Je termine "Vol au-dessus d'un nid de fachos" de F.Haziza: terrifiant, epouvantable.
A vomir.
A vomir.
Je suis 'a mi-chemin de Le meilleur des mondes de Aldous Huxley. Excellent!
J'arrive à la fin des "Ames mortes" de Gogol, on voit que la seconde partie est un brouillon et elle n'égale pas la première, mais quand même, quel livre!
Suite du programme:
- Il cavaliere inesistante (le chevalier inexistant) de Calvino. Lu il y a très longtemps, envie de m'y replonger vu que j'ai relu (en italien aussi) Il visconte dimezzato (le Vicomte pourfendu) il y a peu.
- La vie est ailleurs, Milan Kundera (jamais rien lu de lui!!)
- Muette, Eric Pessan (prêt DBZ)
- Le jour de la chouette, Leonardo Sciascia
- Un rude hiver, Raymond Queneau (parce que c'est son meilleur livre aux dires de Feint, mais aussi parce que SJB s'identifie fortement au personnage central et que je suis curieuse!!!)
J'ai commencé mes critiques en retard.
C'est bon, de se ressaisir un peu.
Suite du programme:
- Il cavaliere inesistante (le chevalier inexistant) de Calvino. Lu il y a très longtemps, envie de m'y replonger vu que j'ai relu (en italien aussi) Il visconte dimezzato (le Vicomte pourfendu) il y a peu.
- La vie est ailleurs, Milan Kundera (jamais rien lu de lui!!)
- Muette, Eric Pessan (prêt DBZ)
- Le jour de la chouette, Leonardo Sciascia
- Un rude hiver, Raymond Queneau (parce que c'est son meilleur livre aux dires de Feint, mais aussi parce que SJB s'identifie fortement au personnage central et que je suis curieuse!!!)
J'ai commencé mes critiques en retard.
C'est bon, de se ressaisir un peu.
Fini Nana, bon, moins exagéré que L'Assommoir, mais je n'ai pas tant embarqué dedans, je préfère Germinal et Au Bonheur des Dames. J'ai été surprise des passages lesbiens et je ne m'attendais pas à la fin du roman parce que j'avais vu le film Martine Carol, qui finit à la Carmen. Ça me tente de réécouter le film.
Je ne sais pas encore quoi lire.
Je ne sais pas encore quoi lire.
Je suis dans le Saucier qui me semble meilleur que ce qu'elle m'avait laissé penser quand elle l'avait présenté dans notre médiathèque. Tous les écrivains ne savent pas très bien parler de leur livre.
A l'inverse de ce que Débézed raconte plus haut au sujet de Saucier, je me suis laissé séduire par un écrivain juste à lire un compte rendu d'entrevue. En fait c'était la seconde entrevue de Yan Lianke que je lisais tout récemment. Je ne saurais dire pourquoi exactement, mais je crois que c'est cette façon à la fois simple et affectueuse dont il parle de son travail et de ses livres qui m'a plu. Du reste, il a une tête fort sympathique. Avec ça, et au vu des commentaires de Myrco au sujet de cet auteur, et bien je crois que je lui ménagerai une petite place dans mon programme de lecture de cette année. Ca tombe bien d'ailleurs car je me fais une petite tournée en littérature chinoise en ce moment.
Bonjour, bien le bonjour à vous!
Tel qu'anticipé, je ne suis pas passé souvent par ici ces derniers temps. J'achève tout juste de lire un gros morceau (2300 pages), lu en anglais, ce qui ralenti un peu ma vitesse de lecture, ajoutons à cela, un peu de recherches, question de documenter la lecture, et pour faire tout bien, j'ai également écouté une série télévisée inspirée du livre. Bref, j'ai été très pris par ce roman de Luo Guanzhong ('Les Trois Royaumes'). Passionnant, mais il m'a fallu y mettre un peu temps...;-)
Après? Et , bien, comme le père Noël a généreusement (et judicieusement) contribué à ma pile, disons que ça n'est pas le choix qui manque!
Bonjour, bien le bonjour à vous!
Tel qu'anticipé, je ne suis pas passé souvent par ici ces derniers temps. J'achève tout juste de lire un gros morceau (2300 pages), lu en anglais, ce qui ralenti un peu ma vitesse de lecture, ajoutons à cela, un peu de recherches, question de documenter la lecture, et pour faire tout bien, j'ai également écouté une série télévisée inspirée du livre. Bref, j'ai été très pris par ce roman de Luo Guanzhong ('Les Trois Royaumes'). Passionnant, mais il m'a fallu y mettre un peu temps...;-)
Après? Et , bien, comme le père Noël a généreusement (et judicieusement) contribué à ma pile, disons que ça n'est pas le choix qui manque!
Alors là ,chapeau !Lire "Les trois royaumes" jusqu'au bout ,je salue la prouesse car j'imagine que ce n'est pas évident.Tu nous en feras une critique ?
Ta démarche est d'autant plus louable et intéressante que dans la littérature chinoise contemporaine (ou de pays qui ont subi l'influence de cette culture ,comme le Vietnam par exemple ),il n'est pas rare que l'on fasse référence à des épisodes contenus dans ces piliers de la littérature classique auxquels appartient ce roman.Quand on s'intéresse à la littérature chinoise contemporaine ,cela peut éviter que certaines choses vous passent au-dessus.En bref ,c'est un préalable que je regrette d'avoir zappé...mais je me rattraperai ;problème :je ne sais pas quand vu le temps à y consacrer ;-)
Ta démarche est d'autant plus louable et intéressante que dans la littérature chinoise contemporaine (ou de pays qui ont subi l'influence de cette culture ,comme le Vietnam par exemple ),il n'est pas rare que l'on fasse référence à des épisodes contenus dans ces piliers de la littérature classique auxquels appartient ce roman.Quand on s'intéresse à la littérature chinoise contemporaine ,cela peut éviter que certaines choses vous passent au-dessus.En bref ,c'est un préalable que je regrette d'avoir zappé...mais je me rattraperai ;problème :je ne sais pas quand vu le temps à y consacrer ;-)
Ah !Spacecadet ,lu ta critique que je n'avais pas vue.Critique bien faite et finalement engageante.
A l'inverse de ce que Débézed raconte plus haut au sujet de Saucier, je me suis laissé séduire par un écrivain juste à lire un compte rendu d'entrevue. En fait c'était la seconde entrevue de Yan Lianke que je lisais tout récemment. Je ne saurais dire pourquoi exactement, mais je crois que c'est cette façon à la fois simple et affectueuse dont il parle de son travail et de ses livres qui m'a plu. Du reste, il a une tête fort sympathique. Avec ça, et au vu des commentaires de Myrco au sujet de cet auteur, et bien je crois que je lui ménagerai une petite place dans mon programme de lecture de cette année. Ca tombe bien d'ailleurs car je me fais une petite tournée en littérature chinoise en ce moment.
Yan Lianke ne m'a pas du tout séduite avec "Le rêve du village des Ding" que j'avais trouvé très quelconque. j'ai lu beaucoup mieux en littérature chinoise.
Peut-être que ceux qui parle bien de leurs livres, les écrivent moins bien...? Feint a peut-être un avis sur le sujet.
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Yan Lianke ne m'a pas du tout séduite avec "Le rêve du village des Ding" que j'avais trouvé très quelconque. j'ai lu beaucoup mieux en littérature chinoise.
Peut-être que ceux qui parle bien de leurs livres, les écrivent moins bien...? Feint a peut-être un avis sur le sujet.
Tu me pardonneras DBZ d'avoir un avis tout à fait à l'opposé du tien non que je considère que "Le rêve du village des Ding" soit le summum de la littérature chinoise actuelle bien que je l'aie beaucoup aimé personnellement.
Tous les goûts sont dans la nature et toutes les sensibilités aussi et je peux tout à fait comprendre que tu n'aies pas apprécié ;-) et puis notre perception est totalement dépendante du contexte et de notre état d'âme à ce moment là.
Par contre ,ton qualificatif de "quelconque" n'est pas sans me surprendre.Le sujet me paraît loin d'être quelconque ,le traitement non plus qui mêle réalisme et onirisme et évite tout manichéisme entre autres ;quant à la langue ,j'ai semble-t-il été beaucoup plus sensible que d'autres à la qualité de' certains passages .
Alors là ,chapeau !Lire "Les trois royaumes" jusqu'au bout ,je salue la prouesse car j'imagine que ce n'est pas évident.Tu nous en feras une critique ?
Ta démarche est d'autant plus louable et intéressante que dans la littérature chinoise contemporaine (ou de pays qui ont subi l'influence de cette culture ,comme le Vietnam par exemple ),il n'est pas rare que l'on fasse référence à des épisodes contenus dans ces piliers de la littérature classique auxquels appartient ce roman.Quand on s'intéresse à la littérature chinoise contemporaine ,cela peut éviter que certaines choses vous passent au-dessus.En bref ,c'est un préalable que je regrette d'avoir zappé...mais je me rattraperai ;problème :je ne sais pas quand vu le temps à y consacrer ;-)
Tout à fait juste Myrco. J'ai souhaité lire du côté des classiques de même que profiter de ces lectures pour me familiariser plus avant avec la culture chinoise, dans le but d'aborder la littérature contemporaine (chinoise) avec une perspective plus large. Parce qu'autrement (au vu de mes précédentes lectures), je trouve qu'il y a tout un tas d'allusions, de nuances et de sous-entendus qui m'échappent.
En ce qui a trait au livre de Yan Lianke dont vous parlez ('Le rêve du village des Ding'), je dois admettre que celui-là ne m'attire pas tellement, enfin, ça n'est pas mon premier choix disons. Quoi qu'il en soit, on en reparlera le moment venu alors!
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Yan Lianke ne m'a pas du tout séduite avec "Le rêve du village des Ding" que j'avais trouvé très quelconque. j'ai lu beaucoup mieux en littérature chinoise.
Peut-être que ceux qui parle bien de leurs livres, les écrivent moins bien...? Feint a peut-être un avis sur le sujet.
Tu me pardonneras DBZ d'avoir un avis tout à fait à l'opposé du tien non que je considère que "Le rêve du village des Ding" soit le summum de la littérature chinoise actuelle bien que je l'aie beaucoup aimé personnellement.
Tous les goûts sont dans la nature et toutes les sensibilités aussi et je peux tout à fait comprendre que tu n'aies pas apprécié ;-) et puis notre perception est totalement dépendante du contexte et de notre état d'âme à ce moment là.
Par contre ,ton qualificatif de "quelconque" n'est pas sans me surprendre.Le sujet me paraît loin d'être quelconque ,le traitement non plus qui mêle réalisme et onirisme et évite tout manichéisme entre autres ;quant à la langue ,j'ai semble-t-il été beaucoup plus sensible que d'autres à la qualité de' certains passages .
Tous les goût sont dans la nature, heureusement !
Non, j'ai trouvé ce livre assez banal, son histoire est cousue de fil blanc, sa vision du problème n'est pas très originale,et le style n'a rien de transcendant. J'ai nettement préféré "Le vendeur de sang" de Yu Hua qui est vraiment très drôle malgré la gravité des sujets qu'il met en scène. Mais ce n'est que mon avis et il ne vaut que pour moi.
Quelqu'un peut m'éclairer sur le terme : Orginet-Porginet utilisé dans Le Meilleur des mondes. Une justification des orgies dans la société? Pas trop sur de bien comprendre...
Après un début palpitant, Donna Tartt fait traîner l'histoire avec des pages et des pages de dialogues creux et sans grand intérêt. Elle aurait avantage à resserrer l'intrigue au lieu d'étirer la sauce inutilement. Pourtant, je persévère car je veux savoir ce qui adviendra du tableau de Fabritius. Quelques pages au début sont très intéressantes car la mère de Théo analyse quelques oeuvres dont le fameux Chardonneret et ce qu'elle énonce est très instructif mais ces passages sont seulement au début lors de la visite du musée et il n'y en a pas d'autres à date à ma grande déception.
Le Diable au corps de Radiguet, dont je me délecte, et un livre 'de cours' que j'ai commencé en ne m'attendant au mieux à rien, au pire à douiller: Aramis ou l'amour de la technique de Bruno Latour. Non seulement je ne douille pas, mais c'est rudement bien: une sorte de fiction-technique, mi-récit mi-réflexion (ma description ne lui rend vraiment pas honneur), plusieurs voix entremêlées qui partent à la piste du pourquoi de l'échec d'Aramis. Pas le mousquetaire! http://fr.wikipedia.org/wiki/…
Après le Saucier de la sélection, je retourne vers ma pile de livres anciens pour lire "L'amant imaginaire" de Taos Amrouche.
Le Diable au corps de Radiguet, dont je me délecte, et un livre 'de cours' que j'ai commencé en ne m'attendant au mieux à rien,
C'est déjà une lecture ancienne pour moi mais j'ai gardé le souvenir d'une belle lecture.
Je lis "Le Chardonneret" de Donna Tartt mais je n'ai pas suffisamment de pages de lues pour me faire une idée du roman. Jusqu'ici ça va, cela me semble bien. J'avais beaucoup aimé son premier roman "Le Maître des illusions" donc je m'attends à du bon.
Bonjour Dirlandaise, si tu en as l'occasion, tu devrais lire aussi "Le petit copain". A mon avis, c'est meilleur encore que "Le maître des illusions".
J'ai lu ton commentaire sur "Le chardonneret", j'espère que ça s'arrange en cours de lecture car je viens de l'acheter, les yeux fermés...
Bonjour Maria-Rosa. J'en suis à la moitié du livre et à aucun moment je n'ai songé à abandonner car je fais confiance à Donna Tartt même si son style est parfois exaspérant. Je me dis que l'auteure du Maître des Illusions ne peut en aucun cas me décevoir.
Malgré quelques longueurs, j'aime bien ce livre. Il faut savoir que Donna Tartt prend bien son temps pour asseoir son intrigue, nous décrire dans les moindres détails la vie du personnage principal et surtout ses relations avec les personnes qui lui sont proches entre autres sa mère, son ami Andy, la famille Barbour et le turbulent ami russe de Vegas (j'ai un blanc pour son nom...).
Par contre, je suis parfois exaspérée car j'ai l'impression que Donna nous mène en bateau. On dirait qu'elle oublie le tableau pendant de nombreux chapitres pour se concentrer sur les frasques de Théo et de son ami. Leurs beuveries et leurs trips de drogues prennent beaucoup de place je trouve et cela en devient irritant. Je me demande pourquoi elle nous fait languir à ce point mais bon, c'est sa façon d'écrire. J'ai bien aimé la période Vegas malgré tout.
Je ne veux pas trop dévoiler alors je ne peux pas tellement livrer mes impressions mais les aventures de Théo se poursuivent dans une autre ville et finalement, je suis heureuse de lire ce livre car, sans être de la grande littérature, il est très divertissant.
Malgré quelques longueurs, j'aime bien ce livre. Il faut savoir que Donna Tartt prend bien son temps pour asseoir son intrigue, nous décrire dans les moindres détails la vie du personnage principal et surtout ses relations avec les personnes qui lui sont proches entre autres sa mère, son ami Andy, la famille Barbour et le turbulent ami russe de Vegas (j'ai un blanc pour son nom...).
Par contre, je suis parfois exaspérée car j'ai l'impression que Donna nous mène en bateau. On dirait qu'elle oublie le tableau pendant de nombreux chapitres pour se concentrer sur les frasques de Théo et de son ami. Leurs beuveries et leurs trips de drogues prennent beaucoup de place je trouve et cela en devient irritant. Je me demande pourquoi elle nous fait languir à ce point mais bon, c'est sa façon d'écrire. J'ai bien aimé la période Vegas malgré tout.
Je ne veux pas trop dévoiler alors je ne peux pas tellement livrer mes impressions mais les aventures de Théo se poursuivent dans une autre ville et finalement, je suis heureuse de lire ce livre car, sans être de la grande littérature, il est très divertissant.
Je viens de lire un petit livre "grand public", vulgarisateur sur la Torah, car je n'y connais presque rien.
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