Je commence l'année avec un tout petit livre prêté par Sissi entre deux bières : "Le Général Della Rovere" de Indro Montanelli.
Je lis " L'invention de nos vies " de Karine Tuil; Gé-nial. Je n'arrive pas à le lâcher. On est pris par le récit c'est incroyable.....
Je lis " L'invention de nos vies " de Karine Tuil; Gé-nial. Je n'arrive pas à le lâcher. On est pris par le récit c'est incroyable.....
La créatrice de la barre oblique dans le roman ;-)
Je lis " L'invention de nos vies " de Karine Tuil; Gé-nial. Je n'arrive pas à le lâcher. On est pris par le récit c'est incroyable.....La barre oblique dans le roman ?
La créatrice de la barre oblique dans le roman ;-)
Je commence l'année avec un tout petit livre prêté par Sissi entre deux bières : "Le Général Della Rovere" de Indro Montanelli.
J'ai lu mon petit livre aujourd'hui, très intéressant, et je commence "Netherland" de Joseph O'Neill
Je commence l'année avec "les oreilles de Buster" de Maria Ernestam
Les cercueils de zinc de Svetlana Alexievitch.
Svetlana Alexievitch a osé violer en 1990 un des derniers tabous de l'ex URSS : le mythe de la guerre d'Afghanistan et des guerriers libérateurs.
Bouleversant et tellement d'actualité.
Svetlana Alexievitch a osé violer en 1990 un des derniers tabous de l'ex URSS : le mythe de la guerre d'Afghanistan et des guerriers libérateurs.
Bouleversant et tellement d'actualité.
En plein dans la merveilleuse poésie de l'argentin Juan GELMAN, assurément une des plus grandes voix actuelles de la poésie latino-américaine.
Je lis " L'invention de nos vies " de Karine Tuil; Gé-nial. Je n'arrive pas à le lâcher. On est pris par le récit c'est incroyable.....
La créatrice de la barre oblique dans le roman ;-)
La barre oblique dans le roman ?
oui le style de "l'invention de nos vies" est assez singulier..
du genre "la matinée était grise/maussade/déprimante".
C'est parfois un peu déroutant...tout comme les astérisques qui renvoient à la destinée de pratiquement tous les personnages croisées dans l'histoire.
Je lis " L'invention de nos vies " de Karine Tuil; Gé-nial. Je n'arrive pas à le lâcher. On est pris par le récit c'est incroyable.....Ah d'accord, mais ce n'est pas une nouveauté.
La créatrice de la barre oblique dans le roman ;-)
La barre oblique dans le roman ?
oui le style de "l'invention de nos vies" est assez singulier..
du genre "la matinée était grise/maussade/déprimante".
C'est parfois un peu déroutant...tout comme les astérisques qui renvoient à la destinée de pratiquement tous les personnages croisées dans l'histoire.
C'est même plutôt vieillot, non ? Il me semble qu'on retrouve pas mal ces barres obliques dans la littérature médiévale, sans qu'on sache toujours bien quelle est leur fonction (ça ressemble à une virgule, mais ne se confond pas toujours avec).
Dans le Faust à l'origine des pièces de Marlowe et Goethe, on la retrouve partout. Une phrase au hasard :
"Je veux maintenant vous raconter/ ce que j'ai vu/ Comme je suis parti un mardi/ et revenu un mardi/ j'ai voyagé huit jours/ sans jamais dormir/ je n'en avais nulle envie/ et j'étais parfaitement invisible."
Chez Tuil, est-ce que la barre remplace la virgule d'une énumération classique, ou est-ce qu'elle marque l'alternative, comme dans un QCM où il faudrait choisir le mot qui convient ? Dans la phrase que cite Ndeprez, les deux fonctionnent.
Dans le Faust à l'origine des pièces de Marlowe et Goethe, on la retrouve partout. Une phrase au hasard :
"Je veux maintenant vous raconter/ ce que j'ai vu/ Comme je suis parti un mardi/ et revenu un mardi/ j'ai voyagé huit jours/ sans jamais dormir/ je n'en avais nulle envie/ et j'étais parfaitement invisible."
Chez Tuil, est-ce que la barre remplace la virgule d'une énumération classique, ou est-ce qu'elle marque l'alternative, comme dans un QCM où il faudrait choisir le mot qui convient ? Dans la phrase que cite Ndeprez, les deux fonctionnent.
C'est même plutôt vieillot, non ? Il me semble qu'on retrouve pas mal ces barres obliques dans la littérature médiévale, sans qu'on sache toujours bien quelle est leur fonction (ça ressemble à une virgule, mais ne se confond pas toujours avec).
Dans le Faust à l'origine des pièces de Marlowe et Goethe, on la retrouve partout. Une phrase au hasard :
"Je veux maintenant vous raconter/ ce que j'ai vu/ Comme je suis parti un mardi/ et revenu un mardi/ j'ai voyagé huit jours/ sans jamais dormir/ je n'en avais nulle envie/ et j'étais parfaitement invisible."
Chez Tuil, est-ce que la barre remplace la virgule d'une énumération classique, ou est-ce qu'elle marque l'alternative, comme dans un QCM où il faudrait choisir le mot qui convient ? Dans la phrase que cite Ndeprez, les deux fonctionnent.
Pour moi l'auteure laisse aux lecteurs le choix d'utiliser le mot opportun.
On peut aussi penser le désir d'être méticuleux dans les descriptions et ainsi utiliser plusieurs adjectifs...
Lisant essentiellement des romans contemporains , je ne connaissais pas cette technique.
Il m'est arrivé de l'utiliser aussi, ça permet autre chose encore que la virgule ou le tiret ; mais je le fais sans avoir l'impression d'innover. Je suis sûr d'ailleurs presque sûr de l'avoir vu chez d'autres auteurs contemporains, mais comme ça ne m'a pas frappé je ne saurais plus dire chez qui ; il faudrait chercher.
Je commence l'année avec un tout petit livre prêté par Sissi entre deux bières : "Le Général Della Rovere" de Indro Montanelli.
J'ai lu mon petit livre aujourd'hui, très intéressant,
Ben tu n'as pas traîné!!!
C'est très intéressant, mais en plus j'ai trouvé que littérairement ce n'était pas inintéressant non plus.
Il ne s'est pas contenté du factuel, je trouve.
Fini le Kenzaburo Oé, un court roman mais marquant. J'ai commencé "La télévision" de Jean-Philippe Toussaint et je me délècte.
Je commence l'année avec un tout petit livre prêté par Sissi entre deux bières : "Le Général Della Rovere" de Indro Montanelli.
J'ai lu mon petit livre aujourd'hui, très intéressant,
Ben tu n'as pas traîné!!!
C'est très intéressant, mais en plus j'ai trouvé que littérairement ce n'était pas inintéressant non plus.
Il ne s'est pas contenté du factuel, je trouve.
Ma critique arrive, j'en dirai plus quand elle sera écrite.
Je commence l'année avec un tout petit livre prêté par Sissi entre deux bières : "Le Général Della Rovere" de Indro Montanelli.
J'ai lu mon petit livre aujourd'hui, très intéressant, et je commence "Netherland" de Joseph O'Neill
J'ai lu Netherland... et n'en ai gardé que très peu de souvenirs, peut être que ta critique en évoquera:) Je l'espère; Il me semble que cela parlait beaucoup de cricket, ceci expliquant peut être cette amnésie?
Blue Boy et Shelton m'ayant redonné le goût de la BD, après Tout sera oublié ( plus un " roman" graphique) de Pierre Marques et Mathias Enard, je vais tenter de résoudre une question que tout le monde devrait se poser avec celle-ci:
Pendant que le Roi de Prusse faisait la guerre, qui donc lui reprisait ses chaussettes?
http://dargaud.com/pendant-que-le-roi-de-prusse-fa…
Le livre de Frederick Exley terminé, j'enchaîne avec la lettre écarlate de Hawthorne.
J'ai commencé Le Goût du Paris insolite.
J'ai repris la lecture (interrompue ,je lis souvent plusieurs livres en même temps) de "La mer et le martin-pêcheur" d'un auteur vietnamien contemporain BUI Ngoc Tan que je ne connaissais pas.Cet auteur a déjà été référencé sur C.L par Cyclo pour un recueil de nouvelles "Une vie de chien".
Ce livre ,découvert par hasard chez mon libraire ,a reçu le prix Quéfellec 2012 ,un prix qui récompense le meilleur roman ou récit maritime ,celui qui fera le mieux aimer la mer.
Je dois dire que la pénétration dans le roman a été un peu difficile ;d'abord il y a une foultitude de personnages et avec les noms vietnamiens ,il vaut mieux noter qui est qui pour s'y retrouver ! Ensuite les 150 premières pages (le roman en compte 700 en poche) sont plus une analyse du milieu de la pêche avec ce qui s'y rattache à terre et une étude critique du mode de fonctionnement de la société vietnamienne qu'un roman sur la mer.J'y trouvais plus un intérêt documentaire que littéraire.
Mais je suis maintenant à la page 200 et je commence à y trouver du plaisir:plus d'histoires de mer proprement dites et l'écriture commence à m'accrocher...
Ce livre ,découvert par hasard chez mon libraire ,a reçu le prix Quéfellec 2012 ,un prix qui récompense le meilleur roman ou récit maritime ,celui qui fera le mieux aimer la mer.
Je dois dire que la pénétration dans le roman a été un peu difficile ;d'abord il y a une foultitude de personnages et avec les noms vietnamiens ,il vaut mieux noter qui est qui pour s'y retrouver ! Ensuite les 150 premières pages (le roman en compte 700 en poche) sont plus une analyse du milieu de la pêche avec ce qui s'y rattache à terre et une étude critique du mode de fonctionnement de la société vietnamienne qu'un roman sur la mer.J'y trouvais plus un intérêt documentaire que littéraire.
Mais je suis maintenant à la page 200 et je commence à y trouver du plaisir:plus d'histoires de mer proprement dites et l'écriture commence à m'accrocher...
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