Très juste, pour moi l'important c'est d'écrire correctement, être lu relève d'une autre ambition et d'un autre cheminement.
Complètement. Écrire, c'est d'abord une passion, comme on dit. J'ai écrit pendant plus de vingt ans sans rien montrer à personne, ni à aucun éditeur non plus, et j'étais très heureux comme ça. La publication, c'est la cerise sur le gâteau : un peu sucrée, vite mangée. On est le même après qu'avant. (Enfin, il y en a qui l'oublient un peu.)
Pour moi écrire c'est comme une fin, comme un aboutissement, après de longues heures de fréquentation, de confrontation et même d'évaluation de très nombreux auteurs, j'ai voulu mieux comprendre leur cheminement et mes capacités éventuelles. J'ai fait une expérience, je me suis confronté avec la page et j'ai appris surtout à encore mieux lire et à être encore plus exigeant envers les autres. Ce à quoi je ne m'attendais pas !
L'édition me ferait un peu peur, je crains ceux qui me liraient comme je lis les autres !
@ Feint
et pourtant, quand on regarde les rayons d'une librairie "normal", il y a un paquet de livres, souvent dont le style n'apporte rien à la littérature et dont les thèmes sont affligeants de connerie : biographies de stars insignifiantes dont les vingts printemps suffisent malgré tout à remplir 400 pages (ou pire, biographie de footballers) pourtant tout ceci envahit les rayons.
donc tu seras d'accord que les librairies (dans la grande majorité) s'encombrent de ce qui se vend, pas forcément de ce qui est bon, donc, suivant cette logique...
Sans doute, mais faut-il encombrer les librairies pour autant ? Il y a aussi plein de gens qui dansent pour leur plaisir, et certains avec même pas mal de talent, et qui ne rêvent pas pour autant d'en faire une carrière.
et pourtant, quand on regarde les rayons d'une librairie "normal", il y a un paquet de livres, souvent dont le style n'apporte rien à la littérature et dont les thèmes sont affligeants de connerie : biographies de stars insignifiantes dont les vingts printemps suffisent malgré tout à remplir 400 pages (ou pire, biographie de footballers) pourtant tout ceci envahit les rayons.
donc tu seras d'accord que les librairies (dans la grande majorité) s'encombrent de ce qui se vend, pas forcément de ce qui est bon, donc, suivant cette logique...
Ces librairies-là ne sont pas tenues par des libraires. Elles sont à la librairie ce que McDonald est à la restauration. Il y a aussi beaucoup d'excellentes librairies, il y a même un sujet dessus quelque part dans ce forum.
Pour moi l'écriture n'a rien à voir avec la lecture, ce sont deux univers différents. L'écriture doit venir comme quelque chose d'évident, d'essentiel, sinon ça n'existe pas, Je ne comprends pas le problème de la page blanche. Mais c'est une question de tempérament ; être lu est une véritable épreuve, c'est accepter qu'on juge ce qui vient de soi ; je ne sais pas ce qui est le plus orgueilleux , refuser d'être jugé ou penser que ce qu'on a écrit doit être montré à tous ?!
je ne sais pas ce qui est le plus orgueilleux , refuser d'être jugé ou penser que ce qu'on a écrit doit être montré à tous ?!Je crois qu'on peut aussi ne pas montrer ce qu'on écrit pour d'autres raisons que le refus d'être jugé.
Pour moi l'écriture n'a rien à voir avec la lecture, ce sont deux univers différents. L'écriture doit venir comme quelque chose d'évident, d'essentiel, sinon ça n'existe pas, Je ne comprends pas le problème de la page blanche.
Ah ? je me rappelle ouvrir de grands yeux lorsque, sur un autre forum, j'ai discuté avec un autre "aspirant-écrivain" qui me disait qu'il ne lisait jamais car il avait horreur de ça, que les livres l'ennuyaient... comment se relisait-il alors ? je me suis demandée s'il ne souffrait pas d'égocentrisme exacerbé au point de ne supporter la vue que de ses propres lignes !
...être lu est une véritable épreuve, c'est accepter qu'on juge ce qui vient de soi ; je ne sais pas ce qui est le plus orgueilleux , refuser d'être jugé ou penser que ce qu'on a écrit doit être montré à tous ?!
C'est la grande question : pourquoi est-ce qu'on écrit ?
Tu peux la poser à tous les écrivains que tu voies dans les foires, ils te feront toujours une réponse toute faite et qui ne répond pas à la question, parce que, au fond, je crois qu'ils ne le savent pas eux-mêmes.
Personnellement, il m'est arrivé d'écrire mais d'écrire pour moi, pas pour être lu ; parce que j'avais du plaisir à écrire. Mais je me suis aperçu que je plagiais Mauriac, mon auteur favori, alors j'ai arrêté !
;-))
... J'ai fait une expérience, je me suis confronté avec la page et j'ai appris surtout à encore mieux lire et à être encore plus exigeant envers les autres. Ce à quoi je ne m'attendais pas !Intéressant, Dbz, c'est un peu l'expérience que j'ai faite aussi...
Sans que l'on se mente, je pense que l'on écrit pour soi, parce qu'il y a une part de soi qui doit être exprimée, je ne sais plus qui l'a dit dans cette conversation, mais c'est effectivement une forme de thérapie, quelque chose de soi qui doit être matérialisé.
On m'avait posé la question une fois de la raison qui poussait quelqu'un à faire un doctorat de sociologie... dans mon cas, c'était simple, j'avais des questions importantes qui nécessitaient des réponses, alors j'ai étudié ces questions sous tous les angles d'un point de vue extérieur jusqu'à ce que je sois satisfait avec les réponses.
tout ce que l'on fait, c'est pour soi et pour soi d'abord, même une personne qui donne du temps à la soupe populaire le fait pour une raison personnelle avant tout. alors imaginer lorsqu'une personne investit autant de temps et d'énergie dans l'écriture d'une histoire, qu'elle accouche d'une partie d'elle-même... comment voudriez-vous croire que son égo ne prenne pas un peu le dessus ? c'est naturellement impossible, de même que dans un débat d'idées entre plusieurs personnes, aucune ne pourra résister à l'envie de donner son opinion.
la nature humaine est ainsi faite que chacun pense différemment, mais que chacun pense qu'il a raison. alors avant de vous poser la question de savoir qu'est-ce qui permet à une personne avec un manuscrit entre les mains de vouloir le partager, demandez-vous pourquoi vous partagez vos idées sur ce forum, le principe est rigoureusement le même.
On m'avait posé la question une fois de la raison qui poussait quelqu'un à faire un doctorat de sociologie... dans mon cas, c'était simple, j'avais des questions importantes qui nécessitaient des réponses, alors j'ai étudié ces questions sous tous les angles d'un point de vue extérieur jusqu'à ce que je sois satisfait avec les réponses.
tout ce que l'on fait, c'est pour soi et pour soi d'abord, même une personne qui donne du temps à la soupe populaire le fait pour une raison personnelle avant tout. alors imaginer lorsqu'une personne investit autant de temps et d'énergie dans l'écriture d'une histoire, qu'elle accouche d'une partie d'elle-même... comment voudriez-vous croire que son égo ne prenne pas un peu le dessus ? c'est naturellement impossible, de même que dans un débat d'idées entre plusieurs personnes, aucune ne pourra résister à l'envie de donner son opinion.
la nature humaine est ainsi faite que chacun pense différemment, mais que chacun pense qu'il a raison. alors avant de vous poser la question de savoir qu'est-ce qui permet à une personne avec un manuscrit entre les mains de vouloir le partager, demandez-vous pourquoi vous partagez vos idées sur ce forum, le principe est rigoureusement le même.
Ces librairies-là ne sont pas tenues par des libraires. Elles sont à la librairie ce que McDonald est à la restauration. Il y a aussi beaucoup d'excellentes librairies, il y a même un sujet dessus quelque part dans ce forum.
@ Feint,
il y a beaucoup d'excellentes librairies, c'est pour cela que j'ai mis cette précision, ce que j'ai dit c'est qu'il y a beaucoup plus de McDo que de Troisgros.
...être lu est une véritable épreuve, c'est accepter qu'on juge ce qui vient de soi ; je ne sais pas ce qui est le plus orgueilleux , refuser d'être jugé ou penser que ce qu'on a écrit doit être montré à tous ?!Pas plus en littérature qu'autre part, les individus n'obéissent à des mobiles uniques et définitifs. Les raisons d'un jour ne sont pas celles du lendemain; enfin, je n'y crois pas.
C'est la grande question: pourquoi est-ce qu'on écrit?
Là-dessus, question à Feint qui a l'air de s'y connaitre: pourquoi les éditeurs s'attachent-ils aussi systématiquement à un format de document (A4, marges x, etc...)? Dans mon cas, même si ça s'est fait un peu "à l'insu de mon plein gré", mes nouvelles sont illustrées, corrigées, mises en pages et imprimées par des professionnel(le)s. Seul l'auteur se veut amateur (par trouille).
mais après tout, si un auteur a envie de se payer une bonne maquette, qu'est-ce que ça peut bien leur foutre?
Là-dessus, question à Feint qui a l'air de s'y connaitre: pourquoi les éditeurs s'attachent-ils aussi systématiquement à un format de document (A4, marges x, etc...)? Dans mon cas, même si ça s'est fait un peu "à l'insu de mon plein gré", mes nouvelles sont illustrées, corrigées, mises en pages et imprimées par des professionnel(le)s. Seul l'auteur se veut amateur (par trouille).Au cas où l'éditeur est prêt à publier un texte, c'est lui qui décide tout concernant la présentation ; l'auteur n'a pas son mot à dire, et c'est d'ailleurs dans les termes du contrat. (Ce qui se comprend puisque évidemment l'éditeur prend tout à sa charge.) Si on lui envoie un manuscrit où le travail est "déjà fait", ça n'est pas un bon signe qu'on lui adresse : il peut imaginer que l'auteur est tellement attaché à la présentation qu'il propose qu'il va râler si on lui impose autre chose. Les relations entre auteur et éditeur ne sont pas toujours faciles.
Le mieux, c'est de faire la présentation la plus neutre, la plus claire et la plus lisible possible. Après, si les normes concernant les marges, les interlignes et la police (pas trop fantaisiste quand même) ne sont pas respectées, ça n'est pas non plus rédhibitoire.
Gloups ! Crois-moi Virgile, pour avoir acheté 5 livres dans une édition en ligne, pourtant à l'époque compte d'éditeur, la quantité de fautes d'orthographe, le texte non abouti m'a fait reculer à en acheter d'autres !
J'ai l'impression qu'on se mélange de plus en plus les pinceaux entre les éditions en ligne (qui peuvent être à compte d'auteur ou d'éditeur), les petites et grandes maisons d'éditions "traditionnelles", l'autoédition, et l'édition à compte d'auteur "traditionnelle". :-)
Non, pas vraiment. Je pense qu'aujourd'hui sur le net, toutes les éditions te font payer la couv, la relecture etc... ce ne fut pas toujours le cas, mais je pense qu'à leurs débuts certaines de ces éditions en ligne se cherchaient mais elle ont vite vu que cela ne fonctionnerait pas, que le business modèle de l'auteur-client était bien plus rentable que celui d'une édition classique... surtout que même à l'époque le tri n'était pas très sélectif. Tant pis. On s'en remet.
Même si on découvre la ligne rouge de la modération récemment rajoutée... tant pis, j'en ai marre de m'expliquer et chacun se satisfera de sa propre opinion que j'en serai heureuse pour vous. Cela ne m'empêchera pas d'écrire sur Vos écrits ni de (ô mais quelle audace, quelle petite prétentieuse !) retenter ma chance un jour avec plus de discernement cette fois ci. ;)
L'accusation d'orgueil, de vanités et de prétention des aspirants écrivains est très très vieille et battue et rebattue. Évidemment qu'il faut de l'orgueil pour croire que ce que l'on a écrit est lisible par d'autres, mais aussi de la générosité.
Écrire pour soi ? Mais alors pourquoi vouloir être édité ?
Dans les maisons d'éditions traditionnelles, il ne faut pas se leurrer, le manuscrit est lu généralement par un stagiaire débordé payé au lance-pierres qui regardera surtout s'il y a du croustillant pour que ça se vende...
Le problème des "petites" maisons ou de l'auto-édition ou de l'édition en ligne, c'est l'absence souvent totale de recul et d'auto remise en question des auteurs des ces maisons qui prennent toute suggestion raisonnable pour un camouflet moral.
Écrire pour soi ? Mais alors pourquoi vouloir être édité ?
Dans les maisons d'éditions traditionnelles, il ne faut pas se leurrer, le manuscrit est lu généralement par un stagiaire débordé payé au lance-pierres qui regardera surtout s'il y a du croustillant pour que ça se vende...
Le problème des "petites" maisons ou de l'auto-édition ou de l'édition en ligne, c'est l'absence souvent totale de recul et d'auto remise en question des auteurs des ces maisons qui prennent toute suggestion raisonnable pour un camouflet moral.
Dans les maisons d'éditions traditionnelles, il ne faut pas se leurrer, le manuscrit est lu généralement par un stagiaire débordé payé au lance-pierres qui regardera surtout s'il y a du croustillant pour que ça se vende...C'est un peu un mythe, ça. Le "stagiaire" qui a lu le premier le premier manuscrit que j'ai envoyé (par la poste sans rien y connaître), c'était un ancien Prix Goncourt.
je ne sais pas ce qui est le plus orgueilleux , refuser d'être jugé ou penser que ce qu'on a écrit doit être montré à tous ?!
Je crois qu'on peut aussi ne pas montrer ce qu'on écrit pour d'autres raisons que le refus d'être jugé.
Sans doute mais lesquelles ?
En fait ma question ne concernait pas directement le "pourquoi on veut écrire" mais, une fois que l'on a écrit ( ce qui est vraisemblablement au départ une démarche très personnelle ) et que l'on découvre un aspect de soi qui était inconnu, comme si un autre se révélait, en dehors du fait que ça peut être une thérapie (c'est moi qui ai évoqué le "divan":-) qu'est-ce qu'on en fait ? C'est là que se pose pour moi la question de l'orgueil ; il y a des écrits qu'on peut partager sans véritable problème mais il y en a d'autres dont il est clair qu'on désire qu'ils soient lus parce que quelque part on a trouvé que ça en valait la peine, donc qu'on a jugé que ça pouvait être bon. Mais ça implique aussi forcément de se soumettre au jugement des autres ; est-ce orgueilleux de le refuser par exemple, est-ce un manque de courage ? Il faut être honnête, le garder pour soi procure quelque part une insatisfaction même si c'est "confortable" (pas de risques!), mais est-ce que vouloir le livrer aux yeux de tous est déjà comme une lente destruction ?
Feint disait sur un autre forum qu'un auteur n'était jamais satisfait, qu'il n'atteint jamais un but, pourquoi vouloir éditer alors ?
En fait pour moi un livre sera toujours un mystère ; ce n'est pas parce j'écris parfois que je comprends mieux un écrivain, j'ai du mal à séparer l'oeuvre de l'auteur (et je sais que Feint c'est le contraire) car, en dehors bien sûr de ce qui se vend pour "distraire" (et ça a son rôle aussi dans la société mais sur un autre plan), chaque démarche est unique.
Désolée pour mon bla bla, pour cette question : Pourquoi vouloir éditer ?
Désolée pour mon bla bla, pour cette question : Pourquoi vouloir éditer ?Personnellement, ça me sert à arrêter le projet en cours pour passer à un autre. Sans la publication, c'est vrai qu'on a moins de raisons d'arrêter.
Dans les maisons d'éditions traditionnelles, il ne faut pas se leurrer, le manuscrit est lu généralement par un stagiaire débordé payé au lance-pierres qui regardera surtout s'il y a du croustillant pour que ça se vende...
C'est un peu un mythe, ça. Le "stagiaire" qui a lu le premier le premier manuscrit que j'ai envoyé (par la poste sans rien y connaître), c'était un ancien Prix Goncourt.
Je crois que les statistiques c'est 1 livre de retenu (et encore, pas de garantie de publication) sur 1000. Autant dire que la qualité, et l'adéquation avec la fameuse "ligne éditoriale" doivent être au rendez-vous, sauf évidemment pour les ouvrages buzz du dernier gagnant de la star'Ac ou pour les essais sur les politiciens du moment.
Sebkzo, Minoritaire, il est de notoriété que Le Dilletante répond toujours avec une lettre argumentée mais impitoyable ! Donc si vos écrits correspondent à leur ligne (et pour le coup chez eux c'est assez clair) et bien peut-être cela vaut le coup de tenter ? Mais apparemment il ne faut pas être susceptible !
@ Antinea
J'ai reçu la lettre de Dilletante... si on cache le titre, pas de différence avec les autres. Deux petits paragraphes et une signature imprimée. Rien n'est dit dans le contenu
J'ai reçu la lettre de Dilletante... si on cache le titre, pas de différence avec les autres. Deux petits paragraphes et une signature imprimée. Rien n'est dit dans le contenu
je ne sais pas ce qui est le plus orgueilleux , refuser d'être jugé ou penser que ce qu'on a écrit doit être montré à tous ?!
Je crois qu'on peut aussi ne pas montrer ce qu'on écrit pour d'autres raisons que le refus d'être jugé.
Sans doute mais lesquelles ?
En fait ma question ne concernait pas directement le "pourquoi on veut écrire" mais, une fois que l'on a écrit ( ce qui est vraisemblablement au départ une démarche très personnelle ) et que l'on découvre un aspect de soi qui était inconnu, comme si un autre se révélait, en dehors du fait que ça peut être une thérapie (c'est moi qui ai évoqué le "divan":-) qu'est-ce qu'on en fait ? C'est là que se pose pour moi la question de l'orgueil ; il y a des écrits qu'on peut partager sans véritable problème mais il y en a d'autres dont il est clair qu'on désire qu'ils soient lus parce que quelque part on a trouvé que ça en valait la peine, donc qu'on a jugé que ça pouvait être bon. Mais ça implique aussi forcément de se soumettre au jugement des autres ; est-ce orgueilleux de le refuser par exemple, est-ce un manque de courage ? Il faut être honnête, le garder pour soi procure quelque part une insatisfaction même si c'est "confortable" (pas de risques!), mais est-ce que vouloir le livrer aux yeux de tous est déjà comme une lente destruction ?
Feint disait sur un autre forum qu'un auteur n'était jamais satisfait, qu'il n'atteint jamais un but, pourquoi vouloir éditer alors ?
En fait pour moi un livre sera toujours un mystère ; ce n'est pas parce j'écris parfois que je comprends mieux un écrivain, j'ai du mal à séparer l'oeuvre de l'auteur (et je sais que Feint c'est le contraire) car, en dehors bien sûr de ce qui se vend pour "distraire" (et ça a son rôle aussi dans la société mais sur un autre plan), chaque démarche est unique.
Désolée pour mon bla bla, pour cette question : Pourquoi vouloir éditer ?
Maintenant que j'ai terminé, que mon manuscrit est rangé je ne sais même plus très bien où, je pense à autre chose et je n'ai pas très envie de me préoccuper de le faire éditer. J'aimerais seulement savoir s'il assez bon pour être publié, ça me dirait où j'en suis. Mais pour le moment, je n'ai qu'envie d'écrire autre chose, j'ai du mal de regarder en arrière.
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