Pourquoi Gifford est si "spécial", d'où vient-il...Ah, ça on le sait (très vite en fait).
Alors je l'ai raté. Zut
p.275.
J'ai pris plus de plaisir à lire ces dernières pages qui m'ont semblé plus dynamiques ou alors je m'habitue au roman. C'est vrai que j'ai pu lire 40 pages d'affilée, ce qui peut aider aussi.
L'épisode des bains m'a fait sourire et on a l'impression de ressentir le plaisir de ces hommes de l'ouest lorsqu'ils prennent le bain chaud. Le passage est très bien décrit.
Sally et sa folle équipe m'ont bien amusé aussi. Il y a un petit coup de folie dans ces pages !
J'ai pris plus de plaisir à lire ces dernières pages qui m'ont semblé plus dynamiques ou alors je m'habitue au roman. C'est vrai que j'ai pu lire 40 pages d'affilée, ce qui peut aider aussi.
L'épisode des bains m'a fait sourire et on a l'impression de ressentir le plaisir de ces hommes de l'ouest lorsqu'ils prennent le bain chaud. Le passage est très bien décrit.
Sally et sa folle équipe m'ont bien amusé aussi. Il y a un petit coup de folie dans ces pages !
Je viens de finir le roman !
J'ai beaucoup aimé la fin, après m'être ennuyé durant les pages 280-300. Le travail sur le rythme m'a un peu désarçonné. Je suis passé de passages qui m'ont plu et dont l'écriture est vraiment appréciable à des passages où je faisais de gros efforts pour rester concentré.
Le personnage de Zébulon reste celui qui m'a plus intrigué durant tout le roman, sans doute celui qui m'aura le plus marqué.
J'ai beaucoup aimé la fin, après m'être ennuyé durant les pages 280-300. Le travail sur le rythme m'a un peu désarçonné. Je suis passé de passages qui m'ont plu et dont l'écriture est vraiment appréciable à des passages où je faisais de gros efforts pour rester concentré.
Le personnage de Zébulon reste celui qui m'a plus intrigué durant tout le roman, sans doute celui qui m'aura le plus marqué.
Page 306, ça sent la fin...:-)
Ce sera pour ce soir.
Ce sera pour ce soir.
ça sent la fin...:-)
Ce sera pour ce soir.
Hè bè ! Sissi, c'est comme ça que tu m'attends ?
;-))
Non, je rigole. J'ai eu très peu de temps pour lire tous ces jours ci ; J'en suis toujours à la page 167... Et demain je suis réquisitionné pour des travaux : déménagement, aménagement, etc...
Mais je ne suis pas vraiment en manque. Je trouve le livre amusant à lire mais je n'arrive pas à m'attacher à ces personnages. Je les regarde passer comme on regarde les personnages d'un film cow-boy ; sauf que dans les films cow-boy il y a la beauté des paysages, les galops de chevaux, les flèches des Indiens, les cow-boy qui chantent autour du feu de camp...
Dans le livre, tout ça ne peut pas être aussi spectaculaire, évidemment, mais je trouve que l'auteur ne réussit pas à rendre cette atmosphère typique de l'Ouest, et ses personnages sont vraiment trop stéréotypés – mais je sais, c'est la loi du genre.
Reste l'intrigue qui, ma foi, non ! Je n'accroche pas très fort ; mais je le finirai au petit trot, dès qu'on m'en laissera le temps, parce que, après tout, ce n'est pas un livre ennuyeux et, c'est déjà beaucoup...
Je vais profiter de ce long w-e pour le lire. J'ai le même sentiment que beaucoup d'autres, j'aime bien mais je n'accroche pas plus que ça, c'est une lecture en dents de scie : par moment je suis dedans, par moment j'ai du mal à rester avec l'auteur, je ne sais plus ou j'en étais, de qui on parle ni où l'auteur nous emmène.
ça sent la fin...:-)
Ce sera pour ce soir.
Hè bè ! Sissi, c'est comme ça que tu m'attends ?
Pourtant j'ai lambiné!!!
Non, je rigole. J'ai eu très peu de temps pour lire tous ces jours ci ; J'en suis toujours à la page 167...
Ah ben oui mais tu n'avances pas!! :-))
Bon j'ai terminé, bien aimé mais sans plus.
Alors je l'ai raté. Zut
Grifford, on ne sait pas d'ou il vient. Au début, il est blessé dans la plaine, en train de mourir, et une indienne guériseuse ("Eau qui court sur la plaine") vient le sauver en lui donnant de l'eau et le nourrissant.
Plus tard on le retrouve dans la ville, c'est un artiste qui peint des oiseaux.
C'est un des personnages qui n'est pas connecté aux autres
Je viens de lire une bonne heure d'affilée, c'est une lecture plaisante mais pas mémorable pour moi.
Alors je l'ai raté. ZutMais si, on le sait. Toi aussi tu l'as raté.
Grifford, on ne sait pas d'ou il vient. Au début, il est blessé dans la plaine, en train de mourir, et une indienne guériseuse ("Eau qui court sur la plaine") vient le sauver en lui donnant de l'eau et le nourrissant.
Plus tard on le retrouve dans la ville, c'est un artiste qui peint des oiseaux.
C'est un des personnages qui n'est pas connecté aux autres
Je viens de lire une bonne heure d'affilée, c'est une lecture plaisante mais pas mémorable pour moi.
ça sent la fin...:-)C'est justement parce que tu as lambiné, il fallait le lire au galop (même moi qui lis comme une tortue en deux jours c'était fini).
Ce sera pour ce soir.
Hè bè ! Sissi, c'est comme ça que tu m'attends ?
Pourtant j'ai lambiné!!!
Non, je rigole. J'ai eu très peu de temps pour lire tous ces jours ci ; J'en suis toujours à la page 167...
Ah ben oui mais tu n'avances pas!! :-))
Bon j'ai terminé, bien aimé mais sans plus.
Si Sissi (ouille) lambine, que devrais-je dire, vu qu'elle doit s'enquilller 3 ou 4 bouquins pendant que j'en termine un... :)
J'avais vraiment envie de lire Céline Minard (j'ai toujours envie, d'ailleurs, même hors lecture commune) mais si ce fil m'indique une chose, c'est que c'est un livre qui se lit d'une traite, un livre qu'il ne faut pas trop lâcher souvent ou lire en pointillés.
Du coup, je le garde pour plus tard, pendant ma prochaine semaine de vacances, par exemple, je vais pouvoir lire en continu le soir beaucoup longtemps.
Et merci à Feint pour le tuyau parce que c'est grâce à son blog que j'ai eu envie de découvrir ce livre.
J'avais vraiment envie de lire Céline Minard (j'ai toujours envie, d'ailleurs, même hors lecture commune) mais si ce fil m'indique une chose, c'est que c'est un livre qui se lit d'une traite, un livre qu'il ne faut pas trop lâcher souvent ou lire en pointillés.
Du coup, je le garde pour plus tard, pendant ma prochaine semaine de vacances, par exemple, je vais pouvoir lire en continu le soir beaucoup longtemps.
Et merci à Feint pour le tuyau parce que c'est grâce à son blog que j'ai eu envie de découvrir ce livre.
Bon j'ai terminé, bien aimé mais sans plus.
C'est justement parce que tu as lambiné, il fallait le lire au galop (même moi qui lis comme une tortue en deux jours c'était fini).
Tu crois? Tu crois que je devrais le relire? (Mais plus tard, hein..)
C'est vrai que ceux qui l'ont beaucoup beaucoup aimé l'ont lu d'une traite (Ludmilla, toi, Frunny, Yokyok...), alors peut-être...
Mais bon, beaucoup ont souligné la fluidité de l'écriture, moi je ne l'ai pas ressentie tellement, et il y a même au contraire des passages (j'en parle plus haut) où je trouve qu'il y a trop de phrases apposées.
J'ai trouvé aussi qu'elle abusait des "à la suite de quoi" (c'est peut-être du détail et je suis peut-être une lectrice pénible, mais je l'ai remarqué).
Je ne suis pas sûre qu'une seconde lecture changera quelque chose.
Par contre, il est vrai que je salue vraiment la structure et la construction de ce texte, et si j'ai trouvé ça malgré tout trop décousu, trop dispersé, c'est peut-être, effectivement, parce que j'ai laissé passer trop de temps entre chaque lecture.
Bref. Circonspecte.
Mais toi, qu'as-tu trouvé de si épatant dans ce livre?
Mais il est pas médecin, Grifford? J'ai rien compris non plus? :-))
Mais si il est
**** SPOIL ****
médecin, Gifford. C'est d'ailleurs un des moments fort du livre quand il se remémore comment il a voulu vacciner une tribu d'Indiens contre la variole mais que le bacille s'est réactivé sous l'effet de la chaleur si bien qu'au lieu de les vacciner, il leur a tous inoculé la maladie et tout le village est mort en deux jours. Sauf Eau-qui-court-sur-la-plaine qui avait pressenti le drame et ne s'était pas faite vacciner. C'est fou que vous soyez passés à côté ; c'était un moment tellement marquant !
**** FIN DU SPOIL ****
En ce qui me concerne, j'en suis vers la page 260, je crois, et si j'ai beaucoup apprécié d'avancer vite au début pour ne pas me perdre dans les personnages, depuis qu'ils sont tous réunis et que je les connais mieux, j'apprécie beaucoup de prendre mon temps et de voir la ville grandir avec eux. Je pense le finir ce week-end, mais même si j'ai du ralentir ma lecture ces derniers jours, au final, je ne le regrette pas. (En même temps, pour moi, une semaine pour lire 300 pages, c'est pas si lent que ça...)
**** SPOIL ****
médecin, Gifford. C'est d'ailleurs un des moments fort du livre quand il se remémore comment il a voulu vacciner une tribu d'Indiens contre la variole mais que le bacille s'est réactivé sous l'effet de la chaleur si bien qu'au lieu de les vacciner, il leur a tous inoculé la maladie et tout le village est mort en deux jours. Sauf Eau-qui-court-sur-la-plaine qui avait pressenti le drame et ne s'était pas faite vacciner. C'est fou que vous soyez passés à côté ; c'était un moment tellement marquant !
**** FIN DU SPOIL ****
En ce qui me concerne, j'en suis vers la page 260, je crois, et si j'ai beaucoup apprécié d'avancer vite au début pour ne pas me perdre dans les personnages, depuis qu'ils sont tous réunis et que je les connais mieux, j'apprécie beaucoup de prendre mon temps et de voir la ville grandir avec eux. Je pense le finir ce week-end, mais même si j'ai du ralentir ma lecture ces derniers jours, au final, je ne le regrette pas. (En même temps, pour moi, une semaine pour lire 300 pages, c'est pas si lent que ça...)
Mais il est pas médecin, Gifford? J'ai rien compris non plus? :-))Mais oui (et c'est bien, tu laisses tes petits camarades chercher).
Mais toi, qu'as-tu trouvé de si épatant dans ce livre?J'ai essayé de le dire un peu plus haut :
Céline Minard, ce n'est pas de la littérature de genre, et ce western n'est pas vraiment un western - même si bien sûr elle joue sur les codes du western. En réalité, c'est plutôt de l'ordre du conte, d'où les "invraisemblances" - ou plutôt le "tiré par les cheveux, c'est vrai ; le réalisme n'est pas du tout en jeu ici. Il y a le désir de renouer avec quelque chose qui relève de l'enfance et du plaisir perdu des lectures enfantines, qui se ressource dans le style (Céline Minard peut tout faire sur le plan stylisitique, elle l'a prouvé dans Bastard Battle et Olympia) qui ici garde le souffle de l'épopée en le teintant d'une distance ironique sans se départir de l'apparente simplicité du roman d'aventures de nos rêves d'enfant.Et ce qui m'épate moi personnellement à l'intérieur de de mon moi tout personnel c'est que moi personnellement qui ai beaucoup de réserves sur le genre romanesque - disons, sur tout ce qui a été écrit en français en tant que roman assumé comme tel depuis les années 1870-80 jusqu'à aujourd'hui - j'arrive en la lisant à renouer avec une sorte d'innocence de la lecture. Ça ce n'est pas facile. Bien sûr c'est aussi parce qu'on est pas seulement dans du roman, ou plutôt pas essentiellement dans du roman - je le sens en mettant en regard ses différents livres ; et en même temps ça se sent à peine. Enfin, ça doit se sentir quand même un peu, et à cet égard les réserves de Benjamin dans sa critique sont intéressantes : quelque part c'est bien l'horizon d'attente du lecteur de romans qui est déçu (quand il parle des dialogues ou de l'épaisseur des personnages). Peut-être d'ailleurs n'est-il pas sans signification le fait que ces réserves viennent d'un Américain (au sens continental du terme) : le roman reste sur ce continent un genre contemporain, et d'ailleurs beaucoup plus récent qu'en Europe. En France le roman est une sorte de Paradis perdu, on peut jouer avec le roman, on peut même jouer au roman mais il est assez vain d'en écrire. Mais ça ce n'est que mon avis tout à l'intérieur de mon moi tout personnel.
Ca rassure, je vois que je ne suis pas la seule à m'être un peu perdu au vu du nombre de personnages et du passage de l'un à l'autre, je pense que j'aurai du faire une liste au fur et à mesure.
Ah merci, oui, je me souviens maintenant. C'est un des passages que j'ai lu sans être vraiment dans ma lecture. Je lis très vite, mais quand je suis fatigué ou que j'ai l'esprit ailleurs, je ne rentre pas dans le livre, et c'est probablement dans ces moments que je suis passé à coté de certains passages. En plus, avec l'age, j'ai tendance à relire les livres. Par exemple, j'ai terminé un livre formidable, "Danube", et je le relis (en partie aussi car, pour les mêmes raisons, il y a des passages ou je n'étais pas "dans" le livre).
Je me rend compte que je fonctionne de manière visuelle, les passages qui me marquent sont ceux que j'ai vu en images dans ma tête. Par exemple quand Josh part à l'attaque avec les indiens et que la petite Chinoise le voit et le reconnait à la manière de se tenir en selle. On sait déjà que ces deux vont tomber amoureux. La rencontre entre Hilde et Elie aussi, c'est très bien décrit. Ou quand Jeff (ou est-ce son frête Brad ?) trouve sa terre promise,..
Donc oui, finalement, il y a pas mal de scènes que j'aime, en même temps je suis passé à côté de beaucoup d'autres.
Je me rend compte que je fonctionne de manière visuelle, les passages qui me marquent sont ceux que j'ai vu en images dans ma tête. Par exemple quand Josh part à l'attaque avec les indiens et que la petite Chinoise le voit et le reconnait à la manière de se tenir en selle. On sait déjà que ces deux vont tomber amoureux. La rencontre entre Hilde et Elie aussi, c'est très bien décrit. Ou quand Jeff (ou est-ce son frête Brad ?) trouve sa terre promise,..
Donc oui, finalement, il y a pas mal de scènes que j'aime, en même temps je suis passé à côté de beaucoup d'autres.
J'aime bien ce que tu écris Feint, à propos de l'innocence de la lecture, et je comprends bien le reste aussi, c'est très intéressant.
LesieG, je crois qu'on devrait toujours avoir un bout de papier et noter les choses/personnages importants au fur et à mesure, mais on oublie chaque fois (ou alors on est trop impatient).
LesieG, je crois qu'on devrait toujours avoir un bout de papier et noter les choses/personnages importants au fur et à mesure, mais on oublie chaque fois (ou alors on est trop impatient).
Mais si il estC'est le moment où je me suis rendu compte qu'en réalité j'étais Gifford, que Céline Minard était Eau-qui-court-sur-la-plaine et que les traces qu'elle laissait derrière elle à son (mon) intention, de moins en moins nettes, et que je recherchais avec tant tant d'attention et de plaisir était le roman lui-même.
**** SPOIL ****
médecin, Gifford. C'est d'ailleurs un des moments fort du livre quand il se remémore comment il a voulu vacciner une tribu d'Indiens contre la variole mais que le bacille s'est réactivé sous l'effet de la chaleur si bien qu'au lieu de les vacciner, il leur a tous inoculé la maladie et tout le village est mort en deux jours. Sauf Eau-qui-court-sur-la-plaine qui avait pressenti le drame et ne s'était pas faite vacciner. C'est fou que vous soyez passés à côté ; c'était un moment tellement marquant !
**** FIN DU SPOIL ****
(Parce que quand je lis un grand livre, ma lecture elle-même devient un conte merveilleux.)
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