Rien à voir avec le sujet du "coup du gueule". Mais "le cri" et "la madone" ont été dérobés, je crois. Est-ce qu'on a retrouvé les voleurs?
Tu soupçonnes Yali?
Fouillant et mettant à jour les "vieilleries dans le cadre des prochains 10 ans de Vos Ecrits, je tombe sur ça ...
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Ca ne date pas d'aujourd'hui, n'est-il pas ? C'est en fait le coeur de la démarche de Vos Ecrits ...
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Ca ne date pas d'aujourd'hui, n'est-il pas ? C'est en fait le coeur de la démarche de Vos Ecrits ...
J'avais consulté ce fil, déjà, je comprends tout à fait...
Il faut se consoler avec les petits compteurs qu'a ajouté Saule près des écrits, on se dit qu'on a quand même quelques lecteurs :-)
Merci encore, Saule !
Il faut se consoler avec les petits compteurs qu'a ajouté Saule près des écrits, on se dit qu'on a quand même quelques lecteurs :-)
Merci encore, Saule !
Oui, je trouve que les compteurs, c'est une excellente idée.
Je vous lis, mais pour les textes d'après Noël, je m'étais dit que j'allais tout grouper, et essayer de deviner..
Je vous lis, mais pour les textes d'après Noël, je m'étais dit que j'allais tout grouper, et essayer de deviner..
Avec un "s" à "ajouté", ce serait mieux...
Je n'avais pas lu ce post.. c'est bien de le remonter.. donc, il faudrait "au moins" que ceux qui proposent un texte lisent ceux rédigés par les autres.. ;-)
Je profite de ce petit coup de gueule pour exprimer ma propre position par rapport au commentaire de textes.
Lorsqu'on m'a renseigné le site de CL, "on" (il se reconnaitra peut-être :-) m'avait bien dit que la règle du jeu était de commenter les textes des autres puisque ceux-ci prenaient le temps de lire les miens et de les "critiquer". Pour autant, je ne me suis jamais senti à l'aise dans cet exercice (à preuve: mes très rares critiques de bouquins), d'autant que je suis, comme je l'ai dit, un "mauvais lecteur". Donc, je commente, mais d'une certaine façon, au pro rata de ce que je publie et plus par "politesse" que par réelle inclination. Et quand je ne publie rien -parce que je n'écris rien-, je ne me sens pas impliqué par la nécessité de commenter. Voilà. c'est sans doute un peu égoïste, voire narcissique, mais j'assume.
Lorsqu'on m'a renseigné le site de CL, "on" (il se reconnaitra peut-être :-) m'avait bien dit que la règle du jeu était de commenter les textes des autres puisque ceux-ci prenaient le temps de lire les miens et de les "critiquer". Pour autant, je ne me suis jamais senti à l'aise dans cet exercice (à preuve: mes très rares critiques de bouquins), d'autant que je suis, comme je l'ai dit, un "mauvais lecteur". Donc, je commente, mais d'une certaine façon, au pro rata de ce que je publie et plus par "politesse" que par réelle inclination. Et quand je ne publie rien -parce que je n'écris rien-, je ne me sens pas impliqué par la nécessité de commenter. Voilà. c'est sans doute un peu égoïste, voire narcissique, mais j'assume.
Il ne s'agit pas de "critiques" des textes proposés mais de simples commentaires. Je ne peux croire que tu n'as rien à dire, pour moi c'est de la paresse et du manque d'intérêt pour les autres (oui je suis dure :-)) ou alors du mépris pour ce qu'ils produisent puisqu'ils ne méritent pas un minimum d'attention...
Ce qui me gêne dans ce que tu écris c'est que tu lies le fait de publier toi-même à celui de commenter les autres textes. C'est effectivement très égoïste...
Désolée mais je ne suis pas convaincue par tes arguments (et je ne suis pas une fana des commentaires "obligés" ) mais il est question ici, sur ce lieu, d'échanges épistolaires et autres.Il n'est pas question par contre d'obliger à quoi que ce soit mais c'est une question, non de politesse, mais d'un minimum de considération pour les autres.
Tu es franc, moi aussi...et toc :-)
Ce qui me gêne dans ce que tu écris c'est que tu lies le fait de publier toi-même à celui de commenter les autres textes. C'est effectivement très égoïste...
Désolée mais je ne suis pas convaincue par tes arguments (et je ne suis pas une fana des commentaires "obligés" ) mais il est question ici, sur ce lieu, d'échanges épistolaires et autres.Il n'est pas question par contre d'obliger à quoi que ce soit mais c'est une question, non de politesse, mais d'un minimum de considération pour les autres.
Tu es franc, moi aussi...et toc :-)
c'est très bien vu, Piero. C'est bien ce que je voulais dire, sauf pour le mépris (quand même!). Je n'en suis pas particulièrement fier mais c'est comme ça. On peut aussi ajouter la peur de blesser et une méfiance extrême vis-a-vis de la communication écrite.
Je n'avais pas lu ce post.. c'est bien de le remonter.. donc, il faudrait "au moins" que ceux qui proposent un texte lisent ceux rédigés par les autres.. ;-)
Il est tout à fait possible, Darius, qu'ils attendent la publication intégrale pour pouvoir se livrer en même temps à l'identification des auteurs ?
Je profite de ce petit coup de gueule pour exprimer ma propre position par rapport au commentaire de textes.
Lorsqu'on m'a renseigné le site de CL, "on" (il se reconnaitra peut-être :-) m'avait bien dit que la règle du jeu était de commenter les textes des autres puisque ceux-ci prenaient le temps de lire les miens et de les "critiquer". Pour autant, je ne me suis jamais senti à l'aise dans cet exercice (à preuve: mes très rares critiques de bouquins), d'autant que je suis, comme je l'ai dit, un "mauvais lecteur". Donc, je commente, mais d'une certaine façon, au pro rata de ce que je publie et plus par "politesse" que par réelle inclination. Et quand je ne publie rien -parce que je n'écris rien-, je ne me sens pas impliqué par la nécessité de commenter. Voilà. c'est sans doute un peu égoïste, voire narcissique, mais j'assume.
Le problème, Minoritaire, c'est que sans communications (critique, commentaire ou simple salut) dans les 2 sens, il n'y a, à terme, plus de communications du tout, c'est à dire plus de critiques à faire pour cause de plus de textes mis en ligne. C'est ça le problème.
M'en revenant sur l'histoire (le fil que j'ai ressuscité a plus de 9 ans tout de même !) je m'aperçois que ce sont les "exercices", sous toutes leurs formes (à lépoque c'était les soirées Sonnets du Samedi soir de Sibylline et les MM qui rassemblaient beaucoup de monde) qui rameutent et font grimper la participation. On le voit bien avec le succès de l'initiative de Lobe.
En même temps, lancer des exercices qui ne rencontrent pas d'échos, c'est passablement démobilisateur !
Non, hors participation régulière point de salut. Peut-être vais-je finalement me résoudre à ce que menaçait de faire Yali en son temps : ne pas intervenir sur les textes des passagers d'une fois, ou de peu de fois, qui n'interviennent pas sur les textes des autres. Jusqu'ici je m'astreins à intervenir systématiquement - et je dois être le seul - sauf quand les relations avec le posteur sont devenues telles que ça dégénère systématiquement, auquel cas, là, je boycotte ...
c'est très bien vu, Piero. C'est bien ce que je voulais dire, sauf pour le mépris (quand même!). Je n'en suis pas particulièrement fier mais c'est comme ça. On peut aussi ajouter la peur de blesser et une méfiance extrême vis-a-vis de la communication écrite.
Je ne pense effectivement pas qu'il y ait mépris de la part de Minoritaire ! (pour l'avoir rencontré, je comprends ce qu'il veut dire avec moins d'ambiguïté que par le biais de lignes écrites !) Mais le silence est plutôt pire en fait qu'un commentaire, même négatif. Parce qu'encore une fois, sans mouvements sur les textes proposés, c'est la mort à petit feu.
Au fait Minoritaire ! Il ne t'aura pas échappé que le Samedi 22 Février est une soirée de retrouvailles Célenne chez toi. A Bruxelles. Et même que Bolcho, autre célèbre Célien bruxellois y sera. Pour ma part je serais très heureux de te revoir. (et tu pourrais voir les trognes, sympathiques, d'anciens et récents Céliens). C'est toujours gratifiant, je te le garantis.
L'allusion à un possible mépris était bien sûr une provocation de ma part pour faire réagir Mino...;-) mais ce mépris est peut-être ce que peuvent ressentir envers eux-mêmes certains producteurs de textes...
Ce que tu dis Tistou concernant le "silence" est pour moi très fort.
C'est ainsi, et n'y voyez aucun reproche car je sais que certains y sont attachés, que le "compteur" de vues est pour moi finalement très stressant...Savoir que pas mal de gens ont lu sans avoir eu à dire quoi que ce soit est frustrant et je préfèrerais ne pas savoir (de l'orgueil sans doute, tu vois Mino je fais aussi mon méa culpa !), mais je sais que d'autres apprécient, et je m'en voudrais de critiquer cette initiative due à la gentillesse de Saule, d'autant qu'elle permet de connaître la fréquentation des Ecrits.
Non non je ne suis pas une emmerdeuse...:-)
Ce que tu dis Tistou concernant le "silence" est pour moi très fort.
C'est ainsi, et n'y voyez aucun reproche car je sais que certains y sont attachés, que le "compteur" de vues est pour moi finalement très stressant...Savoir que pas mal de gens ont lu sans avoir eu à dire quoi que ce soit est frustrant et je préfèrerais ne pas savoir (de l'orgueil sans doute, tu vois Mino je fais aussi mon méa culpa !), mais je sais que d'autres apprécient, et je m'en voudrais de critiquer cette initiative due à la gentillesse de Saule, d'autant qu'elle permet de connaître la fréquentation des Ecrits.
Non non je ne suis pas une emmerdeuse...:-)
En ce qui concerne la "communication écrite" je ne partage pas l'avis comme quoi elle est moins juste et infidèle que la communication orale ; elle est pour moi, en général, plus réfléchie, et il faut avoir une sacrée aisance avec l'oral pour trouver le mot juste au bon moment et il est plus facile de blesser par une répartie trop vive ; et puis il y a la timidité, la perte des moyens en particulier face à des gens particulièrement à l'aise...Et on sait aussi que les timides font souvent preuve de brusquerie pour cacher cette timidité...
Sur internet du moins, c'est plutôt strictement l'inverse, les opinions sur une personne pouvant se radicaliser à la lecture d'une phrase anodine...
La communication "internautique" (tesque ?) permet de se construire un personnage que l'on s'imagine flatteur, plus que la personne que l'on est vraiment dans la vie réelle.
La plupart se scandaliseront du paragraphe précédent mais c'est le cas de 99.9% des internautes à divers degrés.
J'adore mettre les pieds dans le plat quant aux conventions "sociales" "internautantes" c'est plus amusant et permet de percevoir les hypocrisies et les prétentions éventuelles...
La communication "internautique" (tesque ?) permet de se construire un personnage que l'on s'imagine flatteur, plus que la personne que l'on est vraiment dans la vie réelle.
La plupart se scandaliseront du paragraphe précédent mais c'est le cas de 99.9% des internautes à divers degrés.
J'adore mettre les pieds dans le plat quant aux conventions "sociales" "internautantes" c'est plus amusant et permet de percevoir les hypocrisies et les prétentions éventuelles...
J'adore mettre les pieds dans le plat quant aux conventions "sociales" "internautantes" c'est plus amusant et permet de percevoir les hypocrisies et les prétentions éventuelles...Un rien t'amuse Amaury. Ce ne serait rien si je ne sentais dans le moindre de tes écrits autant de mépris et de condescendance et si peu d'intérêt pour l'autre. Ca doit venir de ton enfance malheureuse.
"Un rien t'amuse Amaury. Ce ne serait rien si je ne sentais dans le moindre de tes écrits autant de mépris et de condescendance et si peu d'intérêt pour l'autre. Ca doit venir de ton enfance malheureuse."
Que disais-je ?
"les opinions sur une personne pouvant se radicaliser à la lecture d'une phrase anodine"
Sans la connaître rajouterais-je
QED (quod erat demonstratum)
Sur le reste, beaucoup confondent leurs "plaisirs tristes" à se créer un personnage virtuel, mais qui compense quoi en fait ?, qu'ils en oublient que le Net n'est qu'un "divertissement" au sens pascalien du terme pour citer le philosophe préféré d'Achille Talon.
Et qu'être vrai, s'exprimer, aller vers les autres, ne signifie quelque chose qu'en face de la personne
PS : Je précise :-) que je suis tout aussi caustique dans la vie...
Que disais-je ?
"les opinions sur une personne pouvant se radicaliser à la lecture d'une phrase anodine"
Sans la connaître rajouterais-je
QED (quod erat demonstratum)
Sur le reste, beaucoup confondent leurs "plaisirs tristes" à se créer un personnage virtuel, mais qui compense quoi en fait ?, qu'ils en oublient que le Net n'est qu'un "divertissement" au sens pascalien du terme pour citer le philosophe préféré d'Achille Talon.
Et qu'être vrai, s'exprimer, aller vers les autres, ne signifie quelque chose qu'en face de la personne
PS : Je précise :-) que je suis tout aussi caustique dans la vie...
Tu as oublié de dire je pense que je mange les enfants et que je n'ai sans doute pas de coeur :-)
pour le coup je vais l'être, condescendant
définition première de condescendance :
1 - Complaisance qui fait qu’on se rend aux sentiments, aux volontés de quelqu’un.
[…], je vais vous remettre les deux lignes ; vous les porterez au grand homme en l’assurant d’une entière condescendance à ses désirs ; mais à une condition. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
définition première de condescendance :
1 - Complaisance qui fait qu’on se rend aux sentiments, aux volontés de quelqu’un.
[…], je vais vous remettre les deux lignes ; vous les porterez au grand homme en l’assurant d’une entière condescendance à ses désirs ; mais à une condition. — (Honoré de Balzac, Modeste Mignon, 1844)
Que disais-je ?Mais toutes tes phrases sont anodines, mon grand. C'est en cela que tu es pénible.
"les opinions sur une personne pouvant se radicaliser à la lecture d'une phrase anodine"
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