C'était pas mal du tout. J'espère que le temps va s'arranger, sinon tu vas prendre l'eau dans ton camping :-)
En fait j'ai jamais été aux francos, je connais beaucoup de gens qui y vont chaque fois et qui sont enchantés. Bon amusement !
Hello
Heureusement pour nous, on va dans un camping car, pas en tente... Mais je viens de regarder la météo, c'est puant ;o)
Sinon, j'ai replongé hier soir dans "la double vie de Vermeer".. je crois que j'avais juste besoin de vacances.. J'ai relu les critiques sur le site et franchement je suis heureuse d'y retourner...
En ce moment,je lis la mare au diable de George Sand, je me suis dis que c'était intéressant à lire, mais en fait ça l'est pas tant que ça.
Décidément mon truc c'est le contemporain..
Décidément mon truc c'est le contemporain..
En ce moment,je lis la mare au diable de George Sand, je me suis dis que c'était intéressant à lire, mais en fait ça l'est pas tant que ça.
Décidément mon truc c'est le contemporain..
J'ai lu ce bouquin l'an dernier est, comme toi, je l'ai trouvé très plat et un brin puéril mais il y a tout de même de très bons ouvrages dans les livres anciens comme dans les livres contemporains et peut-être même plus !
Caféine, chose promise chose due, voilà quelques livres russes que tu devrais apprécier :
- Julia Voznesenskaya : Le décameron des femmes - Jouissif à souhait !
- Alexandre Soljénistyne : Une journée d'Ivan Denissovitch - Très émouvant et ce n'est pas un pavé, pour une fois
- Youri Rytkhéou : Unna - Pour découvrir les Tchouchkes
- Ludmila Oulitskaïa : Sonietchka - Plein de tendresse et de poésie
- Vladimir Nabokov (autant américain que russe) : L'enchanteur - Un avant goût de Lolita son chef d'oeuvre
- Alexandra Marinina : Le cauchemar - Un polard écrit par une femme
- Nicolas Leskov : Mania, L'insulaire - Un romantisme un peu daté
- Sophie Kovalevskaïa : La nihiliste - Un beau portrait écrit par la célèbre mathématicienne
- Andreï Kourkov : Le pingouin - Un peu déjanté, très contemporain
Je passe sur les grands classiques qui sont souvent très bavards mais il faut faire un petit détour par Dostoievski en commençant par un petit volume comme "Le joueur" et Gorki dont "La mère" m'avait beaucoup touché quand j'était jeune.
Si tu aimes, j'en ai encore quelques uns
- Julia Voznesenskaya : Le décameron des femmes - Jouissif à souhait !
- Alexandre Soljénistyne : Une journée d'Ivan Denissovitch - Très émouvant et ce n'est pas un pavé, pour une fois
- Youri Rytkhéou : Unna - Pour découvrir les Tchouchkes
- Ludmila Oulitskaïa : Sonietchka - Plein de tendresse et de poésie
- Vladimir Nabokov (autant américain que russe) : L'enchanteur - Un avant goût de Lolita son chef d'oeuvre
- Alexandra Marinina : Le cauchemar - Un polard écrit par une femme
- Nicolas Leskov : Mania, L'insulaire - Un romantisme un peu daté
- Sophie Kovalevskaïa : La nihiliste - Un beau portrait écrit par la célèbre mathématicienne
- Andreï Kourkov : Le pingouin - Un peu déjanté, très contemporain
Je passe sur les grands classiques qui sont souvent très bavards mais il faut faire un petit détour par Dostoievski en commençant par un petit volume comme "Le joueur" et Gorki dont "La mère" m'avait beaucoup touché quand j'était jeune.
Si tu aimes, j'en ai encore quelques uns
L'enchanteur fait partie de ma pile de livres en attente depuis un bon moment, quant aux autres je les note, merci.
Dans mon système d'alternance et de deuil (de chaque livre terminé) hier, je me suis remise à la mécanique des cœurs, c'est mignon, burtonien, un avant goût de vacances.
Dans mon système d'alternance et de deuil (de chaque livre terminé) hier, je me suis remise à la mécanique des cœurs, c'est mignon, burtonien, un avant goût de vacances.
En ce moment,je lis la mare au diable de George Sand, je me suis dis que c'était intéressant à lire, mais en fait ça l'est pas tant que ça.
Décidément mon truc c'est le contemporain..
J'ai lu ce bouquin l'an dernier est, comme toi, je l'ai trouvé très plat et un brin puéril mais il y a tout de même de très bons ouvrages dans les livres anciens comme dans les livres contemporains et peut-être même plus !
Je l'ai lu vers 14 ans, j'avais aimé, mais tu confirmes les craintes que j'avais de le relire Débézed.
Je vais donc me contenter d'en garder un bon souvenir.
Même en aimant les auteurs contemporains, il existe dans le XIXe des écrivains passionnants, il faut certes faire l'effort de les lire à l'aune de leur siècle.
Je pense que c'était prince Jean qui faisait cette remarque pour la peinture, mais je la trouve juste tant en littérature qu'au cinéma : les tournures de phrases, le vocabulaire, le rythme...
Ce serait dommage de passer à côté de belles œuvres parce qu'elles nous sont moins familières. C'est pas une leçon, je le vis en ce moment avec la nef des fous de Brant : je l'ouvre, le ferme, l'observe comme un animal étrange (malgré l'heure tardive je n'ai bu que du café et de l'eau merci) avec une logique qui m'échappe totalement...
A chaque changement de livre, j'ai un petit temps de difficulté pour prendre le rythme de l'auteur que je découvre, mais ensuite je m'adapte bien à la plupart des styles et je prends même un réel plaisir à lire des livres assez anciens dont le charme réside aussi dans l'écriture. J'envisage ainsi avec joie de lire l'Arétin. C'est peut-être une réminiscence de mes travaux d'historien quand j'ai dépouillé quelques centaines de pages de manuscrits pour ma maîtrise.
L'adaptation à une époque et comme l'adaptation à une culture on ne lit pas du XVIII° comme du XXI° et on ne lit pas la littérature japonaise comme la littérature américaine. C'est une question d'adaptation et peut-être d'ouverture d'esprit qu'on acquiert avec la pratique (en toute modestie bien sûr mais à mon âge on a un certain vécu !).
L'adaptation à une époque et comme l'adaptation à une culture on ne lit pas du XVIII° comme du XXI° et on ne lit pas la littérature japonaise comme la littérature américaine. C'est une question d'adaptation et peut-être d'ouverture d'esprit qu'on acquiert avec la pratique (en toute modestie bien sûr mais à mon âge on a un certain vécu !).
A chaque changement de livre, j'ai un petit temps de difficulté pour prendre le rythme de l'auteur que je découvre, mais ensuite je m'adapte bien à la plupart des styles et je prends même un réel plaisir à lire des livres assez anciens dont le charme réside aussi dans l'écriture. J'envisage ainsi avec joie de lire l'Arétin. C'est peut-être une réminiscence de mes travaux d'historien quand j'ai dépouillé quelques centaines de pages de manuscrits pour ma maîtrise.
L'adaptation à une époque et comme l'adaptation à une culture on ne lit pas du XVIII° comme du XXI° et on ne lit pas la littérature japonaise comme la littérature américaine. C'est une question d'adaptation et peut-être d'ouverture d'esprit qu'on acquiert avec la pratique (en toute modestie bien sûr mais à mon âge on a un certain vécu !).
Tout à fait d'accord, la difficulté réside quand même dans le fait d'avoir assez de bagages pour s'y adapter. Je pense à ça parce que ce n'est pas la première fois que tu écris sur ton intérêt pour les lectures asiatiques, mes essais sont pour l'instant infructueux, ce n'est pas faute d'essayer, comme tu le dis, pas encore assez de pratique.
Ce que me disait une amie aujourd'hui, il y a peut être des lectures qu'il faut laisser mûrir avant de pouvoir les aborder.
Tout ce que tu dis est très juste, il faut s'imprégner progressivement et se laisser imbiber pour aborder les lectures suivantes avec un certain acquis. Tu es très jeune, moi quand j'ai commencé à lire la littérature internationale j'avais près de 40 ans et 20 ans plus tard j'apprécie d'avoir lu des livres de presque toutes les cultures du monde (même certaines qui n'étaient encore que strictement orales il y a peu comme les Inuits ou les Samoans par exemple).
Mais, je peux t'assurer qu'il y a de très belles histoires de femmes dans les littératures chinoises, japonaises, coréennes et vietnamiennes notamment. Quand ta pile sera à l'étiage, je te ferai quelques suggessions !
Il faut aussi comprendre que les jeunes écrivains asiatiques se rapprochent beaucoup de nous par rapport à leurs prédécesseurs qui étaient plus ancrés dans leurs traditions. Intenet et la mondialisation ont contribué à formater une littérature internationale, dommage !
Mais, je peux t'assurer qu'il y a de très belles histoires de femmes dans les littératures chinoises, japonaises, coréennes et vietnamiennes notamment. Quand ta pile sera à l'étiage, je te ferai quelques suggessions !
Il faut aussi comprendre que les jeunes écrivains asiatiques se rapprochent beaucoup de nous par rapport à leurs prédécesseurs qui étaient plus ancrés dans leurs traditions. Intenet et la mondialisation ont contribué à formater une littérature internationale, dommage !
Tout ce que tu dis est très juste, il faut s'imprégner progressivement et se laisser imbiber pour aborder les lectures suivantes avec un certain acquis. Tu es très jeune, moi quand j'ai commencé à lire la littérature internationale j'avais près de 40 ans et 20 ans plus tard j'apprécie d'avoir lu des livres de presque toutes les cultures du monde (même certaines qui n'étaient encore que strictement orales il y a peu comme les Inuits ou les Samoans par exemple).
Mais, je peux t'assurer qu'il y a de très belles histoires de femmes dans les littératures chinoises, japonaises, coréennes et vietnamiennes notamment. Quand ta pile sera à l'étiage, je te ferai quelques suggessions !
Il faut aussi comprendre que les jeunes écrivains asiatiques se rapprochent beaucoup de nous par rapport à leurs prédécesseurs qui étaient plus ancrés dans leurs traditions. Intenet et la mondialisation ont contribué à formater une littérature internationale, dommage !
Tiens, le formatage, c'est exactement le terme qui est venu sur le tapis entre collègues pour parler des dérives de notre travail, ne plus laisser la place à la diversité, à la différence...
Pourtant avec le recul, ce sont les récits différents que l'ont retient, ceux qui nous ont bousculé, ceux qui nous ont fait avancer.
Bon, fin de la triste histoire du petit enfant horloge, à savoir "la mécanique des cœurs".
Je viens de commencer "garden of love" de Marcus Malte.
J'attends les vacances pour découvrir "le pingouin" de Kourkov et "le joueur" sur tes conseils Débézed.
Et la littérature est le dernier lieu où la différence devrait régner car c'est un espace d'évasion privilégié ... mais il faut vendre les livres alors ...
Par conscience collective, je me suis remis dans la sélection et je peine à terminer le Chevillard qui est cependant bien mince mais très intellectuel et universitaire, ça manque vraiment d'originalité et d'inspiration même si le regard n'est pas inintéressant.
Bonne lecture de ces deux auteurs vraiment très différents !
Par conscience collective, je me suis remis dans la sélection et je peine à terminer le Chevillard qui est cependant bien mince mais très intellectuel et universitaire, ça manque vraiment d'originalité et d'inspiration même si le regard n'est pas inintéressant.
Bonne lecture de ces deux auteurs vraiment très différents !
Fin de "garden of love" de Marcus Malte, assez éloigné de ce que je lis habituellement, je me suis malgré tout laissée embarquer dans les méandres d'un esprit, tout comme le personnage principal on sort peu à peu des brumes et du jeu de miroir.
A priori la suite sera le maître et la marguerite de Boulgakov.
A priori la suite sera le maître et la marguerite de Boulgakov.
Fin de "garden of love" de Marcus Malte, assez éloigné de ce que je lis habituellement, je me suis malgré tout laissée embarquer dans les méandres d'un esprit, tout comme le personnage principal on sort peu à peu des brumes et du jeu de miroir.
J'aimerais bien lire votre avis. Le livre m'a intéressé, je lui ai trouvé d'évidentes qualités mais il ne m'a pas suffisamment touché pour que je rédige mes impressions de lecture (en outre je sais que je ne suis pas bon lecteur pour ce genre de livre).
J'aimerais bien lire votre avis. Le livre m'a intéressé, je lui ai trouvé d'évidentes qualités mais il ne m'a pas suffisamment touché pour que je rédige mes impressions de lecture (en outre je sais que je ne suis pas bon lecteur pour ce genre de livre).
Un peu le même constat, je me suis laissée prendre par l'histoire, c'est tellement incompréhensible au début que ça donne envie de savoir à quoi ça aboutit. Je l'ai trouvé intelligemment mené dans le sens où on ne se perd jamais, et puis ces allusions, telles que les boucles d'oreilles etc, qui donnent envie de repartir en arrière pour s'assurer que oui on l'a déjà lu...
Je me répète ce n'est pas le style de livre que je lis, certaines tournures de phrases m'ont gênées, je m'attache plus facilement à une belle écriture qu'à un récit aussi passionnant soit-il, c'est un de mes petits travers.
Quant à faire une critique, je me trouverai un peu dure, donc pas pour l'instant.
Un peu le même constat, je me suis laissée prendre par l'histoire, c'est tellement incompréhensible au début que ça donne envie de savoir à quoi ça aboutit. Je l'ai trouvé intelligemment mené dans le sens où on ne se perd jamais, et puis ces allusions, telles que les boucles d'oreilles etc, qui donnent envie de repartir en arrière pour s'assurer que oui on l'a déjà lu...
Je me répète ce n'est pas le style de livre que je lis, certaines tournures de phrases m'ont gênées, je m'attache plus facilement à une belle écriture qu'à un récit aussi passionnant soit-il, c'est un de mes petits travers.
Quant à faire une critique, je me trouverai un peu dure, donc pas pour l'instant.
Oui, c'est un livre dont on n'a pas envie de dire du mal ; d'ailleurs je connais de bons lecteurs qui l'ont beaucoup aimé. J'ai du mal aussi avec les romans où l'intrigue joue le rôle principal - mais je reconnais qu'ici, tout de même, c'est fait avec talent ; notamment la manière dont est remise en question l'authenticité du récit qu'on vient de lire. J'attendrai donc un autre avis différent du mien - du nôtre.
Par conscience collective, je me suis remis dans la sélection et je peine à terminer le Chevillard qui est cependant bien mince mais très intellectuel et universitaire, ça manque vraiment d'originalité et d'inspiration même si le regard n'est pas inintéressant.
Je me rends compte à lire votre commentaire que votre connaissance et vos sentiments (je me trompe ?) pour l'Afrique a dû infléchir votre lecture d'un livre que ne fait que mine d'en parler.
Si vous aimez Nimrod, le Matricule des Anges du mois de mars lui a consacré son dossier (on peut encore le trouver).
Par conscience collective, je me suis remis dans la sélection et je peine à terminer le Chevillard qui est cependant bien mince mais très intellectuel et universitaire, ça manque vraiment d'originalité et d'inspiration même si le regard n'est pas inintéressant.
Je me rends compte à lire votre commentaire que votre connaissance et vos sentiments (je me trompe ?) pour l'Afrique a dû infléchir votre lecture d'un livre que ne fait que mine d'en parler.
Si vous aimez Nimrod, le Matricule des Anges du mois de mars lui a consacré son dossier (on peut encore le trouver).
Merci du tuyau !
Mais quand j'ai écrit ça, je n'avais pas fini le livre et la fin m'a paru beaucoup plus convainquante avec de l'ironie, un peu d'amertume et beaucoup de lucidité. Je craignais qu'on passe à côté du sujet et qu'on reste dans un académisme trop formel où certains écrivains africains se complaisent d'ailleurs pour imiter les intellectuels blancs, peut-être ?
J'ai lu pas mal d'écrivains africains et certains ne manquent pas de talent et savent parler de la grande misère de ce continent sans pour autant larmoyer et rejeter la faute sur les autres. A l'occasion, je pourrais faire une petite sélection pour les lecteurs intéressés.
Oui ! Ca m'intéresserait beaucoup Débezed !
Je viens d'acheter "Le dernier roi d'Ecosse" de Gilles Foden (sur le dictateur ougadais Idi Amin Dada), qui était chaudement recommandé par un critique.
Je viens d'acheter "Le dernier roi d'Ecosse" de Gilles Foden (sur le dictateur ougadais Idi Amin Dada), qui était chaudement recommandé par un critique.
Oui ! Ca m'intéresserait beaucoup Débezed !
Je viens d'acheter "Le dernier roi d'Ecosse" de Gilles Foden (sur le dictateur ougadais Idi Amin Dada), qui était chaudement recommandé par un critique.
Je fais une petite sélection mais si tu sors de ce livre, je te conseille de lire "Les chroniques abyssiniennes" de Moses Isegawa un Ougandais qui parle de la grande dérive du peuple ougandais au temps de Dada et des autres ! J'ai beaucoup aimé cette grande fresque d'un bout d''Afrique en perdition.
Pour mieux comprendre l'Afrique noire à travers la littérature, je sélectionnerais dans mes lectures personnelles :
- Angola - Pepetela : L'esprit des eaux
- Bénin - Florent Couaho-Zotti : Le cantique des cannibales
- Cameroun - Mongo Beti : Trop de soleil tue l'amour
Alain Patrice Nganang : Les promesses des fleurs
- Congo - Emmanuel B Dongala : Les petites garçons naissent aussi des étoiles (superbe !)
Henri Lopes : Le chercheur d'Afrique
Sony Labou-Tansi : l'Anté-peuple
- Côte d'Ivoire - Ahamadou Kourouma : En attendant le vote des bêtes sauvages
- Ethiopie - Nega Mezlekia : Dans le ventre d'une hyène
- Ghana - Amma Darko : Par-delà l'horizon
- Guinée - Tierno Monémembo : Les crapauds-brousse
- Kenya - Ngugi wa Thiong'o - Enfant, ne pleure pas
- Mali - Massa M Diabaté : Le coiffeur de Kouta
Amadou Hampâté Bâ : L'étrange destin de Wrangin
- Nigeria - Ben Okri : Un amour dangereux
Ken Saro-Wiwa : Sozaboy (il faut avoir le courage de le lire jusqu'au bout)
Wole Soyinka : Aké, les années d'enfance (Nobel)
- Ouganda - Moses Isegawa : Les chroniques abyssiniennes
- Sénégal - Cheikh Hamidou Kané : Les gardiens du temple
Aminata Sow Fall : La grève des battù
- Tchad - Nimrod : Les jambes d'Alice
- Zimbabwe - Tsitsi Dangarembga : A leur de peau (très beau)
Chenjeraï Howe : Ombres
Yvonne Vera : papillon brûle
J'élude l'Afrique du Sud qui à elle seule possède une littérature très importante et très diversifiée, et je n'ai pas cité quelques grands auteurs que je n'ai pas encore lus comme Achebe (je n'ai lu que des nouvelles) et d'autres auteurs que j'ai lus mais q'intérêt moindre il me semble.
- Angola - Pepetela : L'esprit des eaux
- Bénin - Florent Couaho-Zotti : Le cantique des cannibales
- Cameroun - Mongo Beti : Trop de soleil tue l'amour
Alain Patrice Nganang : Les promesses des fleurs
- Congo - Emmanuel B Dongala : Les petites garçons naissent aussi des étoiles (superbe !)
Henri Lopes : Le chercheur d'Afrique
Sony Labou-Tansi : l'Anté-peuple
- Côte d'Ivoire - Ahamadou Kourouma : En attendant le vote des bêtes sauvages
- Ethiopie - Nega Mezlekia : Dans le ventre d'une hyène
- Ghana - Amma Darko : Par-delà l'horizon
- Guinée - Tierno Monémembo : Les crapauds-brousse
- Kenya - Ngugi wa Thiong'o - Enfant, ne pleure pas
- Mali - Massa M Diabaté : Le coiffeur de Kouta
Amadou Hampâté Bâ : L'étrange destin de Wrangin
- Nigeria - Ben Okri : Un amour dangereux
Ken Saro-Wiwa : Sozaboy (il faut avoir le courage de le lire jusqu'au bout)
Wole Soyinka : Aké, les années d'enfance (Nobel)
- Ouganda - Moses Isegawa : Les chroniques abyssiniennes
- Sénégal - Cheikh Hamidou Kané : Les gardiens du temple
Aminata Sow Fall : La grève des battù
- Tchad - Nimrod : Les jambes d'Alice
- Zimbabwe - Tsitsi Dangarembga : A leur de peau (très beau)
Chenjeraï Howe : Ombres
Yvonne Vera : papillon brûle
J'élude l'Afrique du Sud qui à elle seule possède une littérature très importante et très diversifiée, et je n'ai pas cité quelques grands auteurs que je n'ai pas encore lus comme Achebe (je n'ai lu que des nouvelles) et d'autres auteurs que j'ai lus mais q'intérêt moindre il me semble.
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