Habari za asubuhi ? Good Morning ! Bonjour à tous !
Bienvenu à bord de cet avion Airbus A380 spécialement affrété par Air CL. En partance pour Dodoma, capitale de la Tanzanie, nous parcourons aujourd’hui une distance d’environ 7000km (à vol d’oiseau) et incluant un court arrêt, la durée totale de ce vol sera d’approximativement 18 heures.
Une fois arrivés à destination, l’un de nos agents au sol vous accompagnera jusqu’à la sortie où vous serez accueillis par votre guide, Monsieur Abdulrazak Gurnah, ainsi que par Madame Anne-Cécile Padoux qui assurera la communication (traduction) en français.
Professeur émérite et écrivain récemment couronné du Prix Nobel de littérature, Monsieur Gurnah vous emmènera, grâce à la magie des mots, au tournant du XXe siècle, dans une petite ville appelée Kawa, lieu à partir duquel votre périple en ‘Paradis’ débutera.
Votre itinéraire comporte 6 volets, six chapitres à l’issue desquels vos principaux points de ralliement devraient s’organiser afin que vous puissiez vous retrouver pour échanger à loisir vos impressions, vos découvertes, vos ressentis, vos interrogations, etc.
Notre départ est maintenant imminent, en préparation du décollage, nous vous demandons de bien vouloir regagner votre siège, ranger vos effets sous le siège avant ou dans le coffre du haut, redresser votre dossier et attacher votre ceinture. Pour toute question ou si vous avez besoin d’assistance n’hésitez pas de vous rapprocher de l’un de nos agents.
Nous vous remercions d’avoir choisi Air CL et vous souhaitons bon voyage!
*
NOTE : ‘Habari za asubuhi’ est une forme de salutation usuelle, une manière de dire ‘ bonjour’ en swahili.
Bienvenu à bord de cet avion Airbus A380 spécialement affrété par Air CL. En partance pour Dodoma, capitale de la Tanzanie, nous parcourons aujourd’hui une distance d’environ 7000km (à vol d’oiseau) et incluant un court arrêt, la durée totale de ce vol sera d’approximativement 18 heures.
Une fois arrivés à destination, l’un de nos agents au sol vous accompagnera jusqu’à la sortie où vous serez accueillis par votre guide, Monsieur Abdulrazak Gurnah, ainsi que par Madame Anne-Cécile Padoux qui assurera la communication (traduction) en français.
Professeur émérite et écrivain récemment couronné du Prix Nobel de littérature, Monsieur Gurnah vous emmènera, grâce à la magie des mots, au tournant du XXe siècle, dans une petite ville appelée Kawa, lieu à partir duquel votre périple en ‘Paradis’ débutera.
Votre itinéraire comporte 6 volets, six chapitres à l’issue desquels vos principaux points de ralliement devraient s’organiser afin que vous puissiez vous retrouver pour échanger à loisir vos impressions, vos découvertes, vos ressentis, vos interrogations, etc.
Notre départ est maintenant imminent, en préparation du décollage, nous vous demandons de bien vouloir regagner votre siège, ranger vos effets sous le siège avant ou dans le coffre du haut, redresser votre dossier et attacher votre ceinture. Pour toute question ou si vous avez besoin d’assistance n’hésitez pas de vous rapprocher de l’un de nos agents.
Nous vous remercions d’avoir choisi Air CL et vous souhaitons bon voyage!
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NOTE : ‘Habari za asubuhi’ est une forme de salutation usuelle, une manière de dire ‘ bonjour’ en swahili.
Bel accueil agent SpaceCadet;-;)
N'attendons plus que de savoir quand est fixé le décollage .
N'attendons plus que de savoir quand est fixé le décollage .
Et le contrôle du pass sanitaire ? ;)
Oui, super accueil agent SpaceCadet!
Je suis prête pour le décollage...
Je suis prête pour le décollage...
Maintenant que notre vol est bel et bien affiché sur le grand tableau (merci à Ludmilla) et qu'assis dans nos sièges nous patientons gentiment, afin d'éviter de nous superposer avec les célébrations Céliennes prévues pour la fin du mois, et afin de ne pas pénaliser ceux qui sont prêts, je suggère que l'on commence la lecture dans les jours qui viennent, suivant notre convenance individuelle, bien entendu.
Exception faite de ceux qui se sont pris les pieds dans leur valise ou leur sac de voyage, les autres participant qui, on l'espère, sont en train de presser le pas parmi les couloirs menant à l'ère d'embarquement devraient, on l'espère, être en mesure de se joindre au groupe incessamment sous peu.
Les règles de discussion sont toujours les mêmes (si j'en oublie veuillez me corriger): la courtoisie est de mise; on précise où on en est dans sa lecture avant de lancer un commentaire et on marque un avertissement dans le cas de communications contenant des divulgâchis (spoiler).
(@ Shelton... pour ne pas plomber l'ambiance, j'ai préféré faire l'impasse sur certains détails logistiques..;-) du reste, je sûr que nous avons tous fait le nécessaire).
Exception faite de ceux qui se sont pris les pieds dans leur valise ou leur sac de voyage, les autres participant qui, on l'espère, sont en train de presser le pas parmi les couloirs menant à l'ère d'embarquement devraient, on l'espère, être en mesure de se joindre au groupe incessamment sous peu.
Les règles de discussion sont toujours les mêmes (si j'en oublie veuillez me corriger): la courtoisie est de mise; on précise où on en est dans sa lecture avant de lancer un commentaire et on marque un avertissement dans le cas de communications contenant des divulgâchis (spoiler).
(@ Shelton... pour ne pas plomber l'ambiance, j'ai préféré faire l'impasse sur certains détails logistiques..;-) du reste, je sûr que nous avons tous fait le nécessaire).
Correction: '... parmi les couloirs menant à l'aire d'embarquement...'
(@ Shelton... pour ne pas plomber l'ambiance, j'ai préféré faire l'impasse sur certains détails logistiques..;-) du reste, je sûr que nous avons tous fait le nécessaire).
Non pas moi mais j'embarque quand même :-)
Merci pour ce bel appel Space, j'ai bien reçu le livre et je suis prête à attacher ma ceinture...
Quelques informations avant départ:
La température moyenne actuelle à Dodoma: 30-32°C. Quelques passages nuageux.
La Tanzanie couvre environ 945000 km2.
Situé dans la région sud-est de l’Afrique, en bordure de l’Océan Indien, le pays partage une frontière avec le Kenya, le Burundi, le Malawi, l’Ouganda, le Rwanda, la RDC, le Mozambique et le Malawi. On y trouve trois grands lacs et deux importantes chaînes de montagnes parmi lesquelles se trouve le célèbre Kilimandjaro.
Le pays compte plus de 120 groupes ethniques se partageant plus d’une centaine de langues, le swahili et l’anglais sont les deux langues officielles.
Ville côtière, Dar es Salam est la plus grande ville du pays tandis que Dodoma en est la capitale.
La température moyenne actuelle à Dodoma: 30-32°C. Quelques passages nuageux.
La Tanzanie couvre environ 945000 km2.
Situé dans la région sud-est de l’Afrique, en bordure de l’Océan Indien, le pays partage une frontière avec le Kenya, le Burundi, le Malawi, l’Ouganda, le Rwanda, la RDC, le Mozambique et le Malawi. On y trouve trois grands lacs et deux importantes chaînes de montagnes parmi lesquelles se trouve le célèbre Kilimandjaro.
Le pays compte plus de 120 groupes ethniques se partageant plus d’une centaine de langues, le swahili et l’anglais sont les deux langues officielles.
Ville côtière, Dar es Salam est la plus grande ville du pays tandis que Dodoma en est la capitale.
Je n'ai plus la patience d'attendre, j'ai donc commencé la lecture hier soir.
J'ai lu les quatre premières parties du premier chapitre qui a pour titre anglais 'The Walled Garden' ce qui devrait se traduire par quelque chose comme 'Le jardin enclos'.
Pour le moment je n'ai que quelques remarques générales à apporter.
La prose est fluide. Le vocabulaire est varié sans être trop recherché. Le phrasé n'est pas complexe. Donc ça se lit plutôt facilement.
Le rythme de la narration n'est pas trop lent ni trop rapide. On a l'impression qu'il est conçu pour permettre au lecteur d'absorber les descriptions afin de bien 'visualiser' le contexte et aussi de se familiariser avec les personnages.
Je suis rentré dans le récit sans effort, sans avoir le sentiment d'être 'perdu dans un univers trop étranger ou trop éloigné de ce que je connais'.
Point de vue 'style', je ne vois rien de remarquable au niveau de la prose, c'est-à-dire que pour le moment je ne perçois pas dans l'écriture, de style particulier.
La perspective adoptée, soit celle d'un jeune garçon, n'est pas une nouveauté en littérature. C'est une approche qui généralement fonctionne bien et accroche bien le lecteur. Ici on peut penser qu'en synergie avec les descriptions, on aurait affaire à un roman tourné vers la découverte si bien qu'à permière vue, j'en déduis que le roman s'adresse plus particulièrement à un lecteur 'étranger' (plutôt qu'à un Tanzanien).
J'ai lu les quatre premières parties du premier chapitre qui a pour titre anglais 'The Walled Garden' ce qui devrait se traduire par quelque chose comme 'Le jardin enclos'.
Pour le moment je n'ai que quelques remarques générales à apporter.
La prose est fluide. Le vocabulaire est varié sans être trop recherché. Le phrasé n'est pas complexe. Donc ça se lit plutôt facilement.
Le rythme de la narration n'est pas trop lent ni trop rapide. On a l'impression qu'il est conçu pour permettre au lecteur d'absorber les descriptions afin de bien 'visualiser' le contexte et aussi de se familiariser avec les personnages.
Je suis rentré dans le récit sans effort, sans avoir le sentiment d'être 'perdu dans un univers trop étranger ou trop éloigné de ce que je connais'.
Point de vue 'style', je ne vois rien de remarquable au niveau de la prose, c'est-à-dire que pour le moment je ne perçois pas dans l'écriture, de style particulier.
La perspective adoptée, soit celle d'un jeune garçon, n'est pas une nouveauté en littérature. C'est une approche qui généralement fonctionne bien et accroche bien le lecteur. Ici on peut penser qu'en synergie avec les descriptions, on aurait affaire à un roman tourné vers la découverte si bien qu'à permière vue, j'en déduis que le roman s'adresse plus particulièrement à un lecteur 'étranger' (plutôt qu'à un Tanzanien).
J'ai commencé aussi car impatient, moi aussi... mais je vais attendre un peu avant de livrer mon point de vue légèrement différent de celui de SpaceCadet...
Confortablement installé dans mon fauteuil, j'ai dû m'assouplir un instant car je n'ai pas remarqué que l'avion avait déjà décollé...
Bon allez je commence aussi ce soir... Si je parviens à retrouver le livre, dans le fouillis qui me sert de bibliothèque... ;-D))
Bon allez je commence aussi ce soir... Si je parviens à retrouver le livre, dans le fouillis qui me sert de bibliothèque... ;-D))
Je commencerai ce soir afin de terminer celui que je suis entrain de lire.
Pour toi Septularisen :
Parmi les deux miracles posthumes d'Isabelle de France, ils s'agit à chaque fois de livres, mais le premier pourrait te donner des idées... Un homme, ami d'Isabelle, recherchait un livre d'Isabelle. Après une nuit de prière à la sainte, Isabelle aide à retrouver ce livre perdu qui lui avait appartenu de son vivant. Ce n’est pas extraordinaire, mais avoue que si tu pouvais avoir cette capacité à retrouver tes livres rangés, ça te ferait gagner du temps... Ou, tu n'as qu'à prier saint Isabelle de France !
Parmi les deux miracles posthumes d'Isabelle de France, ils s'agit à chaque fois de livres, mais le premier pourrait te donner des idées... Un homme, ami d'Isabelle, recherchait un livre d'Isabelle. Après une nuit de prière à la sainte, Isabelle aide à retrouver ce livre perdu qui lui avait appartenu de son vivant. Ce n’est pas extraordinaire, mais avoue que si tu pouvais avoir cette capacité à retrouver tes livres rangés, ça te ferait gagner du temps... Ou, tu n'as qu'à prier saint Isabelle de France !
J'ai également entamé la lecture avec les 4 premiers chapitres de la première partie.
J'attends d'avoir terminé celle-ci ("Le jardin clos") pour faire part de mes premières remarques. Je dirais seulement pour le moment que si la prose me paraît assez conventionnelle, l'auteur parvient déjà fort habilement à glisser une grande richesse d'information sur le contexte en même temps qu'une subtile charge émotionnelle.
J'attends d'avoir terminé celle-ci ("Le jardin clos") pour faire part de mes premières remarques. Je dirais seulement pour le moment que si la prose me paraît assez conventionnelle, l'auteur parvient déjà fort habilement à glisser une grande richesse d'information sur le contexte en même temps qu'une subtile charge émotionnelle.
J'ai également entamé la lecture avec les 4 premiers chapitres de la première partie.
J'attends d'avoir terminé celle-ci ("Le jardin clos") pour faire part de mes premières remarques.
Oui. Oui. C'est bien la séquence prévue pour nos commentaires; à la fin de chaque chapitre titré.
Là j'ai dérogé la règle simplement pour annoncer que j'avais commencé la lecture.
*
Bonne lecture à tous/toutes!
Pour toi Septularisen :
Parmi les deux miracles posthumes d'Isabelle de France, ils s'agit à chaque fois de livres, mais le premier pourrait te donner des idées... Un homme, ami d'Isabelle, recherchait un livre d'Isabelle. Après une nuit de prière à la sainte, Isabelle aide à retrouver ce livre perdu qui lui avait appartenu de son vivant. Ce n’est pas extraordinaire, mais avoue que si tu pouvais avoir cette capacité à retrouver tes livres rangés, ça te ferait gagner du temps... Ou, tu n'as qu'à prier saint Isabelle de France !
Beh, le problème est justement que les livres ne sont pas rangés dans ma bibliothèque!... ;~DD))))
J’ai terminé ‘Le jardin clos’.
-Je trouve que l’auteur maîtrise bien ses descriptions. Comme mentionné plus haut, je trouve l’écriture fluide et le récit se lit facilement.
Ca me rappelle un peu d’autres lectures, mais comme je préfère éviter les comparaisons, je n’en dirai pas plus.
-On reste dans le vague au sujet de la relation existant entre l’oncle Aziz et la famille de Yusuf. J’imagine que ça va se préciser plus loin.
-La séparation au moment du départ m’a semblé chargée de ‘non dit’ de ‘retenue’ de la part des adultes, mais plus légère, inconsciente disons, de la part de Yusuf. En même temps j’ai eu le sentiment que ce thème est important chez cet auteur qui a lui-même vécu une séparation similaire.
-J’ai essayé de situer la ville où vit la famille de Yusuf mais ça n’est pas si simple. En me basant sur ce qui est dit au début du récit, à savoir qu’ils sont venus vivre là quatre ans plus tôt, au moment où la ville était en pleine effervescence, etc… J’ai fait une petite recherche concernant la construction de la ligne de chemin de fer et j’ai trouvé ceci :
https://stringfixer.com/fr/Central_Line_(Tanzania)
Sachant que la ligne de chemin de fer aurait été construite par les Allemands entre 1905 et 1914 et que la construction a débuté en partant de la côte pour ensuite s’enfoncer dans les terres, on peut déduire d’une part que la famille de Yusuf est venue s’installer à Kawa dans les années qui ont suivi le début de la construction et que cette ville bénéficiant d’une gare serait située quelque part entre Dar es-Salaam et Dodoma ( ?).
Puis, à tort ou à raison, j’imagine que la résidence de l’oncle Aziz serait située à Dar es-Salaam.
-Le personnage de Khalil m’a semblé difficile à saisir. Son comportement parfois brutal échappe un peu à ma compréhension. Du reste, on sait trop peu de choses à son sujet pour comprendre qui il est.
-L’oncle Aziz semble transporter avec lui une aura de mystère en même temps qu’il suscite le respect; c’est un drôle de personnage, un peu stoïque et comme il garde sa vie privée bien ‘cloisonnée’, forcément on est curieux d’en savoir plus.
-Je trouve que l’auteur maîtrise bien ses descriptions. Comme mentionné plus haut, je trouve l’écriture fluide et le récit se lit facilement.
Ca me rappelle un peu d’autres lectures, mais comme je préfère éviter les comparaisons, je n’en dirai pas plus.
-On reste dans le vague au sujet de la relation existant entre l’oncle Aziz et la famille de Yusuf. J’imagine que ça va se préciser plus loin.
-La séparation au moment du départ m’a semblé chargée de ‘non dit’ de ‘retenue’ de la part des adultes, mais plus légère, inconsciente disons, de la part de Yusuf. En même temps j’ai eu le sentiment que ce thème est important chez cet auteur qui a lui-même vécu une séparation similaire.
-J’ai essayé de situer la ville où vit la famille de Yusuf mais ça n’est pas si simple. En me basant sur ce qui est dit au début du récit, à savoir qu’ils sont venus vivre là quatre ans plus tôt, au moment où la ville était en pleine effervescence, etc… J’ai fait une petite recherche concernant la construction de la ligne de chemin de fer et j’ai trouvé ceci :
https://stringfixer.com/fr/Central_Line_(Tanzania)
Sachant que la ligne de chemin de fer aurait été construite par les Allemands entre 1905 et 1914 et que la construction a débuté en partant de la côte pour ensuite s’enfoncer dans les terres, on peut déduire d’une part que la famille de Yusuf est venue s’installer à Kawa dans les années qui ont suivi le début de la construction et que cette ville bénéficiant d’une gare serait située quelque part entre Dar es-Salaam et Dodoma ( ?).
Puis, à tort ou à raison, j’imagine que la résidence de l’oncle Aziz serait située à Dar es-Salaam.
-Le personnage de Khalil m’a semblé difficile à saisir. Son comportement parfois brutal échappe un peu à ma compréhension. Du reste, on sait trop peu de choses à son sujet pour comprendre qui il est.
-L’oncle Aziz semble transporter avec lui une aura de mystère en même temps qu’il suscite le respect; c’est un drôle de personnage, un peu stoïque et comme il garde sa vie privée bien ‘cloisonnée’, forcément on est curieux d’en savoir plus.
Et en attendant votre arrivée, je m'en vais voir si je ne pourrais pas trouver un coin d'ombre où l'on puisse poser une petite table et quelques assises.. voire de quoi casser la croûte et se désaltérer un peu.
A plus!
A plus!
Pour toi Septularisen :Septu, si Isabelle de France n’exauce pas tes prières tu pourrais te tourner vers saint Antoine.
... retrouver ce livre perdu (...) tu n'as qu'à prier saint Isabelle de France !
Une malheureuse lui avait demandé de prier pour qu’elle retrouve la pièce de monnaie. Le bon saint Antoine lui recommanda de faire de l’ordre dans sa maison et… miracle ! la brave dame retrouva sa pièce.
Essaye ! Avec l’aide de saint Antoine, tu retrouveras peut-être ton livre.
;-))
J’ai raté l’avion mais c’est pas grave. J’enfourche mon vélo et je vous rattrape.
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