C'est pour ça que lire la préface de Bartillat est utile. Un petit tour sur Wikipédia permet aussi d'apprendre que Bounine vient d'une famille de poètes issue de la noblesse, qu'il a fui lors de la révolution, d'abord dans les régions sous contrôle des Blancs, puis en France, et que son œuvre a été interdite en Russie jusqu'à la mort de Staline. On ne peut donc pas vraiment dire qu'il appelé le communisme de ses vœux...
Clairement, la description qu'il fait de la paysannerie de son époque appelle à des réformes dans le sens où la situation qu'il présente semble intenable. Mais en aucun cas il ne semble souhaiter une révolution qui propulserait les personnages stupides, méchants, vils et égoïstes qu'il décrit au sommet de la société.
Clairement, la description qu'il fait de la paysannerie de son époque appelle à des réformes dans le sens où la situation qu'il présente semble intenable. Mais en aucun cas il ne semble souhaiter une révolution qui propulserait les personnages stupides, méchants, vils et égoïstes qu'il décrit au sommet de la société.
*ait appelé
Mais Stavro ce qui m'intéresse moi c'est le texte, et que le texte, pas ce qu'il "faut" savoir sur Bounine, ce qu'"on" a dit du "Village", les analyses qui ont été faites (de toute façon les critiques se sont étripées à l'époque!)
Ca je le lirai, mais je le fais toujours "après", sinon la lecture est fatalement influencée.
Ca je le lirai, mais je le fais toujours "après", sinon la lecture est fatalement influencée.
Mais en aucun cas il ne semble souhaiter une révolution qui propulserait les personnages stupides, méchants, vils et égoïstes qu'il décrit au sommet de la société.
Et alors? Ce n'était pas son projet de faire un livre là dessus, la question est de savoir si, à partir du moment où quand bien même les idées dérangent, c'est un mauvais livre?
Dans "Lolita", Nabokov décrit le plaisir immense qu'a un homme à posséder sexuellement une enfant, c'est absolument abject, et pourtant c'est un chef-d'oeuvre littéraire selon moi.
Tu es trop sur le fond, je trouve..
Pour ton premier message, c'est toi même qui disait qu'on ne pouvait pas savoir ce que l'auteur voulait dire sauf à l'interroger. C'est sur ce point que je te répondais.
Quant à mon appréciation très mitigée de cette œuvre, elle porte certes aussi sur la pensée de l'auteur que je perçois, mais avant tout sur le texte lui-même qui, indépendamment de la pensée politique de l'auteur, ne m'a pas vraiment plu pour toutes les raisons évoquées dans ma critique (récit de type chronique long et redondant, personnages peu attachants, style que j'ai trouvé lourd même s'il y a certains beaux passages). Donc ne t'inquiète pas, ce n'est pas pour la pensée de l'auteur que je n'ai pas aimé le texte (je trouve le reproche assez éhonté quand on sait que j'aime des écrivains comme Dosto ou même Céline, Strindberg ou Hamsun et bien d'autres dont je ne partage pas vraiment les opinions politiques). Après, je dis juste que, dans un roman social comme le village, se renseigner sur l'auteur permet de mieux comprendre l'œuvre.
Quant à mon appréciation très mitigée de cette œuvre, elle porte certes aussi sur la pensée de l'auteur que je perçois, mais avant tout sur le texte lui-même qui, indépendamment de la pensée politique de l'auteur, ne m'a pas vraiment plu pour toutes les raisons évoquées dans ma critique (récit de type chronique long et redondant, personnages peu attachants, style que j'ai trouvé lourd même s'il y a certains beaux passages). Donc ne t'inquiète pas, ce n'est pas pour la pensée de l'auteur que je n'ai pas aimé le texte (je trouve le reproche assez éhonté quand on sait que j'aime des écrivains comme Dosto ou même Céline, Strindberg ou Hamsun et bien d'autres dont je ne partage pas vraiment les opinions politiques). Après, je dis juste que, dans un roman social comme le village, se renseigner sur l'auteur permet de mieux comprendre l'œuvre.
Pour ton premier message, c'est toi même qui disait qu'on ne pouvait pas savoir ce que l'auteur voulait dire sauf à l'interroger. C'est sur ce point que je te répondais
Pourquoi, la préface est une interview de Bounine sur les enjeux de son livre?
Quant à mon appréciation très mitigée de cette œuvre, elle porte certes aussi sur la pensée de l'auteur que je perçois, mais avant tout sur le texte lui-même qui, indépendamment de la pensée politique de l'auteur, ne m'a pas vraiment plu pour toutes les raisons évoquées dans ma critique (récit de type chronique long et redondant, personnages peu attachants, style que j'ai trouvé lourd même s'il y a certains beaux passages). Donc ne t'inquiète pas, ce n'est pas pour la pensée de l'auteur que je n'ai pas aimé le texte (je trouve le reproche assez éhonté quand on sait que j'aime des écrivains comme Dosto ou même Céline, Strindberg ou Hamsun et bien d'autres dont je ne partage pas vraiment les opinions politiques). Après, je dis juste que, dans un roman social comme le village, se renseigner sur l'auteur permet de mieux comprendre l'œuvre.
Bien contente que tu reviennes un peu sur l'aspect un peu plus littéraire du texte pour t'expliquer, je trouve que ça rééquilibre un peu les choses. Et c'est justement puisque je connais (un peu) tes goûts que je ne comprenais pas bien cet acharnement très axé sur le fond pour décrier le livre.
Et bien évidemment que se renseigner sur un auteur, son époque, un courant littéraire etc. aide à comprendre une oeuvre, il y a juste quand je lis, je cherche avant tout, en tout cas en premier lieu, à rencontrer un texte, à voir ce qu'il me dit, m'apprend, me fait.
J'ai besoin de ressentir plus que de comprendre. Après, souvent je me renseigne, et d'ailleurs- c'est un autre débat- quand ça ne colle pas du tout, quand je ne pensais pas que l'enjeu était celui-là etc...je me demande si c'est forcément de ma faute, moi la lectrice qui n'ai rien compris..
Nous en reparlerons quand j'aurai terminé, mais sinon et pour conclure, je ne suis ni inquiète de quoi que ce soit ni en train de te faire de quelconques reproches.
Pour ton premier message, c'est toi même qui disait qu'on ne pouvait pas savoir ce que l'auteur voulait dire sauf à l'interroger. C'est sur ce point que je te répondais
Pourquoi, la préface est une interview de Bounine sur les enjeux de son livre?
Non, mais elle le cite plusieurs fois. Notamment pour dire que pour Bounine, "ce n'est pas l'idéologie qui mène la révolution, mais la stupidité" ou encore "la révolution [de 1905, soit avant l'écriture du livre] est en train de donner naissance à de vrais barbares, comme ceux qui ravagèrent Rome".
Il y a donc quelques infos de première main qui permette de jeter un certain regard sur l'œuvre.
Quant au fait que tu préfères te concentrer dans un premier temps sur le texte, c'est tout à fait ton droit et je procède de la même façon, ne lisant les préfaces qu'après le texte (notamment pour en faire la critique). Après, il se trouve que Piero a déjà lu le livre et en a eu une lecture différente, c'est donc en premier lieu pour "confronter" la mienne à la sienne que je parle de tout ça. Rien ne t'empêche évidemment de contribuer à ce fil, mais si ça te gêne dans ta lecture d'avoir ces éléments a priori, rien ne t'oblige à y participer non plus. Tu peux très bien lire tranquille et venir après. Cependant, Piero et moi ayons fini, on n'est peut-être pas obligés de t'attendre pour avoir le droit de discuter, si ?
Cependant, Piero et moi ayons fini, on n'est peut-être pas obligés de t'attendre pour avoir le droit de discuter, si ?
Pourquoi cette question, puisque tu sais très bien que la réponse est non? (Vous n'êtes pas obligés de m'attendre).
Et il est vrai, j'avais dit que je me tairais.
Mille excuses et cette fois je le fais.
Ah mais tu vois Stavro je n'ai encore rien lu sur Bounine (pour ne pas m'influencer) à part les quelques éléments sur la quatrième de couverture ; et ce que tu dis de lui ne m'étonne pas du tout et c'est pourquoi j'ai posé la question sur l'humanisme, car moi non plus je ne le sens pas du tout cet humanisme mais je pense toujours que tel qu'il a présenté son roman ou poème (sait-on pourquoi il a voulu que ce soit lu comme un poème ?) il nous a permis de nous faire notre opinion sur ces hommes et femmes et sur leurs conditions de vie. Alors qu'il n'ait pas approuvé la solution communiste c'est son droit d'ailleurs le fait qu'il ait fui effectivement en dit long sur sa non implication dans une solution quelconque pour ce pays et le peuple russe ; c'est un intellectuel mais pas politisé qui s'interesse néanmoins à la condition humaine.
Mais ça nous permet de comprendre "pourquoi" il y a eu révolte parce que ces gens vivaient dans des conditions révoltantes. Et Bounine m'a conforté personnellement dans ma conviction qu'on doit traiter les hommes dignement car pour en arriver à ce point où c'est la bête féroce en chacun d'eux qui doit se défendre c'est que cette classe dominante est allée trop trop loin !; alors s'il a voulu qu'on les méprise, avec moi il a eu tout faux (et je ne suis sûrement pas la seule :-)), leur misère étant tellement grande que quelque part elle les sublime ; car pourquoi les avoir "enfermés" dans un poème au lieu de faire un roman classique dans lequel seraient intervenus des personnages abjects aussi bien d'un côté que de l'autre ? Pour moi il a eu l'honnêteté de les montrer dans leur réalité justement sans les diaboliser (et aussi bien les deux frères que les paysans) et sans manichéisme.
Et moi j'ai trouvé les portraits magnifiquement écrits, ainsi que les descriptions des lieux ; ce n'est pas lourd c'est leurs vies qui sont lourdes...Alors les détails sont importants et il n'oublie jamais de mettre en parallèle par exemple le chant des rossignols et des scènes éprouvantes.
Tu dis Stavro que tu n'as pas pris plaisir à le lire mais aurais-tu accepté les mêmes horreurs sous forme d'un roman classique ? C'est un peu comme la Shoah, certains la supportent en romans mais pas dans les témoignages des rescapés des camps ; moi c'est le contraire j'ai du mal (même si je le respecte) à lire sous forme de roman ces horreurs absolues et je me fais violence pour lire les témoignages pour comprendre vraiment et surtout compatir.
Certaines scènes du Village me hantent encore et je les relis car j'ai du mal à croire qu'on ait pu traiter des hommes de cette façon et surtout les contraindre à devenir ainsi. J'ai ressenti la même chose dans le livre "requiem pour un paysan espagnol" lors de la description d'une grotte où vivaient une femme décharnée et un homme mourant. Pour moi, devant cette misère révoltante qui dégrade l'homme, on ne peut qu'aboutir à du militantisme (mais bon ça c'est mon opinion...:-)
Plus je le relis, plus je trouve que c'est un grand livre !
Et Bounine tout écrivain qu'il soit, bien égoïste de ne pas s'être senti concerné ou du moins d'avoir essayé (mais ça aussi c'est personnel:-)
Mais ça nous permet de comprendre "pourquoi" il y a eu révolte parce que ces gens vivaient dans des conditions révoltantes. Et Bounine m'a conforté personnellement dans ma conviction qu'on doit traiter les hommes dignement car pour en arriver à ce point où c'est la bête féroce en chacun d'eux qui doit se défendre c'est que cette classe dominante est allée trop trop loin !; alors s'il a voulu qu'on les méprise, avec moi il a eu tout faux (et je ne suis sûrement pas la seule :-)), leur misère étant tellement grande que quelque part elle les sublime ; car pourquoi les avoir "enfermés" dans un poème au lieu de faire un roman classique dans lequel seraient intervenus des personnages abjects aussi bien d'un côté que de l'autre ? Pour moi il a eu l'honnêteté de les montrer dans leur réalité justement sans les diaboliser (et aussi bien les deux frères que les paysans) et sans manichéisme.
Et moi j'ai trouvé les portraits magnifiquement écrits, ainsi que les descriptions des lieux ; ce n'est pas lourd c'est leurs vies qui sont lourdes...Alors les détails sont importants et il n'oublie jamais de mettre en parallèle par exemple le chant des rossignols et des scènes éprouvantes.
Tu dis Stavro que tu n'as pas pris plaisir à le lire mais aurais-tu accepté les mêmes horreurs sous forme d'un roman classique ? C'est un peu comme la Shoah, certains la supportent en romans mais pas dans les témoignages des rescapés des camps ; moi c'est le contraire j'ai du mal (même si je le respecte) à lire sous forme de roman ces horreurs absolues et je me fais violence pour lire les témoignages pour comprendre vraiment et surtout compatir.
Certaines scènes du Village me hantent encore et je les relis car j'ai du mal à croire qu'on ait pu traiter des hommes de cette façon et surtout les contraindre à devenir ainsi. J'ai ressenti la même chose dans le livre "requiem pour un paysan espagnol" lors de la description d'une grotte où vivaient une femme décharnée et un homme mourant. Pour moi, devant cette misère révoltante qui dégrade l'homme, on ne peut qu'aboutir à du militantisme (mais bon ça c'est mon opinion...:-)
Plus je le relis, plus je trouve que c'est un grand livre !
Et Bounine tout écrivain qu'il soit, bien égoïste de ne pas s'être senti concerné ou du moins d'avoir essayé (mais ça aussi c'est personnel:-)
Extrait sur les rossignols :
"Le vent soufflait par élans de plus en plus violents, faisant pleuvoir des gouttes des arbres verts ; derrière le verger, très bas, le tonnerre grondait sourdement ; des éclairs d'un bleu livide illuminaient l'allée et, de toutes parts, chantaient des rossignols. On n'arrivait pas à comprendre comment ces oiseaux pouvaient, avec tant d'application, tant de douceur, tant de force, s'oublier, s'entêter ainsi à gringotter, à claquer du gosier et à filer leurs trilles sous ce ciel de plomb lourd, parmi des arbres courbés par le vent, dans l'épaisseur des broussailles mouillées. Mais il était encore plus difficile de concevoir comment les veilleurs, par un temps pareil, sous la bourrasque, passaient dehors la nuit, comment ils pouvaient dormir sur de la paille humide, abrités à peine par une hutte vermoulue !"
Voilà pourquoi pour moi c'est un poème !
"Le vent soufflait par élans de plus en plus violents, faisant pleuvoir des gouttes des arbres verts ; derrière le verger, très bas, le tonnerre grondait sourdement ; des éclairs d'un bleu livide illuminaient l'allée et, de toutes parts, chantaient des rossignols. On n'arrivait pas à comprendre comment ces oiseaux pouvaient, avec tant d'application, tant de douceur, tant de force, s'oublier, s'entêter ainsi à gringotter, à claquer du gosier et à filer leurs trilles sous ce ciel de plomb lourd, parmi des arbres courbés par le vent, dans l'épaisseur des broussailles mouillées. Mais il était encore plus difficile de concevoir comment les veilleurs, par un temps pareil, sous la bourrasque, passaient dehors la nuit, comment ils pouvaient dormir sur de la paille humide, abrités à peine par une hutte vermoulue !"
Voilà pourquoi pour moi c'est un poème !
J'ai terminé "Le Village".
Ce n'est ni un coup de coeur, ni une déception, et j'ai bien aimé ce livre.
Il est dur, cruel, sans complaisance. J'y ai vu une espèce de "constatation désespérée", où la colère se mêle à la tristesse. On ne peut pas vivre comme ça, c'est ça qui ressort inlassablement.
Pas le temps (ni l'envie) de faire une critique, mais je l'aurais intitulée en reprenant ce que pensent les deux frères, à tour de rôle: "On ne peut pas vivre en Russie", sans instruction, sans idéal, en travailllant la terre sans véritable, organisation, dans un climat météorologique (et social) hostile etc.
C'est un livre sur l'impasse, en fait.
Réaliste mais pas dénué d'un certain lyrisme et de nostalgie (cf les descriptions et les récurrentes intropspections des deux frères.)
J'ai donc terminé les deux lectures.
Je mets "Un, personne, et cent mille" bien au dessus vous vous en doutez. Parce que littérairement je trouve ça beaucoup plus recherché, inventif et créatif, ensuite parce qu'l s'agit non pas d'un récit mais d'un texte réflexif (que j'affectionne tout particulièrement), et que les thèmes abordés (l'identité personnelle, l'authenticité, la vérité, la communicabilité etc.) sont ceux qui m'interpellent le plus.
Ce n'est ni un coup de coeur, ni une déception, et j'ai bien aimé ce livre.
Il est dur, cruel, sans complaisance. J'y ai vu une espèce de "constatation désespérée", où la colère se mêle à la tristesse. On ne peut pas vivre comme ça, c'est ça qui ressort inlassablement.
Pas le temps (ni l'envie) de faire une critique, mais je l'aurais intitulée en reprenant ce que pensent les deux frères, à tour de rôle: "On ne peut pas vivre en Russie", sans instruction, sans idéal, en travailllant la terre sans véritable, organisation, dans un climat météorologique (et social) hostile etc.
C'est un livre sur l'impasse, en fait.
Réaliste mais pas dénué d'un certain lyrisme et de nostalgie (cf les descriptions et les récurrentes intropspections des deux frères.)
J'ai donc terminé les deux lectures.
Je mets "Un, personne, et cent mille" bien au dessus vous vous en doutez. Parce que littérairement je trouve ça beaucoup plus recherché, inventif et créatif, ensuite parce qu'l s'agit non pas d'un récit mais d'un texte réflexif (que j'affectionne tout particulièrement), et que les thèmes abordés (l'identité personnelle, l'authenticité, la vérité, la communicabilité etc.) sont ceux qui m'interpellent le plus.
Ludmilla, est-ce que ces échanges pourraient être rattachés au fil du livre ? Je pense que ce serait plus intéressant et plus facile pour les retrouver... Enfin, si personne n'a d'objection. Merci beaucoup !
Je l'ai fait cependant le résultat est un peu bizarre, à vous de voir si je laisse comme ça ou pas.
Sissi, les quelques lignes plus haut pourraient constituer une critique il me semble.
Je suis dans Un, personne, et cent mille mais pas assez avancé que pour savoir si j'aime ou pas (si ce n'est que c'est agréable à lire, il a une plume bien agréable, légère et virevoltante).
Merci Saule. J'avais plus en tête de ne mettre que le bas de la page 16 et la page 17 puisque les précédentes et les suivantes ne concerne(ro)nt pas Le Village, mais je ne sais pas si c'est possible.
Sissi, j'ai l'impression que tu me rejoins dans l'ensemble. Moi, j'ai été déçu dans le sens où j'en attendais plus, mais je lui ai quand même mis trois étoiles. Je suis loin d'avoir détesté.
Sissi, j'ai l'impression que tu me rejoins dans l'ensemble. Moi, j'ai été déçu dans le sens où j'en attendais plus, mais je lui ai quand même mis trois étoiles. Je suis loin d'avoir détesté.
Je l'ai fait cependant le résultat est un peu bizarre, à vous de voir si je laisse comme ça ou pas.
Ben...oui, bizarre...:-)
Sissi, les quelques lignes plus haut pourraient constituer une critique il me semble.
Oh non, c'est trop court ,quand même.
Pas trop de temps, (ni l'envie, j'ai plus envie de lire!), et puis j'estime que j'ai été très active sur ce fil, j'ai terminé les deux livres, critiqué un des deux, c'est déjà bien.
Je suis dans Un, personne, et cent mille mais pas assez avancé que pour savoir si j'aime ou pas (si ce n'est que c'est agréable à lire, il a une plume bien agréable, légère et virevoltante).
Si tu aimais vraiment, tu le saurais déjà...
Je resterai donc seule avec mon gros coup de coeur! Pas plus mal, il est qu'à moi, comme ça! :-)
Sissi, j'ai l'impression que tu me rejoins dans l'ensemble .
Non je ne crois pas. Sur ce coup là je ne pense pas.
Je ne m'y retrouve pas quand tu parles/critiques ce livre.
Toi tu l'as senti (Bounine) acerbe et excédé (je caricature un peu), moi presque blessé.
Je n'ai pas ressenti la froideur que tu évoques, plutôt le désespoir devant une espèce de fatalité.
Voici la fin du deuxième trimestre. Heureux de constater que la sélection ait pu engendrer un certain débat. Merci aux participants !
Pour ma part, je n’ai lu que le Bounine. Un livre pour lequel j’ai aimé certains aspects picaresques. La portion avec le premier frère m’a plu mais par la suite l’intérêt s’est estompé.
Bon passons à un autre thème pour le prochain trimestre (Juillet-Août-Septembre)
Pour ma part, je n’ai lu que le Bounine. Un livre pour lequel j’ai aimé certains aspects picaresques. La portion avec le premier frère m’a plu mais par la suite l’intérêt s’est estompé.
Bon passons à un autre thème pour le prochain trimestre (Juillet-Août-Septembre)
SCRUTIN du quatrième thème du Club de lecture des classiques.
La période de vote est ouverte jusqu’au 8 juillet minuit (Heure de Paris)
Vous devez voter pour 5 thèmes parmi cette liste par ordre de préférence.
Le moyen-âge (5e au 15e siècle)
Aventures en mer et l’univers marin
Les pionniers du polar (1860-1940)
Littérature française, romantisme (début 19e)
Littérature française, réalisme et naturalisme (fin du 19e siècle)
Littérature anglaise (début 20e siècle)
Gothique et horreur - l’ère victorienne, les vampires et autres. (19e siècle)
Littérature russe (19e siècle)
Littérature russe (début 20e siècle)
La période de vote est ouverte jusqu’au 8 juillet minuit (Heure de Paris)
Vous devez voter pour 5 thèmes parmi cette liste par ordre de préférence.
Le moyen-âge (5e au 15e siècle)
Aventures en mer et l’univers marin
Les pionniers du polar (1860-1940)
Littérature française, romantisme (début 19e)
Littérature française, réalisme et naturalisme (fin du 19e siècle)
Littérature anglaise (début 20e siècle)
Gothique et horreur - l’ère victorienne, les vampires et autres. (19e siècle)
Littérature russe (19e siècle)
Littérature russe (début 20e siècle)
Mon choix:
.1) Littérature française, réalisme et naturalisme (fin du 19e siècle)
.2) Les pionniers du polar (1860-1940)
.3) Gothique et horreur - l’ère victorienne, les vampires et autres. (19e siècle)
.4) Littérature russe (19e siècle)
.5) Littérature anglaise (début 20e siècle)
.1) Littérature française, réalisme et naturalisme (fin du 19e siècle)
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.3) Gothique et horreur - l’ère victorienne, les vampires et autres. (19e siècle)
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Mon choix:
1. Littérature française, réalisme et naturalisme (fin du 19e siècle)
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5. Littérature française, romantisme (début 19e)
1.Littérature anglaise (début 20e)
2.Littérature française,réalisme et naturalisme (fin du 19e)
3.Littérature russe (19e)
4.Aventures en mer et l'univers marin
5.Littérature russe (début 20e)
2.Littérature française,réalisme et naturalisme (fin du 19e)
3.Littérature russe (19e)
4.Aventures en mer et l'univers marin
5.Littérature russe (début 20e)
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