J'ai été enchanté par ses descriptions de la plaine dans laquelle se perdent et se réfugient Bird et Gifford. Surprenant alors qu'elle privilégiait les gestes et actions depuis le début.
L'on ne dira jamais assez l'importance du cheval pour ces découvreurs de territoire à cette époque. Ils sont vraiment les auxiliaires indispensables de ces hommes tout en ayant leur personnalité singulière.
Tout à fait d'accord avec toi : j'ai jamais autant compris qu'en lisant ce livre pourquoi le vol de cheval était toujours considéré comme quelque chose de si grave, passible de pendaison, dans cet Ouest sauvage.
Deux interventions, deux hauts de page...
p. 141
Dommage qu’il n’y ait pas plus de dialogues. Cela permettrait d’aérer la prose. Et c’est toujours plus authentique et vivant d’entendre des personnages parler, surtout des cowboys pour lesquels nous avons une fascination naturelle.
Dommage qu’il n’y ait pas plus de dialogues. Cela permettrait d’aérer la prose. Et c’est toujours plus authentique et vivant d’entendre des personnages parler, surtout des cowboys pour lesquels nous avons une fascination naturelle.
Pour le moment, je ne m'associerai pas à votre concert de louanges.
Je suis arrivé à la page133.
Les personnages finissent par se rencontrer et j'espère que ça va rebondir et s'animer.
Jusqu'à présent, leur aventure individuelle est bien racontée, on s'y attache mais, ça manque fort de vraisemblance. Toutes ces aventures sont un peu trop tirées par les cheveux, à mon avis.
Mais je présume que c'est la loi du genre : ça continue à ressembler au sénario d'un film cow-boy et les personnages aussi.
Tous les goûts sont dans la nature, ce n'est pas mon genre de livres préféré mais, dans le genre c'est amusant à lire et je pense que ça va déboucher sur du plus intéressant.
Je suis arrivé à la page133.
Les personnages finissent par se rencontrer et j'espère que ça va rebondir et s'animer.
Jusqu'à présent, leur aventure individuelle est bien racontée, on s'y attache mais, ça manque fort de vraisemblance. Toutes ces aventures sont un peu trop tirées par les cheveux, à mon avis.
Mais je présume que c'est la loi du genre : ça continue à ressembler au sénario d'un film cow-boy et les personnages aussi.
Tous les goûts sont dans la nature, ce n'est pas mon genre de livres préféré mais, dans le genre c'est amusant à lire et je pense que ça va déboucher sur du plus intéressant.
Malheureusement, je ne lirai pas ce soir, mon devoir de supporter m'appelle, il y a football : Anderlecht – PSG. Match allé, 5 – 0 pour PSG.
Mais il parait que rien n'est joué... C'est bien vrai ! le ballon roule, comme il se dit dans les populaires...
;-))
Mais il parait que rien n'est joué... C'est bien vrai ! le ballon roule, comme il se dit dans les populaires...
;-))
Pour le moment, je ne m'associerai pas à votre concert de louanges.
Ce n'est pas unanime. Sissi et moi n'accrochent pas.
p. 141
Dommage qu’il n’y ait pas plus de dialogues. Cela permettrait d’aérer la prose. Et c’est toujours plus authentique et vivant d’entendre des personnages parler, surtout des cowboys pour lesquels nous avons une fascination naturelle.
Ah, moi au contraire, je suis absolument ravi que la narration domine. D'abord parce que les dialogues, je ne m'en réjouis finalement que dans les livres que je n'aime pas parce qu'on en tourne alors les pages plus vite. Sinon, on dit tellement plus de choses dans une narration. Ensuite, parce que c'est silencieux, les westerns. Regardez par exemple la longue séquence d'introduction de "Il était une fois l'Ouest", où on entend littéralement une mouche voler. Dans le roman comme dans le western, les dialogues ne sont utiles que s'ils font mouches et/ou véhiculent une idée ; a fortiori dans le roman de western et je trouve que Minard fait ça très bien.
Sinon, je n'ai pas pu avancer aujourd'hui : boulot et foot ce soir. D'ailleurs, SJB, ne te démoralise pas : si la première place semble bel et bien promise au PSG, un bon résultat contre le Benfica ou/et l'Olympiakos peut permettre à Anderlecht d'arracher la qualification pour l'Europa League, qui semble quand même plus à son niveau que la Champions League cette année (cela dit sans condescendance aucune).
Pour le moment, je ne m'associerai pas à votre concert de louanges.
Ce n'est pas unanime. Sissi et moi n'accrochent pas.
C'est vrai, pour le moment, nous n'accrochons pas ! Mais, personnellement, c'est un genre de roman qui ne m'attire pas beaucoup et je manque sans doute de point de comparaison ; dans le genre, c'est probablement une réussite.
De toutes façons, c'est amusant à lire et c'est un vrai roman qui raconte une histoire ; ça devient plutôt rare aujourd'hui, je crois.
Mais, ce qui m'étonne un peu, c'est que Feint parle de grande littérature. C'est bien écrit et le style correspond au fond. Mais moi je parlerais plutôt d'une absence de style qui sert très bien le récit plutôt que de grande littérature. Mais il est vrai aussi que, en fait de littérature, je suis de la vieille, très vieille école...
Je n'y ai vu aucune condescendance, Stavro, seulement de la lucidité...
(cela dit sans condescendance aucune).
;-))
p.161.
Je piétine un peu ... Le choix du western reste original, mais passé ce point, je ne suis pas captivé par l'histoire, ou je n'arrive pas à m'y intéresser totalement. En fait, cela dépend des personnages. Pourtant enfant et ado, j'adorais regarder des westerns.
Certains passages accrochent et d'autres m'ennuient quelque peu ...
Je perçois moins le côté "roman d'aventures" que j'appréciais au début.
Je piétine un peu ... Le choix du western reste original, mais passé ce point, je ne suis pas captivé par l'histoire, ou je n'arrive pas à m'y intéresser totalement. En fait, cela dépend des personnages. Pourtant enfant et ado, j'adorais regarder des westerns.
Certains passages accrochent et d'autres m'ennuient quelque peu ...
Je perçois moins le côté "roman d'aventures" que j'appréciais au début.
Pour le moment, je ne m'associerai pas à votre concert de louanges.Ah mais moi aussi, je suis de la très vieille école : Homère suffirait à mon bonheur.
Ce n'est pas unanime. Sissi et moi n'accrochent pas.
C'est vrai, pour le moment, nous n'accrochons pas ! Mais, personnellement, c'est un genre de roman qui ne m'attire pas beaucoup et je manque sans doute de point de comparaison ; dans le genre, c'est probablement une réussite.
De toutes façons, c'est amusant à lire et c'est un vrai roman qui raconte une histoire ; ça devient plutôt rare aujourd'hui, je crois.
Mais, ce qui m'étonne un peu, c'est que Feint parle de grande littérature. C'est bien écrit et le style correspond au fond. Mais moi je parlerais plutôt d'une absence de style qui sert très bien le récit plutôt que de grande littérature. Mais il est vrai aussi que, en fait de littérature, je suis de la vieille, très vieille école...
Céline Minard, ce n'est pas de la littérature de genre, et ce western n'est pas vraiment un western - même si bien sûr elle joue sur les codes du western. En réalité, c'est plutôt de l'ordre du conte, d'où les "invraisemblances" - ou plutôt le "tiré par les cheveux, c'est vrai ; le réalisme n'est pas du tout en jeu ici. Il y a le désir de renouer avec quelque chose qui relève de l'enfance et du plaisir perdu des lectures enfantines, qui se ressource dans le style (Céline Minard peut tout faire sur le plan stylisitique, elle l'a prouvé dans Bastard Battle et Olympia) qui ici garde le souffle de l'épopée en le teintant d'une distance ironique sans se départir de l'apparente simplicité du roman d'aventures de nos rêves d'enfant.
Mais, ce qui m'étonne un peu, c'est que Feint parle de grande littérature. C'est bien écrit et le style correspond au fond. Mais moi je parlerais plutôt d'une absence de style qui sert très bien le récit plutôt que de grande littérature. Mais il est vrai aussi que, en fait de littérature, je suis de la vieille, très vieille école...
Je ne crois pas que Feint se soit trompé dans la qualité du conseil (un pt'it billet de 1 000 Feint ?). La question n'est pas de savoir si c'est de la "grande" littérature ou pas.
Il y a "quelque chose" dans ce roman (comme dans " L'ami Butler") qui indique sans conteste que nous sommes en présence d'un Ecrivain.
Après, les goûts et les couleurs nous sont propres mais ce n'est pas une "daube" (Merci Aria !)
et ce western n'est pas vraiment un western - même si bien sûr elle joue sur les codes du western. En réalité, c'est plutôt de l'ordre du conte, d'où les "invraisemblances" - ou plutôt le "tiré par les cheveux, c'est vrai ; le réalisme n'est pas du tout en jeu ici. Il y a le désir de renouer avec quelque chose qui relève de l'enfance et du plaisir perdu des lectures enfantines, qui se ressource dans le style (Céline Minard peut tout faire sur le plan stylisitique, elle l'a prouvé dans Bastard Battle et Olympia) qui ici garde le souffle de l'épopée en le teintant d'une distance ironique sans se départir de l'apparente simplicité du roman d'aventures de nos rêves d'enfant.
Je ressens effectivement les choses comme ça.
Pour autant dans l'ensemble je m'ennuie...
C'est trop décousu.
Page 143
*******SPOIL******
Beaucoup beaucoup aimé le chapitre (p133/143) sur la castagne Bird/Zeb au sujet du cheval.
Là, je me suis amusée!
********FIN*******
*******SPOIL******
Beaucoup beaucoup aimé le chapitre (p133/143) sur la castagne Bird/Zeb au sujet du cheval.
Là, je me suis amusée!
********FIN*******
p.161.
Je piétine un peu ... Le choix du western reste original, mais passé ce point, je ne suis pas captivé par l'histoire, ou je n'arrive pas à m'y intéresser totalement. En fait, cela dépend des personnages. Pourtant enfant et ado, j'adorais regarder des westerns.
Certains passages accrochent et d'autres m'ennuient quelque peu ...
Pareil.
c'est hyper fluctuant, par moments je me dis "ça y est, je suis dedans", et le chapitre suivant contredit tout ça...
...ce western n'est pas vraiment un western - même si bien sûr elle joue sur les codes du western. En réalité, c'est plutôt de l'ordre du conte, d'où les "invraisemblances" - ou plutôt le "tiré par les cheveux, c'est vrai ; le réalisme n'est pas du tout en jeu ici.
Hmm, ce n'est pas clair pour moi si l'auteur s'amuse avec les clichés du western ou les prend au sérieux?
Dans le premier cas, je me serais attendu à des touches d'humour.
...ce western n'est pas vraiment un western - même si bien sûr elle joue sur les codes du western. En réalité, c'est plutôt de l'ordre du conte, d'où les "invraisemblances" - ou plutôt le "tiré par les cheveux, c'est vrai ; le réalisme n'est pas du tout en jeu ici.Attention, ce n'est pas du tout une parodie ; c'est plutôt un hommage distancié.
Hmm, ce n'est pas clair pour moi si l'auteur s'amuse avec les clichés du western ou les prend au sérieux?
Dans le premier cas, je me serais attendu à des touches d'humour.
Puisque tout le monde est devant le foot (c'est encore les poules et y'a même pas de buts, alors...) et bien moi je continue! ;-)
Bon, bah tu vois, y aura eu match, SJB. Match bien moche à regarder, mais match quand même. Et je suis pas mécontent pour vous. Nous, on a joué à un petit train de sénateur comme si la répétition du 5-0 était acquise et il a fallu que vous en mettiez un pour qu'on se réveille mollement pendant 2 minutes. Bonne chance pour la course à l'Europa League, nous, avec notre différence de but et la défaite du Benfica, on est quasiment assurés de la qualif, reste à assurer la première place. Pour ça, va falloir jouer un peu mieux.
Bon allez, match terminé, back to the wild wild west !
Bon allez, match terminé, back to the wild wild west !
c'est hyper fluctuant, par moments je me dis "ça y est, je suis dedans", et le chapitre suivant contredit tout ça...
C'est exactement ce que je me suis dit; je pensais que l'arrivée de tous les personnages au même endroit allait clarifier la lecture... mais non !
J'étais trop "larguée" !
Je me suis demandée si je n'allais pas arrêter et reprendre ce livre à zéro pendant une période de vacances.
Pour finalement profiter de mon jour de congé, "m'armer" d'une feuille et d'un crayon pour noter le nom des personnages et me rappeler qui a volé le cheval de qui (rien que ça, ce n'était pas si simple), qui tapait sur qui, arrivé au saloon...
C'est bien la première fois que ça m'arrive !
Cela m'a permis d'aller jusqu'à la page 224 en savourant pleinement l'histoire. J'aime la façon de régler leurs différents ;-) C'est radical, efficace, et lucratif pour Miss Sally !
Il n'y a pas que les chansons qui peuvent être euphorisantes, je trouve ce livre dynamique et gai... c'est assez original dans les romans !
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