Le petit Julien en salle d'étude se mouille les doigts et se frotte le front en apprenant ses leçons.
Intrigué, le surveillant se rapproche et demande à Julien la raison de ce geste.
Ben ! hier soir je suis passé devant la chambre de mes parents et maman disait à papa "mouille la tête ça rentre mieux " ( je sors)
Intrigué, le surveillant se rapproche et demande à Julien la raison de ce geste.
Ben ! hier soir je suis passé devant la chambre de mes parents et maman disait à papa "mouille la tête ça rentre mieux " ( je sors)
Le premier jour, Dieu a créé la vache et lui dit,
- ''Reste au champ avec le fermier toute la journée et souffre sous le soleil. Fait des veaux et donne du lait pour soutenir le fermier. je te donne une durée de vie de 60 ans.''
La vache répondit,
- ''c'est une sacrée vie dure que tu veux pour moi pendant 60 ans. C'est ok pour 20 ans et je te rends les 40 autres.''
Et Dieu a été d'accord.
Le deuxième jour, Dieu a créé le chien. Dieu a dit,
- ''Reste assis toute la journée sur le seuil de la porte de la maison et aboie sur quiconque entre ou passe devant. Je te donne une durée de vie de 20 ans.''
Le chien a dit, ''c'est trop long pour aboyer. Donne-moi 10 ans et je te rends les 10 autres.''
Alors Dieu a été à nouveau d'accord.
Le troisième jour Dieu a créé le singe et lui dit,
- ''Amuse les gens, fait des tours savants, fait les rire. Je te donne une durée de vie de 20 ans.''
Le singe a dit, ''Faire des singeries pendant 20 ans ? C'est trop chiant ! Le chien t'a rendu 10 ans, non ? Ben je fais pareil, ok ?''
Encore une fois Dieu a été d'accord.
Le quatrième jour Dieu a créé l'homme. Dieu a dit, '
- 'Mange, dors, joue, baise, amuse toi. Glande un rien, Je te donne 20 ans.''
L'homme répondit, ''Quoi ? Seulement 20 ans ? Que dalle ! Écoute, je prends mes 20, les 40 que la vache a rendus, les 10 du chien et les 10 du singe. Ça fait 80, ok ?''
- ''Ok!'' répondit Dieu. ''Marché conclu''.
C'est ainsi que pendant les 20 premières années de notre vie nous mangeons, dormons, jouons, baisons, nous amusons et ne faisons rien.
Pendant les 40 années suivantes nous travaillons comme un forçat au soleil pour entretenir notre famille.
Pendant les 10 années suivantes nous faisons des singeries pour distraire nos petits-enfants.
Et pendant les 10 dernières années nous sommes assis devant la maison à aboyer sur tout le monde !
- ''Reste au champ avec le fermier toute la journée et souffre sous le soleil. Fait des veaux et donne du lait pour soutenir le fermier. je te donne une durée de vie de 60 ans.''
La vache répondit,
- ''c'est une sacrée vie dure que tu veux pour moi pendant 60 ans. C'est ok pour 20 ans et je te rends les 40 autres.''
Et Dieu a été d'accord.
Le deuxième jour, Dieu a créé le chien. Dieu a dit,
- ''Reste assis toute la journée sur le seuil de la porte de la maison et aboie sur quiconque entre ou passe devant. Je te donne une durée de vie de 20 ans.''
Le chien a dit, ''c'est trop long pour aboyer. Donne-moi 10 ans et je te rends les 10 autres.''
Alors Dieu a été à nouveau d'accord.
Le troisième jour Dieu a créé le singe et lui dit,
- ''Amuse les gens, fait des tours savants, fait les rire. Je te donne une durée de vie de 20 ans.''
Le singe a dit, ''Faire des singeries pendant 20 ans ? C'est trop chiant ! Le chien t'a rendu 10 ans, non ? Ben je fais pareil, ok ?''
Encore une fois Dieu a été d'accord.
Le quatrième jour Dieu a créé l'homme. Dieu a dit, '
- 'Mange, dors, joue, baise, amuse toi. Glande un rien, Je te donne 20 ans.''
L'homme répondit, ''Quoi ? Seulement 20 ans ? Que dalle ! Écoute, je prends mes 20, les 40 que la vache a rendus, les 10 du chien et les 10 du singe. Ça fait 80, ok ?''
- ''Ok!'' répondit Dieu. ''Marché conclu''.
C'est ainsi que pendant les 20 premières années de notre vie nous mangeons, dormons, jouons, baisons, nous amusons et ne faisons rien.
Pendant les 40 années suivantes nous travaillons comme un forçat au soleil pour entretenir notre famille.
Pendant les 10 années suivantes nous faisons des singeries pour distraire nos petits-enfants.
Et pendant les 10 dernières années nous sommes assis devant la maison à aboyer sur tout le monde !
Géniale Virgile! Morte de rire, mais philosophique aussi!!
Les singeries j'ai déjà commencé!
Je vais quand même essayer de pas trop aboyer sur tout le monde! :-)))))
Les singeries j'ai déjà commencé!
Je vais quand même essayer de pas trop aboyer sur tout le monde! :-)))))
Merci Virgile !
Elle est très bonne ! ;)))
Elle est très bonne ! ;)))
Allez, comme Aria en parlait dans un autre fil je fais remonter celui-ci! :o)
Un petit garçon paysan et son père visitaient un centre commercial. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu'ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s'ouvrir en deux et se refermer. Le petit garçon demanda: "C'est quoi, Père?"
Le père, n'ayant jamais vu un ascenseur auparavant, répondit: "Fils, je n'ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c'est."
Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration, une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu'aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s'ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle.
Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu'à ce que les chiffres se mirent à défiler dans l'ordre inverse. Les murs s'ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 24 ans sortit.
Le père, ne pouvant pas lever les yeux de la jeune femme, murmura à son fils: "Va chercher ta mère."
Un petit garçon paysan et son père visitaient un centre commercial. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu'ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s'ouvrir en deux et se refermer. Le petit garçon demanda: "C'est quoi, Père?"
Le père, n'ayant jamais vu un ascenseur auparavant, répondit: "Fils, je n'ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c'est."
Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration, une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu'aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s'ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle.
Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu'à ce que les chiffres se mirent à défiler dans l'ordre inverse. Les murs s'ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 24 ans sortit.
Le père, ne pouvant pas lever les yeux de la jeune femme, murmura à son fils: "Va chercher ta mère."
L'actrice Rita Hayworth rencontra un jour Albert Einstein : "Maître, nous devrions faire un enfant ensemble. Imaginez qu'il ait ma beauté et votre intelligence."
Ce à quoi Albert Einstein répondit : " Imaginez Madame que ce soit le contraire!"
Ce à quoi Albert Einstein répondit : " Imaginez Madame que ce soit le contraire!"
Je ne sais pas où vous les trouvez, Virgile, vos histoires, mais elles sont excellentes !
Petite fable trouvée sur internet
Un jour, un fleuriste se rendit chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux.
Après sa coupe, il demanda combien il devait. Le coiffeur
répondit:" C'est gratuit, je fais du bénévolat cette semaine". Le fleuriste s'en alla tout content.
Le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur trouva à sa porte une carte de remerciements et une douzaine de roses. Plus tard, c'est le boulanger qui se présenta pour se faire couper les cheveux. Quand il demanda pour payer, le coiffeur lui dit : " Je ne peux
accepter d'argent, cette semaine, je fais du bénévolat". Heureux, le
boulanger s'en alla tout content.
Le lendemain, il déposa à la porte du coiffeur une douzaine de croissants, avec un mot de remerciements.
Puis, ce fut le député du département qui se présenta, lorsqu'il voulut payer, le coiffeur lui répondit :"Mais non, c'est gratuit, je fais mon bénévolat" . Très heureux de cette aubaine, le député quitta la boutique.
Le lendemain, quand le coiffeur arriva pour ouvrir, une douzaine de
membres du parlement attendaient pour se faire couper les cheveux gratuitement...
Au rythme où ça va l'antiparlementarisme a de beaux jours devant lui !
Cette histoire illustrait l'attitude de Jérôme Cahuzac qui prétendait se faire rembourser ses frais de déplacement pour venir répondre aux questions de la Commission d'enquête sur son cas personnel !
Un jour, un fleuriste se rendit chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux.
Après sa coupe, il demanda combien il devait. Le coiffeur
répondit:" C'est gratuit, je fais du bénévolat cette semaine". Le fleuriste s'en alla tout content.
Le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur trouva à sa porte une carte de remerciements et une douzaine de roses. Plus tard, c'est le boulanger qui se présenta pour se faire couper les cheveux. Quand il demanda pour payer, le coiffeur lui dit : " Je ne peux
accepter d'argent, cette semaine, je fais du bénévolat". Heureux, le
boulanger s'en alla tout content.
Le lendemain, il déposa à la porte du coiffeur une douzaine de croissants, avec un mot de remerciements.
Puis, ce fut le député du département qui se présenta, lorsqu'il voulut payer, le coiffeur lui répondit :"Mais non, c'est gratuit, je fais mon bénévolat" . Très heureux de cette aubaine, le député quitta la boutique.
Le lendemain, quand le coiffeur arriva pour ouvrir, une douzaine de
membres du parlement attendaient pour se faire couper les cheveux gratuitement...
Au rythme où ça va l'antiparlementarisme a de beaux jours devant lui !
Cette histoire illustrait l'attitude de Jérôme Cahuzac qui prétendait se faire rembourser ses frais de déplacement pour venir répondre aux questions de la Commission d'enquête sur son cas personnel !
Au rythme où ça va l'antiparlementarisme a de beaux jours devant lui !
Cette histoire illustrait l'attitude de Jérôme Cahuzac qui prétendait se faire rembourser ses frais de déplacement pour venir répondre aux questions de la Commission d'enquête sur son cas personnel !
Trop fort ce Jérôme, rien ne l'arrête!
J'aime beaucoup cette histoire lue dans "Tout est sous contrôle", d'Hugh Laurie. Littéralement, elle me ravit !
Il était une fois un homme, paralysé par la peur de l'avion, qui s'adressa à un psychiatre.
Il était persuadé qu'il y aurait une bombe dans le prochain avion qu'il prendrait.
Le psy tenta de l'aider à vaincre sa phobie, sans succès, puis l'envoya chez un statisticien. Sortant sa calculette, le statisticien l'informa : " Il y a une chance sur 500 000 qu'un avion ait une bombe dans sa soute. : OK: "
Pas rassuré pour autant, le type continuait de croire qu'il monterait précisément dans cet avion-là. Le statisticien ressortit sa calculette et demanda: "OK, est-ce que ça irait mieux s'il n'y avait qu'une chance sur 25 millions ?"
"Oui, bien sûr"
"Il y a une chance sur 25 millions qu'il y ait dans votre prochain avion deux bombes sans aucun lien l'une avec l'autre."
Perplexe, le type remarqua : "D'accord, tout cela est fort bien, mais ça m'avance à quoi ?
" Très simple, expliqua le statisticien, mettez une bombe dans votre valise."
Il était une fois un homme, paralysé par la peur de l'avion, qui s'adressa à un psychiatre.
Il était persuadé qu'il y aurait une bombe dans le prochain avion qu'il prendrait.
Le psy tenta de l'aider à vaincre sa phobie, sans succès, puis l'envoya chez un statisticien. Sortant sa calculette, le statisticien l'informa : " Il y a une chance sur 500 000 qu'un avion ait une bombe dans sa soute. : OK: "
Pas rassuré pour autant, le type continuait de croire qu'il monterait précisément dans cet avion-là. Le statisticien ressortit sa calculette et demanda: "OK, est-ce que ça irait mieux s'il n'y avait qu'une chance sur 25 millions ?"
"Oui, bien sûr"
"Il y a une chance sur 25 millions qu'il y ait dans votre prochain avion deux bombes sans aucun lien l'une avec l'autre."
Perplexe, le type remarqua : "D'accord, tout cela est fort bien, mais ça m'avance à quoi ?
" Très simple, expliqua le statisticien, mettez une bombe dans votre valise."
Je n'ai pas besoin d'être borgne, pour apprécier ce qui est à l'œil!
Sais-tu pourquoi certaines personnes veulent être enterrées dans un coin de cimetière ? Pour bénéficier d'un angle mort.
Faut bien reconnaître, que la dernière bière est dure à avaler
L'empalement, n'a jamais été très pieu!
Sais-tu pourquoi certaines personnes veulent être enterrées dans un coin de cimetière ? Pour bénéficier d'un angle mort.
Faut bien reconnaître, que la dernière bière est dure à avaler
L'empalement, n'a jamais été très pieu!
En montagne, un berger, qui mène son troupeau de moutons, croise un gros 4/4 dont sort un homme qui lui propose le marché suivant :
" Si je devine le nombre de vos moutons, m'en donnerez-vous un ?"
Sceptique le berger acquiesce.
L'homme remonte dans son 4/4, active le matériel numérique et déclare :
" Vous avez exactement : 937 moutons! "
Le berger est d'accord, l'homme met un animal dans son coffre puis le berger demande :
"Si je devine votre métier, vous me rendez ma bête ?"
"Oui"
Et le berger affirme :
"Vous êtes consultant"
" Comment avez-vous deviné ?"
" Premièrement, je ne vous ai rien demandé, deuxièmement, vous ne m'avez rien appris de nouveau, troisièmement, vous n'y connaissez rien : la preuve, c'est mon chien que vous avez mis dans votre coffre ..." !
" Si je devine le nombre de vos moutons, m'en donnerez-vous un ?"
Sceptique le berger acquiesce.
L'homme remonte dans son 4/4, active le matériel numérique et déclare :
" Vous avez exactement : 937 moutons! "
Le berger est d'accord, l'homme met un animal dans son coffre puis le berger demande :
"Si je devine votre métier, vous me rendez ma bête ?"
"Oui"
Et le berger affirme :
"Vous êtes consultant"
" Comment avez-vous deviné ?"
" Premièrement, je ne vous ai rien demandé, deuxièmement, vous ne m'avez rien appris de nouveau, troisièmement, vous n'y connaissez rien : la preuve, c'est mon chien que vous avez mis dans votre coffre ..." !
Tu as réussi à faire rire mon mari, moi aussi...mais en général avec lui, c'est pas gagné ! ;-))
Il y avait une variante qui courait de mon temps : Un consultant est un homme à qui, quand on lui demande l'heure, vous demande votre montre pour vous donner l'heure et ensuite empoche la montre. C'est à près la même morale, un homme qui vous dit ce que vous savez en vous faisant payer très cher.
La scène se passe à une époque où les hominidés étaient encore anthropophages.
- "je n'aime pas ma belle-mère", dit l'un (coucou SJB),
- ce à quoi l'autre répond : "mange au moins les carottes..."
- "je n'aime pas ma belle-mère", dit l'un (coucou SJB),
- ce à quoi l'autre répond : "mange au moins les carottes..."
A Central park, New York, une petite fille joue gentiment, quand un énorme pitbull enragé se précipite sur elle, la bave aux lèvres, en aboyant furieusement.
Là-dessus, un type se jette sur le clebs et l'étrangle.
Un policier se précipite et lui dit:
"Monsieur j'ai tout vu, vous êtes un héros. Vous verrez, demain dans tous les journaux, on dira qu'un New-Yorkais a sauvé une petite fille d'une mort atroce."
- Ben... Je ne suis pas New-Yorkais.
- Bah, ça ne fait rien répond le flic, les journaux diront alors qu'un Américain courageux a sauvé une petite fille.
- Je ne suis pas Américain non plus....
Là, le flic le regarde d'un oeil soupçconneux.
"Vous n'êtes pas Américain? Qu'êtes-vous alors?"
-Je suis pakistanais.
Et le lendemain, que lit-on dans les journaux?
Hein?
Hum...
Allez, je vous le dis: "Un terroriste islamique étrangle sauvagement un chien américain."
Là-dessus, un type se jette sur le clebs et l'étrangle.
Un policier se précipite et lui dit:
"Monsieur j'ai tout vu, vous êtes un héros. Vous verrez, demain dans tous les journaux, on dira qu'un New-Yorkais a sauvé une petite fille d'une mort atroce."
- Ben... Je ne suis pas New-Yorkais.
- Bah, ça ne fait rien répond le flic, les journaux diront alors qu'un Américain courageux a sauvé une petite fille.
- Je ne suis pas Américain non plus....
Là, le flic le regarde d'un oeil soupçconneux.
"Vous n'êtes pas Américain? Qu'êtes-vous alors?"
-Je suis pakistanais.
Et le lendemain, que lit-on dans les journaux?
Hein?
Hum...
Allez, je vous le dis: "Un terroriste islamique étrangle sauvagement un chien américain."
Blagues, qu’un enfant m’a racontées.
Un éléphant qui rentre dans un café ; Qu’est-ce qui prend ?
De la place.
Quel poisson, fête jamais on anniversaire ?
Le poisson pané.
Pourquoi les éléphants n’ont pas d’ordinateur ?
Car ils sont peur des souris.
Un éléphant qui rentre dans un café ; Qu’est-ce qui prend ?
De la place.
Quel poisson, fête jamais on anniversaire ?
Le poisson pané.
Pourquoi les éléphants n’ont pas d’ordinateur ?
Car ils sont peur des souris.
Faits d’hivers au printemps 2015. (Ragots d’un joueur de pétanques.)
Echos, d’un pète-encore, dans une triplette…
Un vrai con, narre.
(Surnommé petit bras par une mitoyenne, qui n’est pas du tout Rock mais Voisine).
-« Rappel des faits : Car comme vous le savez… Seules les fées content !
Le bateau coulait, nous prenions l’eau de toutes parts ! *
Autrement dit, en terme Rabelaisien, nous l’avions dans l’os, puisque menés 2-0 !
Cette à l’heure qu’au cours de la troisième partie, qui déjà partait en couille, qu’une de nos boules s’arrangeait, d’un poilant lèche-cul au cochonnet, tandis que nos concurrents, faute de munitions nous regardaient en bleu bite, queue subitement mes deux quidams, voulurent s’la jouer chevaleresque.
Et tout de go déclarèrent: -« Ont n’va pas jouer pour un point non non…, ont Valls’la tirer, hein!
C’est ainsi, qu’à la suite à un tir foireux et donc beaucoup moins silencieux qu’un tire-fesse nous perdîmes la partie.
Maxime :
Echos, d’un pète-encore, dans une triplette…
Un vrai con, narre.
(Surnommé petit bras par une mitoyenne, qui n’est pas du tout Rock mais Voisine).
-« Rappel des faits : Car comme vous le savez… Seules les fées content !
Le bateau coulait, nous prenions l’eau de toutes parts ! *
Autrement dit, en terme Rabelaisien, nous l’avions dans l’os, puisque menés 2-0 !
Cette à l’heure qu’au cours de la troisième partie, qui déjà partait en couille, qu’une de nos boules s’arrangeait, d’un poilant lèche-cul au cochonnet, tandis que nos concurrents, faute de munitions nous regardaient en bleu bite, queue subitement mes deux quidams, voulurent s’la jouer chevaleresque.
Et tout de go déclarèrent: -« Ont n’va pas jouer pour un point non non…, ont Valls’la tirer, hein!
C’est ainsi, qu’à la suite à un tir foireux et donc beaucoup moins silencieux qu’un tire-fesse nous perdîmes la partie.
Maxime :
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