Tant qu'à venir pour la première fois à la rencontre traditionnelle des Céliens, autant faire les choses bien. Or donc, pour moi, ce fut double rencontre. Samedi midi, nous étions six autour de la table. Débézed et Madame DBZ, Minoritaire, Tistou et Madame Tistou, ainsi que votre serviteur. Certes je connaissais déjà DBZ et Mme DBZ, croisés par deux fois à Paris il y a quelques années (2018 ou 2019 ?) ainsi que Minoritaire vu également à Paris pour une mémorable balade dans le quartier du Marais et au Musée Carnavalet (avec aussi Saule et Blue) par contre c'était la première fois que je croisais Tistou "in real life" ! Il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas dit le proverbe, il fallait donc bien qu'un jour je croise la route du grand ordonnateur de "vos écrits". Qu'allait-il penser du piètre contributeur que je suis sur cette partie du site ? J'avoue, j'avais le trac. Pour l'amadouer et m'attirer ses faveurs, connaissant son penchant pour le ballon ovale, je proposais donc un restaurant qui ne pouvait que lui plaire : "le Rugbyman" ! Une institution sur la place Sainte Catherine pour les amateurs de moules ou de homards.
Ce fut un repas joyeux et sympathique, nous avons échangé sur mille sujets, les anecdotes ont fusé, on parla sport, bouquins, retraites, etc et la chaleur du lieu nous fît oublier la morosité de la météo (je me souviens maintenant pourquoi j'ai quitté Bruxelles !).
De retour à l'hôtel, Mino enfourcha son vélo pour aller se préparer pour son tour de chant du soir, Tistou et Mme Tistou bravèrent les éléments pour visiter la plus belle place du monde, quant à moi, ayant eu ma dose de pluie tout vendredi et samedi matin, je passais encore une partie de l'après-midi dans le salon de l'hôtel avec DBZ et Madame. Je pris congé vers 17h, il était temps de se préparer à affronter le second acte.
(fin de la première partie.... )
Ce fut un repas joyeux et sympathique, nous avons échangé sur mille sujets, les anecdotes ont fusé, on parla sport, bouquins, retraites, etc et la chaleur du lieu nous fît oublier la morosité de la météo (je me souviens maintenant pourquoi j'ai quitté Bruxelles !).
De retour à l'hôtel, Mino enfourcha son vélo pour aller se préparer pour son tour de chant du soir, Tistou et Mme Tistou bravèrent les éléments pour visiter la plus belle place du monde, quant à moi, ayant eu ma dose de pluie tout vendredi et samedi matin, je passais encore une partie de l'après-midi dans le salon de l'hôtel avec DBZ et Madame. Je pris congé vers 17h, il était temps de se préparer à affronter le second acte.
(fin de la première partie.... )
En plus, il construit bien son suspense... ;)
Il y a une seconde partie ?
Assemblée restreinte que cette session 2023, la première sans le maître des sceaux, exilé sous nos pieds, au milieu des kangourous et d’une faune pas toujours bienveillante.
Onze, nous étions ; pas très lourd. Et pas mal composée, l’assemblée, de fidèles, mais de fidèles pas forcément présents sur le site. C’est d’ailleurs une constante en fait mais encore plus visible là, onze !
Des fidèles, donc pas beaucoup de nouveaux visages.
Au titre des nouveaux visages, pour ma part, Patman, un disert ex-guide et conseiller émérite, jamais rencontré auparavant autrement que sur les fils de C.L., et un autre visage – en fait déjà vu mais … - je veux parler de la fille aînée de Septularisen (oui, son visage, petite fille, il y a des années ne compte pas) qui n’a cessé de clamer son intention de s’inscrire dans la confrérie Célienne sous le non-énigmatique pseudo de Benjamine (ou peut-être prenai-je mes envies pour des faits acquis ?!).
Pas beaucoup de nouveaux visages mais des visages attendus ;
Septularisen, sans barbe (mais je ne me souvenais plus qu’il en portait une !) et, à l’habitude, toujours porteur d’une valise de romans à échanger. Cette année il était dans un trip polar américain avec le duo infernal Patricia Cornwell, Mary Higgins Clark. Il nous avait habitué à des auteurs plus « Nobel-compatibles » !
Mr Smith, avec bouc taillé en pointe, qui porte en bandoulière sa nouvelle vocation de stand-up man. Et quelque part toujours avec des questions semi-énigmatiques (oui j’associe Mr Smith, qu’on ne voit pas suffisamment sur C.L., à l’énigmatique ?). Cette année je fus désarçonné par un questionnement portant sur l’intérêt de ne pas donner le même poids aux électeurs lors de votes démocratiques. Mr Smith s’y entend pour flotter dans une aura impalpable de mystère …
Bluewitch, la très courageuse organisatrice de nos agapes dans cette période de dépression Célienne, égale à elle-même, et même davantage ! Avec qui malheureusement je n’ai pu échanger bien longtemps, la configuration de notre nouveau lieu n’étant pas pareillement propice à des mouvements browniens et échangistes. Nous lui avons sauvé la mise en la dispensant de comptes d’apothicaire au moment fatal, celui de conclure. Tous nous nous ralliâmes à la division par onze. On n’était clairement plus dans le domaine particulièrement étroit de l’apothèque, on en conviendra.
Ludmilla et Mr Ludmilla. Pour Ludmilla, pareil, quasiment pas échangé ensemble, trop loin. Mais j’avais Mr Ludmilla à mes côtés. C’est ainsi que j’ai compris que l’aspect « traqueuse de plagiats » de Ludmilla avait pris une importance significative. Au point de demander l’habilitation au Tribunal de La Haye pour pouvoir traduire en justice les contrevenants (mais là, je me demande si j’ai vraiment tout compris !).
Et puis au bout de la table les fidèles d’entre les pères - euh les mères – fondatrices de notre site préféré, invisibles sur C.L. mais répondant toujours aux appels de Bluewitch, j’ai nommé Zoom et Sottovoce. A peine le temps d’échanger avec Sottovoce, histoire de comprendre que loin d’être sicilienne elle était une quasi compatriote alpine, ou plutôt transalpine. Zoom quant à elle se montrait inquiète que nous partagions les frais de la bouteille de vin qu’elle estimait avoir sifflée à elle toute seule. Elle n’en montrait pas les symptômes pourtant …
Je ne parlerai pas de Mme Tistou, trônant en bout de table et peu au fait des subtilités typiquement Célienne, certainement plus intéressée par les considérations conseillères, et bruxelloises, de Patman, son voisin. Mais pourtant là on aura fait le tour ; onze vous dis-je.
Beaucoup plus d’absents forcément, pas forcément tous regrettés, notamment certains fantômes qui hantent les dédales de C.L. qui contribuent à saper ce qui faisait la convivialité de C.L.. Mais Saule, St Jean-Baptiste, Marvic, … sans même parler des disparus comme Bolcho … (là il faut imaginer que je prends des accents Maxime LeForestien, ceux-là) :
https://youtu.be/0uT87XQrki0
Où êtes-vous, Saule, St Jean et Marvic … Attendez-moi … (C’est un pastiche, hein ?)
Bon c’est vrai, la maison n’était pas bleue et le quartier n’évoquait pas les rues en pente de San Francisco, mais …
J’aurais pu citer également Minoritaire et Débézed mais eux, justement, ils nous avaient attendus, le midi, pour un moule-frites qui cette fois-ci n’était pas mauvais (mais qu’est-ce que c’est cher moules-frites à BXL ! Indécent !) (oui, mon plus mauvais moules-frites fut à BXL à l’occasion d’un similaire rendez-vous !).
Arrivés pile poil à midi au lieu de rendez-vous, en provenance de Bruges et de son effervescence pré – Tour des Flandres, nous nous retrouvâmes 6 ; Débézed et Mme Débézed (nouveau visage), Minoritaire et Patman. Vous imaginez sans peine le bois cassé sur le dos de certains absents, un grand privilège de ce genre de réunion, dont le principe de base reste ; « les absents ont toujours tort ». Toujours. Un festival de bois cassé et certains profils s’y prêtaient bien, merci à eux.
Débézed s’est montré particulièrement loser sur ce coup puisque ne pouvant assister à la séance plénière du soir pour cause d’une autre réunion-manifestation, dans un pays frontalier, la France, … annulée au dernier moment. Quand ça ne veut pas … Pour autant, lui comme madame se sont montrés beaux joueurs, sans acrimonie.
Minoritaire s’est livré à un hallucinant numéro d’auto-flagellation, se roulant dans le caniveau en nous suppliant de plaider sa cause auprès de la terrible Bluewitch, dont il semble vraiment redouter les foudres. Hélas nous n’avons pu filmer ce moment impressionnant, qui aurait peut-être pu diminuer l’intensité de l’ire Bluewitchienne, à son comble quand elle sût que l’infidèle était au même moment à … un karaoké !! Oui, oui, vous avez bien lu : un karaoké !
S’ensuivit pour Mme Tistou et moi-même un exercice d’équilibrisme de fauteuil roulant à petites roues (oui Mme Tistou a du mal à tenir longtemps la station debout depuis son opération de la sciatique) sur pavés humides et sous bruine désespérante pour notre pèlerinage usuel de collectes de pralines du côté de Grand-Place (les traditions, ça se respecte quoiqu’il en coûte !). L’occasion de constater qu’il y avait toujours des transformations, pas forcément des plus heureuses, dans ce Bruxelles que nous fréquentons maintenant depuis un certain nombre d’années pour vérifier que C.L. existe bien.
Alors oui, C.L. existe toujours. On l’a vu. Mais il serait bon de le régénérer et de revenir à des basiques plus porteurs : la critique de livres et la convivialité, afin d’éviter de faire fuir le monde par des diatribes incessantes.
Et allez tiens, je vous en remets un coup :
https://youtu.be/0uT87XQrki0
Onze, nous étions ; pas très lourd. Et pas mal composée, l’assemblée, de fidèles, mais de fidèles pas forcément présents sur le site. C’est d’ailleurs une constante en fait mais encore plus visible là, onze !
Des fidèles, donc pas beaucoup de nouveaux visages.
Au titre des nouveaux visages, pour ma part, Patman, un disert ex-guide et conseiller émérite, jamais rencontré auparavant autrement que sur les fils de C.L., et un autre visage – en fait déjà vu mais … - je veux parler de la fille aînée de Septularisen (oui, son visage, petite fille, il y a des années ne compte pas) qui n’a cessé de clamer son intention de s’inscrire dans la confrérie Célienne sous le non-énigmatique pseudo de Benjamine (ou peut-être prenai-je mes envies pour des faits acquis ?!).
Pas beaucoup de nouveaux visages mais des visages attendus ;
Septularisen, sans barbe (mais je ne me souvenais plus qu’il en portait une !) et, à l’habitude, toujours porteur d’une valise de romans à échanger. Cette année il était dans un trip polar américain avec le duo infernal Patricia Cornwell, Mary Higgins Clark. Il nous avait habitué à des auteurs plus « Nobel-compatibles » !
Mr Smith, avec bouc taillé en pointe, qui porte en bandoulière sa nouvelle vocation de stand-up man. Et quelque part toujours avec des questions semi-énigmatiques (oui j’associe Mr Smith, qu’on ne voit pas suffisamment sur C.L., à l’énigmatique ?). Cette année je fus désarçonné par un questionnement portant sur l’intérêt de ne pas donner le même poids aux électeurs lors de votes démocratiques. Mr Smith s’y entend pour flotter dans une aura impalpable de mystère …
Bluewitch, la très courageuse organisatrice de nos agapes dans cette période de dépression Célienne, égale à elle-même, et même davantage ! Avec qui malheureusement je n’ai pu échanger bien longtemps, la configuration de notre nouveau lieu n’étant pas pareillement propice à des mouvements browniens et échangistes. Nous lui avons sauvé la mise en la dispensant de comptes d’apothicaire au moment fatal, celui de conclure. Tous nous nous ralliâmes à la division par onze. On n’était clairement plus dans le domaine particulièrement étroit de l’apothèque, on en conviendra.
Ludmilla et Mr Ludmilla. Pour Ludmilla, pareil, quasiment pas échangé ensemble, trop loin. Mais j’avais Mr Ludmilla à mes côtés. C’est ainsi que j’ai compris que l’aspect « traqueuse de plagiats » de Ludmilla avait pris une importance significative. Au point de demander l’habilitation au Tribunal de La Haye pour pouvoir traduire en justice les contrevenants (mais là, je me demande si j’ai vraiment tout compris !).
Et puis au bout de la table les fidèles d’entre les pères - euh les mères – fondatrices de notre site préféré, invisibles sur C.L. mais répondant toujours aux appels de Bluewitch, j’ai nommé Zoom et Sottovoce. A peine le temps d’échanger avec Sottovoce, histoire de comprendre que loin d’être sicilienne elle était une quasi compatriote alpine, ou plutôt transalpine. Zoom quant à elle se montrait inquiète que nous partagions les frais de la bouteille de vin qu’elle estimait avoir sifflée à elle toute seule. Elle n’en montrait pas les symptômes pourtant …
Je ne parlerai pas de Mme Tistou, trônant en bout de table et peu au fait des subtilités typiquement Célienne, certainement plus intéressée par les considérations conseillères, et bruxelloises, de Patman, son voisin. Mais pourtant là on aura fait le tour ; onze vous dis-je.
Beaucoup plus d’absents forcément, pas forcément tous regrettés, notamment certains fantômes qui hantent les dédales de C.L. qui contribuent à saper ce qui faisait la convivialité de C.L.. Mais Saule, St Jean-Baptiste, Marvic, … sans même parler des disparus comme Bolcho … (là il faut imaginer que je prends des accents Maxime LeForestien, ceux-là) :
https://youtu.be/0uT87XQrki0
Où êtes-vous, Saule, St Jean et Marvic … Attendez-moi … (C’est un pastiche, hein ?)
Bon c’est vrai, la maison n’était pas bleue et le quartier n’évoquait pas les rues en pente de San Francisco, mais …
J’aurais pu citer également Minoritaire et Débézed mais eux, justement, ils nous avaient attendus, le midi, pour un moule-frites qui cette fois-ci n’était pas mauvais (mais qu’est-ce que c’est cher moules-frites à BXL ! Indécent !) (oui, mon plus mauvais moules-frites fut à BXL à l’occasion d’un similaire rendez-vous !).
Arrivés pile poil à midi au lieu de rendez-vous, en provenance de Bruges et de son effervescence pré – Tour des Flandres, nous nous retrouvâmes 6 ; Débézed et Mme Débézed (nouveau visage), Minoritaire et Patman. Vous imaginez sans peine le bois cassé sur le dos de certains absents, un grand privilège de ce genre de réunion, dont le principe de base reste ; « les absents ont toujours tort ». Toujours. Un festival de bois cassé et certains profils s’y prêtaient bien, merci à eux.
Débézed s’est montré particulièrement loser sur ce coup puisque ne pouvant assister à la séance plénière du soir pour cause d’une autre réunion-manifestation, dans un pays frontalier, la France, … annulée au dernier moment. Quand ça ne veut pas … Pour autant, lui comme madame se sont montrés beaux joueurs, sans acrimonie.
Minoritaire s’est livré à un hallucinant numéro d’auto-flagellation, se roulant dans le caniveau en nous suppliant de plaider sa cause auprès de la terrible Bluewitch, dont il semble vraiment redouter les foudres. Hélas nous n’avons pu filmer ce moment impressionnant, qui aurait peut-être pu diminuer l’intensité de l’ire Bluewitchienne, à son comble quand elle sût que l’infidèle était au même moment à … un karaoké !! Oui, oui, vous avez bien lu : un karaoké !
S’ensuivit pour Mme Tistou et moi-même un exercice d’équilibrisme de fauteuil roulant à petites roues (oui Mme Tistou a du mal à tenir longtemps la station debout depuis son opération de la sciatique) sur pavés humides et sous bruine désespérante pour notre pèlerinage usuel de collectes de pralines du côté de Grand-Place (les traditions, ça se respecte quoiqu’il en coûte !). L’occasion de constater qu’il y avait toujours des transformations, pas forcément des plus heureuses, dans ce Bruxelles que nous fréquentons maintenant depuis un certain nombre d’années pour vérifier que C.L. existe bien.
Alors oui, C.L. existe toujours. On l’a vu. Mais il serait bon de le régénérer et de revenir à des basiques plus porteurs : la critique de livres et la convivialité, afin d’éviter de faire fuir le monde par des diatribes incessantes.
Et allez tiens, je vous en remets un coup :
https://youtu.be/0uT87XQrki0
Merci à tous pour vos comptes-rendus qui me rappellent de bons souvenirs (même s'il manquait, je n'en doute pas, la célèbre scène du partage de frais !); et surtout qui me font regretter encore plus de ne pouvoir être avec vous.
Pas du tout envie de vieillir, mais hâte de vous revoir, même si tenir ses promesses dans cette époque devient compliqué.
Un remerciement spécial à Bluewitch pour ne jamais baisser les bras !
Pas du tout envie de vieillir, mais hâte de vous revoir, même si tenir ses promesses dans cette époque devient compliqué.
Un remerciement spécial à Bluewitch pour ne jamais baisser les bras !
Comme le dit Tistou, je n'ai été très chanceux sur ce coup. Après dix soirées céliennes sans interruption, les dieux du livre et de la ripaille réunis semblent vouloir se liguer contre moi : en 2019, le premier anniversaire d'un petit-fils était absolument incontournable, en 2020, 2021 et 2022, l'olibrius venu des confins de l'Asie ne m'a pas laissé le choix. Cette année, j'étais très déterminé et j'avais déjà préparé mon voyage quand nous avons appris que notre groupe d'historiens se réunissait le 2 avril alors que nous avions signalé cette date comme peu favorable. Nous aurions pu nous désister mais cette réunion comportait un hommage au premier membre de notre groupe décédé en mai dernier, ... alors, dans ces conditions, nous n'avons pas pu nous soustraire à cet hommage, c'était un peu le référent de notre bande tant dans le domaine intellectuel que dans l'organisation des fêtes et ripailles. Et pour comble de déveine, notre amie organisatrice des festivités et puissance invitante a dû être hospitalisée quelques jours avant notre repas. il était trop tard, dans un contexte de grève, d'annuler nos billets de trains et nos réservations hôtelières.. Alors face de tels événements, nous avons subi mais nous sommes tout de même allé à Bruxelles où j'ai retrouvé quelques amis pour les moules et d'autres à la Foire du livre. Je connais maintenant de nombreux éditeurs et auteurs belges, j'ai pu en saluer quelques-uns : Gérard Adam, Joëlle Aubevert, Carino Bucciarelli, JP Balfroid, M Guzy, P Hénin et quelques autres ... J'aurais voulu rester plus longtemps sur les stands et surtout vous rejoindre pour partager cette soirée.
J'espère que les dieux des agapes et des livres se réuniront pour reconsidérer le sort dont il m'afflige depuis quatre années et que je serai des vôtre l'année prochain. Mais passé un certain âge tout devient de plus en plus aléatoire, alors croisons les doigts et espérons très fort !
J'espère que les dieux des agapes et des livres se réuniront pour reconsidérer le sort dont il m'afflige depuis quatre années et que je serai des vôtre l'année prochain. Mais passé un certain âge tout devient de plus en plus aléatoire, alors croisons les doigts et espérons très fort !
Mais Tistou, nous sommes, nous étions de cœur avec vous.
Où êtes-vous, Saule, St Jean et Marvic …
Et merci pour le compte rendu où tu nous donnes des nouvelles d’un peu tout le monde. C’est comme si nous y étions…
Et tu nous annonces une bonne nouvelle : l’arrivée de Benjamine, l’aînée de Septu. qui, entre parenthèses, serait moins benjamine que son nom l’indique ? Est-ce que c’est celle qui nous ravissait de ses bons mots et que naguère nous avons vue bébé dans les bras de sa maman ? ou la petite jeune-fille à la jolie frimousse que nous avions déjà vue il y a… quelques temps, disons.
Mais pas trop de commérage ! « ça ne nous regarde pas » comme diraient les (farceurs) inconnus.
Et déjà : bienvenue à Benjamine !
Excellent reportage, Patman et on attend la suite annoncée comme un suspense.
(fin de la première partie.... )
Caramba ! Encore raté !
Nous avons failli nous rencontrer, je crois en 2003, il y a vingt ans, quand nous étions encore Bruxellois tous les deux.
Mais ce sera pour la prochaine fois. Parole de CLien !
Mais si, mais si, ma chère Blue, tu racontes à merveille, je vais prendre des leçons…
Je ne raconterai cela jamais aussi bien que Saint-Jean-Baptiste,
Et déjà « à la prochaine ! » et pour la prochaine tu as la main. Je m’en réjouis déjà.
;-))
... il était temps de se préparer à affronter le second acte.
(fin de la première partie.... )
Direction donc "La Manufacture", le restaurant qui accueillait les agapes céliennes version 2023. Comme son nom l'indique, cet établissement est un ancien atelier qui a accueilli autrefois une imprimerie puis un atelier d'assemblage de la célèbre marque DELVAUX. Le quartier n'est pas vraiment dans le cœur touristique de Bruxelles, c'est un ancien quartier industriel où se trouvait également la Brasserie L’Étoile, la poudrière ou encore la tour à plombs... Je l'ai sillonné quelquefois lorsque je travaillais à "La Fonderie". S'il y en a que ça tente, voici un lien :
https://lafonderie.be/2023/03/…
Arrivé très en avance, je trouvais porte close et m'en allais donc refaire un tour pour humer l'air du quartier à la recherche de sensations oubliées.De retour vers 18h45, j’avisais deux personnes blotties sous un parapluie (scène normale à Bruxelles) qui attendaient devant le restaurant, il s'agissait de Ludmilla et Mr Ludmilla, mais ne les connaissant pas, je n'osais les importuner. Arrivèrent alors quasi simultanément Tistou et Mme Tistou ainsi que notre sorcière bien-aimée et Mr Smith... Nous pouvions entrer et nous installer à la table qui nous était réservée. Septularisen et "Benjamine" ainsi que Sottovoce et Zoom nous rejoignirent bien vite, Un bref instant, on espéra voir arriver Saule chevauchant un kangourou...
Onze, le compte est bon... juste de quoi faire une équipe de foot en espérant que personne ne se blesse faute de remplaçants ! Le coup d'envoi est donné, l'apéro commandé, les conversations peuvent démarrer. La disposition de la tablée et le brouhaha ambiant ne facilitèrent pas les grands discours, assis en bout de table, je n'ai malheureusement pas eu l'occasion d'échanger beaucoup avec Zoom et Sottovoce que je n'avais pas vues depuis plus de 20 ans, au tout début de CL.Guère plus avec Ludmilla (alias Miss Marple) dissimulée à ma vue par "Septu" (s'il me permet ce diminutif bien familier). En ce qui me concerne, je devisais donc essentiellement avec Tistou et Mme Tistou, Mr Ludmilla (rebaptisé Ludovic par la grâce de Blue) Septularisen et Benjamine. Un peu aussi avec Bluewitch qui, en stratège accomplie des rencontres céliennes, s'était installée en milieu de tablée et avait donc la possibilité de papoter un coup à gauche, un coup à droite ! L'art du placement, c'est important ! Il fut question en vrac de Prix Nobel tatoués qui plagient éhontément nos critiques sur un site concurrent tout en faisant du stand up . On a dit du mal des absents bien sûr, et comme pour une fois j'étais là, j'ai été épargné, On a même rit un peu. Échanges de livres il y eu, mais le mien ne trouva pas preneur, je l'ai donc remis dans ma poche (format pour lequel il est conçu) et j'en ai rattaqué la lecture dans le train du retour.
Nous mangeâmes ma foi fort bien, le vin était bon (non, Zoom n'a pas sifflé la bouteille toute seule !) et arriva bientôt (bien trop tôt) l'instant crucial que chacun attendait, celui pour lequel, je l'avoue, j'étais venu à cette rencontre, ce moment épique tant décrit dans les comptes-rendus des années précédentes : l'heure des comptes ! Je m'apprêtais à vivre enfin ce moment intense où notre Bluewitch allait s'emberlificoter dans des liasses de billets et des monceaux de pièces, maudire Caishen, Mercure, Ploutos, Mammon et les autres divinités monétaires, compter et recompter les sous. s'arracher des touffes entières de sa blonde crinière en jurant que l'on ne l'y reprendrait plus.Partagé entre un sentiment de pitié pour l'amie et un désir pervers et coupable de la voir s'escrimer avec des chiffres, j'en ai été pour mes frais ! Blue régla le problème en un tournemain ! Même pas mal ! Fingers in the nose ! C'est qui la cheffe ????
L'heure était donc déjà aux "au-revoir", la soirée m'a semblé courte mais la fatigue était bien là en rentrant à l'hôtel. Belle expérience, à revivre l'an prochain j'espère. Critiqueslibres n'est pas encore mort, même si, comme le dit Tistou, il aurait bien besoin d'un petit coup de boost ;-)
Troisième partie !
Car troisième partie il y eut…
Le restaurant nous ayant plus ou moins mis dehors vers 23h, nous restâmes 4 : Septularisen, Benjamine, MrLudmilla et moi-même.
Hébergés par le Greenwich -on m’a dit que les toilettes hommes y valaient le coup d’œil (118 ans d’âge), mais je n’ai pas pu vérifier… - nous n’avons pas vu le temps passer jusqu’à ce que la fatigue nous rattrape un peu avant 1h et mette fin pour de bon à la rencontre CL 2023
Car troisième partie il y eut…
Le restaurant nous ayant plus ou moins mis dehors vers 23h, nous restâmes 4 : Septularisen, Benjamine, MrLudmilla et moi-même.
Hébergés par le Greenwich -on m’a dit que les toilettes hommes y valaient le coup d’œil (118 ans d’âge), mais je n’ai pas pu vérifier… - nous n’avons pas vu le temps passer jusqu’à ce que la fatigue nous rattrape un peu avant 1h et mette fin pour de bon à la rencontre CL 2023
Tout d'abord merci et bravo à cette merveilleuse équipe qui sait sans pareil accepter les non pratiquants (la critique) et les mettre à l'aise.
3 sur 11, ça commence à se savoir… Une question me taraude : que va-t-il se passer quand le nombre de non-CLiens dépassera le nombre de CLiens ? Vivement que les exilés reviennent.
Un grand merci à notre sorcière bleue pour son organisation sans faille et le choix de notre tanière. La cuisine était délicieuse et la salle pas trop bruyante.
J’ai bien aimé le jeu-énigme de chassé-croisé du rendez-vous où les convives font un tour, puis s’en vont en se demandant pourquoi les autres ne sont pas là…
Je m'émerveille chaque année de la personnalité de chacun. Découverte de Patman dont nous avons admiré le carnet d'adresses, un petit coucou à Mme Tistou que j'avais eu le bonheur de rencontrer en Isère, de Benjamine dont j'ai eu le plaisir de titiller la fibre féministe, d’autant que le papa a du répondant.
Pour nous, la soirée s'est prolongée autour d'un verre entre les Ludmilla , Septularisen et Benjamine. Le plus fabuleux étant les toilettes, pas ou peu goutées par ces dames, mais chacun sa zone d’intérêt. Charmant moment malgré deux petites rechutes de babelioite de Mme Ludmilla : on n’oublie pas un traumatisme, on apprend à vivre avec.
A la sortie, Benjamine s’est mise à jouer à une sorte de jeu de Pokemon GO dont le principe est de mesurer le « prix » suivant l’endroit où l’on se trouve.
Parti de 35 (c’était pas des °C ! ni le taux d’humidité !), on a eu 28 à un carrefour, ce qui a incité Septularisen et Benjamine à bifurquer loin de la bourse. Comme ils avaient l’air d’accord pour la première fois de la soirée, nous n’avons pas essayé de les contrarier. Leur conclusion était que, comme on était proche du dernier tram, il fallait marcher d’abord (comprenne qui pourra).
Ludovique.
3 sur 11, ça commence à se savoir… Une question me taraude : que va-t-il se passer quand le nombre de non-CLiens dépassera le nombre de CLiens ? Vivement que les exilés reviennent.
Un grand merci à notre sorcière bleue pour son organisation sans faille et le choix de notre tanière. La cuisine était délicieuse et la salle pas trop bruyante.
J’ai bien aimé le jeu-énigme de chassé-croisé du rendez-vous où les convives font un tour, puis s’en vont en se demandant pourquoi les autres ne sont pas là…
Je m'émerveille chaque année de la personnalité de chacun. Découverte de Patman dont nous avons admiré le carnet d'adresses, un petit coucou à Mme Tistou que j'avais eu le bonheur de rencontrer en Isère, de Benjamine dont j'ai eu le plaisir de titiller la fibre féministe, d’autant que le papa a du répondant.
Pour nous, la soirée s'est prolongée autour d'un verre entre les Ludmilla , Septularisen et Benjamine. Le plus fabuleux étant les toilettes, pas ou peu goutées par ces dames, mais chacun sa zone d’intérêt. Charmant moment malgré deux petites rechutes de babelioite de Mme Ludmilla : on n’oublie pas un traumatisme, on apprend à vivre avec.
A la sortie, Benjamine s’est mise à jouer à une sorte de jeu de Pokemon GO dont le principe est de mesurer le « prix » suivant l’endroit où l’on se trouve.
Parti de 35 (c’était pas des °C ! ni le taux d’humidité !), on a eu 28 à un carrefour, ce qui a incité Septularisen et Benjamine à bifurquer loin de la bourse. Comme ils avaient l’air d’accord pour la première fois de la soirée, nous n’avons pas essayé de les contrarier. Leur conclusion était que, comme on était proche du dernier tram, il fallait marcher d’abord (comprenne qui pourra).
Ludovique.
Troisième partie !
Hébergés par le Greenwich -on m’a dit que les toilettes hommes y valaient le coup d’œil (118 ans d’âge), mais je n’ai pas pu vérifier… -
Je confirme, les toilettes hommes du Greenwich sont incroyables et figurent même dans certains guides touristiques !
Cette brasserie Art Nouveau était jadis le temple des joueurs d'échec, c'est le seul bistrot bruxellois où l'on entendait une mouche voler alors qu'il était bondé ! Son décor magnifique attira plusieurs fois des réalisateurs de cinéma et notamment en 1989 Jacques Ruffio pour L'Orchestre Rouge avec Claude Brasseur (...et moi comme figurant !!!!) ... Il a failli disparaître lors de la crise Covid comme la Fleur en Papier Doré, mais il a eu plus de chance. J'ai voulu y aller le vendredi soir mais c'était bondé !
@Patman, Je n'ai fait que survoler l'article, mais le gérant du Verschueren devrait reprendre la Fleur en Papier doré :
https://vrt.be/vrtnws/fr/…
https://vrt.be/vrtnws/fr/…
@Patman, Je n'ai fait que survoler l'article, mais le gérant du Verschueren devrait reprendre la Fleur en Papier doré :
https://vrt.be/vrtnws/fr/…
Voilà une excellente nouvelle !
@Patman, Je n'ai fait que survoler l'article, mais le gérant du Verschueren devrait reprendre la Fleur en Papier doré :
https://vrt.be/vrtnws/fr/…
Une excellente raison pour programmer un nouveau voyage à Bruxelles !
J'ignore s'il y a un lien de cause à effet mais je viens d'apprendre que LA MANUFACTURE, le restau qui a accueilli les agapes céliennes de 2023, a définitivement fermé ses portes après 30 ans de bons et loyaux services !!!! Nous n'avons pas dépensé suffisamment pour les aider à se sortir de leurs problèmes financiers et leur éviter la faillite :-(
J'ignore s'il y a un lien de cause à effet mais je viens d'apprendre que LA MANUFACTURE, le restau qui a accueilli les agapes céliennes de 2023, a définitivement fermé ses portes après 30 ans de bons et loyaux services !!!! Nous n'avons pas dépensé suffisamment pour les aider à se sortir de leurs problèmes financiers et leur éviter la faillite :-(
Décidément, nous ne portons pas bonheur à nos établissements hôtes !
Charmant moment malgré deux petites rechutes de babelioite de Mme Ludmilla : on n’oublie pas un traumatisme, on apprend à vivre avec.
On ne se refait pas!
Mais, heureusement que nous avons notre chère Ludmilla pour veiller sur l’intégrité de nos critiques!
A la sortie, Benjamine s’est mise à jouer à une sorte de jeu de Pokemon GO dont le principe est de mesurer le « prix » suivant l’endroit où l’on se trouve.
Parti de 35 (c’était pas des °C ! ni le taux d’humidité !), on a eu 28 à un carrefour, ce qui a incité Septularisen et Benjamine à bifurquer loin de la bourse. Comme ils avaient l’air d’accord pour la première fois de la soirée, nous n’avons pas essayé de les contrarier. Leur conclusion était que, comme on était proche du dernier tram, il fallait marcher d’abord (comprenne qui pourra).
En fait, pour la petite histoire, nous cherchions le prix le moins cher pour prendre un Uber et rentrer dans notre modeste demeure...
Bizarrement (?), nous avons remarqué que, - comme par hasard -, plus on s'éloigne de la Grand Place, plus le tarif diminue... Allez donc comprendre des choses comme celles-là!.. ;~D))
J'ignore s'il y a un lien de cause à effet mais je viens d'apprendre que LA MANUFACTURE, le restau qui a accueilli les agapes céliennes de 2023, a définitivement fermé ses portes après 30 ans de bons et loyaux services !!!! Nous n'avons pas dépensé suffisamment pour les aider à se sortir de leurs problèmes financiers et leur éviter la faillite :-(
Décidément, nous ne portons pas bonheur à nos établissements hôtes !
Conclusion : Blue, ne réserve surtout pas au Falstaff, - ni au Cirio d'ailleurs -, l'année prochaine!.. ;-D))
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