de recherche privé n'était pas diffusable pour des raisons "industrielles", mais une thèse de littérature ? Peut-être que l'auteure l'a financé avec ses fonds propres et qu'elle souhaite plus tard en faire en livre ?
Bonjour,
Me revoici après un long silence-radio.
Je lis "leurs enfants après eux" de Nicolas Mathieu.
Me revoici après un long silence-radio.
Je lis "leurs enfants après eux" de Nicolas Mathieu.
Je découvre Jacques Maritain à travers sa critique de Bergson, l'un de ses tout premiers ouvrages.
C'est absolument brillant. Je suis presque ému devant un esprit aussi profond !
Mais devant l'immensité de ce que j'y ai découvert, et d'autre part, par expérience, connaissant le peu d'enthousiasme général pour la métaphysique en général, et pour Maritain en particulier, je suis pris d'une certaine flemme pour écrire une critique : tout simplement j'ai ce sentiment qu'elle ne sera peut-être lue par personne alors qu'elle me prendra sûrement du temps et de l'énergie, afin de la rédiger avec le plus de justesse possible.
C'est absolument brillant. Je suis presque ému devant un esprit aussi profond !
Mais devant l'immensité de ce que j'y ai découvert, et d'autre part, par expérience, connaissant le peu d'enthousiasme général pour la métaphysique en général, et pour Maritain en particulier, je suis pris d'une certaine flemme pour écrire une critique : tout simplement j'ai ce sentiment qu'elle ne sera peut-être lue par personne alors qu'elle me prendra sûrement du temps et de l'énergie, afin de la rédiger avec le plus de justesse possible.
je suis pris d'une certaine flemme pour écrire une critique : tout simplement j'ai ce sentiment qu'elle ne sera peut-être lue par personne alors qu'elle me prendra sûrement du temps et de l'énergie, afin de la rédiger avec le plus de justesse possible.C’est vrai que c’est parfois difficile d’écrire une critique mais, même si on pense que personne ne la lira, on l’écrit pour le plaisir d’écrire.
Je me suis replongé avec délice dans mes chers Mauriac, ce dimanche pluvieux et cafardeux. Brrr ! je vais me risquer à une critique en essayant de ne pas toujours répéter la même chose quand il s’agit de Mauriac et en essayant de faire court.
C’est difficile : la marquise de Sévignée écrivait à sa fille : pardonnez la longueur de ma lettre, ma très chère, le temps m’a manqué pour faire plus court. (Je crois qu’elle disait ça en termes plus choisis…).
Puis je vais me lancer dans du plus léger mais je ne sais pas encore quoi… Je crois que je vais reprendre, sans savoir ce que c’est, le livre le plus en bas de ma PAL (pile de livres à lire).
Si elle n'est lue que par une personne, ça sera déjà ça de pris...et si elle n'est lue par personne, l'exercice t'aura permis de mettre tes notes au clair et d'articuler un résumé et une critique. C'est toujours intéressant...
A te lire!
A te lire!
J'ai commencé Peur : Trump à la maison blanche, un livre écrit par Bob Woodward.
Je commence "l'outsider" de Stephen King.
Après des aventures vampiriques à Montluçon, me voici avec les pèlerins arpentant le chemin de Saint-Jacques de Compostelle dans "Le Vestibule des causes perdues".
... si elle n'est lue par personne, l'exercice t'aura permis de mettre tes notes au clair et d'articuler un résumé et une critique. C'est toujours intéressant...C’est vrai, Vince, on lit autrement quand on pense faire un critique, plus attentivement, on revient sur certains passages et c’est un autre plaisir, surtout quand le livre en vaut la peine.
A te lire!
Allez, je vais m’y mettre !
Vu ma dernière lecture du prix…. je pars sur un nouvel auteur : Luca d'Andréa "l'essence du mal"... à voir car pour le moment j'en suis au tout début.
Baudolino, de Umberto Eco
Je relis "Bruits de fond" de Don Delillo et j'aime autant que la première fois.
Après être arrivé au bout du chemin de St Jaques de Compostel avec "Le Vestibule des causes perdues", me voici à New-York grâce à la "Trilogie New-Yorkaise" de Paul Auster.
Je lis la bible.
Je lis la bible....et moi je lis le Coran mais à petites doses parce que c’est plutôt barbant…
Après l'excellent Malevil de Merle, une petite monographie de Le Corbusier cjez Taschen par le fondateur de la Cité de l'Architecture, Jean-Louis Cohen...
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